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Adèle - Itinéraire d'une nympho gâtée

Chapitre 1

Hétéro
9h00, le réveil sonne. Une douce musique sort Adèle de son rêve envoûtant. Elle ouvre péniblement les yeux et s’étire longuement en poussant un langoureux gémissement de satisfaction. Ses premières pensées sont celles d’hier soir, dans ce lit douillet. Elle se met à repenser aux scènes torrides qu’elle et son compagnon d’un soir ont à présent dans leur mémoire commune. Adèle est allongée sur le ventre, l’oreiller sous sa poitrine lui permet de taquiner son portable resté sur la table de nuit. Du bout du pied, elle retire la couette qui recouvrait sa peau douce et halée, dévoilant un corps d’une rare élégance. La cambrure de son dos accentue l’ondulation de ses fesses rebondies, ses cheveux châtains et soyeux chatouillent sa nuque et le haut de ses épaules nues. La lumière distribuée par la porte laissée entrouverte dessine sur ses formes féminines des reflets dorés, tantôt sur ses cuisses, tantôt sur ses fesses. Des jeux d’ombre mettent en valeur certaines zones de son corps et en laissent d’autres pour son intimité.Adèle sourit en parcourant les derniers messages qu’elle a échangés avec ses partenaires. Peut-on parler de partenaires, doit-on parler de mecs de passage, ou d’hommes et de femmes ayant tout simplement trouvé en Adèle la personne parfaite pour mettre en pratique leurs fantasmes les plus inavouables, en toute simplicité et réciprocité ? De toutes les façons, la jeune fille ne se posait pas ce genre de questions. Pour elle, seul le plaisir, donné et reçu, avait de l’importance. Adèle est âgée de vingt-six ans. C’est une femme élégante, toujours habillée dans le souci de mettre ses formes généreuses en valeur. Un mètre soixante-neuf (ce chiffre lui était prédestiné) pour soixante-sept kilos. Une belle poitrine de 100 D la précédait. Adèle n’avait pas envie en ce samedi matin de quitter son lit chaud et douillet. Elle se retourna, mettant dans la lumière du matin ses jolis seins encore gonflés par l’excitation qu’avait générée son rêve érotique. Elle avait rêvé de cette fameuse soirée d’hier, qui s’était terminé dans son lit. Elle sentait entre ses cuisses l’inondation qu’avait généré son rêve, pourtant court, mais tellement intense. Ou peut-être était-ce le sperme de son partenaire qu’il avait déversé en elle hier soir qui avait coulé le long de ses cuisses durant la nuit. Ou bien était-ce un mélange des deux. Adèle ne se souvenait plus comment tout cela s’était terminé, l’alcool l’ayant un peu mise dans un second degré et dans un état de passivité. Elle se souvenait qu’en dansant, un homme d’une vingtaine d’années s’était approchée d’elle de manière suffisante pour pouvoir toucher ses fesses et ses seins. Elle s’était retournée pour voir à qui elle avait affaire et, trouvant le jeune homme à son goût, s’était laissé faire. Toujours allongée sur son lit, Adèle caressa ses seins d’une main et glissa son autre main au niveau de son entre-jambes chaud et trempé. Un doigt glissa tout naturellement en elle. Elle poussa un petit gémissement et se repassa en mémoire les scènes d’hier soir…
« Ça n’a pas l’air de te déranger que je te pelote les seins et le cul » murmura le jeune homme à l’oreille d’Adèle, tout en serrant son corps contre ses fesses et en remuant sur les rythmes de la musique.« J’aime ça, mais dis-moi juste ton prénom et ton âge, histoire que j’aie l’impression de te connaitre et pas d’être prise pour un objet sexuel » rétorqua Adèle sans retourner la tête, et tout en affichant un sourire coquin. « Je m’appelle Sam, j’ai vingt-trois ans et j’ai bien l’impression que ce soir je vais te baiser… », lança le jeune homme, d’un air joueur et enthousiaste, sans appréhension de la réaction d’Adèle.« Ça dépend de toi, moi je suis ouverte comme une fleur au printemps… » rétorqua Adèle. «Tu m’offres déjà l’apéro ici et puis on va chez toi ? » demanda Sam. Adèle prit le garçon par la main et l’emmena en dehors de la boite, l’attira dans un recoin lugubre et se mit à genoux face à Sam. Coincés entre un container et une camionnette, Adèle et Sam ouvrirent le feu de cette longue nuit de sexe. Adèle détacha la ceinture et déboutonna le jeans de Sam. Elle sentit au travers de l’étoffe pourtant épaisse de son pantalon un sexe rigide et tendu à l’extrême. Les jeunes hommes sont toujours plus vite prêts que les plus âgés, on va voir si la vigueur des jeunes remplace l’expérience des plus mûrs, se dit Adèle. Elle baissa le jeans de Sam jusqu’à mi-cuisses et, au même moment, elle fût surprise par la dimension que prit le sexe de Sam, encore caché par le caleçon américain complètement déformé. Elle caressa brièvement le sexe du jeune homme à travers le caleçon, et dans la foulée descendit celui-ci de manière suffisante pour découvrir le sexe de Sam. Celui-ci se libéra d’un seul coup une fois que le caleçon fût descendu, et se dressa devant le visage d’Adèle. Elle fût surprise par la taille impressionnante de l’engin, si bien en longueur qu’en épaisseur. Il était épais de la base au gland, et arqué de manière à ce que le haut de son sexe était complètement à la verticale. Son gland était découvert et légèrement humide d’excitation. A la vue du sexe incroyable du sexe de Sam, Adèle eu un fourmillement puissant autour du clitoris et sentit couler un premier flot de mouille le long de son vagin excité et brûlant. Elle ne tarda pas à donner le premier coup de langue sur son nouveau jouet, partant de tout en bas et remontant jusqu’au gland. Elle sentit Sam frémir sous sa caresse. Celui-ci caressait les cheveux de sa partenaire tout en lui murmurant des mots excitants : « Je suis certain que tu vas aimer mon sexe. Dans ta bouche et dans ta chatte aussi. Je ne vais pas te lâcher cette nuit. J’ai envie qu’on aille chez toi après. Suce-moi un peu puis je te déglingue… ». Adèle était très excitée à l’entendre parler. Excitée aussi par cet homme entreprenant et sûr de lui. Elle s’amusa à lécher la petite goûte translucide qui perlait au sommet du sexe de Sam puis engouffra le membre d’un geste décidé. Elle sentit sa bouche se remplir profondément. Le sexe dur de Sam prenait toute la place au point qu’elle peinait à faire tourner sa langue tout autour. Elle le sortait de temps en temps de sa bouche pour mieux pouvoir apprécier les dimensions de la queue de son nouveau partenaire. Elle en profitait pour la lécher de bas en haut, des deux côtés, et puis recommençait à sucer le sexe toujours aussi dur à pleine bouche. En le suçant, Adèle imaginait déjà le bonheur qu’elle allait éprouver lorsque Sam allait la pénétrer profondément. Elle savait que le premier passage serait délicat, mais que les coups de reins qui suivraient allaient être d’une telle intensité qu’elle se sente totalement envahie et remplie. « Viens, allons chez moi, je n’en peux plus, il faut que tu me prennes, ma chatte est sensible comme un écran tactile » lança Adèle d’une voix excitée et pressée. Sam ne se fit pas prier. Ils montèrent en voiture et foncèrent vers l’appartement d’Adèle, tout proche. Durant le court trajet, Adèle trouva le moyen de reprendre le sexe de Sam en bouche pour quelques va-et-vient et coups de langue. Sam en profita pour glisser sa main sous la robe d’Adèle. Il y découvrit un sexe lisse et doux, inondé par l’excitation. Arrivés à destination, les deux partenaires s’engouffrèrent dans l’ascenseur. Sam réitéra la même caresse à Adèle, pendant que celle-ci reprenait le sexe de Sam à pleine main. Elle ne le lâcha pas entre la sortie de l’ascenseur et l’arrivée dans le salon d’Adèle. Elle poussa le garçon sur le canapé, tout en tenant fermement son sexe. Elle l’enfourna à nouveau, comme un félin affamé de viande. Ils prirent tout de même les quelques secondes nécessaires à se déshabiller. Sam découvrit les formes voluptueuses d’Adèle. Adèle fût d’autant plus impressionnée par le sexe de Sam que celui-ci était nu. Ses petites mains délicates aux ongles entretenus et décorés ne parvenaient pas à faire totalement le tour du sexe dont elle s’occupait goulûment. Et celui-ci étaient suffisamment long pour qu’elle puisse le branler à deux mains.Lorsqu’elle commença à ressentir une douleur aux mâchoires, elle sortit le sexe toujours aussi dur de sa bouche en prenant soin d’y laisser un peu de sa salive. Elle se redressa et s’agenouilla à califourchon sur Sam. Celui-ci avaient les deux seins d’Adèle juste à portée de bouche, ainsi il en profita pour engouffrer sa tête entre les deux lourds obus de la jeune femme. Adèle cambrait le dos et sortait les seins pour mieux les offrir à son partenaire. Puis, d’un geste langoureux, elle se laissa descendre le long de la bouche de Sam, qui finit par trouver ses lèvres. Son souffle était court, témoignant d’une excitation débordante. Ils s’embrassèrent goulûment, puis Adèle sentit le bout du sexe de Sam, mouillé et rigide, entrer en contact avec son orifice. Elle n’avait plus envie de tergiverser et se laissa empaler par cette énorme queue qu’elle avait tant aimé sucer. La queue de Sam trouva son chemin toute seule, écartant au passage le vagin d’Adèle, pourtant élargi par l’excitation. Elle ressentit un immense bien-être, lié à cette sensation d’envahissement si propre à la pénétration, mais décuplé par le volume du sexe de Sam. La caverne d’Adèle semblait ne pas avoir de fin, si bien que Sam pu entrer intégralement sa queue, jusqu’à sentir les lèvres d’Adèle cogner la base de son sexe. Sam éprouvait aussi un immense bonheur à l’idée d’avoir enfin trouver une fille capable de recevoir son engin dans sa totalité. Il poussa sur les épaules d’Adèle vers le bas, comme s’il voulait s’encastrer davantage en elle, et profita de cette sensation un instant puis commença à soulever Adèle par les fesses, la faisant coulisser le long de sa queue. Tous les deux étaient en parfaite symbiose, leurs sexes étaient faits pour s’emboîter. Les aller-retour étaient de plus en plus vigoureux, au point qu’à chaque pénétration, Adèle poussait un gémissement de plaisir. Sam faisait pareil au moment où il sentait que son sexe allait se faire enfouir dans le ventre d’Adèle, pour mieux ressortir juste après. Après un long moment de pistonnage, Adèle se releva et s’agenouilla à nouveau entre les cuisses de Sam. Elle reprit son sexe trempé en bouche et lança à Sam : «laisse-moi goûter ma mouille sur ton sexe, il parait que je suis bonne… ». Elle lécha le sexe de Sam de haut en bas, le suça à pleine bouche, puis rajouta : « tu veux goûter comme je suis bonne ? ». Sans attendre la réponse de Sam, elle se releva, se posa à genoux sur le dossier du canapé, et vint poser son sexe luisant et béant sur la bouche de Sam. Il donna un rapide coup de langue sur le clito dur et rouge d’Adèle puis, appréciant le gout de la jeune fille, se mit à la lécher avec entrain et sans retenue. Sa langue trouva le chemin de l’entrée de son orifice. Il prit plaisir à sentir leurs jus mélangés couler sur sa langue. Toujours aussi excité, il se coucha sur son côté et obligea Adèle à venir devant lui, en cuillère. Elle obtempéra sans broncher, offrant un instant la vue de ses fesses à Sam puis vint les coller à lui, tout en relevant sa jambe, pour mieux lui donner accès à son entre-jambes. Son sexe glissa le long de la cuisse d’Adèle puis vint heurter son clitoris. La jeune femme prit alors la queue en main, la branla par quelques va-et-vient puis la guida vers son orifice. Le sexe retrouva sa place à l’intérieur d’Adèle, puis Sam recommença à la limer sans retenue. Adèle criait à présent sous les impulsions et la vigueur du jeune homme, et tenait ses deux seins en mains pour les empêcher de trop gesticuler sous les coups de bite violents donnés par Sam. De temps à autre, elle lâchait son sein droit et s’en allait caresser son clitoris pendant que Sam la défonçait. Du bout de ses doigts, elle sentait la queue aller et venir en elle, de manière régulière et vigoureuse. Par moments, elle prenait plaisir à faire un V avec son majeur et son index autour du sexe de Sam, comme pour mieux le sentir la pénétrer. Ensuite, abandonnant la région de leurs deux sexes, elle revenait mettre ses doigts en bouche et continuait à se caresser les seins. Ceux-ci étaient gros et lourds au point qu’ils lui permettaient de les amener sans difficultés à sa bouche. Elle ressentait alors le plaisir de la caresse qu’elle s’offrait et le plaisir de la pénétration profonde et dynamique procurée par Sam. Sam lui avoua qu’il avait envie de jouir une première fois, et que dans la foulée, il serait capable de bander à nouveau pour reprendre leurs ébats. Il sortit d’Adèle, se releva et vint offrir son sexe à la bouche d’Adèle, toujours aussi demandeuse. Elle n’hésita pas à le prendre en bouche et à le branler en laissant glisser sa petite main le long de la queue gonflée et glissante de Sam. Après une bonne minute de succion et de masturbation vigoureuse, elle entendit Sam gémir de manière sourde et rauque. «Je vais jouir, retire toi, fais-moi jouir sur tes seins » lança Sam. Mais Adèle ne voyait pas les choses comme ça. Elle garda le sexe de Sam bien enfoui dans sa bouche et redoubla d’effort pour le faire jouir intensément. L’homme comprit que tel était son souhait et, avec beaucoup de violence, il explosa dans la bouche d’Adèle. De longues saccades d’éjaculation puissantes suivirent, remplissant de plus en plus la bouche de la jeune femme. Elle fut obligée d’entrouvrir un peu la bouche pour laisser couler une partie du sperme qu’elle recevait sur ses seins. Ses lèvres sentaient la bite de Sam se gonfler avant chaque saccade, puis sentait le sperme chaud et amer venir heurter le fond de sa gorge et tapisser sa langue et l’intérieur de sa bouche. Les spasmes semblaient ne jamais s’arrêter alors que le jeune homme continuait de pousser des cris de plaisir. Finalement, entendant le souffle de Sam ralentir, Adèle sentit la queue se rétracter doucement avant de sortir de sa bouche. En la laissant sortir, elle prit soin de nettoyer le sexe de Sam tout en avalant l’énorme quantité de sperme qu’il avait déversé en elle. Adèle était curieuse de savoir si Sam allait tenir sa promesse. Elle était allongée sur le canapé, tranquille, observant Sam prendre du plaisir. Il était à bout de souffle tant son orgasme avait été long et intense. Il se tenait toujours debout, face à Adèle. Son sexe était posé près du coin de la bouche de la jeune femme. Son excitation était brièvement descendue mais le simple fait de voir Adèle posée sur le canapé, entièrement offerte à lui, lui redonna vigueur. La vue érotique et excitante d’Adèle se caressant les seins avec le sperme qu’elle avait laissé couler sur son corps l’aida à retrouver un sexe dur comme un poteau. Il ne tarda pas à se remettre en action. Il la saisit par les fesses, et la disposa de manière à ce qu’elle soit ouverte pour lui. Elle était affalée dans le sofa, la tête appuyée sur le dossier. Son cul dépassait de l’assise de manière à être plus accessible à Sam. Il maintenait ses cuisses relevées et écartées en l’agrippant par le creux des genoux, de telle sorte qu’Adèle fut complètement soumise aux assauts de Sam. Il prit position face à elle, et son sexe tendu trouva à nouveau le chemin de celui d’Adèle, mouillé et dilaté. Il donna un premier coup de rein lent et profond, alla buter contre le fond du ventre d’Adèle puis ressorti intégralement son sexe et recommença l’opération plusieurs fois. A chaque pénétration, Adèle poussait un gémissement rauque. Sam accéléra brutalement la cadence, entrainement tout le corps d’Adèle dans cette élan de puissance. Chaque coup de queue lui semblait plus puissant que le précédent. Ses seins bougeaient de haut en bas, impulsion après impulsion, la forçant à les maintenir. Elle offrait son corps à ce jeune inconnu, qui n’hésitait pas à en profiter pleinement. Sam prenait un plaisir fou à baiser Adèle, son corps lui plaisait, il était en extase devant les formes douces et harmonieuses de la jeune femme. Il était aussi incroyablement excité de savoir qu’elle était plus âgée que lui et qu’elle avait probablement connu bon nombre de partenaires sexuels avant lui. L’idée qu’il n’était pas le premier à s’occuper de la sorte de ce corps le mena au bord de l’orgasme. Il imaginait Adèle soumise à plusieurs hommes, prenant un plaisir inouï. Il s’imaginait regarder la scène, pour ensuite prendre part à l’action. Toutes ces idées se bousculèrent soudain dans l’esprit de Sam, des images incroyablement excitantes lui traversèrent la tête, les unes après les autres, au point qu’il ne put retenir sa jouissance. Ses derniers aller-retours furent tellement puissants qu’ils menèrent Adèle à crier de plaisir. Il la maintenait tellement fort par les cuisses qu’il lui faisait mal, et pressant son bassin contre celui d’Adèle, il donna un dernier coup de queue avant de sentir une première giclée arroser le fond du sexe de la demoiselle, il bloqua sa respiration, ajouta une autre impulsion et offrit tout ce qui lui restait à Adèle qui n’eut d’autre choix cette fois-ci de recevoir tout le sperme de Sam au fond de son intimité.
Il resta un long moment en Adèle, puis finit pas venir s’allonger près d’elle, posant sa main sur ses seins. Il lui dit : « j’ai pris mon pied ma belle, tu as été incroyable. J’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais. Si j’avais eu encore une once d’énergie, je t’aurais baisé une troisième fois, mais là je suis vidé, au propre comme au figuré. . ». « J’ai adoré aussi, j’ose à peine te dire qu’il y a longtemps que je n’ai plus été baisée comme ça. C’était intense, du début à la fin » répondit Adèle. « Tu reviens quand tu veux », ajouta-t-elle. « Tu as déjà fantasmé sur un plan à plusieurs, avec deux ou trois hommes ? », demanda Sam, avec un sourire qui en disait long. « Pourquoi me demande tu ça, tu as des copains à me présenter », surenchérit Adèle, avec un air provocateur. Sam se releva, enfila son pantalon et sa chemise et posa sa veste sur son bras. « Si tu es tentée, mais je sais déjà que tu l’es, je peux me charger d’organiser ça », lança-t-il en criant, alors qu’il était déjà dans le hall, prêt à partir. « Je suis très tentée et, au fait, salut espèce de mal poli », hurla-t-elle avec une pointe d’humour. La porte claqua sans réponse de Sam, laissant Adèle sur le canapé, le sexe ouvert et dégoulinant. Elle se faufila dans son lit sans s’essuyer, glissa un doigt dans son sexe et l’amena jusqu’à sa bouche, déjà nostalgique du moment intense qu’elle venait de passer avec Sam. Elle s’endormit dans cette position, et c’est dans ces conditions qu’elle se réveilla le lendemain avec un profond sentiment de plénitude…
De retour chez elle après une longue journée de travail, Adèle échangea son tailleur noir et strict pour une robe plus légère. Tous les vêtements qu’elle portait semblaient avoir été créés pour elle. Elle n’avait pas une taille mannequin, mais son allure fière et ses mensurations généreuses transformaient une vulgaire robe en une œuvre d’art. Ce soir-là, elle prit la liberté de ne pas porter de sous-vêtements. La chaleur dehors était étouffante, mais il faisait frais dans l’appartement. Les stores étaient baissés, seule une lumière chaude et filtrée illuminait les murs et le mobilier. Adèle jeta son sac sur son épaule et se précipita dans l’escalier. Elle avait besoin de prendre l’air, de sentir la nature, et de se dégourdir les jambes, ankylosées par le temps passé en voiture. En marchant, elle sentait le vent se glisser sous sa robe et venir caresser ses fesses nues.Elle repensa à cet inconnu avec qui elle avait pris tant de plaisir la veille. Alors qu’elle s’était assise sur un banc, à la sortie du parc, son téléphona siffla et l’écran afficha un message. Il était écrit : « Coucou Adèle ! Remise de tes émotions ? J’espère, parce que ce soir on remet ça. Je m’occupe du champagne et du repas. Prépare trois assiettes ;-) ». En lisant ces lignes, Adèle eu une bouffée de chaleur et son cœur se mit à battre plus fort. Allait-elle réaliser ce fantasme qu’elle entretenait depuis si longtemps maintenant, mais qu’elle n’avait jamais eu l’opportunité de réaliser ? Sam serait-il bien là, accompagné d’un ami ? Trop de questions venaient à son esprit. Elle s’obligea à ne pas penser négativement. Finalement, c’était l’occasion rêvée pour réaliser son fantasme le plus fort. Elle frotta l’écran de son portable d’un geste du pouce comme pour mieux réfléchir, mais la réponse était déjà toute trouvée : « Hô oui ! ». Adèle reprit le chemin de son appartement, affichant un large sourire. Elle ne parvenait pas à penser à autre chose qu’au sexe de Sam, au plaisir qu’elle avait pris la veille et à celui qu’allait ressentir quelques instants plus tard. Arrivée chez elle, elle prit le temps d’appliquer un joli vernis à ongles bleu, de se doucher, de se parfumer et de choisir sa tenue. Elle opta pour une autre robe, blanche celle-ci, légèrement satinée, et serra sa taille d’une large ceinture beige, mettant en évidence les formes harmonieuses de ses fesses et de ses seins.A peint fut-elle prête que l’on frappa à la porte. Elle inspira profondément, s’encouragea en se murmurant « allez ! » et se dirigea vers la porte qu’elle ouvrit d’un geste convaincu. Là se dressaient fièrement Sam et un autre jeune homme, un peu plus petit que lui, les cheveux bruns coupés court, le regard vif et joueur. D’emblée, sans dire quoi que ce soit d’autre, il lança : « Alors, il parait qu’on baise bien ici ?! ». Il resta sérieux un instant puis éclata de rire. « Je m’appelle Hugo, je suis un colocataire de Sam. On vit ensemble dans un grand appartement avec deux autres gars et trois nanas », ajouta-il en souriant. « Je suis Adèle, j’ai rencontré Sam hier en soirée. Entrez, ne restez pas sur le paillasson ! », rétorqua-t-elle en s’en allant vers la cuisine. Sam et Hugo avaient le regard figé sur les fesses d’Adèle. Ils se regardèrent et se firent un clin d’œil complice. Ils la suivirent dans la cuisine. Alors qu’elle disposait dans le frigo les plats que Sam et Hugo avaient apportés, Hugo s’occupait de déboucher le champagne. Sam vint derrière elle et posa ses mains sur les hanches d’Adèle, tout en la serrant contre lui. Hugo les observait. Ils n’avaient pas l’intention de prendre le temps de manger avant le premier round. Sam murmura quelque chose à l’oreille d’Adèle, et posa sa main sur sa cuisse nue, avant de la remonter sous sa robe. Hugo servit trois coupes de champagne, en vida une et se resservit aussitôt. « On prend l’apéro dans le salon ? Comme ça je peux aussi déballer mon amuse-bouche », lança-t-il amusé. Sam et Adèle trouvèrent la blague de bon goût et suivirent Hugo dans le salon. Celui-ci s’était déjà mis à l’aise dans le canapé, qui affichait encore quelques traces des ébats de la veille. Adèle vint s’asseoir à côté de lui, suivie de Sam. Hugo tendit une coupe à Adèle. Sam posa sa main sur la cuisse d’Adèle et ne traîna pas à la laisser glisser vers son entre-jambes, relevant au passage la robe satinée qui couvraient son sexe. Adèle ne portait pas de sous-vêtements, Sam fut lui-même surpris par cette initiative coquine. Adèle posa sa coupe de champagne et d’un geste un peu fébrile, posa une main sur le sexe d’Hugo, au travers de son jeans. Elle le caressa un instant et se laissa embrasser par Hugo, puis par Sam. Hugo décida lui-même de commencer à déboutonner son jean, Adèle prit le relais, glissa sa main sous le caleçon d’Hugo et sortit son sexe déjà tendu. Elle lui lança un sourire complice, le branla par quelques mouvements du poignet puis se pencha et l’engouffra dans sa bouche sans retenue. Sam, se mit à genoux face au canapé, écarta les cuisses d’Adèle, posa quelques baisers et coups de langue sur sa peau douce et sucrée, puis se laissa guider par l’odeur sensuelle qui se dégageait du sexe d’Adèle. Aidé de son pouce et de son majeur, Sam écarta les lèvres d’Adèle pour dévoiler son clitoris déjà gonflé. Il bandait aussi à présent, et pendant qu’il léchait Adèle, il se caressait le sexe de son autre main. Adèle persévérait dans la superbe fellation qu’elle donnait à Hugo. Il appréciait les lèvres douces et humides d’Adèle, qui glissaient de haut en bas le long de sa queue, et il frémissait à chaque fois qu’elle faisait tourner sa langue autour de son gland. Tout en suçant Hugo, elle gémissait sous les coups de langue habiles de Sam. Il s’attardait sur son clitoris, en donnant des petits coups de succion, puis léchait l’ensemble de son sexe. De temps à autre, il laissait sa langue se perdre à l’entrée de son orifice, comme pour mieux la préparer à la suite. Lorsque Sam jugea qu’Adèle fut suffisamment prête, il se releva, ôta son jean et sa chemise et se glissa derrière elle. Elle releva sa jambe et Sam vint la prendre en cuillère, glissant son énorme sexe au fond de celui d’Adèle. Hugo observait la scène attentivement, se délectant des images érotiques que ses deux amis lui proposaient. Adèle peinait à se concentrer sur le sexe d’Hugo tant les impulsions de Sam étaient dynamiques. Son corps bougeait dans tous les sens, entraînant par la même occasion le canapé. Les gémissements qui s’émanaient des trois partenaires résonnaient dans tout l’appartement, occasionnant probablement le questionnement de certains voisins. Après dix minutes de dur labeur, Sam abandonna la chatte d’Adèle et vint se consoler dans sa bouche. Hugo pris la place de Sam et la besogne d’Adèle recommença. Au bout de quelques minutes, ils changèrent de position. Adèle vint se poser à califourchon sur Hugo, face à lui, et Sam se posta debout derrière le canapé, son sexe venant tout juste à la hauteur de la bouche d’Adèle. Hugo était tantôt frappé, tantôt étouffé, par les seins de la jeune femme qui s’agitaient autour du visage et de la bouche d’Hugo. Il en profitait pour lui donner du plaisir par cette autre voie érogène. Et Adèle l’en remercia ; elle ressentait la jouissance par tous les côtés. Sam finit par en avoir assez de se faire sucer et décida de passer aux choses sérieuses. Il se posta derrière Adèle et Hugo et positionna son sexe à l’entrée du petit trou de sa copine. Aussitôt, elle lança : « Sam attends, je n’ai jamais fait ça, je ne sais pas si ça va aller ». « Hugo, prends la un peu par derrière, histoire qu’elle s’y habitue » répondit-t-il dans la foulée. Hugo ne se fit pas prier et il sortit son sexe de celui d’Adèle pour venir se glisser dans son petit trou. Son sexe trouva de suite son chemin. Adèle ne fut pas réfractaire et se laissa faire sans broncher. Les premiers mouvements furent exécutés avec délicatesse mais, très vite, l’excitation prit le dessus. C’est Adèle elle-même qui faisait danser son corps sur le sexe d’Hugo, profondément ancré en elle. Ils se donnèrent l’un à l’autre dans cette position pendant quelques instants, pendant que Sam se masturbait en profitant de la scène.Adèle se releva, se retourna en tournant le dos à Hugo, lui offrant son cul dans une position différente. Elle était à califourchon inversé sur Hugo, le petit trou empalé par le sexe d’Hugo et la chatte exposée à celui de Sam. Celui-ci comprit l’invitation et se positionna face à Adèle, une jambe sur le canapé, l’autre au sol. Il donna quelques coups de langue sur le sexe d’Adèle, puis poussa son énorme gland à l’intérieur. Le reste de son manche suivit naturellement, offrant à Adèle la délicieuse sensation d’être pénétrée par deux hommes à la fois. Elle qui était si réticente à cette position de soumission jouissait maintenant de la situation. L’idée péjorative qu’elle se faisait de cet acte était maintenant remplacée par cet incroyable sentiment de complicité. Et au lieu de se sentir considérée comme un objet sexuel, elle envisageait plutôt la chose dans l’autre sens : deux hommes se débattaient pour lui donner plus de plaisir. Elle était littéralement conquise par cette expérience et souhaitait qu’elle ne s’arrête jamais.Leurs ébats durèrent encore plusieurs minutes, avant que Sam ne jouisse une première fois en Adèle. Il s’était laissé emporter dans un élan d’énergie et, surexcité par l’expérience qu’il partageait, il n’avait pas pu retenir son orgasme. Adèle avait pris un plaisir inouï à sentit Sam jouir en elle, alors qu’elle était toujours pénétrée par Hugo, qui la pistonnait sans relâche. Sam se retira après avoir joui, et laissa Hugo et Adèle profiter à deux. Il s’assit à côté d’eux et les regarda en action. Le sperme de Sam inondait l’entre-jambes d’Adèle et coulait sur le sexe d’Hugo. Adèle se releva, et s’allongea sur le canapé, la tête posée sur les genoux de Sam. Hugo en profita pour changer d’orifice et revint prendre Adèle en missionnaire. Adèle était tellement dilatée et mouillée qu’elle ne sentait quasiment plus le sexe d’Hugo aller et venir en elle. Adèle tourna la tête et chercha avec ses lèvres le sexe de Sam. Lorsqu’elle le trouva, elle ne tarda pas à le reprendre en bouche, comme pour mieux profiter de chaque moment de l’expérience. Hugo accéléra le rythme avec lequel il pistonnait Adèle, s’arrêta net, puis sortit son sexe de celui d’Adèle. Il se mit debout, Sam fit pareil. Adèle comprit que les deux hommes attendaient qu’elle se mette à genoux pour recevoir leur éjaculation, ce qu’elle fit dans un dernier élan de pornographie. Elle ferma les yeux, balança la tête en arrière et sentit le sperme chaud de Sam et Hugo venir heurter par saccades ses joues et ses lèvres. Elle entre-ouvra timidement la bouche et reçut une giclée qui atteignit directement le fond de sa bouche, sans savoir si le sperme qu’elle avalait était celui de Sam ou d’Hugo.
Effondrés, les deux hommes se laissèrent tomber dans le canapé, remercièrent Adèle pour cet incroyable complicité et ce moment privilégié et s’endormirent sans même avoir eu envie de manger les bons petits plats qu’ils avaient apportés.
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