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Adeline, la mère de mon meilleur ami

Chapitre 1

Hétéro
Je m’appelle Ivan et cette histoire s’est déroulée il y a 6 ans quand je venais d’avoir 18 ans. Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, je vais vous parler un peu de moi. A l’époque, j’étais un jeune homme timide qui n’avait jamais vraiment eu de relation. J’avais perdu ma virginité quelques années plus tôt (oui j’étais jeune...) dans une fête nulle et je n’en étais pas fier du tout. Après cette fête, je n’ai plus eu de relations sexuelles pendant toute ma scolarité. Je n’ai jamais été très à l’aise pour aborder les filles.
Physiquement, je mesure 1m80, j’ai les yeux bleus, les cheveux châtains et une belle barbe. Je suis plutôt mince, mais je n’ai pas de muscle, je n’aime pas le sport. J’ai grandi à la campagne dans un petit village du sud de la France. Une région où si tu n’as pas très vite le permis ou au moins un scooter pour te déplacer, tu vas très vite t’ennuyer. Heureusement, dès mes 15 ans, j’ai eu le BSR et j’ai vite trouvé mon indépendance dans mon temps libre.
Je n’avais certes pas de copine et ma vie sexuelle n’était pas très animée, mais j’avais quelques potes chez qui je squattais régulièrement. C’est ainsi chez mon ami Nico que je passais la majeure partie de mon temps. Avec notre groupe de potes, c’est chez lui que nous passions le plus clair de nos soirées. Nico est fils unique et il ne vivait qu’avec sa mère, Adeline. Son père était mort quand il était plus jeune.
Sa mère n’avait plus rencontré personne depuis et se concentrait uniquement sur l’éducation de son fils. Elle était gentille avec nous et nous laissait libres de faire ce que nous voulions.Adeline a 45 ans, mais elle en fait 30. C’est rare de voir des femmes aussi bien conservées. Elle a des petites poignées d’amour, des jambes bien élancées, des seins ni trop gros ni trop petits et des fesses un peu bombées. Elle a les yeux verts et les cheveux bruns. Elle n’a que très peu de rides.De mes souvenirs, elle s’est toujours bien entretenue malgré son inactivité sexuelle. Néanmoins, même si je la trouvais belle, je ne l’ai jamais considérée comme une femme que je pouvais désirer, pour moi, c’était comme une deuxième maman. Je connaissais Nico et sa mère depuis l’âge de 7 ans.
L’année de mes 18 ans, alors que nous venions d’obtenir le bac avec Nico, il me proposa de partir en vacances au bord de la mer avec lui et sa mère. Ils avaient loué un AirBnb pour un mois. J’ai accepté puisque de toute manière mes parents travaillaient et tous mes amis partaient en vacances. En plus nous étions en attente de nos résultats pour nos écoles l’année prochaine. Nico m’avait cependant prévenu qu’il devrait peut-être partir plus tôt, car il avait postulé pour une école à l’étranger et devrait donc partir tout de suite pour faire toutes les formalités administratives, etc.
Ça ne me posait aucun problème, au pire je ne serais pas tout seul, il y avait Adeline et je pourrais profiter du lit de Nico. Il n’y avait en effet que deux chambres et un canapé-lit dans le salon dans le AirBnB.
Nous sommes donc partis tous les trois au bord de la mer. Le début était vraiment très sympa. Avec Nico, on prenait des cours de surf le matin, Adeline nous rejoignait sur la plage l’après-midi et le soir nous allions au bar avec Nico pour faire la fête. Cependant, le troisième jour, Nico reçut un appel de son école et il dut partir. Je me retrouvais donc seul avec Adeline pendant presque un mois.
Le lendemain où Nico est parti, nous avons gardé la même routine, je suis allé au surf puis j’ai rejoint Adeline à la plage. Le soir, en rentrant de la plage et alors qu’il y avait un silence de fatigue dans la voiture, j’ai eu une idée.
— Adeline, ça te dirait que je t’invite au restau ce soir, ça nous ferait une activité et je pourrais te remercier de m’avoir invité dans ce AirBnB.— Eu... Oh ! Oui si tu as envie, mais tu sais tu n’es pas obligé, c’est un plaisir pour moi de t’avoir invité.— Si ça te gêne, tu peux refuser, tu as l’air embarrassée...— Non non... Ce n’est pas ça, c’est juste que je ne suis plus allée au restau avec un homme depuis le père de Nico, mais c’est vrai que ça serait sympa. Je te laisse trouver le restau.— Pas de soucis !

Ce petit échange m’avait surpris, elle semblait à la fois flattée et gênée, elle avait les joues toutes rouges, on aurait dit une collégienne qui découvre ses premières relations amoureuses.J’étais aussi gêné de la situation pour être honnête, j’avais l’impression que cette invitation était devenue un rencard. Dans la voiture, je réserve un restau que j’avais remarqué un jour avant avec Nico et qui avait l’air sympa.
En rentrant au AirBnB, nous avons tous les deux pris une douche et nous nous sommes préparés chacun de notre côté. Je me suis taillé ma barbe et je me suis habillé puis je l’ai attendue dans le salon pour partir. Quand elle est sortie de sa chambre, je suis resté bouche bée devant sa beauté. Elle portait une petite robe blanche qui s’arrêtait en haut de ses genoux et avec un décolleté plongeant. Son maquillage mettait en valeur ses yeux verts et ses cheveux étaient lisses et détachés. Elle a remarqué mon regard et a rougi.
— Je suppose que ma tenue te plaît.— Désolé... je ne voulais pas t’embarrasser, mais tu es vraiment magnifique.— T’inquiète pas, ça me fait plutôt plaisir qu’un jeune homme comme toi me dise ça.— Oh ! Tu sais, une femme peut être belle à n’importe quel âge.— Merci Ivan.

Après cet échange, nous sommes allés dans la voiture pour aller au restau. Je ne pouvais pas m’empêcher de la regarder pendant qu’elle conduisait et j’ai remarqué qu’elle ne portait pas de soutif. Je pense qu’elle m’a remarqué puisqu’elle m’a souri. Arrivés au restaurant, nous avons pris des cocktails, ce qui avait l’avantage de nous détendre un peu. Un peu plus détendu, je m’essayais à engager la conversation.
— Adeline, je peux te poser une question un peu personnelle ?— Oui, qu’est qu’il y a ?— Depuis que le père de Nico est mort, vous n’avez jamais rencontré quelqu’un ? Vous êtes pourtant une très belle femme et vous ne devez pas manquer de propositions...— Mmm... Pendant longtemps, je me suis refusé de rencontrer quelqu’un pour ne pas trop perturber Nico, il souffrait déjà du manque de son père. Puis au fur et à mesure, je n’y pensais plus et je refusais par automatisme. Et puis aujourd’hui je n’ai que très rarement des propositions... Et toi tu n’as pas de copine, un si beau jeune homme comme toi ?— J’avoue être un peu timide, je ne sais pas vraiment comment aborder les filles...— T’inquiète pas, avec l’âge, tu vas prendre confiance en toi.

Le repas a continué et au fil des discussions, je la trouvais de plus en plus belle. Je lui souriais et elle me souriait. Il y avait une alchimie entre nous et il y avait de plus en plus de désir dans nos yeux. J’avais du mal à cacher mon érection dans mon short à certains moments.Une fois le dîner terminé, nous nous sommes levés pour payer l’addition. Pendant que je payais, un homme l’abordait et a commencé à discuter avec elle. Bizarrement ou pas, j’ai ressenti une extrême jalousie et instinctivement après avoir payé, j’ai mis mon bras autour de sa taille comme si nous étions ensemble. Le monsieur est alors parti et nous avons marché jusqu’à la voiture.
— Ivan, tu n’étais pas obligé de faire ça, j’étais sur le point de le renvoyer bouler. La soirée, c’est avec toi que je veux la passer...

Je pense qu’elle était surprise par ce qu’elle venait de dire, car elle n’osait pas vraiment me regarder en face.
— Oh, c’est aussi que j’en avais envie.

Une fois rentrés au AirBnB, nous nous sommes posés sur le canapé pour un dernier verre. Une fois assis, nous ne pouvions pas nous lâcher du regard. Elle a fini par briser le silence.
— Ivan... Tu me trouves vraiment belle ?— Oui ton regard est hypnotisant et tes lèvres sont...— Elles sont quoi ... ?

J’ai alors approché mes lèvres des siennes et nous avons commencé à nous embrasser de manière très torride. Nos langues s’enroulaient, nos mains se baladaient sur nos corps. Je lui caressais les jambes puis les fesses. Entre nos baisers, elle essayait de dire une phrase.
— Ivan... Je... Nous... ne devrions... pas ... faire ça...— Pourquoi ? Notre attirance a l’air réciproque.

Je n’en revenais pas de mon assurance, mais mon désir était plus fort que tout, c’est la première fois que je ressentais ça.
— Je suis la mère de ton meilleur ami quand même.— Oui, mais pour moi, ce soir, tu es Adeline. La très belle femme que j’ai invitée au restaurant. Remettons ce problème à demain, laisse-toi aller...— Ivan... J’en ai très envie moi aussi, mais...— Laisse-toi aller, je t’en prie, nous sommes deux adultes consentants.— C’est vrai... tu as raison, mais Nico ne doit...

Elle n’eut même pas le temps de finir sa phrase que je repartais à la charge. Nous nous sommes embrassés et j’ai eu l’impression que le temps s’arrêtait tellement nous ne pouvions pas nous lâcher. Au bout d’un long moment, elle s’est levée et m’a pris par la main pour m’amener dans sa chambre.
Une fois dans la chambre, nous avons repris nos caresses. Elle m’a plaqué contre la porte tout en m’embrassant. Son désir prenait le pas. Je l’embrassais dans le cou et elle gémissait. Tout à coup, elle m’a repoussé légèrement et s’est agenouillée devant moi. Elle a défait ma ceinture et a baissé mon short et mon caleçon. Elle a commencé à me branler tout en crachant sur mon gland pour l’humidifier. J’étais aux anges.
— Oh ! Adeline, c’est trop bon, je n’ai jamais ressenti ça...— Ce n’est que le début. Regarde-moi mon chéri.

J’ai baissé mon regard et j’ai remarqué que sa robe était remontée au-dessus de son string en dentelle blanc. Puis mon regard est allé se poser sur ses yeux qui me fixaient. Son regard était torride et sensuel. Elle a alors ouvert la bouche et tout en continuant à me branler, elle a tiré la langue et a posé mon gland dessus. Avec son autre main, elle a commencé à malaxer mes testicules avec douceur. J’ai alors compris que cette femme avait vraiment de l’expérience.Au fur et à mesure, la main qui malaxait mes testicules a commencé à descendre vers mon anus.
— Surtout, fais-moi confiance. Tu vas vraiment kiffer.

Je pense qu’elle a dû me voir surpris par cette main qui massait mon petit trou et a voulu me rassurer. Elle a alors arrêté de me branler, elle a craché dans sa main puis a avalé ma bite. Avec sa main pleine de salive, elle a repris le massage de mon petit trou puis m’a enfoncé un doigt délicatement. J’étais au septième ciel et si jusqu’à présent, j’avais réussi à me retenir d’éjaculer, là maintenant je ne pouvais plus me retenir.
— Adeline, je ne vais pas pouvoir me retenir plus longtemps, je vais jouir !

Elle a retiré ma bite de sa bouche tout en prenant le temps de lécher le liquide pré-séminal qui était en abondance sur mon gland.
— Mon chéri, nous avons toute la nuit devant nous alors te retiens surtout pas !
Elle a repris ma bite en bouche. De l’autre côté, son doigt a commencé à me caresser la prostate. A peine dix secondes après qu’elle ait reprise ma bite en bouche, j’ai lâché une énorme quantité de sperme. Elle n’a pas pu tout prendre et une ou deux giclées ont atterri sur son visage. Elle a avalé tout ce qu’il y avait dans sa bouche puis a essuyé le sperme avec son doigt et l’a portée à sa bouche.
Elle s’est ensuite levée et m’a roulé une grosse pelle. J’ai senti le goût du sperme qui avait dans sa bouche et même si ça m’a fait plutôt bizarre, je ne pouvais pas m’empêcher de l’embrasser. Après m’avoir embrassé, elle s’est reculée et a enlevé sa robe qui est tombée à ses pieds. Sa peau n’était pas celle d’une jeune femme, mais bien celle d’une vraie femme. Elle n’avait pourtant aucune imperfection et ses seins ne tombaient pas. Mon regard s’est ensuite porté sur son entrejambe et sur son string en dentelle qui était tout mouillé. Je pouvais alors entrevoir ses lèvres. Devant cette femme magnifique, mon pénis s’est tout de suite relevé et je pus la voir sourire de fierté.
Je me suis donc approché d’elle tout en enlevant mon t-shirt, le seul vêtement que je portais encore. Je l’ai embrassée tout en lui agrippant les fesses. Je lui ai ensuite enlevé son string et nous sommes allongés dans le lit.
— Ivan, je veux sentir ta bite au fond de moi ! Ma chatte ne peut plus attendre...— Je n’ai pas de capote...— Ce n’est pas grave, je préfère comme ça...
Je l’ai donc mise sur le dos et elle a relevé les jambes. Ses cuisses étaient trempées et sa chatte dégoulinait. Voyant dans quel état elle était, j’ai posé mon pénis sur son vagin puis je l’ai coulissé de bas en haut sans jamais le rentrer dans son intérieur. A chaque passage, ses lèvres s’ouvraient et se refermaient le long de ma bite.
— Haaan... Ivan... Haann... Je t’en supplie... Baise-moi !! Rentre en moi !!

Voulant abréger son supplice et le mien par la même occasion, j’ai positionné mon pénis à l’entrée de son vagin et je l’ai rentré doucement. Son vagin était brûlant. Une fois bien au fond j’ai commencé à faire des va-et-vient. Elle a tout de suite commencé à gémir assez fort.
— HAAN ! HAAN ! Oh OUI ! Ivan ! Ta bite est trop bonne !— Oh c’est toi qui es bonne, Adeline !!!— Continue ! Ne t’arrête surtout pas ! Accélère !

J’ai donc accéléré mes mouvements. Nous étions tous les deux en sueur, mais on ne voulait surtout pas ralentir. Nos regards nous montraient à quels points nous prenions du plaisir, j’avais l’impression que nos corps fusionnaient.Je sentais que chaque mouvement dans son vagin me rapprochait de la jouissance jusqu’au point de non-retour. Voyant que je n’aurais pas le temps de la prévenir, j’ai voulu sortir et jouir sur son ventre. Elle l’a cependant remarqué et a attrapé mon bassin pour m’en empêcher et que je reste en elle.
— IVAN ! HAAAAN ! HAAAN ! Ne t’arrête pas ! Je veux que tu jouisses en moi !
J’ai donc accéléré pour jouir une dernière fois et j’ai senti les jambes d’Adeline se crisper, elle était en train de jouir. J’ai tout de suite lâché des giclées au fond de son vagin. Je me suis ensuite écrasé à côté d’elle et elle m’a attrapé dans ses bras pour m’embrasser. Nous sommes restés là un moment à nous regarder passionnément et à nous faire des petits câlins jusqu’à ce que nous nous endormions sans nous lâcher.
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