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Adeline petite soeur

Chapitre 3

UN CHIFFRE SENSUEL

Inceste
Cela faisait maintenant deux mois qu’Adeline et moi vivions notre idylle en secret. Ni notre mère, ni nos amis, ni même nos voisins ne décelaient la plus petite faille dans ce jeu d’amour entre frère et sœur. Ne pouvant éternellement se ranger derrière sa rupture, Adeline ne pouvait prétexter de dormir avec moi chaque soir. C’était pourtant une véritable torture que de nous savoir l’un et l’autre distants d’un étage et de ne pouvoir se retrouver librement. Mais nous savions que rien ne serait simple et nous l’acceptions sans trop de mal. Cela dit, au-delà de notre amour, le besoin de sexe prenait de plus en plus d’importance entre nous. Sans être une nymphomane ou moi un obsédé, il y avait ce besoin perpétuel et quasi quotidien de nous retrouver et d’assouvir (c’est bien là le mot) nos envies réciproques.
Cette semaine-là, alors que nous n’avions pas pu faire quoi que ce soit faute d’emploi du temps chargé, nous nous retrouvâmes seuls le samedi soir, notre mère ayant une soirée festive au boulot (ce qui arrivait rarement). Je mis un film sans grand intérêt et pas des plus captivants.
— Je m’ennuie, ce film est nul, me dit Adeline— Il est encore tôt, tu veux que j’en mette un autre ?
Je fis alors défiler les dossiers de mon disque dur et Adeline m’arrêta le plus naturellement du monde sur celui des films un peu osés dirons-nous. D’abord surpris par sa requête, il était évident que ce n’est pas l’ennui qui plombait l’ambiance de cette soirée mais bien le manque de sexe. Je lançais donc une vidéo relativement soft. Nous en avions déjà vues tous les deux bien sûr, mais jamais ensemble. Pas spécialement accroché par le film, c’est plus le fait de voir ma sœur se tortiller sur place qui m’excitait. La scène qui passait était c’est vrai, torride, représentant un couple dans un soixante-neuf endiablé. Sans le jalouser, j’aurais aimé être à sa place tant la gâterie à laquelle il avait droit devait être divinement bonne. Si je connaissais ce plaisir avec certaines de mes ex, c’est une chose qui était étrangement absente de nos rapports avec Adeline. Ni elle ni moi n’avions jamais abordé le sujet ou même tenté une approche à ce niveau. (Comme d’autres d’ailleurs...)Elle croisait et décroisait les jambes plus que de raison et je l’entendis soupirer fortement d’un coup.
— C’était bon, lui demandais-je innocemment ?— De quoi ?— Allez à d’autres, tu gigotes depuis tout à l’heure, tu viens de jouir je me trompe ?— Oui, c’est vrai, acquiesça-t-elle un peu honteuse.— Qu’est-ce qui t’excite autant ? Pourquoi ne pas m’avoir sauté dessus comme tu aimes le faire ?— Je sais que tu n’aimes pas qu’on réponde à une question par une autre, mais pourquoi on n’a jamais fait ça nous ? — A franchement parler, je n’osais pas te le proposer par peur de te vexer ou de te frustrer, tout simplement. — Bon, c’est vrai que je n’ai jamais fait ça, mais avec toi ce n’est pas pareil, j’ai envie.— Et de quoi exactement ? — Les deux, s’exclama-t-elle aussitôt.
Ne souhaitant alors pas attendre plus longtemps et continuer de me contenir, je m’approchais d’elle et commençai à effeuiller ma petite fleur doucement. Une fois mise à nue, je l’allongeais. L’embrassant dans un premier temps, je descendis lentement vers son triangle d’amour, passant sur ses seins gonflés à souhait, et dont les tétons se dressèrent aussitôt. Plus je m’approchais de sa petite grotte, plus son souffle s’accélérait, elle finit même par gémir doucement alors que je n’avais encore rien fait. Ne souhaitant pas être direct, bien que son appel fût plus que clair, je déposais d’abord un simple baiser sur son petit bouton. Je la vis se contracter et son buste se redresser, ses mains attrapant les bords du canapé. Je continuais mes doux baisers tout le long de sa fente et constatais avec plaisir qu’elle était déjà trempée. Posant mes mains sur ses cuisses, je lui écartais les jambes pour ouvrir sa fleur délicate et avec le bout de ma langue, entamais un va-et-vient de haut en bas sur cette fente palpitante, sur ce territoire fragile et encore vierge de toute caresse linguale. Je saisis alors ses hanches, et poussais ma langue un peu plus loin dans cet antre délicieux, me régalant déjà du nectar qui en sortait, savourant la douceur un tantinet sucrée de ce fruit interdit. Adeline posa ses mains sur ma tête, je posais les miennes sur sa poitrine et lui offris alors le premier cunnilingus de sa vie. Les gémissements devinrent des petits éclats de voix, et les petits éclats des cris de plus en plus forts.
Pinçant délicatement ses tétons, j’accentuais mes coups de langue sur sa fente, alternant avec une succion prononcée de son petit clito sorti à mon appel buccal. En à peine quelques minutes, elle atteignit un orgasme fulgurant et j’eus droit à ce dont j’avais rêvé lors de notre seconde soirée quand elle lâcha un flot non contenu de cyprine sur mon visage, le tout en poussant un cri puissant à la hauteur de ce qu’elle ressentait en cet instant. Terrassée par cet orgasme nouveau, elle se relâcha complètement au point que je crus un instant qu’elle avait perdu connaissance. M’en inquiétant tout de même, étant donné la nouveauté de mon acte, je me rapprochais de son doux visage pour finalement ne constater qu’elle était simplement montée au septième ciel. Elle me fixait tendrement et me dit le plus naturellement du monde : « Je n’avais jamais ressenti ça, je n’ai même pas les mots pour décrire les sensations.
— Inutile de te demander si ça t’a plu donc. Je peux te dire que de mon côté j’ai adoré faire ça, tu as un goût délicieux.— Et tu sais y faire en plus, même si je ne peux comparer avec un autre. J’ai failli m’évanouir de plaisir. — C’est une bonne chose, et c’est très excitant en plus, j’aime faire monter le plaisir de cette façon car ça fait monter le mien aussi. Veux-tu que je recommence ?— Pas tout de suite, j’aimerais te demander une chose d’abord.— Je t’écoute.— Est-ce que je peux moi aussi faire ça avec toi ? Je veux dire, te faire..., enfin..., tu vois quoi...?— J’aimerais te dire oui, mais seulement si tu le fais par envie, et pas pour me rendre un plaisir en échange d’un autre. Tu m’as toujours dit que tu refuserais de faire une gâterie, alors ne te sens pas obligée.— Oh rassure-toi, j’en crève d’envie, et puis toi, ce n’est pas pareil. Par contre ne juge pas, tu te doutes que je n’y connais rien. — Fais comme tu le sens dans ce cas, de toute façon, si tes caresses à ce niveau sont aussi délicieuses que tes baisers, je n’ai pas de soucis à me faire, bien au contraire. »
Je me déshabillais à mon tour mais Adeline me demanda de rester debout comme l’homme sur le film qui passait toujours et dont nous avions finalement décroché l’espace de quelques minutes. A défaut d’être expérimentée et guidée, elle prit simplement exemple sur la femme et reproduisit les mêmes gestes, qui même s’ils étaient un peu maladroits au départ, trouvèrent au final avec la langue et la bouche de ma petite sœur un sens particulier et sublime. Elle commença par embrasser mon gland tout en maintenant ma tige tendue dans sa petite main, donna des petits coups de langue sur le méat, le frein, puis se mit à lécher carrément toute ma colonne de chair. Une à une, elle mit mes deux jumelles dans sa bouche, paradis humide et chaud grâce auquel je me mis à frissonner de plaisir. Me décalottant doucement mais entièrement, elle revint face à ce gland turgescent qui n’attendait plus que l’acte ultime. Adeline entrouvrit ses lèvres et je vis ma queue disparaître doucement en leur sein. Elle entama alors un va-et-vient lent, sensuel, passionné dont je n’avais aucune envie de cacher les effets.
Mes râles puissants envahissaient la pièce. Sans comparaison avec une autre femme, je découvrais un plaisir différent, intense et inimaginable. Sans doute était-ce le fait que c’était fait différemment, sans doute le fait que c’était ma petite sœur, mais peu importe, sa bouche était un Eden dont je ne voulais plus sortir. Elle n’avait aucune expérience, aucun précédent et pourtant, elle mettait tout son cœur pour donner à cette caresse la plénitude de son sens. Elle me regarda en gardant mon sexe en main et me demanda timidement : « tu aimes ? »
— C’est juste divin ma puce.— Tu veux que je continue ?— Oui, mais faisons-le ensemble alors. »
Je m’allongeais sur le sol et, dans un soixante-neuf aussi torride qu’il pouvait l’être pour ma sœur et sa première fois, chacun d’entre nous put se régaler de l’autre. J’écartais ses lèvres pour mieux enfoncer ma langue dans sa fente qui était devenue une véritable fontaine, elle engouffrait ma queue au plus profond de sa gorge à la limite de l’étouffement, je suçais son petit bouton jusqu’à le faire se tendre plus qu’il ne pouvait, elle tenait mes deux boules pleines tout en léchant mon gland gonflé prêt à éclater. Si elle ne se retint pas de jouir plusieurs fois et de couvrir mon visage de ce jus intime et si bon, je faillis bien faire de même. Je me retirais d’entre ses lèvres soudainement pour ne pas éjaculer et ne pas gâcher cet instant. Surprise de mon geste, bien qu’il fût plus protecteur qu’échappatoire, Adeline me demanda :
— Qu’est-ce qui se passe ? Je t’ai fait mal ?— Non, non, rassure-toi, c’est juste que je ne veux pas finir de cette façon.— Et pourquoi ? Tu n’en as pas envie ?— Si bien sûr, mais tu ne connais pas ça et je ne voudrais pas que ça te dégoûte de recommencer.— C’est gentil, mais je veux aller au bout grand frère, laisse-toi faire et ne te retiens pas.
Elle replongea sa tête aussitôt vers ma queue toujours aussi tendue et l’emboucha sans attendre, accélérant même le mouvement. Je sentais ma sève monter, et monter encore. Je ne parvins à me retenir que quelques secondes et plongeant ma langue au plus profond de sa fente, laissais faire les choses comme elle le souhaitait. De grands jets fusèrent dans cet antre chaud, Adeline reçut ma semence sans l’once d’une gêne et quand elle commença à avaler, elle jouit à son tour une nouvelle fois sur moi. Quelle ne fut pas ma surprise de voir un vrai geyser sortir de sa jolie grotte. Le simple fait d’avaler mon jus la faisait jouir, ou était-ce simplement le fait de me faire jouir qui lui procurait cette même sensation ? Les acteurs sur le petit écran en avaient fini depuis bien longtemps quand Adeline et moi reprîmes nos esprits dans les bras l’un de l’autre, allongés sur le sol du salon, nus comme des vers, trempés de sueur et de nos effluves intimes. Si notre mère était rentrée en cet instant, je ne sais quelle excuse nous aurions pu trouver. Il s’écoula une bonne dizaine de minutes avant que l’un de nous ne puisse reprendre la parole. Et c’est elle qui commença :
— C’était comment grand frère ? me dit-elle en se remettant sur moi.— Tu as été merveilleuse ma puce, et sans que tu ne le prennes mal, j’ai eu bien du mal à croire que c’était ta première fois.— Je ne le prends pas mal, merci. Vraiment, c’était si bon que ça ?— Oh que oui. Mais toi, qu’en as-tu pensé ? C’est une impression mais il semble que le fait d’avaler t’a fait jouir...— Tu as raison, mais je ne l’explique pas. C’est monté en moi quand je t’ai reçu en bouche, j’ai explosé complètement. Tu es bon si je puis dire.— Tu as un goût délicieux toi aussi, je ne m’en priverai plus maintenant. Et puis tu jouis tellement que ce serait dommage de ne pas en profiter.— On regarde la fin du film et on recommence alors, mais cette fois on ira au lit, ce sera plus confortable.
Revêtant un minimum de vêtements, la durée de ce film nous parut une éternité, et c’est sans doute plus l’envie de reprendre nos ébats qui nous excita que les scènes que nous regardions. Une fois la télé éteinte, Adeline se déshabilla et me lança :
— Je passe devant, ça va te mettre en appétit grand frère.— Ma puce, ma puce, tu vas voir ce que tu vas prendre. Si tu crois que je vais me contenter d’une petite gâterie aussi bonne soit-elle, tu te trompes. Si tu m’allumes, tu vas devoir assurer. Surtout à dandiner tes jolies fesses devant moi.— Oh mince alors, il va falloir encore lubrifier ta lance, ajouta-t-elle en passant sa langue sur ses lèvres.
Je lui pressais alors le pas pour arriver au plus vite dans ma chambre. Mon caleçon tomba rapidement et sans attendre, un autre soixante-neuf reprit entre nous. Mais cette fois, je pris soin de m’arrêter suffisamment tôt pour que nous puissions faire l’amour aussi. Ce n’est qu’au moment d’éjaculer qu’Adeline lança :
— Je veux qu’on finisse comme tout à l’heure grand frère.— Tu sais que tu vas avoir ton propre goût en même temps ?— Oui, mais je m’en moque je veux vraiment que tu jouisses encore dans ma bouche. Allez, ne dis pas non.
Je n’allais bien évidemment pas refuser une telle offre tant la première fois fut des plus divines. Nous reprîmes donc la position initiale et tout en la savourant de nouveau, j’attrapais ses deux seins. Elle reprit d’une façon délicieuse ma queue dans sa bouche gourmande et dégusta à coups de langue le mélange de nos deux jus. Accélérant son mouvement en se contentant de sa bouche, elle fit monter ma sève à une vitesse phénoménale. Ne me retenant pas cette fois je lâchais tout sans hésiter. Elle enfonça ma queue jusqu’à la garde et au moment même où elle avala, son jet fusa sur moi également. Je plongeais ma langue au plus profond de sa fente pour ne rien perdre de ce précieux liquide émanant de ma petite sœur. Elle alla jusqu’à la frotter sur mon visage et s’écroula de plaisir.Nous avons fini par nous endormir tranquillement dans les bras l’un de l’autre comme à l’accoutumée, heureux, amoureux, épuisés et néanmoins repus de plaisir, de ce plaisir qui allait certainement encore connaître d’autres découvertes, d’autres sensations. Jusqu’où cela nous mènerait-il, nous l’ignorions, mais cela avait-il vraiment une grande importance... ?
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