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Adeline petite soeur

Chapitre 6

LES VACANCES EN MEDITERRANEE (partie 2)

Inceste
Le soleil dardait de ses rayons lorsque nos yeux s‘ouvrirent le lendemain matin. Quand Adeline ouvrit ses grands yeux bleus, je la regardais déjà depuis un long moment. J’adorais faire cela, elle était belle, si belle, et malgré tout ce qui pouvait se passer, elle resplendissait d’innocence et de pureté. Je déposai un baiser sur ses lèvres : « Tu as bien dormi ma chérie ? — Oui. Mais il est quelle heure ? — Huit heures et des poussières. Il fait déjà super bon dehors. On va déjeuner ? Le self du camping sert jusqu’à neuf heures. »
Elle se vêtit d’un autre maillot de bain deux-pièces, dans les tons fuchsia. Elle savait bien que c’est celui que je préférais et je m’en délectai forcément. Elle remit son paréo sur ses jolies hanches et nous gagnâmes le self. Les regards n’avaient pas changé depuis la veille, et même si Adeline ne faisait rien pour attiser tant de convoitise, force était de constater qu’elle produisait un effet dévastateur sur la gent masculine présente. Le gérant en personne vint nous saluer et s’enquit de notre première nuit. L’ayant déjà mis mal à l’aise la veille, ma petite sœur en remit une couche : « La nuit de noces est consommée ! » Il se mit à rougir, n’imaginant pas que la réponse à sa question puisse être interprétée autrement, puis il prit congé pour aller saluer d’autres clients.
Tout en mangeant son croissant, Adeline me demanda : « Tu m’emmènes où alors ? — Toujours aussi pressée à ce que je vois. Un peu de patience, tu verras ça cet après-midi. Ce matin on va aller se balader en ville. Il n’y a que quelques minutes de marche, et je t’emmène d’abord faire les boutiques.— Ça va te coûter une fortune ici, je ne veux pas que tu te ruines pour moi. Les vacances, c’est déjà bien tu sais, je n’ai pas besoin de plus.— Ne t’inquiète donc pas, je ne fais rien qui aille au-delà de mes possibilités. — Ai-je le choix, de toute façon ?— Non, en effet. »
Regagnant le bungalow, elle mit un tee-shirt court, si court qu’il finissait à peine au niveau de sa poitrine et laissait une superbe vue sur son ventre. Se parant d’un chapeau et de ses lunettes de soleil, nous prîmes le chemin de la ville comme convenu. Tout en marchant main dans la main, enfin nous savourions chaque mètre parcouru de cette façon. Nous pouvions enfin nous laisser aller au grand jour, sans nous cacher. Et même si ce n’était qu’illusoire, éphémère, cela suffisait à notre bonheur. Adeline craqua sur un joli maillot de bain dont je me demandais si le haut pouvait vraiment cacher ne serait-ce qu’une petite partie de la poitrine. Notre mère aurait certainement crié au scandale, mais pas moi. Elle l’essaya dans une cabine et ce fut une chance d’être dans un magasin, sans quoi les murs de celle-ci auraient tremblé autant que ceux de notre bungalow la veille.
Passant ensuite devant une bijouterie, c’est moi qui m’y arrêtai. Adeline me regarda curieuse et je lui dis tendrement : « Je t’aime, mais sans tomber dans le mélodrame, tu sais que nous ne pourrons pas nous marier, ni même nous fiancer. Alors entre, choisis une bague, une alliance, et à défaut d’être officiel, ce sera au moins le symbole de ma demande et sa concrétisation. Je n’arrive pas à te le dire mieux, je suis désolé.— Je suis d’accord, et dans ce cas, choisissons une paire d’alliances. Je ne veux pas être toute seule à porter un tel bijou. »
Il nous fallut une bonne demi-heure avant de trouver notre bonheur, mais nous finîmes par être d’accord. La vendeuse nous demanda si nous voulions les mettre sous écrin mais je pris la bague et la passai au doigt d’Adeline. Elle m’imita et m’embrassa, les yeux brillants. Oui, cela paraissait invraisemblable, mais toute notre histoire était comme telle, alors il nous fallait mettre un point d’honneur à lui donner un sens, aussi simple soit-il que de porter une alliance.
« C’est un peu grâce à toi que j’ai eu cette idée, ma chérie. Hier, quand tu as dit au gérant qu’on était en voyage de noces, ça a fait tilt. Je sais que je ne t’en ai pas parlé avant, désolé.— Si tu savais à quel point je suis heureuse, tu ne t’excuserais pas. Mais tu n’as plus le droit de me quitter maintenant. »
Elle avait le don de trouver les phrases auxquelles je ne savais rien répondre qu’un simple sourire d’amour. Ou sans doute y avait-il trop à dire pour trouver les mots justes. Nous reprîmes notre balade, bras dessus, bras dessous sans plus parler ; le simple fait d’être ensemble ainsi collés l’un à l’autre valait tous les discours du monde.

Le repas pris, nous fîmes une petite sieste. Adeline me tira de mon sommeil, totalement surexcitée : « Allez debout, c’est l’heure !! »
Quand elle avait une idée en tête, on ne pouvait pas la lui en faire sortir. Je mis les affaires dans un sac à dos et, la prenant par la main, l’emmenai vers la plage.
« Ne dis rien et suis-moi, on va marcher un peu mais inutile de poser des questions, tu comprendras par toi-même ; ne t’inquiète pas, ma chérie. »
Il fallut un petit quart d’heure avant d’atteindre le lieu. Clairement, elle ne suspectait rien et gardait le silence religieusement. Mais une fois sur place, tout s’éclaircit et elle s’écria : « Mais c’est une plage nudiste !— Pas exactement, c’est un peu plus que ça. Tu as remarqué que c’est très à l’écart, non ?— Et pourquoi ? Je ne comprends pas, là. — Ici, on pourra faire ce qu’on veut sans risque de se faire remarquer. Limite, c’est plutôt en ne faisant rien que ça arrivera.— Tu veux dire qu’on peut se faire des câlins ?— C’est ça ! »
Elle courut vers un emplacement un peu plus isolé, même si la plage était relativement peu fréquentée, et posa sa serviette. Me voyant me mettre à nu, elle hésita tout de même à le faire aussi. Il faut dire que j’étais le seul à l’avoir vue sans rien, et même si le lieu s’y prêtait, même si moi je l’étais, il y avait toujours une petite barrière. Je pris alors sur moi pour l’aider à passer outre et détachai le haut de son maillot tout en la fixant dans les yeux. « Laisse-toi faire ma chérie ».
Laissant tomber le fin morceau de tissu, je m’agenouillai devant elle pour faire glisser le bas sur ses jambes. Derrière mes lunettes de soleil, je regardais alentour mais pour constater que personne ne prêtait une réelle attention à ce que nous faisions. J’avais maintenant sa jolie fente en face des yeux et y déposai un baiser avant de me relever et de l’embrasser à son tour. Je ne pus le faire longtemps car je commençais sérieusement à bander et, même si dans ma tête j’avais prévu que nous nous envoyions en l’air, je préférais la mettre totalement à l’aise avant de passer aux actes.
Elle s’assit et se mit de la crème, mais je courus pour ma part dans l’eau. Je n’aime guère la chaleur, et ne voyant que trop peu la mer, il aurait été dommage de ne pas en profiter pleinement. Je la regardai s’allonger les bras le long du corps, une jambe relevée, tel un modèle de magazine. Je fis quelques brasses puis retournai aux côtés de ma splendide égérie. S’était-elle assoupie, ou alors faisait-elle semblant ? Mais quoi qu’il en soit, elle ne réagit pas à ma présence. Loin d’en être frustré, j’admirai sa poitrine luisante et gonflée. Je passai un doigt sur ses fines aréoles ; ses tétons se dressèrent aussitôt, mais elle n’ouvrit pas les yeux pour autant et me laissa continuer. Je fis le tour de ses seins de la même façon puis descendis sur son ventre.
C’est de la main cette fois que j’entrepris de la caresser, ce qui lui fit soulever le bassin. Le bout de mes doigts effleura à peine le haut de sa petite fente. Un soupir s’échappa de ses lèvres avant qu’elle ne les morde. Mon majeur passa le long du doux écrin quand elle écarta les jambes légèrement. Elle ne vit pas que dans l’eau un couple qui s’ébattait sexuellement sans nul doute nous regardait en même temps. Je prenais de plus en plus de plaisir à la faire monter en pression ; je voulais qu’elle craque, et elle résistait tant et plus. Quand mon doigt entra en elle, on eût dit qu’elle venait de recevoir une piqûre. Le soupir d’avant devint un petit gémissement. Nos voyeurs d’un instant s’étaient arrêtés et mataient le plus simplement du monde le moindre de mes gestes, la moindre de ses réactions. Je décidai de l’embrasser pour pousser les choses encore plus loin, et l’effet fut immédiat. Elle me coucha sur le dos, s’allongea sur moi sans même remarquer que nous avions des spectateurs, sans s’inquiéter des autres aux alentours. Elle glissa sa main entre nous, acheva de me raidir en quelques coups de poignet et guida ma queue en cet antre délicieusement accueillant. Elle offrait la vue de son fessier grand ouvert, de ma tige qui s’insérait en elle, et moi, par-dessus son épaule, je vis que l’homme du couple dans l’eau avait mis sa femme en levrette et la baisait de concert avec nous. Si je mettais de la douceur dans mes gestes, lui pour sa part devait la pilonner sans commune mesure. Je me suis même demandé s‘il ne la sodomisait pas tout simplement.
Quoi qu’il en fût, Adeline se retira brusquement de sur moi et me lança : « Tu vas attendre un peu, je vais me baigner, mais tu dois rester comme ça ! » et elle me planta là, la queue dressée pleine de sa mouille. Je la regardai entrer dans l’eau, croiser sans ciller le couple qui se tapit dans l’eau comme pris sur le fait d’une bêtise. A mesure qu’elle avançait, je voyais son corps disparaître peu à peu, sa croupe de feu être engloutie par les flots méditerranéens. Le couple revint sur la plage, et l’homme me dit en passant : « Très belle femme. » Et la sienne d’ajouter : « Et très belle queue... » Il faut dire que je n’avais pas débandé, et étant fixé sur ma sirène, il n’aurait pu en être autrement.
Elle sortait de temps à autre sa belle poitrine en me narguant, mais je ne bougeais pas. Et soudain, elle me fit signe d’un doigt afin que je la rejoigne, ce que je fis en toute hâte, la queue toujours dressée. Il ne se dit aucun mot, aucune suggestion, mais l’évidence même apparut dès que nos corps furent en contact. L’excitation couplée avec l’impatience fit que nous recommençâmes ce qui s’était passé la veille, à la différence que nous pouvions nous lâcher pleinement et profiter de cet instant particulier. J’avais vue sur la plage, et le couple qui nous avait observés faisait maintenant de même ; nous avions juste interverti nos places de départ. Adeline me demanda de retourner sur le sable. Sans que je quitte l’intérieur doux et chaud de sa petite chatte, je la portai donc jusqu’à notre serviette. Je m’allongeai sur le dos et, assise sur moi, elle continua de s’empaler littéralement. La barrière était brisée, elle était libre, nous étions libres, et c’était non seulement un plaisir de le dire, mais aussi de le vivre.
Je posai mes mains sur sa poitrine ; elle mit les siennes dans ses cheveux, se lâchant totalement. Plus rien n’existait autour de nous : le monde entier pouvait nous voir, cela n’avait pas d’importance. Nous n’étions pas en train de baiser ; non, nous faisions l’amour tout simplement. J’eus même cette sensation ressentie lors de notre première fois ensemble. Je couchai alors ma bien-aimée sur le dos et, quand elle ouvrit les yeux pour me regarder, je ne pus constater que l’évidence même de mon ressenti.
Comme souvent, notre orgasme arriva de concert, et dans un soupir commun nous nous écroulâmes. Quelques minutes après, le couple avec qui nous avions « partagé » la plaisance d’un moment chaud s’approcha de nous, toujours dans le plus simple appareil. « Nous ne voulons pas vous déranger, nous dit la femme, mais nous tenions à vous dire que vous nous avez rappelé des souvenirs rien qu’en vous voyant. Vous êtes très amoureux, ça se voit, et nous tenions à vous le dire sans arrière-pensées. » Nous les avons remerciés et ils sont repartis. Je suis resté pantois, ne sachant vraiment trop quoi en penser. Adeline était dubitative mais me sourit avec le regard empli de cet amour dont on venait de nous gratifier avec beaucoup d’empathie. Si le paradis avait existé, même juste l’espace d’un simple instant, c’est ici et en ce lieu que nous l’aurions trouvé.
Vers la fin de l’après-midi la plage se vida et nous restâmes seuls. Adeline se colla à moi et me demanda curieusement mais avec un ton légèrement inquiet : « Tu penses vraiment qu’on sera heureux toute notre vie de cette façon ? Je veux dire...— Je sais ce que tu veux dire, mais il est trop tard pour faire marche arrière. Rien ne sera plus pareil, tu le sais bien. Mais nous nous aimons, et je ne retiens que cela. Tu as de regrets ? Sois honnête, je ne t’en voudrai pas.— Pas du tout : je t’aime, je n’ai aucun regret. C’est juste que je pense au fait qu’on va devoir cacher cet amour éternellement, et ça fait un peu mal.— Nous avons juste à cacher notre lien de parenté. Pour le reste du monde, qu’ils soient amis ou inconnus, les gens verront l’amour d’un frère et d’une sœur, et les autres un couple comme il en existe de milliers sur terre. Pourquoi penser à ça maintenant ? Pourquoi aujourd’hui ?— Tu as entendu ce qu’a dit cette femme ? Eh bien ça m’a fait autant plaisir que mal, en fait. — Je comprends, ma chérie ; si c’est trop lourd à supporter, on pourra toujours...— Non, ne dis plus rien, c’est hors de question. Jamais je ne te quitterai, et tu as promis toi aussi, rappelle-toi. »
Je l’embrassai et lui répondis : « Et je ne partirai pas, ma chérie. »
Le doute faisait hélas partie de notre quotidien, et nous passerions encore par des moments pénibles. Mais ce qui fait la fragilité de notre histoire fait aussi la force d’avancer, et être ensemble - même si cela relève plus d’une folie et d’un défi - reste la plus belle chose qui nous soit arrivée. A l’heure où j’écris ces lignes, Adeline au creux de mes bras car nous écrivons toujours ensemble, ne serait-ce que pour ne rien oublier, ou plutôt pour être sûr de laisser un souvenir complet et impérissable, rien n’a changé, comme je le lui avais dit. Nous sommes frère et sœur aux yeux du monde, et pourtant nous portons nos alliances comme un couple normal. Oui, rien n’a changé : je l’aime, elle m’aime. Voilà tout.
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