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Adeline petite soeur

Chapitre 8

Les 25 ans d'Adeline

Inceste
L’anniversaire d’Adeline se profilait sur l’horizon de son existence, et même s’il était défini comme le quart de siècle, rien n’altérait sa beauté ou sa grâce. Il était invraisemblable pour moi de ne pas marquer cet événement comme l’un des plus beaux de sa vie et je mis de longues semaines à préparer une fête comme jamais elle n’en aurait connu. Avec l’aide de quelques amis sûrs, dont je savais qu’ils garderaient le secret jusqu’au jour « J », j’échafaudais un plan d’enfer, mais qui ne laissait rien entrevoir d’autre qu’une petite soirée entre potes. Et si Adeline ne montrait pas son impatience légendaire, je savais bien qu’au fond d’elle bouillonnaient mille et une questions. J’avais mis notre mère dans la confidence également, mais son état de santé s’étant dégradé, elle se contenta de regarder les choses se faire ; et Adeline, inquiétée de cela, déportait son attention de mes préparatifs. Rien n’était plaisant à voir dans ce contraste, d’autant que je savais déjà que ce serait le dernier anniversaire de sa fille que ma mère verrait. Nous ne voulions simplement pas alarmer Adeline. Et tout comme notre histoire d’amour était un secret à garder, la santé de ma mère et son issue inéluctable était un fardeau que je devais porter seul. J’avais heureusement hérité de sa force de caractère, et malgré son état, c’est avec son soutien que je parvins à tout organiser comme je le souhaitais.

Le jour tant attendu arriva, et avec lui, l’explosion de ma petite sœur, plus si petite que ça d’ailleurs et devenue une si belle femme. Elle libéra toute la pression accumulée depuis des semaines, bondissant dans tous les sens, posant deux cents questions à la minute, c’était infernal et en même temps, tellement adorable de la voir avec ce sourire éclatant et cette joie de vivre si intense. Je l’avais un peu frustrée la veille au soir en prétextant une grosse fatigue pour ne rien faire sous la couette. Au vu de la fin de soirée que je lui réservais, il ne pouvait en être autrement d’ailleurs. Elle chercha tout de même jusqu’au dernier moment à obtenir son Saint Graal, mais je tins bon, sachant qu’elle ne m’en tiendrait pas rigueur. Je la laissais se préparer et quand elle parut dans la salle à manger, je restais sans voix. Je revois encore la belle robe noire tombant sur le haut de ses chevilles, les deux bretelles fines déposées sur ses épaules, ce petit décolleté discret, et le gilet blanc qui ornerait le haut de son corps le temps d’un trajet vers une soirée que j’espérais de rêve pour elle. Notre mère versa une larme en la voyant ainsi et lui dit :
« J’ai l’impression de ne pas t’avoir vue grandir, et aujourd’hui tu es une femme magnifique ma puce. »
Elles tombèrent dans les bras l’une de l’autre et ma mère s’adressa alors à moi, serrant toujours ma sœur contre elle :
« Veille bien sur elle mon grand, je compte sur toi. »
Je savais que ces mots signifiaient bien plus que leur sens, allaient bien au-delà d’une simple soirée, ou de quelques mois. Ma mère pensait forcément à cet après funeste qui se profilait. Je lui répondis simplement d’un sourire, mais le message était bien passé. Et nous nous mîmes en route.
« Tu m’emmènes où ? me demanda Adeline.— Je vais essayer de ne pas te décoiffer, mais je dois te bander les yeux. A toi de me faire confiance.— J’aime beaucoup cette idée, OK, va pour la surprise. »
Je la fis descendre de la voiture lentement et, accrochée à mon bras, l’amenais pas à pas vers le lieu des festivités. J’avais loué, avec l’aide de nombreux amis, la salle des fêtes de notre petite ville, et tout le monde avait participé pour amener un petit quelque chose à manger ou à boire. Nous étions une grosse quarantaine, dont les deux meilleurs amis d’Adeline, mon binôme de lycée avec qui je travaillais d’ailleurs, et qui avait toujours eu un faible pour ma sœur. Alors que je lui retirais le bandeau des yeux, la musique de « bon anniversaire » retentit au même moment. Je compris un peu plus ce que le maquillage « waterproof » pouvait avoir d’utile quand Adeline se mit à pleurer à chaudes larmes. Toute l’assemblée chantait en chœur, tapait des mains et la belle du soir était au centre de tout ce monde, réunit juste pour elle. Elle tomba dans les bras de chacun, n’oubliant personne. Elle revint ensuite vers moi et je la pris dans mes bras en lui disant doucement au creux de l’oreille :
« Bon anniversaire ma chérie, je t’aime. »
Elle faillit bien m’embrasser, je tournai la tête juste à temps et rajoutai :
« Pas maintenant, mais ne t’en fais pas, ça viendra. »
La musique fut lancée presque aussitôt et Adeline, posant son gilet entraîna une grande partie de l’assistance avec elle dans une danse endiablée. Si j’étais tombé en pâmoison devant elle avant de partir, je n’en fus pas moins conquis de la voir si belle, si magnifique ce soir-là. Quand j’eus le bonheur de danser un petit slow avec elle, nous restâmes les yeux dans les yeux, sans plus faire attention au monde qui nous entourait. D’aucun aurait sans doute pu déceler notre secret rien qu’en nous voyant ainsi, mais nous n’y pensions pas le moins du monde.
Les lumières s’éteignirent et on amena le gâteau sur lequel trônait le chiffre vingt-cinq forcément, avec le nombre de bougies correspondantes. Même dans la faible lueur de celles-ci, Adeline resplendissait. Dieu que j’aimais cette femme, et je n’imaginais plus un seul instant de ma vie sans elle.
Nous terminâmes cette incroyable soirée tard dans la nuit, nuit qui n’était pourtant pas encore achevée pour nous deux, et principalement pour elle. De retour chez nous, je constatais que notre mère dormait du sommeil du juste, et c’était là une bonne chose aux vues de ce qui allait suivre. Je cachais une nouvelle fois les yeux d’Adeline avant de rentrer dans notre chambre. Toute impatiente, elle joua pourtant le jeu jusqu’au bout. Je verrouillai la porte et lui dis doucement :
« Tu peux ouvrir les yeux, bon anniversaire petite sœur. »
Sur le lit elle trouva deux cadeaux que j’avais préféré attendre de lui offrir. Elle commença par le plus petit. Il contenait un pendentif argenté en forme de cœur qui s’ouvrait. L’initiale de son prénom était gravée dessus, et à l’intérieur j’y avais mis une photo réduite de nous deux, prise lors de nos vacances en Méditerranée. Elle put enfin assouvir son irrésistible envie de m’embrasser, ce que j’attendais moi aussi avec la plus grande impatience. Ce baiser dura bien cinq bonnes minutes puis elle me demanda :
« Je peux ouvrir l’autre cadeau ? — Bien sûr ! »
Son étonnement n’eut d’égal que son ravissement ou son excitation. Je lui avais offert toute une panoplie un peu spéciale.
« Tu te souviens de cette soirée folle au camping, et ça fait des mois que tu m’en réclames une de ce genre. Eh bien voilà, nous y sommes. Mais à partir de maintenant, tu n’as plus le droit de parler, et tu dois te contenter de faire ce que je te dis. Tu es d’accord ? »
Son silence parla pour elle, et elle avait accepté les règles du jeu sans hésitation. A l’aide du petit matériel qu’elle venait de déballer, je lui masquais de nouveau les yeux avec un doux bandeau de soie noire. Je fis ensuite glisser les bretelles de sa robe en accompagnant la descente de ladite robe, mes mains caressant les courbes de son corps qui commençait à frémir. Son soutien-gorge fut ôté de la même façon, et son string acheva de la mettre à nu, totalement livrée à moi. A l’aide de la petite paire de menottes, j’attachais ses poignets ensemble, puis la fis mettre à genoux devant moi. Sans pour autant me déshabiller, je me contentais de sortir cette queue au bord de l’explosion. Mon gland se promena sur son visage, passant sur ses lèvres pour les voir s’entrouvrir. Laissant cette hampe gonflée devant elle, je lui intimais l’ordre de la sucer mais sans y mettre les mains. Docilement, Adeline s’exécuta et emboucha la totalité de la colonne de chair à un rythme calme, prenant soin de sentir chaque centimètre carré sur ses papilles en pleine effusion. De sa langue habile et gourmande, elle flattait mon gland, mon frein, le méat d’où une petite goutte de liqueur sortit presque aussitôt. Mais mon plaisir n’était pas tant physique que celui de lui faire vivre une séance d’extase sexuelle, et tout aussi sensuelle. Je l’allongeais donc sur le dos, et rattachais ses poignets au montant du lit. Je la bâillonnais pour étouffer au mieux le plaisir qui allait venir dans les minutes suivantes, puis je pris place entre ses jambes. Ma langue se régala de longs instants en cet antre délicieux qui ruisselait d’un divin nectar. Adeline coulait tant et plus et je sentais les mouvements de son bassin aller au-devant de mes coups de langue. Elle atteignit un premier orgasme et c’est là que les choses sérieuses commencèrent.
J’attrapais deux petites pinces et les plaçais sur ses tétons tendus vers le plafond comme pour appeler à ce que l’on s’occupe enfin d’eux. Elle gémit à peine mais eut un petit sursaut, plus empreint de surprise que de douleur. Il ne manquait plus à ce tableau magnifique que de combler les deux orifices délicats de ma petite sœur. Un premier gode s’insinua dans sa petite étoile, et quand la vibration se mit en route, Adeline se cambra en creusant la courbe si parfaite de ses reins. Sans attendre, un autre gode prit place doucement entre ses lèvres maintenant bien lubrifiées. Sa belle fleur, dont le petit bouton était sorti de sa cachette, s’ouvrit pour accueillir le membre de plastique dans son entièreté. Vibrant lui aussi, cela n’eut comme seule conséquence que d’accentuer la cambrure. Je me reculai et lui dis alors :
« Je t’interdis de serrer les jambes. Ouvre-les en grand, montre-moi à quel point tu aimes que je te regarde ma chérie, fais-moi voir comme ta petite chatte est belle, comme tu es magnifique quand tu jouis. »
Adeline obtempéra sans attendre et m’ouvrit la porte de ses deux grottes maintenant comblées. Elle remuait beaucoup mais maintenait l’écart au maximum de ce qu’elle put. Un jet puissant fusa, elle avait joui enfin, ce qui dut la combler, ou tout du moins la soulager sur l’instant. Les contractions de son utérus firent sortir le gode, mais celui de derrière était toujours fiché en elle, et même sans âme propre, bien décidé à se faire sortir lui aussi sur une belle jouissance. Elle mit un peu plus de temps mais y parvint tout de même. Je vis son corps retomber sur le lit, agité de quelques petits soubresauts de plaisir. Je la laissais souffler un peu et en profitais pour prendre une photo de cette déesse en pleine descente d’orgasme. Adeline entendit le déclic de mon appareil et prit quelques poses lascives, me montrant ce corps splendide sous ses moindres coutures, sous les angles les plus intimes. Elle se mit même sur ses genoux, creusant ses reins pour ouvrir sa fente brillante. Je saisis alors l’occasion et, reprenant ma place entre ses jambes, collais ma verge contre cette même fente avant l’union céleste qu’elles attendaient toutes deux.
Je lui mis le gros gode par derrière. La taille différant quelque peu du précédent ou de celle de ma queue, je pensais qu’Adeline aurait eu plus de mal à le prendre, mais il n’en fut rien. Une fois bien fiché au fond de ce divin séant, je plongeais enfin ma queue dans sa petite chatte toute mouillée et lui offris une double pénétration intense. Tout son corps tremblait, vibrait en mesure avec mes coups de reins. J’attendis qu’elle jouisse encore et me penchais une nouvelle fois sur elle tout en me retirant de sa grotte. Je détachais les liens du bout du lit, dégrafais les menottes pour les lui remettre dans le dos et me déshabillais enfin. Je la fis mettre à genoux une nouvelle fois et lui donnais ma queue dégoulinante de son propre jus à sucer de nouveau. Puis, m’allongeant à mon tour, la fis s’empaler elle-même sur moi, replongeant le gode par derrière.
« Bouge toute seule, et remonte bien haut, je veux te voir te défoncer les orifices. »
Tout en admirant ma sœur se démener pour me satisfaire, j’avais saisi ses seins et en triturais les tétons. J’avais retiré les deux petites pinces en tirant dessus et les avais remplacés par mes doigts. Je compressais les deux globes avec fermeté et délicatesse, ne souhaitant vraiment pas abîmer mes deux jouets favoris. Mais j’avais beau jouer au dominant, il y avait une chose qui nous rendait fous tous les deux quand nous couchions ensemble, et une forme de frustration m’envahit quelques secondes. Je retirais alors son bâillon, la couchais sur moi et l’embrassais à pleine bouche. De ma main droite j’agitais le gode dans son petit cul, qui maintenant totalement dilaté de plaisir, le recevait sans soucis, et de l’autre main, la tenais par les menottes complètement plaquée contre moi. Adeline sortit de son rôle de soumise d’un soir à cet instant :
« Tu me défonces grand frère, c’est super bon, continue. Vas-y à fond mais n’arrête surtout pas. »
Nous y étions, nous étions revenus comme lors de cette soirée au camping où nous avions fait trembler les murs de notre bungalow. Adeline était dans un état second, celui que j’avais cherché et parvenu à lui faire atteindre. Elle s’empalait sur ma queue à un rythme effréné, et je jouais avec le gode entre ses fesses, ne le sortant entièrement que pour mieux le rentrer de la même façon. Elle jouit plusieurs fois telle la fontaine que j’adorais sentir, le jus coulait sur moi, entre nous, sur le matelas, mais c’était si bon, si chaud, tellement elle.
Un double orgasme simultané la foudroya littéralement. Nous changeâmes alors sans tarder une nouvelle fois de position, et comme j’étais au bord de l’explosion, cela me permit de retomber un peu en pression. Je la remettais sur ses genoux, et inversais les pénétrations du gode et de ma queue. J’avais resserré mes jambes et elle était écartée sur moi, ce qui me donnait d’une part un accès total pour lui défoncer sa petite minette, et d’un autre côté, pouvoir m’occuper de sa poitrine. Adeline était aux abois, la tête vers l’arrière contre la mienne, les mains toujours menottés dans le dos et dont les poings se serraient à mesure que son plaisir se décuplait. Le dos contre moi, nous étions presque soudés l’un à l’autre, une fusion charnelle, torride. En passant ma main sur sa poitrine, je sentis les battements accélérés de son cœur, les palpitations intenses de tout son être. Si Adeline était dans un état second, bien au-delà d’un simple septième ciel, j’avais moi aussi perdu pieds. Je lâchais le gode, lui retirais les menottes et la serrais contre moi, je voulais en cet instant fondre son corps dans le mien. Elle posa ses mains sur moi, tourna la tête et chercha un baiser que je m’empressais de lui donner. C’est d’ailleurs en s’embrassant que nos orgasmes arrivèrent. Je m’étais tellement retenu, l’excitation était telle que je déversais mon flot intime en elle à grands jets. Puis je me reculais aussitôt. Adeline comprit ce qui lui restait à faire et prit ma verge entre ses lèvres. Elle me gratifia de quelques secondes magiques avec une petite fellation tendre et chaude.
Allongés dans les bras l’un de l’autre, nous restâmes quelques minutes dans le silence qui maintenant avait pris possession de la chambre. Une nouvelle étape avait été franchie, une expérience de plus dans notre vie et surtout, dans un tel jour, un petit cadeau spécial qui avait ravi à n’en point douter la ravissante femme qui était à mes côtés en cet instant.
« Merci mon chéri, j’ai vraiment passé un superbe anniversaire.— Mais de rien, tu comprends mieux pourquoi j’ai gardé le secret. — Ce qui m’a le plus surprise c’est ce qui vient de se passer. Je pensais que tu avais oublié depuis tout ce temps.— Disons que je l’ai laissé passer exprès pour que tu ne t’y attendes vraiment plus. Je crois que j’ai mis dans le mille. Tu vas comment d’ailleurs ? — Je suis aux anges, j’en tremble encore. Quand est-ce que tu arriveras à ne pas me surprendre ?— Je préfère ne pas le savoir, ni même me poser la question. Allez, maintenant dormons un peu. Encore un bon anniversaire ma chérie, je t’aime. »
Adeline, épuisée par tout ce qui avait pu se passer s’endormit presque dans la seconde où elle ferma ses yeux d’ange, et c’est en la regardant s’endormir que je la suivis à mon tour.
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