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Adeline petite soeur

Chapitre 10

LA SAINT VALENTIN

Inceste
Quelques mois étaient passés et avec eux continuait la vie, notre autre vie dans ce nouvel ailleurs. La douleur s’effaçait peu à peu, seuls les bons souvenirs subsistaient.
Au cœur de l’hiver arriva pourtant, comme chaque année à la même date, cette fête si romantique qu’est la Saint Valentin. C’était notre première, seuls, et Adeline comme à son habitude ne cachait rien de son enthousiasme ou de son impatience à y être. J’ai eu beau toujours penser que cette fête était doublée d’un sens commercial plus qu’autre chose, je ne pouvais néanmoins pas occulter le désir de la femme qui était mienne. Le 14 donc, je l’emmenais dans le petit restaurant où nous avions mangé la toute première fois lors de notre arrivée dans cette ville. Adeline avait revêtu la belle robe de ses vingt-cinq ans, robe qui avait été en son temps le déclencheur d’une nuit de folie. Il n’en fut pourtant rien cette fois, enfin pas dans le sens où mes pensées se perdirent.
Nous rentrâmes rapidement à la demande de ma dulcinée, et je ne comprenais pas cet empressement à terminer la soirée aussi rapidement, à délaisser d’autres moments romantiques. Mais après tout, pour une fois qu’elle prenait les rênes de la situation, je préférais la laisser faire. A peine la porte d’entrée franchie et verrouillée, Adeline me dit : « Je vais te bander les yeux et à partir de maintenant, tu n’as plus le droit de parler, tu dois juste te laisser faire, OK ?— D’accord ma chérie, fais comme tu veux. »
Elle me mit alors un de ses foulards sur les yeux et me fit asseoir sur une chaise au milieu de notre salon. La surprise vint du fait qu’elle m’attacha les mains dans le dos avant de me laisser seul quelques instants dans le silence de la pièce. Quand elle revint, elle me retira le bandeau. Elle avait tamisé la lumière du salon et fait de la place juste devant moi. Elle mit un fond de musique et lança l’une des chansons les plus torrides et connues qui soit (je suppose que tout le monde connaît 9 semaines ½...). Adeline entama alors une danse érotique et sensuelle à souhait, chaude et franchement des plus bandantes. A mesure qu’elle s’effeuillait, mon pantalon avait bien du mal à contenir une érection à la limite de l’explosion. En sous-vêtements, elle tournait autour de moi, passant ses deux seins sur mon visage. Je pouvais sentir ses deux tétons dressés à travers la fine étoffe de son soutien-gorge. Elle remuait lascivement son adorable fessier séparé par la mince ficelle de son string sur mon sexe prisonnier. Elle s’asseyait parfois sur mes genoux, déposait un doux baiser sur mes lèvres et reprenait sa danse. Une fois ses deux globes libérés, elle se mit de dos et fit glisser son string avec une provocation sans pareille. Ma chère et tendre petite sœur semblait vraiment prendre beaucoup de plaisir à me provoquer de la sorte, autant que de faire ce strip-tease d’enfer. Pas besoin pour moi de lunettes pour voir à quel point ce petit bout de tissu était humide de plaisir également. Une fois nue, elle s’assit alors face et sur moi, puis m’embrassa à pleine bouche. Tout en se faisant, elle déboutonna mon pantalon et le baissa avec mon boxer. Mon sexe jaillit enfin, heureux de cette libération inespérée, et cela ravit sans aucun doute ma belle du soir. Adeline s’empressa de frotter sa petite fente sur ma queue tendue, mais sans en faire davantage, histoire de faire monter encore et encore ce plaisir frustrant qu’était le mien.
Elle se l’enfonça tout de même, fit quelques petits allers-retours, puis se mit à genoux devant moi et entama une de ces divines fellations d’enfer dont elle seule avait le secret. Sous l’excitation, je faillis bien ne pas savoir me retenir, et fort heureusement, elle ralentissait les mouvements de sa bouche pour pouvoir profiter pleinement de ce qu’elle avait prévu. Tout en me suçant, elle déboutonna ma chemise et me caressa le torse avec ses petites mains. Je regardais sa tête bouger sur ma queue qui se régalait de cet antre délicieux qu’était sa bouche.
Adeline se leva, passa une jambe pour la poser sur mon épaule et m’offrit sa petite fente ruisselante à lécher. Je n’eus qu’à avancer de quelques centimètres pour laisser ma langue se mettre à l’ouvrage et m’abreuver de ce jus que j’adorais tant, de cette saveur incomparable qu’était celle de mon aimée. Elle appuya sur ma tête pour m’obliger à aller encore plus loin, ma langue ne cessait de parcourir chaque recoin intime de sa fente qui n’arrêtait plus de couler. Un orgasme fulgurant arriva et un jet puissant m’éclaboussa le visage. Sans perdre une minute, que dis-je, une seconde, elle s’empala aussitôt sur moi et dirigea elle-même la cadence et la profondeur de la pénétration. Elle était mon amazone, j’étais son pur-sang, elle tenait les rênes et je la menais où elle voulait. Était-elle surexcitée à ce point qu’un second violent orgasme m’a pris à peine quelques courtes minutes après. Elle se colla à moi, et à cet instant, sentir sa poitrine contre mon torse fut une sensation des plus douces. Nous nous embrassâmes de nouveau un long moment tandis qu’Adeline continuait de bouger sur ma tige toujours aussi tendue et gonflée. Je ne fus pas surpris qu’un autre orgasme arriva rapidement. Sans pour autant parler, je lui fis comprendre du regard qu’avec de tels agissements de sa part, aussi tendres soient-ils, et même avec la meilleure volonté du monde, je ne parviendrais pas à tenir bien longtemps. A force de vivre ensemble, les liens qui nous unissaient avaient eu comme effet qu’on se comprenne d’un seul regard et, toujours tremblante de son dernier soubresaut érotico-sexuel, elle reprit ses mouvements sur moi, me serrant tant et plus de ses bras, m’embrassant à s’en décrocher a mâchoire et collant son corps enfiévré tout contre moi.
Le volcan en moi explosa enfin, libérant toute cette liqueur chaude et suave au creux douillet de la petite grotte d’Adeline. Elle ne cessa ses mouvements que lorsque ma raideur ne se fit plus sentir en elle. Mais alors que je pensais les choses s’achever de cette façon extraordinaire, elle me surprit de plus belle. Le vice n’avait jamais franchement été l’une de ses facettes sexuelles, mais là, lorsque je le vis s’allonger sur le sol face à moi, plonger deux doigts profondément en elle, récupérer ma semence et la porter à sa bouche pour s’en délecter, je ne puis que rester en admiration béate devant un tel spectacle. Elle se caressa ensuite seule, toujours positionnée de la même façon, me laissant admirer cette fente divine, ses doigts écarter les lèvres et triturer son petit bouton d’amour raidi lui aussi, et je ne ratais rien de cette féerie qu’elle offrait à mon regard amoureux et excité.
Et puis je vis son corps se raidir à son tour, se cambrer avant qu’elle ne lâche une dernière fois cet effluve orgasmique intense et puissant. Ce fut tellement puissant d’ailleurs que le jet fusa jusqu’à moi, même si j’étais à bonne distance d’elle. Adeline avait déjà eu d’autres orgasmes, mais je n’avais pas souvenir que celui-ci fut comparable à d’autres avant lui. Elle reprit ses esprits tout doucement, me détacha ensuite et se rassit sur moi, terrassée par tous ces orgasmes, tout ce plaisir ressenti. M’embrassant une dernière fois, elle termina simplement par : « joyeuse Saint Valentin ».
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