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Adieu l'amour

Chapitre 3

Hétéro
Cinq jours ont passé depuis la soirée et mon cerveau qui gambergeait plutôt vers mon ex depuis notre rupture s’est mis à carburer sévère depuis que j’ai appris qui était la fille du concert. Sur le coup, avec les montagnes russes émotionnelles que je vivais, ma libido était en retrait, mais depuis que j’ai complètement dessaoulé, ma bite a pris le contrôle et j’ai vraiment envie de remettre ça avec elle.
Ce mardi soir, c’est Gaspard qui est chez moi, les pieds plongés dans des seaux de glace, nous devons absolument préparer notre site, car le mois de juillet est crucial pour nous. Une célèbre série américaine est diffusée tous les dimanches soir et nous attendons plus d’un million de visites pour télécharger ou voir les épisodes. Selon Gaspard, c’est encore mieux que Noël pour gagner de l’argent, alors même si je n’y porte pas un grand intérêt, je fais tout pour que ça marche. Le samedi, Quentin est parti en vacances avec sa mère, emmenant Martin avec lui, jugeant que le comportement destructeur de notre ami dernièrement ne lui rendait pas service, nous l’avons balancé dans la voiture pour son bien. Malgré la distance, ils nous envoient des bouts de code afin d’aider le site à tenir le trafic élevé et les attaques.
— Je ne comprends pas pourquoi ils font ça, dit Gaspard en éclatant un moustique attiré par la lumière de son PC.— Qui ça ? Les Russes ? Il hoche la tête vers moi. Bah je sais pas trop, certains le font pour le fun, et puis d’autres sont commandés, mais j’ignore par qui.— Ça pourrait être les gros studios ? — CA pourrait, mais ça fait bientôt 4 ans qu’on est opérationnel et on se fait payer en Bitcoin, personne ne sait qui on est tant qu’on en parle pas, rappelle-toi.
Mon ami se prend la tête entre les mains.
— Si les flics nous trouvent, on est dans la merde.— Techniquement, on fait rien de mal si on reste en France, si on met le pied aux States là par contre, j’ignore ce qui pourrait nous arriver. Ce con vient de me faire stresser, je m’allume une clope pour évacuer la tension.— Je sais bien, mais je trouve ça curieux. Il finit sa bière et range son pc. Bon, on se capte demain ?
On se fait la bise et il quitte la cave où j’ai aménagé tout un espace pour pouvoir être sur mon ordi sans être emmerdé par mon petit frère. Il rêve d’être Youtubeur alors il passe son temps à crier devant son pc quand mon père n’est pas là, selon lui c’est sa marque de fabrique pour que les gens se souviennent de lui. Mon PC commence à surchauffer après toute une journée à taper dessus sous ces températures, mais avant de fermer, je jette un dernier regard à mon post sur le Trombinoscope, auquel personne n’a répondu. Je prends mon second téléphone, un burner, que Gaspard nous a ramené un jour d’un de ses voyages, "au cas ou". A part mes 3 amis, personne n’a ce numéro et je décide de sauter le pas. J’envoie un texto à Tamara.
— Salut. J’aimerais beaucoup récupérer mon chapeau.
Il m’a fallu plus d’une heure pour écrire ce texto, exactement comme dans l’épisode de Bref, j’ai peur des mille interprétations que peuvent avoir mes mots. La seule chose pourtant que j’espère c’est une réponse de sa part, mais une ouverture rendrait les choses diablement intéressantes.

Il est plus de 23h et j’imagine bien la surprise de taille qu’elle a dû avoir en recevant mon message, bien qu’il soit peu probable que je reçoive une réponse tout de suite. Je range mes affaires et j’éteins tout pour aller me poser sur la terrasse dehors pour profiter un peu de la fraîcheur. Une bière dans la main, mon portable dans l’autre et une cigarette à la bouche, j’ouvre ses pages sur ses réseaux sociaux pour en apprendre le plus sur elle. Même si c’est sur un écran, je suis subjugué par sa beauté et son charme me donne des frissons et à force de regarder ses photos, mon short est très largement déformé par l’impression qu’elle me fait. Au vu de nos âges, il est fort probable qu’elle ait eu un blog avant l’arrivée du Trombinoscope et c’est souvent dans ces moments-là qu’on a le plus d’informations sur quelqu’un.
Pour le trouver, la technique est incroyable de simplicité et je suis étonné que personne ne l’utilise plus souvent. Avec les Jumelles, il suffit de connaître la date de naissance de quelqu’un puis le service de blog et hop, le blog est retrouvé. Presque trop facile, c’est également une technique utilisée par les pirates pour connaître les mots de passe de sécurité des gens. En fait le plus compliqué, c’est de trouver la date de naissance, sauf que le gouvernement publie les résultats du Brevet et du Bac en ligne depuis quelques années. Et avec un nom et un prénom, on obtient une date de naissance, qui permet de retrouver absolument tout quand on sait où chercher bien sûr.

Il ne me faut que quelques minutes pour mettre la main sur le blog de Tamara dont la dernière mise à jour date d’il y a 3 ans. Elle y écrit ses émois de jeunesse ainsi que les questions qu’elle se pose sur son corps et sur les garçons. J’aime beaucoup voir au fil des pages la construction de sa personnalité, la rébellion contre ses parents ainsi que l’arrivée de la sagesse. Et enfin, je tombe sur ce que je cherchais, un post où elle décrit l’arrivée dans sa nouvelle maison toute au fond de la forêt des bourges en bord de rivière. Plein de photos de sa chambre sont disponibles et je les enregistre "au cas où". Je vérifie mon autre téléphone, et sans surprise, elle ne m’a pas répondu. Je pars donc me coucher.
Deux jours plus tard, je suis réveillé par la chaleur et déjà collant de sueur. Il est midi, je ne suis pas du tout matinale et j’attrape mon téléphone pour me tenir au courant de ce qui a pu arriver. Mais nous sommes en été et à part des invitations à des soirées ou à des festivals, il n’y a pas grand-chose en dehors des photos de gens qui sont à la plage ou à l’étranger. J’ouvre aussi mon burner histoire de voir ce que les gars ont pu dire sur la conversation que nous avons, mais rien. En revanche, je vois que j’ai reçu une réponse de Tamara. L’excitation et le stress me réveillent complètement : "Prouve-moi que c’est à toi qu’il appartient". La tournure que prennent les choses devient très intéressante, car elle ne me ferme pas la porte ni ne me traite de tous les noms.
Mais maintenant, je dois trouver une preuve pour voir quelle sera la prochaine étape. Je passe toute la journée la clope au bec, en short, à transpirer comme un veau sous cette foutue chaleur qui ne s’arrêtera donc jamais. Allongé sur un transat à l’ombre de la haie du jardin, le plus clair de mon après-midi les yeux dans le vide, je finis par trouver : "Mais oui bordel de merde c’est ça". Je souris comme si j’avais trouvé la formule de la relativité.
Remonté dans ma chambre, je sors ma bite de mon short et commence à me masturber. Une fois bien dure, j’allume mon téléphone et mets le clip du tube des Enfants fous, le groupe devant lequel on a baisé. Je pose ma bite à côté de mon téléphone et avec mon burner, je prends le tout en photo. Aucun texte d’explication, j’envoie direct à Tamara. Je souris tellement, c’est débile ce que je viens de faire, mais c’est à pile ou face et si ça passe... Cette perspective m’excite énormément et je décide de terminer ma branlette en pensant à elle.
Je passe les jours suivants à travailler sur le site, chez moi ou chez Gaspard, et quand je reviens de chez lui, je fais un détour avec mon vélo vers la maison de Tamara. J’ai beau être patient, je trépigne en attendant sa réponse. La libération interviendra le samedi après-midi.
Des orages étant annoncés pour la soirée, avec Gaspard nous travaillons chacun de notre côté, car c’est demain soir que tout se joue pour nous. Le stress monte petit à petit, car mon ami m’a bien fait comprendre que c’était un résultat à 5 chiffres en revenus sur la soirée auquel on pouvait s’attendre. Lui et Quentin donnaient rarement des chiffres parce que moi et Martin, on avait toujours un peu de mal à se représenter ce que ça pouvait bien vouloir dire pour nous, mais comme ils disaient, "on se met bien".
Les yeux fixés sur mon écran, j’entends l’un de mes portables vibrer, pensant à un énième message parano de Gaspard me prévenant que les Russes allaient profiter du flux de visites demain pour couler notre site, je ne réponds pas. Car ses requêtes fréquentes à ce sujet ont fini par me préoccuper sérieusement, alors j’ai cravaché pour créer une myriade de sites miroir qui distribueront les visiteurs selon la région d’où ils viennent. Un bel appât dont je suis très fier, mais ne sachant pas ce qu’il vaut, je préfère ne pas en parler à mes amis. Ça sera un peu la surprise.
Saoulé par la masse de travail que je me suis infligé, je finis par remonter pour boire une bière. Mon père est parti en week-end avec des potes à lui, alors mon frère en profite pour hurler comme un damné devant son ordinateur. Sympathique. Je m’assis sur la terrasse du jardin alors que j’entends le grondement du tonnerre au loin. Ça me rappelle bêtement qu’un de mes téléphones avait vibré alors je vérifie. Sur insta, je reste quelques instants fasciné par la dernière photo de Tamara au bord de sa piscine en bikini. Elle n’en dévoile pas tant que ça, mais son visage, ses seins, ses hanches, et ce cul mon Dieu, ce cul.
C’est finalement de mon burner que venait l’alerte, et c’est elle qui me répond ! Un message avec une pièce jointe qui se charge très lentement et finalement une photo s’affiche. Ce que j’ai devant les yeux me décroche la mâchoire, mon cœur fait un bond et mon sexe durcit très fort. Tamara a pris une photo d’elle de dos, probablement dans son miroir, cambrée et à genoux sur le sol de sa chambre, complètement nue. Son fantastique cul bronzé s’offre totalement à moi, je ne gamberge pas trop face à l’absence de trace de maillot et donc qu’elle bronze nue, je suis fasciné par tout ce que je vois. Mon regard descend dans sa raie pour admirer son anus tout rose, puis sur son sexe dont les lèvres semblent gorgées de sang et le reflet que je vois à l’orée de son sexe, est-ce de la mouille ?
La main dans le caleçon, j’analyse chaque pixel de son anatomie et mon désir pour elle est décuplé, j’ai envie d’embrasser chaque centimètre carré de ce que je vois, d’y enfoncer ma langue, mes doigts, mon sexe. Il faut que je revoie cette fille bordel. Un peu sorti de mes pensées lubriques, je me détache de son entrejambe pour réaliser que dans le haut de la photo, élégamment posé sur son spectaculaire postérieur, le chapeau de Martin est là ! Et je finis par lire le message qui est on ne peut plus explicite : "viens le chercher".
J’allume une cigarette et j’essaye de reprendre mes esprits alors que le vent commence à se lever. Cette fille connaît deux facettes de moi, le mec gentil qui l’a défendue et pris soin d’elle, et l’inconnu qui l’a baisée durant un concert. Et elle n’est pas au courant que je suis ces deux facettes et j’ignore comment faire, mais j’ai bien envie de profiter un peu. Je suis arraché à mes pensées par un coup de tonnerre très fort qui retentit tout à coup. Je me précipite à l’intérieur et je fonce débrancher tous les appareils électriques. J’essaye de convaincre mon petit frère de faire de même pendant plus de 10 minutes lorsque toutes les lumières s’éteignent d’un coup. Ce petit connard m’accuse d’avoir fait exprès, mais en actionnant l’interrupteur de sa chambre, je lui montre que je n’y suis pour rien. On descend dans le salon pour regarder les éclairs qui s’abattent dans les champs au fond du jardin. Le vent et des grêlons énormes tabassent la terrasse et le potager de mon père.
Les éléments s’intensifient, le vent souffle de plus en plus fort et la pluie nous cache la vue, on ne voit pas à plus de 2 mètres. La baie vitrée se met à vibrer et nous nous reculons alors que les coups de tonnerre retentissent de plus en plus fort. Le phénomène finit par s’arrêter et nous découvrons notre jardin dévasté, la chaise sur laquelle j’étais assis il y a un quart d’heure n’est plus là, tout comme les chaises et la table de jardin, en revanche le trampoline des voisins est retourné en plein milieu de notre pelouse. J’essaye de rassurer mon petit frère et appelle mon père pour lui faire le compte rendu des dégâts. En marchant dans l’herbe détrempée du jardin, je constate qu’il fait toujours aussi chaud, mais que maintenant, l’humidité est bien plus élevée, ce qui rend insupportable d’être dehors, car immédiatement, mon t-shirt et mes mains sont recouverts de sueurs.
Gaspard m’envoie un message : "plus d’électricité, garde de la batterie sur ton téléphone et ton pc pour demain soir". La batterie de mon pc est pleine, mais celles de mes deux téléphones sont presque vides. Je regarde une dernière fois la photo de Tamara, la mémorise pour mes futures branlettes et je lui envoie "D’accord".
Je passe le reste de l’après-midi et la soirée à chercher nos meubles de jardin qui se sont envolés et je vais également aider mes voisins qui se sont retrouvés enfermés chez eux. La faute à une porte principale qui se débloque électroniquement ainsi qu’à des volets roulants automatiques, sur le moment ça m’a fait rire, moins quand je les ai entendus appeler à l’aide. C’est le paradoxe de vivre à côté d’une centrale nucléaire et que tous les objets du quotidien dépendent de l’électricité, quand il y en a plus, plus rien ne marche et certains ont l’impression de retourner à l’âge de pierre.
Mon père ayant réussi à joindre un collège d’EDF, nous apprenons que nous devrons attendre jusqu’au lundi matin pour retrouver la fée électricité. Quand il entend ça, mon petit frère est dévasté. Alors que la nuit tombe, j’allume des bougies et cuisine des lentilles froides avec des chips. Un repas de gala. Pour faire passer la soirée, je lis les journaux alors que lui dévore un manga.
Je me réveille le lendemain midi après une longue nuit, moi qui dors peu et mal, je me sens pour une fois en excellente forme dès le réveil. J’allume mon téléphone pour voir que Gaspard me donne rendez-vous à la sortie du village vers 21h. Je passe une partie de l’aprèm en caleçon sur la terrasse du jardin malgré la chaleur qui est revenue. Les 38 degrés annoncés par le thermomètre me découragent et j’essaye d’imaginer à quoi le futur ressemblera quand le climat aura définitivement perdu les pédales.
A 20h30, je quitte mon petit frère, non sans lui avoir préparé des chips au camembert, et j’enfourche mon vélo, mon ordi dans le sac à dos. Quand Gaspard finit par arriver à notre point de rendez-vous, il est tout rouge et transpire à grosses gouttes.
— Ça va mon ami ? Tu as l’air au bout de ta vie.— J’en peux plus de cette merde. Ma chambre sans la clim c’est l’enfer absolu, il fait encore plus chaud et humide dans le bois. Je jette un œil vers les arbres au loin sur la colline.— Ah même vous, vous avez plus de jus ?— Bah nan, les panneaux solaires sous les arbres, ça marche moyen moyen. — Et donc c’est quoi le programme sans internet et sans électricité ?— Alors j’ai eu le père de Martin au téléphone et selon lui, la tour 4G à Loutry est connectée à un autre réseau électrique.— Quoi ??? Tu te fous de ma gueule, c’est à 15 bornes ! — Je sais, mais on fait comment sinon ? Il sort de son sac un gros boîtier noir. Et j’ai ramené un convertisseur pour pouvoir connecter nos ordis.— OK, mais crois-moi j’ai tout prévu normalement, on a rien à faire, tout va marcher.
Mon ami finit par me convaincre et nous roulons pendant 45 minutes à travers les champs, seules nos lampes de vélos déchirent la nuit et éclairent la route, qui, en ce dimanche soir, est complètement déserte, enfin, plus que d’habitude. Nous arrivons au pied d’une colline sur laquelle est posée une gigantesque antenne que nous distinguons grâce aux lumières qui clignotent dessus. Nous nous installons dans un coin où personne ne verra la lumière de nos écrans, sur un gros caillou dans la pente qui surplombe la plaine céréalière et nous offre un beau panorama. Gaspard installe tout son matériel et allume son ordi.
— Oh putain ça marche !— Bien joué mon pote, pour économiser de la batterie, on va utiliser mon ordi en premier et quand il aura plus de batteries, on passe sur le tien. — Là, j’ai vraiment l’impression d’être un pirate. Sa remarque me fait rigoler quand je pense à pourquoi nous sommes là ce soir. — Dommage que Quentin et Martin ne soient pas là, ils auraient aimé la vue et l’idée.— Ouais, mais il avait besoin de prendre l’air, tu sais que le mec avec qui il s’est battu a disparu pendant 3 jours après la soirée ?— Non sérieux ? Il est passé où ? — Je sais pas, mais il a une sale marque sur le corps il parait, ses parents sont furax.— Ah ? Mais c’est pas un sale con ? — Si, mais il est vicieux et puis il a ses potes du rugby si on le fait chier.— Je vois, quel être humain charmant.— En tout cas, il s’est passé un truc chez Pénélope, tu n’as rien vu ?— Beaucoup trop bourré pour faire attention à quoi que ce soit, tu sais.— Ouais je sais, mon cousin m’a raconté.
Rassuré par le fait que personne ne soit au courant de ce qui est vraiment arrivé à la soirée, je m’assois pour regarder les étoiles en fumant une cigarette alors que Gaspard se concentre devant son écran. Pendant plus de 4 heures, nous surveillons ce qu’il se passe sur notre site qui est submergé de curieux qui veulent voir la fameuse série en direct alors qu’elle n’arrivera que vers 5 heures du matin. Nous en sommes très contents, car chaque page qui est rafraîchie par les dizaines de milliers de personnes nous assure un revenu publicitaire vraiment pas dégueulasse et Gaspard se frotte les mains. Selon lui, c’est encore une bonne nouvelle et il saute encore plus de joie quand je lui annonce que j’ai créé des sites miroirs qui rendront caduque les éventuelles attaques de hackers. Mais les impondérables finissent toujours par avoir raison des bonnes volontés, et perchés sur notre colline, nous entendons un grondement sourd au loin. Aux aguets, mon ami bondit et va voir de quoi il retourne.
Il revient cinq minutes plus tard, d’une voix angoissée, il m’annonce qu’un énorme orage nous arrive droit dessus et qu’au loin, les éclairs zèbrent le ciel. Il a tellement peur des orages qu’il en tremble. Je sens Gaspard pris le cul entre deux chaises, sa phobie des orages s’opposant à l’impératif que notre site internet soit toujours debout au matin. La peur étant mauvaise conseillère, je décide de prendre les choses en main. Après avoir fait un tour des serveurs et de toute l’infrastructure, j’efface comme d’habitude les éventuelles traces que nous aurions pu laisser. Mon ami comprend que je n’ai pas l’intention de le torturer et nous rangeons nos affaires. Nous pédalons à travers les champs accompagnés par les grillons, et la lune qui vient de se lever nous éclaire la route. Mon comparse ne dit pas un mot et ne cesse de jeter des regards en arrière pour voir l’avancée de la tempête. Nous arrivons aux alentours de minuit à notre village, il fait encore 25 degrés.
Gaspard à qui il reste de la route, ne s’attarde pas et fonce jusqu’aux bois. Je rentre tranquillement jusque chez moi, les lumières du lotissement sont toutes éteintes, ce qui donne à l’endroit une scène de fin du monde avec les éclairs au loin.
Toujours dans le noir, j’arrive chez moi et vais déposer mon sac dans ma chambre. Je prends des nouvelles de mon petit frère qui est dans sa chambre, entouré de bougie pour pouvoir lire ses mangas. N’ayant pas grand-chose à faire, je prends une bière dans le frigo et m’installe dans le jardin pour fumer une clope et admirer le spectacle de Thor.
Le regard fixé sur les gros nuages qui arrivent du sud et qui commencent à cacher la lune, mon esprit se met à vagabonder. Je repense à l’échange que j’ai pu avoir avec Tamara et mon sang se met instantanément à bouillir, comprendre : je bande fort. Je n’ai plus de batterie sur mon burner, dommage. Cette histoire pourrait vraiment partir en couilles si j’étais découvert. Mais son dernier message était on ne peut plus explicite, "viens le chercher". Et ce n’est pas au mec gentil qui lui a sauvé la mise qu’elle l’a envoyé.
Mes réflexions sur le sujet ne calment pas ma libido et j’en arrive à la conclusion que ça serait vraiment trop con de ne pas tenter ma chance ce soir. Je repasse dans ma chambre pour changer de t-shirt et redescends au pas de course pour reprendre mon vélo. Je pédale jusqu’au centre du village, mais pour ne pas être vu des voitures, je prends un chemin de terre qui suit la rivière et qui contourne les bois. Si mon sens de l’orientation est exact, ce chemin est en contrebas de sa maison et je n’aurais qu’à escalader ce qui fera office de mur.
Mais mon enthousiasme est douché assez rapidement, pour ne pas être vu, je n’ai pas allumé la lampe de mon vélo et l’orage commence à cacher la lune, ma seule source de lumière, et je me vautre dans le fossé une bonne dizaine de fois. Je n’abandonne pas et continue d’avancer sur la route, motivé par l’orage qui s’approche de plus en plus. Trempé de sueur et le souffle court, mes yeux sont déjà habitués à l’obscurité et je finis par discerner la grande maison de Tamara qui est à l’endroit prévu. Après avoir attaché mon vélo à un arbre, je fais à pied le reste du parcours et, au niveau du jardin, je me retrouve face à un ressaut, une paroi de roche presque lisse qui doit faire dans les 4 mètres de haut.
Sachant qu’il m’est impossible de traverser la haie qui fait le tour de la propriété, c’est ma seule entrée. J’en fais le tour et finis par trouver sur l’un des côtés, des grosses racines qui pendent dans le vide. Sans trop me poser de questions, je m’accroche à l’une d’elles et la grimpe, mais mon poids associé à la gravité me ramène sur le plancher des vaches et je retombe sur le dos. La situation est vraiment d’une stupidité sans nom, mais je retente ma chance sur une racine plus épaisse et en prenant appui sur la paroi, je réussis à m’agripper au rebord. Mes ongles s’enfoncent dans la pelouse et je réussis à me traîner en soufflant comme un buffle. En me levant, je regarde vers le bas et je demande bien comment je vais faire pour redescendre.
Le plus silencieusement possible, accompagné par des coups de tonnerre de plus en plus proche, je remonte le jardin en longeant la haie et arrive à la piscine qui borde la maison. Je repense à la photo que Tamara a pu prendre au bord de celle-ci et ça me réchauffe les entrailles. Je me débarbouille au bord de l’eau pour enlever la terre et la sueur qui colle mon t-shirt. Une fois rafraîchi, je fais le tour de la grande demeure et n’y vois aucune lumière, ce qui est logique en pleine panne d’électricité, ni aucune bougie. L’absence de chien et de voitures me rassure également, mais je suis inquiet, elle pourrait ne pas être là. Les sens en éveil, j’essaye de trouver sa chambre qui donnait sur l’ouest avec un balcon sur une de ses photos.
BINGO, à l’ouest, il n’y a qu’un seul balcon et la fenêtre a l’air d’être grande ouverte !
Malgré l’excitation et le vent humide de la tempête qui s’intensifie, je reste prudent et le plus silencieux possible. Ne pouvant atteindre le balcon en sautant, je déplace une petite table de jardin en dessous. Une fois dessus, je réalise qu’il va falloir que je me lance pour pouvoir grimper. C’est le moment idéal pour faire demi-tour devant cette idée vraiment à la con que j’ai eu peur de venir jusqu’ici, mais tant pis. De toutes mes forces, je saute et mes mains réussissent à saisir les montants en bois. Soufflant comme un asthmatique qui a monté 5 marches, je me remonte à la seule force de mes bras et réussis à atterrir sur le sol du balcon. Il me faut quelques instants pour reprendre ma respiration, mais je finis par jeter un œil autour de moi. Les portes-fenêtres sont grandes ouvertes et une faible lumière semble éclairer la chambre. J’enlève mon t-shirt, il est trempé de sueur et l’utilise pour m’essuyer le corps qui n’a pas l’habitude de tant de gymnastiques.
Aidé par les éclairs et la lueur vacillante d’une bougie, je pénètre dans la chambre. Tamara est là, dans son lit, elle dort étendue sur le ventre, nue. Son parfum vient percuter mes narines. Je suis toujours aussi stupéfait par la beauté de son corps, ses cheveux noirs qui descendent en cascade dans son dos jusqu’à ses reins, ce cul de rêve, deux demi-sphères parfaitement rondes. Avec les bougies autour de son lit, on dirait presque une représentation religieuse tellement la scène est belle. Au pied de son lit, mes yeux parcourent son corps, mais le vent en décide autrement et la dernière bougie s’éteint. Mon sexe bande à m’en faire mal et mon cœur bat à fond pour y envoyer le plus de sang possible, ma libido qui a pris le pouvoir. Je veux rendre hommage à la beauté que j’ai devant moi, tant pis pour les conséquences.
Je m’agenouille au bord du lit, mes doigts glissent de ses mollets jusqu’à la naissance de ses fesses. Le plus silencieusement possible, je m’allonge entre ses jambes en déposant des baisers sur sa peau, qui sent la pêche, remontant jusqu’à son merveilleux cul. Malgré le vent et le tonnerre, j’entends toujours le rythme régulier de sa respiration. La mienne de respiration est saccadée, toujours tiraillé entre l’excitation et l’impression de faire une grosse bêtise, mes derniers scrupules s’évanouissent au moment où je plonge ma tête entre ses deux hémisphères.
Ma langue descend tout doucement le long de sa raie, je m’attarde sur son anneau, qui est bien détendu, et j’en fais le tour avec la pointe de mon appendice. Il commence à faire chaud et le volume de son cul ne me permet pas de respirer. Même si j’imagine que ça serait dans le top 3 des plus belles morts, je n’ai pas l’intention de mourir ce soir. Pour remédier à la situation, je passe mes mains sous ses jambes et les remonte pour les poser sur son incroyable derrière. En empoignant ses fesses, j’ai un accès parfait à tout son entrejambe, mais je sens qu’elle a la chair de poule et ses muscles se contractent. Sans trop me poser de questions, j’assure ma prise et commence à embrasser tout le tour de son sexe. L’air que je respire est chaud et très humide, elle se tortille pour que ma langue arrête de tourner autour de son sexe et vienne enfin s’y poser.
Mais je dois me confesser, mon ex était du genre compliquée au lit, ou alors j’étais un très mauvais coup peut-être, mais elle était toujours sur la retenue et ne se lâchait jamais sauf pour un truc, le cunnilingus. Ce ne fut qu’au bout d’un an de relation qu’elle me laissa m’occuper de son sexe avec ma bouche et j’avais eu le temps de BEAUCOUP me renseigner sur le sujet. J’adorais le pratiquer, jusqu’à notre rupture, j’avais perfectionné mes connaissances et je lui faisais perdre tous ses moyens très facilement quand je l’avais décidé, c’était vraiment très excitant de la voir se tortiller dans tous les sens. C’était aussi lors de ces moments où elle lâchait totalement prise que j’avais le droit de lui mettre un ou deux doigts dans le postérieur, mais c’était tout. J’étais bien décidé à connaître ce sujet plus en profondeur avec Tamara.
Encouragé par les mouvements de son corps, j’embrasse son sexe trempé et m’attarde quelques instants sur son clitoris, elle se tend immédiatement. Sa respiration n’est plus la même, elle est beaucoup plus lourde alors que mes mains, qui continuaient de masser ses fesses en les gardant écartées, ressentent une fine pellicule de transpiration. Content de l’effet que je lui procure, sans aucune cérémonie, j’enfonce ma langue dans son vagin. Ses jambes se resserrent autour de ma tête, mais je continue à étendre le plus possible mon appendice pour qu’il caresse son intérieur. Mes lèvres sont collées à celles de sa chatte baveuse, mon menton en est trempé. Elle gémit.
Je continue mon manège un certain moment, juste avec ma langue dans son sexe et mes mains qui pétrissent son cul. Elle produit des borborygmes de plus en plus fréquents et sonores, elle va jouir. Je m’arrête juste avant, elle murmure un "Non encore", mais j’ai besoin de souffler un peu. Je me relève et déboutonne mon short et baisse mon caleçon. Mon sexe, dur comme la pierre, me faisait un mal de chien quand je m’occupais d’elle et je me sens soulagé qu’il soit enfin à l’air libre. Durant les 20 secondes qu’il m’a fallu pour me déshabiller, Tamara semble avoir repris ses esprits, car elle commence à se retourner pour être face à moi. Mais je plaque mes mains sur sa chute de reins et replonge vers son entrejambe. Cette fois, c’est son anus que je visite.
Déjà bien lubrifié par de la mouille, sa transpiration et ma bave, sa raie est trempée. Je la titille en lui mordillant plusieurs fois les fesses et commence à lui embrasser son anneau. La sentant parfaitement détendue, je darde ma langue et appuie doucement sur son anus. Il finit par s’ouvrir et m’y enfonce tout entier d’un coup, ce qui ne manque pas de la faire réagir en un "Oooooooh" que je ne saurais traduire. Je ne saurais trop expliquer le goût qu’elle a si ce n’est que ça ressemble à du caramel grillé. Les questions d’hygiène ou de maladie ne me passent même pas par la tête. Ma libido a besoin de lui bouffer le cul, je lui bouffe le cul.
Sachant que la zone est plus compliquée que son sexe pour provoquer la jouissance, je ne pourrais pas la faire jouir, mais je veux lui ancrer dans l’esprit que quelque chose de plus gros que ma langue pourrait remplir cette mission. Avec beaucoup de plaisir, je m’attelle à lui faire perdre les pédales et je suis encouragé par sa respiration de plus en plus bruyante et les gémissements qui sortent de sa bouche. Cependant, tracer mon chemin dans ses entrailles est fatigant, car elle est serrée et ses muscles m’empêchent d’aller trop loin. Je lève la tête pour l’écouter respirer, dans la pénombre et aidé des éclairs, je distingue ses mains qui serrent son oreiller.
Je remonte le long de son corps en embrassant son dos et en arrivant à son oreille, je lui murmure :
— Bonsoir, je viens chercher mon chapeau.
Elle ne répond pas, mais fait un léger bruit, comme un chat qui ronronne. Étant à la hauteur de sa tête, mon sexe est posé sur ses fesses, dur mais sage, car j’ai envie de faire durer le plaisir. Je lui embrasse le cou et elle réagit en frottant son cul contre ma bite. Mes baisers l’embrasent et sa peau frissonne, ou alors est-ce la pluie qui tombe qui rafraîchit enfin l’air ?
— Encore ! me murmure-t-elle, la tête posée sur l’oreiller.
Je redescends alors et lui prends une jambe et la retourne sans protestation de sa part. Elle est sur le dos désormais et j’aimerais beaucoup qu’un éclair me permette de voir ce côté-là de son anatomie. Je vais devoir attendre pour revoir ses gros seins, son beau visage et le reste ! Cette fois, mes baisers démarrent plus bas autour de son nombril et de son piercing. Je prends le bijou entre mes dents et le tire doucement, elle réagit en posant une main dans mes cheveux et l’autre sur un sein. Je la fais languir et sens sa frustration monter, sa main essaye de me pousser vers le bas. J’embrasse chaque parcelle de peau de son ventre trempée et descends enfin entre ses jambes. Je les mets sur mes épaules afin de pouvoir aller au bout, car souvent mon ex essayait de me dégager juste avant qu’elle jouisse, chose que je n’ai jamais comprise et qui était très frustrante.
Amarré entre ses cuisses, je passe ma langue sur toute la longueur de son sexe et elle tressaille quand je passe sur son clitoris. Il fait toujours aussi chaud à l’entrée de son sexe qui est littéralement inondé de mouille.
Très satisfait de la tournure des choses, je remonte quelques centimètres plus haut pour m’occuper de son clitoris, ses jambes autour de ma tête se contractent, mais je ne bouge pas. Mes mains viennent participer à l’action, la gauche se pose sur un sein et la droite glisse entre ses fesses, juste sous mon menton, pour caresser ses grandes lèvres et son anus. Rapidement, je suis en pilote automatique, complètement à l’écoute de ses gémissements et de sa respiration, ma langue virevolte et cajole son clitoris qui gonfle alors que son ventre se tend de plus en plus.
Sans difficulté son sexe s’ouvre à deux de mes doigts qui s’engouffrent dans la fournaise de son ventre, rien que ce geste a failli la faire défaillir et je m’arrête, c’est moi qui décide quand elle pourra jouir. Son souffle se calme et elle a reposé ses deux mains dans mes cheveux pour plaquer ma tête sur son clitoris. Ma main gauche tord son sein et excite son téton qui est aussi dur que ma bite alors que mes doigts entament un très lent mouvement de va-et-vient, plaqué sur la zone la plus érogène de son vagin. Je sens très vite que c’est parti et que rien ne pourra désormais empêcher son orgasme. Synchronisant ma langue avec mes doigts, j’accélère le rythme, je lui pince le téton de plus en plus fort. Son bassin suit mes mouvements et ses jambes se contracter, elle ahane, commence à se tordre, gémit longuement et son ventre se soulève du lit.
L’orgasme est dévastateur, elle ne respire plus et son corps se tend, ses cuisses autour de ma tête se mettent à trembler. Je reçois de la cyprine en plein visage, Tamara qui finit par libérer sa jouissance d’un puissant "haaaaaaaaan" alors qu’elle me tire les cheveux pour que j’arrête de la lécher. Je relâche son sein que je martyrisais depuis un moment et sors mes doigts de son sexe gluant.
Je remonte un peu pour embrasser son ventre et m’essuyer le visage avec sa couette, de son côté, elle reprend son souffle et murmure des "oh putain". Elle ne peut pas le voir à cause de l’obscurité, mais je souris et redescends embrasser son sexe inondé de toutes sortes de fluides. Ses jambes tremblent encore alors que j’essuie son sexe.
Les hostilités reprennent là où je les avais laissées, et ma langue retourne titiller son clitoris. Elle proteste et essaye de me dégager, mais je tiens bon. Ce que je viens de lui faire n’est clairement pas dans ses habitudes et elle semble bouleversée par tant de nouveautés. Ce qui est bien avec le cunni, c’est qu’une fois que le premier orgasme est atteint, le deuxième arrive beaucoup plus vite et le troisième encore plus vite et ainsi de suite jusqu’à ce que la demoiselle réussisse à vous virer de son entrejambe, et c’est pour ça que j’ai toujours adoré le pratiquer. On a l’air con, nous les mecs, à n’avoir qu’une seule balle dans le fusil et une durée de chargement aléatoire.
Mes considérations philosophiques sur le fait d’avoir le nez contre le pubis d’une demoiselle et la langue sur son appendice le plus sensible semblèrent bien loin quand Tamara déplaça son bassin dans une position qui m’offrait encore plus son sexe tout en posant sa main dans mes cheveux. Elle abdiquait. Ma main gauche tient sa jambe alors que ma main droite vient flatter son cul d’enfer et recommence à m’intéresser à son anus, toujours aussi détendu et bien trempé. Un premier doigt y rentre entièrement sans soucis, mais instinctivement, je sens ses muscles fessiers se contracter et un "ooooooh" aussi innocent qu’interrogatif sortir de sa bouche.
Un deuxième doigt vient se joindre au premier dans le brasier de ses entrailles et, alors que consciencieusement, je lui dévore le clitoris, je me demande si l’humidité qui permet à mes doigts de si bien naviguer dans son cul est de mon fait ou si elle mouille du cul. Sans rencontrer aucun obstacle, je les enfonce entièrement dans un mouvement de va-et-vient et les synchronise avec le rythme de ma langue. Elle souffle, gémit, recommence à appuyer ma tête contre son sexe. Les sensations de mes doigts dans son cul que j’appuie très fort sur la partie supérieure, là où est situé son vagin, (j’avais lu ça sur un forum féminin) étaient indubitablement nouvelles pour elle et je crois que je venais d’enclencher le point de non-retour, ce moment à partir duquel on pouvait faire d’un orgasme un déferlement de sensation.
J’accélérais progressivement, ma langue allait dans tous les sens et mes doigts entraient et sortaient de son cul dans un bruit mouillé assez sympa. Ce sont les contractions de son cul de plus en plus rapprochées qui m’indiquèrent que j’étais proche.
Tamara explosa, un long feulement sortit de sa bouche, très différent du premier. Je reçus encore plus de mouille sur le visage que son orgasme précédent, son anus se contractait très fort autour de mes doigts et ses jambes tremblaient tellement qu’elle réussit à me dégager de son entrejambe.
La langue endolorie, je m’allonge dans le lit alors qu’elle reprend tout doucement ses esprits. Un nouvel orage gronde au loin.
— On ne m’avait jamais fait ça bordel ! — Je sais quoi te dire. Désolé que les autres aient été nuls ? Elle rit à ma remarque.— D’abord le concert, et puis ça... bon je reviens.
Je sens son corps sortir du lit et ses bruits de pas qui s’éloignent dans l’étage, elle va probablement aux toilettes, je doute qu’elle aille chercher une batte de baseball pour me péter la gueule. Le noir étant total à part la lueur des éclairs au loin, je ne peux pas faire grand-chose à part m’imprégner de son odeur qui règne partout dans la pièce mélangée à celle du sexe. J’ai l’impression d’être un imposteur allongé dans le lit d’une fille trop belle pour moi dans cette grande maison.
Ce petit temps mort m’a fait débander, mais ma bite semble prête à n’importe quelle sollicitation tellement elle est gonflée.
Les bruits de pas reviennent vers la chambre, tous mes sens sont à l’affût pour compenser ce que mes yeux ne peuvent pas voir, comme une batte de baseball. Je sens une odeur fraîche de parfum, elle a dû se refaire une beauté. Elle se met à genoux, à califourchon sur ma jambe, son entrejambe chaud et humide vient frotter contre ma peau. Mon cœur bat la chamade alors que j’entends sa respiration.
Je sens ses mains de mes pieds jusqu’à mes genoux. Elle ne le voit pas, mais cette ambiance m’a remis d’aplomb et je bande plus fort que jamais, ma bite reposant sur mon ventre, attendant la suite. Quand ses lèvres se posent sur ma cuisse et remontent lentement, c’est moi qui ai la chair de poule. Elle conclut chacun de ses baisers d’une caresse de la langue qui me rend dingue. Tamara finit par buter contre mon sexe, ce qui me provoque déjà des décharges de plaisirs. Sentant sa langue descendre sur mes couilles et remonter lentement jusqu’au gland, il m’est très difficile de garder le contrôle et ne pas lui baiser directement la bouche.
De haut en bas, elle me lèche et me recouvre la bite de bave, la sensation est sympathique, mais au bout d’un moment commence à m’impatienter et contracte les muscles pour bouger mon membre. Elle semble comprendre le message et son corps se déplace un peu plus haut et j’ai sa chatte trempée sur le bas de la cuisse. Sans s’aider de ses mains, sa bouche s’empare et aspire mon gland alors que sa langue lèche mon frein en même temps, la sensation est tellement géniale que c’est à mon tour de lâcher un "oh putain".
Elle s’attarde très longtemps sur mon gland, mais ce n’est pas du tout ce qui me fait décoller. En effet, mon ex était devenu une pro de la gorge profonde et pour moi, rien n’équivaut aux émotions qu’elle me provoquait. Je crois que c’est le problème d’avoir été en couple aussi longtemps, je suis devenu difficile. Du bassin, j’essaye de faire rentrer un peu plus de mon sexe dans sa bouche, mais elle ne réussit pas à aller très loin. Je pose alors une main sur sa tête pour l’accompagner, mais ce sont ses dents que je sens griffer mon gland plutôt que sa gorge. Je sors mon sexe de sa bouche aussitôt.
— Je suis désolé, j’arrive pas à aller plus loin, elle est trop grosse.— C’est surtout tes dents qui m’ont fait mal.— Oh je suis désolé ! Elle prend ma bite dans sa main et me branle alors que mon gland est retourné dans sa bouche. Je vais me faire pardonner alors !
Sa morsure m’a agacé, mais ce qu’elle vient de dire me remet dans l’ambiance, mon sang bouillonne, il faut que je baise cette fille ! Elle s’allonge à côté de moi en ayant toujours mon sexe dans la main, me fait un bisou sur la joue et se retourne dos à moi. Tous les deux en position de la cuillère, j’embrasse son cou et une de mes mains revient s’occuper de ses gros seins. Mon sexe, lui, a pris position dans la raie de son sublime postérieur et elle se caresse l’entrejambe avec.
Elle ondule du bassin, mon gland voyage entre son clitoris et son anus, se recouvre de sa mouille et en étale partout. Ses mouvements s’arrêtent et mon sexe se retrouve à l’entrée de son cul. Sans trop me poser de questions au cas où elle changerait d’avis, je pousse mon gland dans son anus que j’avais déjà bien préparé un peu plus tôt. La sensation exquise que j’avais découverte avec elle me traverse tout le corps, c’est serré, il y fait une chaleur incroyable et c’est humide. Elle respire fort, cherche de l’air, et quand je m’enfonce trop rapidement, elle se tend et murmure "doucement".
Voilà ça y est, mon bassin est collé à son cul, ma queue est tout entière dans ses entrailles et je sens son anus palpiter, j’adore ! J’entame des mouvements de va-et-vient sans aller trop vite et Tamara semble tout à fait satisfaite, car elle se remet à gémir, sa main s’occupe de son sexe dégoulinant.
La position ne me permet pas d’augmenter le rythme comme je le voudrais, alors je nous fais tourner sur le ventre et je m’écrase tout entier sur elle. Je crois que ma bite est entrée encore plus profondément dans son cul, car elle se remet à souffler, la tête enfoncée dans l’oreiller, ses doigts s’activant toujours sur son entrejambe. Dans cette position, je fais presque ressortir entièrement mon sexe en ne laissant que mon gland et je m’y renfonce tout entier d’un seul coup. A chaque amplitude, je l’entends grogner de satisfaction et elle se tend de plus en plus, signe annonciateur de l’approche d’un orgasme.
Mais je trouve ça beaucoup trop facile qu’elle puisse jouir en se triturant le clitoris alors que je suis en train de m’occuper de son cul. Je m’enfonce en elle sans bouger une bonne dizaine de secondes, et elle proteste en remuant du cul. Je me saisis alors de ses épaules et je nous mets à genoux sur le lit. Je prends ses deux poignets et les tiens dans son dos d’une main et par les cheveux de l’autre. Cette fois, j’enclenche la vitesse supérieure, son cul s’étant fait moelleux, j’y pénètre de plus en plus vite. Mon bassin tape fort contre ses fesses et c’est assez bon pour l’ego que d’entendre ce son accompagné des gémissements de la demoiselle.
Et sans prévenir, Tamara jouit. Comme lors du concert, ses entrailles se contractent tout autour de ma bite et elle semble chercher de l’air pendant une dizaine de secondes comme si elle suffoquait, mais un cri de plaisir sort de sa bouche. Tout son corps repose sur moi, la tête sur une de mes épaules en train de respirer très fort. Ma bite toujours profondément en elle, je la laisse reprendre pied. Nos corps sont couverts de sueur, l’odeur de sexe me prend les narines et une idée me traverse l’esprit.
Je la prends par la main et me lève du lit. Nous marchons jusqu’à son balcon, dehors le monde a continué de tourner et il pleut à torrents, le tonnerre gronde. Elle comprend mon idée et prend appui contre la rambarde, cambre son dos pour faire ressortir ce cul de rêve. Pour faire durer le plaisir, je tape ma bite sur ses fesses, la glisse dans sa raie et je lui murmure.
— Tu la veux ?— Oui. Sa voix était rauque, elle était complètement shootée par le plaisir, mon ego et mon érection étaient au max.
Sans trop de difficulté, mon gland trouve le chemin de son cul. Mes mains la tiennent par les épaules et je m’enfonce d’une seule traite entièrement en elle. Un "aaaaah" sort de sa bouche, suivi de nouveaux gémissements de plaisir. Cette fois, je lâche les chevaux et le claquement de mon corps contre ses fesses est de plus en plus fort. Je ne ressens même pas la pluie qui tombe fort sur nous, il n’y a qu’elle et moi dans la tempête. Je sens que je vais jouir et quand je lui dis, une de ses mains va s’égarer dans son entrejambe. Elle accompagne mes aller-retour de "baise-moi", "oh putain", "vas-y", mais ses mots devinrent rapidement inintelligibles et je sens mon éjaculation approcher. Elle jouit, ce qui m’emmène avec elle, le plaisir est tellement fort, mon éjaculation tellement puissante, que je grogne de bonheur.
Submergée par les émotions et à moitié dans les vapes, elle s’effondre sur la rambarde du balcon. Je la prends dans mes bras et la dépose dans son lit. Après l’avoir mise sous la couette, j’allais me mettre en quête de trouver mes fringues, mais elle attrape ma main et me murmure "merci" et elle s’enfonce dans son lit.
Dehors, l’orage est passé et le ciel s’éclaircit dangereusement, mettant grandement en péril mon anonymat. Je finis par trouver mes vêtements étalés un peu partout dans la chambre. Une fois habillé, je vais sur le balcon, mais j’ai beaucoup trop la flemme de trouver un moyen de redescendre par là. Avant de sortir de la chambre, je m’imprègne une dernière fois de l’odeur de la pièce, un savant mélange entre son parfum et de sexe. L’aube me permet de la voir dans son lit, la couette jusqu’au cou. Je regarde son beau visage et finis par descendre dans la maison qui doit être vide vu que personne ne nous a interrompus. L’une des grandes baies vitrées du salon me permet de sortir silencieusement dans le jardin. Je remets du mieux possible la table qui m’a permis d’atteindre le balcon.
Shooté à l’endorphine, je saute sans trop me poser de questions les 3 mètres pour rejoindre le chemin en contrebas et retrouve mon vélo toujours attaché à son arbre. Je récupère mes affaires que j’avais cachées sous une branche, mais bien qu’un peu trempée, cette cigarette est l’une des meilleures que j’ai pu fumer de toute ma vie. Je me barre du bois avant que quelqu’un me voie, profite du soleil qui se lève, et une fois arrivé chez moi, sombre dans le sommeil.
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