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L'admirateur secret

Chapitre 19

Je sombre de plus en plus dans la perversion

Inceste
— C’est pas possible ; j’ai eu beau tout essayer, elle n’a pas craché le morceau. C’est dingue ! C’est comme si jamais rien ne s’était passé à mon anniversaire. Elle refuse catégoriquement d’en parler à son admirateur. Et à toi, es-tu sûre qu’elle n’a rien dit de son ressenti ?
Lulu, mon sexe en bouche, oscille de la tête, autant pour me répondre que pour mon plaisir.
— Mais elle t’a dit quoi au juste ?
Les révisions du bac ont bien commencé. Maëlle est partie réviser en groupe. Lucie, beaucoup moins studieuse, a préféré s’adonner à un domaine qu’elle maîtrise parfaitement en venant m’offrir une fellation des plus exquises. Elle recrache mon pénis pour me répondre.
— Elle m’a reproché de nous avoir lancés dans ce jeu et les gages que je lui ai donnés. Elle a affirmé qu’elle avait trop bu et qu’elle ne savait plus ce qu’elle faisait. Pourtant, je la connais bien : elle était loin d’avoir assez bu pour perdre ses moyens. C’était un prétexte pour ne pas avouer avoir pris son pied lors de cette soirée. Elle aurait dû me dire merci plutôt que de me faire des reproches.— Et elle ne t’a rien dit de la nuit que nous avons passée ensemble ? Ni de la soirée avec Valérie ?— Rien de rien ! Pour l’autre soirée, elle m’a juste dit que rien d’intéressant ne s’était passé.— Tu n’as pas essayé de la pousser plus loin ?— Bien sûr que si, Ad, mais elle est coriace, la coquine. Et puis elle s’est rebiffée. Il n’y avait plus rien à en tirer.— Merde alors !
Il se pourrait que la théorie de Lulu selon laquelle Maëlle juge l’inceste trop tabou et refuse d’en parler pour cette raison soit exacte, même en sachant que sa meilleure amie fantasme sur son cousin. C’est vrai qu’entre un cousin que l’on ne voit qu’une fois de temps en temps et son propre père qu’on côtoie tous les jours, le fossé est grand.
Lulu emporte ma mauvaise humeur par d’habiles coups de langue. Je frémis de plaisir. Assis dans mon canapé, j’observe sa tête osciller lentement le long de ma pine. En quelques minutes je ne réponds plus de moi. J’appuie une main sur sa chevelure rousse et libère des flots de sperme dans sa gorge.
Fière d’elle, Lulu commence à se rhabiller.
— Déjà ? Tu ne veux pas que je te rende la pareille ?— Une autre fois, j’ai des trucs à faire. À plus, Ad !
Je la raccompagne à la porte et lui souhaite une bonne soirée. Juste avant que je referme derrière elle, elle me balance :

— T’inquiète pas, Ad : si Maëlle mouille vraiment pour toi, elle va finir par craquer tôt ou tard. On pourra peut-être retenter quelque chose après le bac. Avant, cela va être compliqué. On l’aura à l’usure !
Et elle disparaît derrière la portière de sa voiture.
* * *

Déjà deux semaines que mon anniversaire est passé, et rien de neuf du côté de Maëlle. Elle est redevenue une fille tout ce qu’il y a de plus banale, sauf que sa pudeur d’antan a disparue. Je peux profiter de ses décolletés et de ses courtes jupes qui laissent admirer ses longues jambes. Elle fait comme si de rien était. Elle n’a plus cherché à m’allumer comme elle avait pu le faire lors de la dernière soirée avec Valérie. Presque envie d’inviter de nouveau mon employée afin de voir comment ma fille va réagir.
J’ai peur que ses désirs incestueux n’étaient qu’une folie passagère ; ce n’est peut-être pas plus mal, après tout. Qui sait les conséquences néfastes qu’une relation de ce genre aurait pu avoir ?
L’échéance approchant, les révisions du bac s’accélèrent, et Maëlle est de moins en moins disponible pour son admirateur, bien qu’elle s’accorde encore quelques pauses godage devant la cam pour se détendre.
Elle avoue que cela lui pèse de ne pas pouvoir autant discuter et s’exciter, et qu’elle en est désolée. En tant qu’admirateur, je la rassure en lui disant qu’elle a bien raison de se concentrer sur le baccalauréat. En tant que père, je suis soulagé qu’elle ne prenne pas son diplôme à la légère et qu’elle ne se laisse pas trop distraire par l’appel de la chair. C’est bon de savoir qu’elle prend son avenir en main, surtout que le bac est une condition nécessaire pour intégrer son école d’art. D’un autre côté, l’admirateur se sent quand même frustré par la situation et aimerait plus de moments avec elle.
Je me rattrape autant que je peux avec cette diablesse de Lulu et avec Valérie qui me sollicite de plus en plus au boulot. Bien qu’étant le patron, c’est quasiment toujours elle qui initie nos petites pauses chaudes.
Aujourd’hui, lundi, nous démarrons une nouvelle semaine. Pas d’humeur à travailler, ni Maëlle ni moi, nous échangeons des SMS coquins.
« Bien, ma belle. Et ensuite, qu’aimerais-tu que je te fasse ? » pianoté-je sur mon téléphone rouge.
Autant elle aime parfois les mots crus et vulgaires, autant d’autres fois elle préfère la douceur et la tendresse. Nous sommes plus dans la seconde situation.
« Oh, j’aimerais sentir tes mains sur mes seins. Que tes lèvres se posent sur mon ventre et qu’elles descendent doucement vers ma vulve qui ne réclame que toi. »« Hum, ça donne l’eau à la bouche à défaut d’avoir ta mouille. Je m’abreuverais à ta source avec plaisir. »
Oui, m’imaginer lui dévorer la chatte me met dans tous mes états. Heureusement, une bouche vorace est déjà en train de s’occuper de mon plaisir. Valérie, passée sous le bureau, s’en donne à cœur joie. Elle aime jouer les assistantes dévouées, et elle le fait bien.
Je reprends : « Je te ferai crier, et ton corps obéira à ma langue. »
La tête de mon employée, garnie d’une épaisse chevelure châtain, oscille le long de mon sexe tandis que je consulte mes mails en attendant la réponse de ma fille. Il n’y a pas à dire, le sexe au boulot a une saveur toute particulière : il offre un regain d’énergie et de motivation. Lire ses e-mails n’a jamais été aussi jouissif qu’avec une langue qui cajole son sexe. J’aurais dû me laisser tenter bien plus tôt. Quel idée de m’être imposé des principes !
« Hum, ça donne envie. Mais moi aussi j’ai très envie d’emporter ton plaisir du bout de ma langue comme je l’ai fait la fois où tu es venu me voir. Je meurs d’envie de recommencer. »« Tu sais que c’est compliqué en ce moment, ma belle. »
Oui, j’ai encore des scrupules à accepter un nouveau contact physique entre elle et son admirateur, même si j’en ai très envie. En fait, je crois que je préférerais l’avoir en tant que père, même si cette possibilité semble s’éloigner et qu’à la base elle avait déjà peu de chances d’aboutir.
Mais elle insiste : « Allez, ce mercredi j’aurais bien besoin d’une pause dans toutes ces révisions qui me sortent par-dessus la tête. Quoi de mieux que de faire plaisir à mon admirateur bien-aimé ? En plus, j’ai continué à m’entraîner ; je suis sûre que j’ai fait des progrès. Je vais te faire râler de plaisir, tu vas voir… »
Prêt à écrire sur mon téléphone, mes doigts hésitent. Je sens l’appel de la tentation me brûler les entrailles. Ma frustration de ne pas pouvoir posséder ma fille se fait de plus en plus pressante. Et puis les délices que m’offre Valérie me font perdre la tête. Impossible de raisonner quand une bouche délicieuse s’occupe de son gland ! Tant pis, je cède :
« OK, je viendrai mercredi. Attends-moi comme la dernière fois à la même heure. »
Je sombre de plus en plus dans la perversion. Déjà en train de me faire sucer, je prévois la prochaine fellation. J’ai perdu toute raison dans cette histoire.
« Merci, j’ai hâte de t’avaler de nouveau ! »
Ces mots me font jouir dans la gorge de Valérie. En attendant, c’est elle qui m’avale. Elle sort de sous le bureau, le sourire et une goutte de sperme aux lèvres.
* * *

Mercredi, j’ouvre la porte de notre maison. C’est marrant, j’ai l’impression d’entrer chez un étranger. Je prends mon rôle d’admirateur trop à cœur, sûrement. J’ai le feu dans le sang à savoir ce qui m’attend. J’avance à pas feutrés dans le couloir et trouve Maëlle agenouillée au salon et les yeux bandés comme la dernière fois. Une nouveauté, toutefois : elle a remis son costume de Panthère farouche. Décidément, elle semble vouloir rentabiliser son déguisement, ce qui n’est pas pour me déplaire. On comprend qu’elle se sent sexy, vêtue de cette manière.
Un autre élément que je n’ai pas immédiatement remarqué : une corde est posée sur la table basse.
— S’il te plaît, peux-tu m’attacher les mains dans le dos ?
Elle me la montre du doigt. J’obéis, très intrigué par ce qu’elle a prévu. Je recule d’un pas et l’observe. Sa position fait ressortir sa poitrine. Elle est vraiment très bandante, offerte ainsi. Maëlle prend une grande inspiration et se lance :
— Tu m’as peut-être capturée vivante, Tigre Sauvage, mais tu n’auras jamais les informations que je détiens. Tu auras beau abuser de moi autant que tu veux, je ne te dirai rien !
Tigre Sauvage est l’antagoniste principal du dernier Ninja Attack. Tiens, un nouveau jeu de rôle, à croire que Lulu lui a refilé le goût pour ce genre de jeu sexuel. L’idée de ce nouveau scénario me plaît bien : une bouche pleine de rouge à lèvres à investir. Je m’avance, défais ma ceinture, libère mon sexe. Je suis déjà raide
Je l’attrape brusquement par les cheveux ; la perruque noire me reste dans la main. Ah oui, j’avais oublié ce détail. Je la balance au loin et chope la tignasse blonde de ma fille. De toute façon, je préfère me faire Maëlle plutôt que la Panthère farouche, aussi sexy qu’était l’actrice. En lui tirant les cheveux vers le bas, je lui fais relever le menton, admirant son visage en partie recouvert par son bandeau. Mon Dieu, elle est vraiment magnifique ! Ça va être un vrai plaisir…
Je frotte mon sexe le long de ses joues et de son menton.
— Non, tu ne vas pas oser me faire avaler ton gros engin ? surjoue-t-elle la panique. Tu n’as décidément aucun cœur, Tigre Sauvage. Le fils du Dragon te le fera payer !
Pour la faire taire, je pose mon gland sur ses lèvres carmin et force le passage. Bien sûr, comme tout est simulé, je n’ai pas à forcer fort pour que le passage s’ouvre. Une langue chaude m’accueille.
Bien qu’étant censé être un agresseur, j’y vais pour le moment doucement pour ne pas la brusquer. Je m’enfonce avec lenteur tandis que Maëlle fait son possible pour me gober. Ma main empoignant toujours une grosse mèche blonde, je commence à osciller dans sa bouche offerte. Je lui impose mon rythme. Par moments, ma fille a des mouvements de recul. Je reconnais être parfois maladroit et m’enfoncer un peu trop loin.
Je décide de lui accorder un temps de pause, histoire de la laisser reprendre son souffle. Un gros filet de bave lui tombe sur la poitrine.
— Monstre ! continue-t-elle de jouer. Tu n’as donc aucune honte ? M’étouffer avec ta pine monstrueuse...
Je lui colle le visage contre mon sexe. Une langue s’attaque à mes bourses. Maëlle me gobe même un testicule qu’elle fait rouler dans sa bouche avant de le recracher.
— Je fais ça seulement parce que j’y suis obligée. Ne crois pas un instant que j’y prends du plaisir, Tigre Sauvage !
Oui… son sourire m’indique tout le contraire. Maëlle s’amuse comme une folle. Mon gland reprend sa place dans sa bouche. Comme tout semble se passer plutôt bien pour elle, je me permets d’accélérer la cadence. Pas mal de bave coule de la commissure de ses lèvres rouges jusqu’entre ses seins.
Je prends une pause, lui laissant le loisir de mener la danse une minute ou deux. Maëlle s’en donne à cœur joie. Elle semble en effet avoir fait des progrès, se montrant plus adroite, plus efficace, plus gourmande. Je laisse échapper un râle de plaisir et manque de peu de prononcer son nom à voix haute. Faut que je fasse gaffe de ne pas me trahir, après tout ce temps.
Sentant la fin approcher, je décide de reprendre les rênes en tenant avec fermeté sa tignasse blonde. Mon gland coulisse à toute vitesse. Je lui baise la bouche. Sa bave dégouline. Je suis sur le point de venir, de lui remplir sa gorge de foutre.
Au dernier moment je change d’avis et me retire. Un orgasme violent me prend et j’éjacule de long filets de sperme qui s’écrasent sur son visage et ses cheveux. Ça lui coule jusque sur les seins. Elle en a partout ; je trouve ce tableau magnifique.
Maëlle respire fort et sourit, visiblement pas déçue de découvrir sa première éjaculation faciale. Je lui donne mon gland à nettoyer. Sa langue s’en charge sans attendre.
Je lui détache les mains. Avec ses ongles manucurés, elle vient racler mon sperme et le porte à sa bouche en affichant une mimique de gourmet.
— Merci !
Je voudrais lui répondre comme je l’aime, mais ne peux me trahir. Je la laisse là et retourne au boulot, des étoiles plein la tête.
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