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L'admirateur secret

Chapitre 20

Papa, tu sais que t'es beau ?

Inceste
Le bac ! Après tant de révisions, le voilà enfin arrivé. Ligne de départ avec l’éternelle épreuve de philosophie. Maëlle stressait pas mal avant le début ; cette matière ne la rassurait pas. Elle a eu peur d’être passée à côté du sujet. Je l’ai rassurée en lui disant que ce n’était pas grave, qu’une bonne élève comme elle allait pouvoir se rattraper dans les autres matières, qu’elle n’avait aucun souci à se faire. Cela l’a un peu calmée.
Il semblerait que j’avais raison. La suite des épreuves l’a beaucoup plus mise en confiance. Chaque soir, elle fait un rapport détaillé à son admirateur, qui a droit à bien plus de détails que son père. Elle est tout excitée de raconter ses exploits. Côté sexe, par contre, elle est moins disponible. Pas grave, nos conversations me vont très bien.
Lulu a voulu à tout prix la chauffer pendant les épreuves, désirant qu’elle s’exhibe ou qu’elle retente le port des boules de geisha ; Maëlle a refusé catégoriquement, préférant se concentrer sur le bac. Lulu disait que ça « égaliserait leurs chances ». La rouquine a voulu me convaincre de la soutenir : « N’oublie pas : toi et moi, on va en faire un volcan ! C’est le moment. » Mouais, j’étais plutôt du côté de Maëlle. Mon côté père a été plus fort que mon côté pervers.
Quoi qu’il en soit, aujourd’hui est le jour de la dernière épreuve. Maëlle m’a envoyé un SMS pour me dire qu’après elle avait prévu de fêter la fin du bac avec des amies à l’Interlude, un bar-café du coin. C’est une amie qui doit la ramener chez nous à Solérèse.
Je compte aussi fêter ça de mon côté avec elle. Après le boulot, j’achète une bouteille de champagne et je rentre. J’ai renvoyé mes employés plus tôt chez eux. Après la semaine que nous avons passée, ils l’ont bien mérité. Bien entendu, tout le monde était heureux de pouvoir finir en avance.
À mon arrivée, Maëlle n’est toujours pas là. Je mets la bouteille au frais et un peu de musique classique en fond sonore le temps de préparer à manger. Une salade composée et une quiche, je sais qu’elle adore.
J’entends la porte s’ouvrir ; la voilà.
— Salut ! Alors, comment s’est passée cette dernière journée ?— Oh, mon papa chéri… salut ! s’exclame-t-elle, tout euphorique.
Elle avance, trébuche et tombe dans mes bras. L’odeur d’alcool et son air béat m’indiquent qu’elle a déjà bien bu. Elle se serre contre moi et ses lèvres se posent sur ma joue pour me faire un gros bisou, juste à côté des miennes. Un frisson me parcourt la colonne vertébrale ; ce n’est pas passé loin. Le câlin dure plus que nécessaire ; elle a l’air vraiment de bonne humeur, dis donc !
— C’était très bien, papa, je pense que je vais l’avoir.— Et moi j’en suis sûr. Je suis fier de toi, ma chérie.— Merci, papa.
Toujours collée à moi, elle me fixe de ses yeux verts. Une lueur étrange brille dans son regard. J’ai envie de l’embrasser mais me retiens. Elle a été très claire le matin de mon anniversaire : elle n’est pas prête pour ce genre de relation. Je me suis rangé de son côté, même si la tentation est toujours bien présente.
— Dis donc, tu as pas mal bu on dirait. J’ai mis du champagne au frais, mais on va peut-être éviter.— Oh non, papa ! J’ai envie de fêter ça avec toi aussi.
Son regard de biche implorant me convainc. Un verre de plus ne peut pas faire grand mal… Elle me lâche enfin et va se jeter sur le canapé. Mes yeux restent bloqués sur la jolie robe rose pâle qu’elle porte aujourd’hui. Elle est ravissante, un petit ange appétissant.
Je retourne en cuisine préparer les couverts. Je ne l’entends pas arriver derrière moi. D’un coup, elle bondit dans mon dos en criant « Attaque ninja ! » et m’agresse par des chatouilles. Je sursaute, manque de faire tomber un verre mais le pose à temps sur la table. Je me retourne et contre-attaque. Elle explose de rire, se débat dans tous les sens et vient cogner plusieurs fois dans mon entrejambe, ce qui stimule un début d’érection. Je bande vraiment pour un rien, maintenant ! Elle rend les armes, mais je la retiens prisonnière entre mes bras. Elle se colle à moi, n’ignorant sans doute pas mon début d’excitation.
— Papa, tu sais que je t’aime ?— Bien sûr ma chérie. Moi aussi, de tout mon cœur.
Elle semble hésitante, approche son visage du mien mais s’arrête au dernier moment. Je crois qu’elle était prête à m’embrasser. Je la lâche à contrecœur. Depuis mon anniversaire elle n’avait plus manifesté de signes d’attirance envers moi, et ce soir j’ai l’impression que ça ressort. Est-ce un effet de l’alcool ? J’avais cru que son désir n’était qu’une passade ; peut-être pas, finalement.
J’installe les couverts sur la table basse dans le salon. On va manger devant la télé. Maëlle s’est jetée sur le canapé. Le bas de sa robe est remonté. Un peu plus et on découvrirait des trésors cachés. J’ai très envie de tenter d’en voir plus mais je me retiens. Au lieu de ça je sers le champagne et nous trinquons à sa réussite.
— À ma future bachelière et grande illustratrice !
Elle avale sa flûte d’une traite et s’en ressert une autre derrière. Nous mettons un film comique (oui, nous savons apprécier d’autres films que les Ninja Attack) en fond sonore et commençons à manger.
Maëlle se marre à chaque vanne, même les plus moyennes. Elle semble vraiment toute guillerette ; je me demande combien de verres elle a déjà bus. Elle semble aussi avoir un appétit d’ogre : son assiette est vidée en un rien de temps. Le dessert aussi, qu’elle arrose d’une autre flûte de champagne. Je devrais peut-être la ralentir…
— Fais gaffe, tu vas finir complètement saoule, la mets-je en garde.— Je veux juste profiter de la soirée maintenant que c’est fini.
Je n’insiste pas plus. Elle est majeure, et si jamais elle abuse, elle ne risque pas grand-chose à la maison, à part tout vomir et une gueule de bois le lendemain.
Le repas terminé, elle vient se coller à moi dans le canapé pour un câlin. Une nouvelle fois mes yeux sont plus attirés par son décolleté appétissant que par les images de la télévision.
Mes doigts glissent dans sa chevelure blonde et jouent avec quelques mèches puis, comme soumise à la pesanteur de mon désir, ma main dégringole vers sa chute de reins pour finir sa course sur une fesse charnue. La seule réaction de Maëlle est de se coller davantage à moi.
Vers les trois quarts du film elle a vidé la bouteille de champagne. Sa main tombe lourdement sur ma cuisse, pas loin d’une érection renaissante. Peu après, elle décide de s’allonger, et c’est sa tête qu’elle pose sur ma cuisse. Fatiguée par l’alcool et sa longue semaine, elle ne voit pas la fin du film et ronfle bruyamment.
J’attends avant de la réveiller. Je m’émerveille devant son visage radieux et paisible. Je patiente aussi pour que mon érection se calme, puis je me décide à sortir ma belle endormie de ses songes. Je la remue légèrement.
— Ma chérie, il faut aller te coucher maintenant. Faut que tu bouges.
Ses yeux s’ouvrent à moitié et me fixent. Au lieu de se relever elle remue, et son crâne atterrit sur mon sexe. Elle me sourit et baragouine :
— Papa, tu sais que t’es beau ?
J’essaie de la dégager avant que mon sexe ne retrouve sa vigueur, mais mes efforts sont vains et ne font que stimuler davantage la bête. Merde, je bande sous la tête de ma fille ! Elle se retourne, joue contre sexe. Impossible qu’elle ne le sente pas. Une main vient même l’agripper à travers le pantalon.
— Je te fais bander…
Ce n’est pas une question, juste une constatation. Je la repousse plus vivement, me redresse, mal à l’aise, ne sachant que répondre.
— Papa, montre-la-moi...
Quoi ? Je n’en crois pas mes oreilles ! Ce n’est pas possible que ces mots soient sortis de ses lèvres. Non, l’alcool, me souviens-je.
— Tu as trop bu, ma chérie ; tu ne sais pas ce que tu dis.— Je te montrerai mes seins si tu veux. Tu peux même les toucher.
Elle m’attrape une main et la pose sur sa poitrine. Il me faudrait l’enlever, mais le contact tant désiré me retient un peu trop longtemps. Je prends finalement mon courage à pleines mains, à défaut de ses seins, et me retire.
— Chérie, il est temps d’aller te coucher.
Je l’aide à se relever. Elle tient difficilement sur ses jambes. Elle baragouine quelques mots incompréhensibles. Je la retiens et l’aide à grimper les escaliers, direction sa chambre. Pendant la montée, une main tente de me palper les fesses. J’aurais quand même dû l’empêcher de trop boire ce soir.Devant sa porte, elle se tourne vers moi et tente de m’embrasser. Je la repousse.
— Pourquoi ? s’étonne-t-elle. Je sais que tu veux me baiser.— Pas comme cela, murmuré-je plus à moi-même qu’à elle.
Nous entrons dans sa chambre et je la guide jusqu’à son lit pour la déposer. Elle s’écrase presque, face contre matelas. Elle se retourne, se rassoit et me lance un regard étrange.
— Je suis une vilaine fille, papa. Tu devrais me punir, me mettre la fessée…— Dis pas de bêtises, chérie.— Si, papa, je suis une petite salope : j’ai passé ma journée sans culotte. Regarde !
Elle écarte ses jambes en grand et remonte sa robe. En effet, je découvre son sexe nu dans toute sa splendeur. Il me faut un énorme effort de volonté pour détourner mon regard.
— Et ce n’est pas tout, papa. Ça fait des mois que je me touche devant ma cam pour un type. Je ne sais même pas qui c’est. Et je mouille à chaque fois comme une folle.— Ma chérie, je t’en prie, arrête !
Ouais, là, pour me parler de l’admirateur, c’est qu’elle est vraiment torchée. Elle se relève et tente un assaut mais échoue et tombe dans mes bras.
— Je l’ai sucé, tu sais ? Deux fois, me souffle-t-elle à l’oreille. Je pourrais le faire pour toi aussi. Tu verras, je ne me débrouille plutôt bien... et j’avale aussi.
J’essaie de garder mon self-control mais j’avoue que c’est très difficile. Si seulement elle m’avouait cela en étant sobre ! Saoule, elle risque fort de faire quelque chose qu’elle regrettera par la suite. Je ne veux pas abuser de la situation ; ce n’est pas ainsi que cela doit se passer. Heureux tout de même d’avoir une confirmation qu’une part d’elle me désire encore. Mais comment savoir ce qu’elle souhaite vraiment ? L’alcool n’est pas un sérum de vérité.
— Je me gode le cul aussi. Tu pourrais passer par là si tu le souhaites…— Maëlle, je t’en prie... retenté-je sans grand espoir de la faire taire.
Je la rassois sur le lit après qu’elle ait tenté de m’embrasser de nouveau. Je ramasse ses vêtements de nuit et les lui tends.
— Tiens, change-toi.— Peux pas, aide moi.
Ben voyons. Va donc falloir que je l’aide. Je m’approche d’elle et remonte sa robe pour la déshabiller. Ceci fait, elle rit, m’attrape par le col de ma chemise et me tire à elle. Je m’effondre sur son corps nu, mais vite, je roule sur le côté.
— Tu aimes mes seins ? Touche-les, papa !
Elle m’agrippe la main mais je ne me laisse pas faire. Maëlle affiche une mine boudeuse, comme quand elle était petite et qu’elle voulait que je cède à l’un de ses caprices.
— Je pourrais être ta fille chérie, mon petit papa d’amour. Je pourrais faire tout ce que tu veux. S’il te plaît, baise moi…
Et merde ! Moi qui ai tant rêvé de ce moment, pourquoi faut-il qu’elle ne soit pas en pleine possession de ses moyens ? Sobre, elle avait peur de briser quelque chose entre nous ; alors j’imagine comment elle se sentira quand elle saura qu’elle a couché avec moi en étant bourrée… Non, c’est trop risqué.
— Tu veux me toucher la chatte alors ? Tu sais que j’ai laissé un type me doigter dans le bus ? J’ai aimé ça, en plus...
Je prends son débardeur et le lui enfile tant bien que mal en essayant de ne pas entendre ses paroles. Mais elle se défend, et ma main touche malencontreusement plusieurs fois ses seins. Il ne reste plus que le bas ; au bout de pas mal d’efforts, la mission est réussie. Je crois qu’elle commence à fatiguer.
Elle accepte de se glisser dans les draps. Elle me demande un dernier bisou et tend la joue. Je baisse la tête. Au dernier moment elle tourne son visage et me présente ses lèvres. Trop tard : je l’embrasse sur la bouche. Bon, pas grave, ce n’est rien, juste un petit smack.
— Bonne nuit, papa d’amour !
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