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Admiratrice

Chapitre 1

Divers
Je rentre du boulot crevé. Ces réunions m’épuisent. Je passe chez moi rapidement après je vais faire un tour chez Jo. C’est un café ou les célibataires qui ont la quarantaine bien tassée viennent.
Oui, je suis célibataire. Je n’ai jamais vécu en couple. Je n’ai pas envie de partager ma vie. On est bien comme célibataire. Quand tu as envie de te faire du bien, tu te trouves une nana que tu baises et puis c’est terminé.
La dernière, c’était une blonde platine. Elle avait un cul à faire damné les saints. Je lui ai fait la brouette japonaise, le grand huit de great Montana et gravir l’Everest sans oxygène. Le pied intégral. Je me suis vidé en elle. Elle avait une chatte peu poilue et très accueillante, des tétons sensibles, une bouche pulpeuse et en plus elle m’a fait un petit déjeuner parfait. Le lendemain, je l’ai déposée en face de chez elle. C’était terminé.
Non, je ne suis pas un sentimental, je suis un queutard, j’aime baiser, j’aime la variété. Qu’elles soient jeunes ou vieilles, grandes ou petites, blanches, jaunes, noires , vertes, peu importe, pourvu qu’elles aiment cela, moi ça me convient. Je veux des filles qui savent ce qu’elles veulent et qui aient envie de se faire baiser par un mâle. Voilà ma philosophie.
J’arrive à mon appartement. Je prend le courrier et me vautre dans le canapé du salon. Je jette les pubs, regarde les lettres, quelques factures et une lettre sans timbre. Pas d’en tête juste marqué « A Monsieur », rien d’autre. Elle est cachetée. Je m’apprête à la jeter pensant avoir à faire à une pub un peu originale mais ma curiosité l’emporte. Je déchire l’enveloppe.
Je prends le papier et le déplie. Là, un mot écrit à l’ordinateur :
"Monsieur,
Je suis désolée de vous importuner par cette missive mais je ne peux pas faire autrement. Je vous vois tous les jours. Je vous trouve très beau.
Je sais que vous vivez seul et que régulièrement vous amenez des femmes. Les gens disent de vous que vous êtes un coureur, un macho, que vous devez être infect à vivre.
Tout cela me laisse indifférente. Je vous admire dans votre façon d’être, de vivre

"Une admiratrice."

La lettre est brève et je me demande qui peut me faire un tel gag. Il va falloir que je mène mon enquête auprès de la bande de queutard que sont mes amis. Je laisse la lettre sur la table du salon. Je prends une douche et me prépare pour aller chez Jo.
Arrivé au bar, je pose quelques questions mais personne n’est au courant. Apparemment, ce ne sont pas eux. Je laisse tomber et m’approche d’une rousse. Cela fait longtemps que je n’ai pas baisé une rousse.
Elle me regarde en souriant avenante. — Salut Loïc.
Merde, je l’ai déjà baisée et je ne m’en souviens pas.
— Salut, on se connaît ?— Oui, on se connaît. Attends, je vais te rafraîchir la mémoire. Une pipe dans l’ascenseur, est ce que ça t ’aide ?— Mais oui, Séverine. Comment ai je pu oublier, tu es une si bonne suceuse.— Merci. T’es pas mal non plus dans ton genre et assez haut dans mon classement— Combien lui demandais-je— tu es troisième— Tu penses que je peux améliorer ?— Tu peux toujours essayer répond Séverine.

Nous partons tous les deux chez moi. En prenant l’ascenseur, je la trousse, baisse son string et la prends. Ma queue rentre facilement, sa chatte est trempée. Je lui dis: "tu vois, j’aime aussi baiser dans les ascenseurs".Arrivés à l’étage, les portes s’ouvrent sur un couple. Nous sortons en riant, moi, la queue à l’air, elle, sa jupe retroussée. La femme me regarde avec gourmandise, l’homme a un regard ébahi. Lui, il ne doit connaître que le missionnaire. Pendant que j’ouvre ma porte, Séverine me suce. Nous allons dans le salon, nous déshabillons et baisons. Je lui fais quelques classiques et ma spéciale, le pont suspendu thaïlandais. Celle-là, il faut que la partenaire soit souple, tout le monde ne peut pas avoir les jambes derrière la tête. Mais, quand c’est possible, quelle profondeur de pénétration, sensation garantie, mesdames. Séverine est souple. Les deux jambes derrière la tête, sa chatte et son anus sont bien visible. Je bande. Mon membre se présente devant l’entrée de sa grotte et rentre facilement. La cyprine coule le long de ses lèvres et descend sur son anus. Je sors de sa chatte et présente ma queue devant son sphincter. Je pousse, il s’ouvre. Je profite de sa mouille, ma queue peut rentrer facilement. C’est une variante de cette spéciale. Le pont suspendu thaïlandais avec la ville de Sodome.
Je la baise, la sodomise, la fait jouir et me vide les couilles. Au bout de 3 heures, je n’en peux plus, elle est épuisée. Nous nous arrêtons et nous endormons rapidement. Le lendemain, je lui pose la question : "Alors je suis combien?" Elle me regarde avec un sourire en coin, prend son sac et en partant me dit : "Je te le dirais la prochaine fois. Bye."
Je pense que moi aussi, je devrai m’amuser à classer les nanas. Il faut que je réfléchisse à la question.
Après ma journée de boulot, je rentre à l’appartement, boite aux lettres, pub habituelle direct poubelle et une lettre identique à hier . L’enveloppe « A Monsieur »
J’ouvre sans hésitation.
Je sors un string et une feuille de papier.
"Monsieur,
Je vous ai dit que je vous admire.Vous êtes l’homme dont je rêve.
Et pour vous prouvez que vous êtes tout pour moi, je vous donne mon string que j’ai porté toute la journée.De ce fait, à partir de maintenant, je ne mettrai plus de string ni de culotte.Même quand j’aurai mes règles, je ne mettrai que des tampons.
Sachez qu’autour de vous, une femme vous admire et maintenant, se balade sans culotte et sans string.
Une admiratrice qui est toute à vous"
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