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Admiratrice

Chapitre 2

Divers
Je regarde le string, je l’hume. En effet, il a été porté, pas d’odeurs particulières, quelques traces.
Qui me laisse ce genre de lettre? Une voisine? Une collègue? Une amie? Ou un rigolo qui s’amuse?Pas beaucoup d’indice, un string qui est noir en dentelle et petit. Rien de plus, cela ne m’aide pas vraiment.Qui peut bien m’épier?Je réfléchis un peu, je cherche. Parmi les collègues, je ne vois pas. Peut être la petite secrétaire, mais elle est mariée, habite loin d’ici, elle ne peut pas venir mettre une lettre dans ma boite. Les autres, j’espère pas. Il ne reste plus qu’une voisine, qu’une connaissance.Je retourne chez Jo, si Séverine est là, exceptionnellement, je la ramène pour connaître mon classement.
Arrivé chez Jo, pas de nana. Marc et deux autres mecs sont installés au bar à discuter. Je m’installe avec eux et on tape la discute.Il me demande ma soirée. Je leur dis que c’est une sacrée baiseuse, les autres acquiescent. Ils l’ont déjà baisée. Tout le monde en conclut la même chose, Séverine est comme nous en version femme. Après quelques bières et avoir refait la composition de l’équipe de France de foot, je commence un peu à m’ ennuyer quand un groupe de filles rentre. Dans les mêmes ages que nous et elles sont là pour la même raison que nous. Nous nous approchons , papotons, nous jaugeons, je me décide sur une brune, peau mate, petit sein et petit cul. Elle me sourit, la soirée est bien partie. Une de plus à mon tableau de chasse. Après quelques caresses, ses copines étant occupées, nous décidons d’aller chez moi.Arrivés à l’appartement, je lui propose un verre, elle prend du rosé, je me verse un whisky. Je remonte sa jupe pour voir, elle a un string, ce n’est pas elle. Je passe aux choses sérieuses, et nous nous retrouvons rapidement nus. Je revois mon Kamasutra, pas la peine de faire de spéciale. Elle crie et fait un boucan d’enfer. Elle va ameuter tout le quartier. Quand elle jouit, elle éclabousse par tout, c’est une femme fontaine et en plus, c’est une grande gourmande, elle en redemande. J’adore baiser ce genre de nana. Au moins, ce n’est pas une planche à repasser. Nous nous endormons au petit matin, heureusement, c’est samedi. Elle part dans la matinée.
Je vais faire les courses sur les coups de midi à la petite supérette en bas de chez moi. A chaque fois que je croise une personne de la gente féminine, je me demande si c’est elle. Mais comment savoir? En faite , non, je suis sur que c’est un copain qui me fait une blague. J’en suis là de mes réflexions quand j’entends quelqu’un m’appeler.— Loïc, Loïc..C’est Jeanne, une ancienne conquête. Je m’approche, l’embrasse, on bavarde. Elle m’apprend qu’elle rentre ce matin de New York, elle y est restée trois mois. Ce n’est pas elle. Je l’invite pour ce soir, elle accepte. Elle sera là à 20HNous nous séparons. Je fais mes courses, paye. Je me dis que ce ne peut pas être la caissière.Je retourne à l’appartement, passe par la boite aux lettres, prends le courrier. A l’appartement, je regarde rapidement, la lettre est là. Je l’ouvre fébrilement

"Monsieur,
j’ai décidé qu’à partir d’aujourd’hui, je ne porterai plus que des robes ou jupes à mi cuisse. Ainsi, si vous pensez me reconnaître, vous n’aurez qu’à soulever un pan de ma robe ou jupe pour voir si la personne a un string ou une culotte. Si elle n’en a pas, c’est peut être moi

Une admiratrice qui mouille en pensant à vous"

Voilà, elle va gagner la salope. Elle fait cela en été. C’est le moment pour les filles de mettre leurs petites jupes. Je ne vais quand même pas soulever toutes les jupes des filles pour voir comment est mon admiratrice. Ce petit jeu commence à m’exciter. Il va falloir que je réfléchisse. J’ai pas beaucoup d’indice pour le moment. Je vais à une terrasse de bistrot assez loin de mon quartier. J’ai une confirmation, la moitié des femmes de la ville porte des robes à mi-cuisses.
Il est 18H, je retourne chez moi. Machinalement, je regarde dans ma boite aux lettres. Il y a une enveloppe et un soutien-gorge. J’ouvre la lettre dans l’ascenseur.

"Monsieur,
Je sais, il y a beaucoup de filles qui sont en jupe en ce moment. Vous avez bien sur trouver mon soutien-gorge. Ainsi, je serai sans sous-vêtement à partir de maintenant.Mes tétons s’érigent facilement quand je pense à vous.Je vous ai vu partir et mater les filles.Est-ce que j’étais parmi les filles que vous avez regardées?Mystère
Une admiratrice qui se masturbe en pensant à vous."

Et si c’était un mari cocu qui se vengeait ? Tu penses n’importe quoi me dis-je. On sonne, c’est Jeanne, on s’embrasse sur les joues. Je lui sers l’apéritif , elle me regarde.— Tu as l’air ailleurs, Loïc ?— Excuses-moi, Jeanne, un truc qui me turlupine— C’est quoi qui te tracasse— Tiens, regardes.
Je lui donne les lettres. Elle les lit et éclate de rire.
— Elle ne manque pas d’air. Ainsi tu as une admiratrice qui, même si elle n’en porte plus, est culottée.— Oui, mais le souci, je n’ai aucune idée de qui cela peut être.— Il y a une chose sure, ce n’est pas moi, regarde.

Elle se lève et soulève sa robe jusqu’au cou. Je peux voir son string et son soutien gorge à balconnet en dentelle. L’ensemble est noir et met en valeur son corps qui est superbe. Il est temps de s’en occuper ce que je m’empresse de faire. Je veux prouver à Jeanne que les français sont bien meilleurs que les américains.Après avoir fait un petit rodéo en hommage à l’Amérique du nord, je lui ai fait le coup de la capoeira.C’est juste, une prise en mains des tétons, aspiration du clitoris avec la bouche et un passage de langue sur le bout du clito. Je l’appelle comme cela , parce que la fille n’ a pas envie que cela s’arrête. Un petit tour par la ville de Sodome et c’est parti pour un grand huit, avec descente au fond des abimes et une remontée directe au septième ciel sans ascenseur. Après tout cela, Jeanne demande une pause. Cela tombe bien, moi aussi j’en ai besoin.
— Dis tu sais ton admiratrice, ce doit être une femme d’age mure. Je ne vois pas une jeune de vingt ans faire ça— peut être— fais voir son soutif.
Je lui donne, elle l’examine, le compare avec le sien. — Bien qu’elle est enlevée l’étiquette, je penche pour 90BElle prend le string, le met. Elle dit : Taille 80 de tour de hanche.
Je souris, j’avance. Si j’en crois Jeanne, mon admiratrice a au moins quarante ans, elle est pas mal foutue. Une belle poitrine qui doit bien se tenir, il n’y a pas d’armature au soutien gorge.
Après avoir manger un morceau, on remet cela avec Jeanne. On termine par une cravate de notaire. Je suis complétement vidé. Je dis à Jeanne qu’elle n’avait pas baisée du tout aux states pour être dans un tel état de manque. Elle me regarde, et me répond. "Oui, c’est pratiquement cela, une fois et très mal".Je ris :-A ces américains pas très doué, dis jeC’est elle qui rit à son tour-Non, c’était un français de passage
Sur ceux, nous nous endormons
Quand je me réveille, Jeanne est partie. Un petit mot de remerciement sur la table.
En passant dans le couloir, j’ aperçois une enveloppe glissée sous la porte.Je prends l’enveloppe, je la reconnais. Je l’ouvre, sors quelques cheveux.Elle s’est rasée la tête pour que je la reconnaisse à coup sur
Je lis:

"Monsieur,
Je vous dédie ces poils.Ce sont les poils de mon pubis. Vous pouvez remarquer qu’il y a un peu de cire dessus.J’ai été hier après midi chez une esthéticienne et je lui ai demandée de me faire l’épilation intégrale.J’espère que vous appréciez les femmes entièrement lisses.A partir d’aujourd’hui, je serai lisse.Ainsi, quand vous soulèverez le pan de d’une jupe, que vous verrez une chatte lisse, peut être que ce sera moi.

Une admiratrice très excitée et en attente d’être découverte."

Je bande. Cette salope, sans que je la connaisse me fait bander. Je ne suis pas en manque mais elle, je veux l’avoir dans mon lit.
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