CHAPITRE I (ROMAIN) : Marie, mon fantasme, mon rêve, ma copine Vous voyez cette fille là-bas, à l’autre bout du couloir ? Mais si, faites un effort. Plutôt grande et athlétique, brune tirant sur le châtain clair, la peau légèrement brunie … Le genre de latine qu’on regarde à la plage pendant des heures sans se lasser. Vous la voyez ? Bon. Elle s’appelle Marie, et c’est ma petite amie. Admirez son sourire éclatant, son visage lisse sans défaut et ses yeux envoûtants ! Pendant cinq longues années passées à la côtoyer en tant qu’amie, j’ai appris la patience, la vraie. Mes quatre années collège et ma première année lycée ont été, ce qu’on pourrait appeler la « période de courtisation ». Bien sûr ce mot ne veut rien dire, sinon que pendant cinq ans, je l’ai aimée et courtisée ardemment sans succès. La jeune fille modèle et bien mise qu’elle était refusait de sortir avec un garçon avant de savoir s’il était vraiment amoureux, si elle était prête, etc … C’est long, cinq ans. Cinq ans à essuyer des refus et des reproches. « Tu es sorti avec d’autres filles, ça veut dire que tu ne m’aimes pas vraiment ... »J’avoue avoir ma part d’erreurs. Sans vouloir me vanter, je corresponds au stéréotype du beau gosse : bronzé, plutôt musclé, sourire charmeur, drôle. Alors oui, effectivement, je n’ai pas pu résister à la tentation de sortir avec une ou deux filles. Mais elles n’étaient rien pour moi, Marie était tout. Et finalement, après avoir fantasmé sur elle pendant cinq années, j’ai finalement réussi. Au début de l’été post-seconde, nous étions ensemble. J’ai tout fait pour être le petit ami parfait qu’elle ne pouvait que désirer. Aujourd’hui, nous sommes en première et notre couple dure depuis plus de six mois alors que le printemps battra bientôt des ailes pour chasser l’hiver. Jamais je n’aurais pensé que cette fille bon chic bon genre se révélerait être un tel phénomène au lit. Laissez moi vous raconter quelques unes de nos aventures … ~ Le début de notre relation n’a pas été particulièrement chaste. Je patientais depuis longtemps, et le fait de me retrouver seul avec elle dans sa grande maison m’excitait particulièrement. Cela faisait trois semaines que nous sortions ensemble. L’été battait son plein. Nous nous retrouvions chaque après-midi à la plage, en face de chez elle. Je devais rester dormir chez elle ce soir là, car ses parents et son frère seraient absents. — Allez Romain, viens te baigner avec moi ! Mon amour m’implorait très théâtralement d’aller me baigner avec elle, mais je voulais profiter du soleil encore un peu en faisant une sieste, tranquillement sous le soleil battant. Voyant que je ne céderai pas, elle finit par se diriger seule vers la mer. Mon sexe ne put s’empêcher de se raidir quand je vis ces deux fesses délicieusement moulées par un bikini jaune et vert, rebondir tendrement au rythme de ses pas sur le sable chaud. Par chance, la plage devant sa maison est presque privée car les rochers forment un genre de crique naturelle autour ; j’étais donc seul sur la plage, le sexe dressée hors de mon short de bain, ma copine loin de moi en train de se baigner. Je décidai tout de même de m’en tenir à mes promesses et de dormir. Le soir, vers 19h, le soleil était toujours haut dans le ciel lorsque nous décidâmes de rentrer. Comme à son habitude, Marie allait se doucher pour retirer le sel de sa peau. Je décidai de rentrer par effraction, nu, dans la salle de bain où elle se douchait. Tous mes sens en éveil, je la vis nue, de dos, chantonnant sous la douche ; son bikini reposait en vrac au pied de la douche. Pris d’une pulsion, j’ouvris la porte de la douche. Sous la surprise, elle se retourna vers moi et murmura : — Romain ? Mais qu’est-ce que tu -
Un baiser interrompit sa phrase. Je l’embrassai longuement, mes mains caressant ses douces fesses, son corps chaud contre le mien. — Je t’aime Marie. Elle découvrit mon sexe, tendu sur sa peau. — Romain … Regarde dans quel état tu te mets. Elle arrêta la douche et descendit sur ses genoux. — Laisse moi t’aider avec ça, me dit-elle tendrement Elle commença par me branler doucement, ses deux mains agiles astiquaient mon pénis dur comme la pierre. Elle lécha ma verge une première fois, un peu timidement, puis remonta sa langue vers mon gland. Je ne puis m’empêcher de pousser un gémissement de plaisir. Elle me prit en bouche, et me tailla une pipe dont je me souviendrai toute ma vie. Elle s’arrêta peu après et s’excusa candidement : — C’est la première fois que je fais ça …— Tu es parfaite ma chérie. Continue s’il te plaît. Elle continua, plus sûre d’elle. Sa langue tourbillonnait dans sa bouche autour de mon gland. Elle allait trop vite. Le rythme était trop soutenu. J’aurais voulu que cette fellation continuât éternellement, mais son talent caché pour la pipe se révéla au grand jour. — Marie ! Je répandis mon sperme dans sa bouche délicate en plusieurs spasmes. Elle avala le tout, se releva et me dit, gourmande : — Délicieux, Romain, j’en prendrais bien plus souvent … J’étais aux anges. Je m’étais masturbé tant de fois en rêvant de ce moment, et ce moment était finalement devenu réalité. Nous sortîmes de la douche, nous séchâmes rapidement, puis, en tenue d’Adam et Eve, nous nous dirigeâmes vers sa chambre sans plus attendre. Elle arriva la première, sauta sur son lit et atterrit sur le dos, un sourire coquin aux lèvres. Je me positionnai au-dessus d’elle et l’embrassai amoureusement pendant de longues minutes. Puis, me détachant de ses lèvres, je descendis progressivement les miennes tout le long de son cou. J’atteignis ses jolis seins bien fermes, un peu rebondis, et lui léchai ses tétons pointés. Elle gémit doucement. Je continuai ma descente vers son ventre, et atteignit finalement le fruit interdit. Elle écarta ses cuisses et je pus enfin contempler la 8ème Merveille de mon monde. — Ne me fixe pas, c’est gênant … murmura-t-elle— Désolé Marie, ta chatte est magnifique …En effet, sa petite chatte rasée était superbe. Je la couvris de baisers et passa ma langue sur ses lèvres humides. Elle gémit tendrement. Mes mains commencèrent à s’activer, je la pénétrai d’un doigt, puis de deux, pendant que ma langue s’occupait de son clitoris. Marie gémissait, se retenait bien mal de crier et prit ma tête dans ses mains pour la plaquer contre son sexe. Je pris cela comme un signal et décidai d’accélérer le rythme de mes caresses. Elle jouit dans un grand cri, et sa chatte eut plusieurs spasmes puissants. Je ralentis la cadence progressivement, puis vint m’allonger à côté d’elle. Nous nous embrassâmes longuement. — Romain … Je t’aime. Ma chère Marie continua de perfectionner ses techniques de fellation tout au long de la soirée et s’améliora toujours alors que cela me paraissait à chaque fois impossible. Pour ma part, j’améliorai mon doigté et ma technique de langue. Mais nous ne fîmes notre première fois ce soir là. Je vous le raconterai. Plus tard.
