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L'adonis

Chapitre 1

Hétéro
Ce matin, Laure m’a dit que quelqu’un de sa connaissance pouvait m’emmener jusqu’à Dijon. J’étais ravie... d’autant que, connaissant son goût immodéré pour les filles, je pensais qu’il s’agissait d’une amie. Ben non ! L’ami en question se prénommait Maxence. Je me voyais déjà repousser inlassablement ses avances de gros pervers.
— Mais qu’est-ce que tu racontes ? Il est marié comme toi et il est...— Quoi ? — Tu verras.
Du coup, le fait qu’il fut marié me rassura, mais le « il est... » beaucoup moins. Balle au centre ! Je pars avec lui ? Non ! Ce « il est » m’inquiète trop. Oui, mais... ça me fait une sacrée économie s’il m’emmène. Décide-toi, Suzie, décide-toi ! Ce que je peux m’énerver lorsque je suis comme ça ! J’hésitai encore lorsque Laure m’informa que Maxence serait en bas de chez moi lundi à 7h00. Bon ben les dés sont lancés on verra bien. J’ai bien envie quand même d’aller m’acheter un « Taser ». Un petit truc discret qui pourra le faire tenir tranquille. Bon d’accord, mais faudra pas que je m’en serve pendant qu’il conduit. Dimanche soir, 21h00 : Je mets quoi demain ? Pantalon... jupe... robe... ou un truc bien repoussant ? Je ferme les yeux, laisse courir ma main en l’air et l’abats subitement sur le lit... sur la robe. Bon ! Je me reproche aussitôt de n’être pas allée acheter mon Taser. Je mettrai un couteau de cuisine dans mon sac. Ça fera l’affaire.
Le réveil me tire d’un chouette rêve à six heures. A 6heures trente, j’ai le nez collé aux carreaux. 6H45, j’y suis toujours et je vois un gros monospace se garer devant l’entrée. J’écrase le nez contre la vitre. Personne ne descend. Ça doit être lui. J’attrape la poignée de ma valise et j’entends marmonner derrière moi. C’est Daniel, mon mari. Il a encore les yeux bouffis de sommeil.
— Je m’en vais, lançai-je à la volée.— Elle est là ?— Oui.
Il croit que je pars avec une amie de Laure. Je n’ai pas jugé utile de l’inquiéter. Je lui claque un gros bisou sur la bouche puis je me dépêche avant qu’il ait le temps de me répéter dix fois de l’appeler. Pas de bol ! L’ascenseur tarde et j’y ai droit. Je promets... une fois... deux... Chic, la cabine arrive. Je m’y engouffre avant que Daniel ne réclame un autre baiser. Il a une haleine de chacal le matin ! Lorsque j’ouvre la porte cochère et que je « le » vois, je heurte la butée d’arrêt, manque de tomber et atterris... dans ses bras. La vache, ce qu’il est beau ! La fée qui s’est penchée sur son berceau était sacrément douée ! Je reste comme une conne, la tête basculée sur son épaule.
— On y va ? lance-t-il tout en m’aidant à me redresser.
Sa voix me procure des frissons. Grave... chaude... Merde ! C’est lui qui va avoir besoin d’un Taser si ça continue. En m’installant à côté de lui, je me dis que je suis grave jalouse et je suis certaine que sa femme ne le mérite pas. Pourquoi j’ai pas eu droit à un beau mec comme ça ? Je suis plutôt canon dans mon genre. Oui bon, j’ai peut-être les nichons un peu trop gros, ça déséquilibre le reste, mais mon cul...
Holà on se calme ma vieille. Je le détaille du coin de l’œil. Je vois ses pectoraux se trémousser sous la fine étoffe de sa chemise. Il le fait exprès ? Il doit avoir de jolies tablettes de chocolat, non ? Je descends discrètement et là... je n’ose pas imaginer. Ou plutôt si ! Longue... épaisse... dure ...

J’ai une bouffée de chaleur. Une grosse bouffée ! Mon cœur s’emballe et mes cuisses applaudissent ! Merde calme-toi Suzie ! Ouf il lance une musique de jazz. Mes hormones se calment rapidement. Il n’ose pas entamer la conversation. Moi non plus. Puis soudain, il se décide et me demande ce que je fais dans la vie. Et là, je ne peux plus m’arrêter. Je lui parle de mes enfants, de mon mari, de tout un tas de choses dont il n’a rien à faire, mais ça m’aide à garder mes hormones à un seuil acceptable. Plusieurs fois, il tourne son visage d’ange vers moi et je plonge dans ses yeux bleus. Je m’étire puis je passe le bras derrière son appui-tête. J’ai envie de caresser ses cheveux blonds. Comment va-t-il le prendre ? Peut-être que je ne lui fais pas envie. On est déjà à Mâcon et il n’a rien tenté. Pas même un propos équivoque. Il n’est quand même pas fidèle...
Si ? Parce que ça, ça serait dégueulasse. Rien ni personne n’a le droit d’interdire à un si beau spécimen de répandre sa semence. C’est un crime contre la nature ! De ma main libre, négligemment, je tente de dégager un peu ma poitrine puis je remonte ma robe à mi-cuisses. Ça, c’est un signal ! Mince, il s’engage sur une aire de station-service. Je le laisse faire le plein puis je me précipite aux toilettes. Pour faire pipi et pour retirer mes sous-vêtements. On ne sait jamais. J’ai envie d’être facilement accessible. Il n’a rien fait, rien dit et je me sens déjà salope ! Vous le croyez, ça ? Un cappuccino plus tard, nous poursuivons notre route. Ça y est, je me suis décidée à lui toucher les cheveux. Chic, ça a l’air de lui plaire. Il me sourit. J’ai envie qu’il pose sa main sur ma cuisse. Qu’il se rende compte que je n’ai pas de culotte. Que je suis disponible ! Rien ! Alors ma main caresse ses épaules. Je glisse deux doigts entre peau et tissu. Il ne réagit pas.
Et moi j’ai des bouffées de chaleur. Une forte chaleur ! Je passe à la vitesse supérieure : je tire sur ma robe pour découvrir l’intégralité de mes cuisses puis je place mon pied droit sur mon genou de telle sorte que s’il tourne la tête il ne peut manquer de voir ma chatte. Je n’ai jamais fait ça. Jamais ! Mais il est trop beau. Et je ne peux me résoudre à laisser passer ma chance. Après deux minutes, il tourne la tête. Enfin ! Il me sourit puis reprend sa conduite. Je suis vexée et j’ai envie de lui dire ses quatre vérités. Non, mais ! J’en connais tout un tas qui se serait déjà jeté sur moi ! Quel connard ! Oui, mais quel canon ! Il me le faut pour que je puisse raconter aux copines que j’ai été baisée par un apollon ! Qu’est-ce que je peux faire de plus ? Si je vais plus loin, je vais passer pour une grosse salope. C’est peut-être ça qu’il attend l’animal ! De toute façon, il faut que je tente quelque chose, on n’est plus très loin de Dijon. Alors je bascule le dossier.
— Un petit somme ?
Ouais, t’as raison, regarde plutôt. Je glisse la main entre mes cuisses et je commence à me masturber. Je ferme les yeux un instant et lorsque je relève les paupières, il me regarde. Je suis surprise. Il croit que je vais m’arrêter.
— Vous pouvez continuer, ça ne me dérange pas.
Alors là je réponds du tac au tac.
— Vous voudriez pas m’aider par hasard ?
Il garde les mains sur le volant puis soudain part à l’assaut de mon clitoris. Il le roule entre le pouce et l’index. Je n’arrête pas de me trémousser. J’ai envie de sa langue... et puis de sa... mais bon la langue ça serait déjà bien. Oups ! Je ne vais pas tarder à jouir. Alors je serre les cuisses.
— Je vous ai fait mal ?— Non, je... Je...
Ça y est je bafouille... Puis ça part d’un coup :
— Vous voulez pas me lécher ?
Je n’en reviens pas. C’est parti tout seul. Il va refuser, c’est sûr ! Mais deux kilomètres plus loin, il s’engage sur une aire de repos et se dirige à l’écart. Je saute sur la banquette arrière alors qu’il descend. Je m’allonge et je m’offre à sa langue. Nom de non, elle a dû en lécher des chattes pour les connaître aussi bien. Je jouis deux fois. Je me redresse sur les coudes et je descends la main. Sa queue est raide. Je plonge dans ses yeux.
— Baise-moi.
Il me caresse le visage en répondant :
— Non.
Je ne désarme pas.
— Je suis trop moche ?
Il éclate de rire et moi j’éclate :
— C’est quoi alors bordel ?
Il me regarde dans les yeux.
— Je ne veux pas baiser une autre femme que la mienne.
Merde c’est foutu, il est fidèle ! Je tente le lot de consolation.
— Je peux te faire une pipe quand même ?
Il se redresse, descend son pantalon... et je vois sa bite déformer le boxer ! S’il n’a pas rajouté une canette de coca pour faire du volume... sûr, je vais m’étouffer ! Pas de canette. Nom d’un chien, je n’ai jamais vu une queue pareille. Du coup, je suis partagée entre la gourmandise et l’appréhension. Mais je me lance. Je décalotte le gland, je le lèche, je le tète... je le gobe tout en palpant ses majestueuses couilles que je m’empresse de lécher. J’ouvre grand la bouche. Pas suffisant. Je force un peu et je parviens à l’enfourner. Pas sûr que je puisse faire une gorge profonde. J’essaie quand même. Je la sens contre ma glotte, mais elle n’est pas toute rentrée. Soudain, je me mets à pomper frénétiquement. Je veux qu’il décharge dans ma bouche, mais au dernier moment, il se retire pour m’inonder le visage. Je goûte quand même son sperme. Je regarde sa bite perdre un peu de consistances, et je me demande si sa taille n’est quand même pas démesurée. Anormale !
Finalement, je ne me sens plus frustrée qu’il ne m’ait pas baisée et je frissonne même à l’idée qu’il aurait pu alors être tenté de me sodomiser... J’aurais dû passer par l’hôpital de Dijon direct ! Une demi-heure plus tard, je le remerciai... pour tout, avant de quitter sa voiture. Le soir, j’appelai Daniel comme promis puis je passai plus d’une heure avec Laure à laquelle je racontai... tout ! Vers minuit, je rappelai Daniel pour lui souhaiter bonne nuit.
Je fermai les yeux sur une dernière pensée : moi, l’ado boutonneuse, j’avais taillé une pipe à un adonis !
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