Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 84 J'aime
  • 8 Commentaires

Adrien, emporté par la vague !

Chapitre 3

Travesti / Trans
— « Putain » fut mon cri à la sonnerie de mon réveil !
Pour ce premier week-end après cette première semaine de travail dans la capitale, quelle idée d’avoir accepté l’invitation de Mme DUVERT. Se lever à 7h30 pour une journée non travaillée, ce n’était pas trop mon truc, mais je dois être prête vers 10h30 maximum afin qu’Anaëlle vienne me maquiller, elle-même devant partir à 11h00 dans sa famille pour le repas.
Direct une douche, presque froide, me dynamise. Dans les sacs "cadeau" de mme DUVERT, je me souviens, il y avait un peignoir en satin rose, je ne sais pas pourquoi, mais je refouille dans ma nouvelle garde-robe afin de le trouver, je l’enfile, mais c’est super agréable cette douceur du satin, cette fluidité. Je prends mon petit-déjeuner, retourne à la salle de bain pour me raser de très près, puis reviens dans la cuisine pour un deuxième café.
Le temps ayant l’air clément, je vais sur mon balcon boire ma boisson chaude, une petite brise passe sous mon peignoir et j’avoue que cela me fait un petit plaisir, limite une petite érection commence à pointer. Je fais des allers-retours sur ce balcon qui longe ma cuisine, ma salle et ma chambre. Bien sûr je cherche à ce que ce petit air continue d’arriver sur mon entrejambe. Mon sexe atteint une demi-molle quand je m’aperçois que de l’autre côté de la rue, presque en face, il y a un couple qui fume sur leur balcon. Je crois qu’ils ont compris mon manège et ça les fait sourire. Nos regards se croisent et ont comme conséquence de faire retomber tout effet, je me rentre, car j’ai déjà assez perdu de temps.
Je finis ma toilette et reviens dans ma chambre. J’enfile difficilement cette guêpière, j’intègre mes faux seins silicone (qui étaient avec le sac de maquillage de Sissy DUVERT, j’accroche ensuite mes bas puis rajoute un string dentelle, mes pieds glissent presque naturellement dans les escarpins. J’allais pour retourner à la salle de bain, mais je m’aperçois que ce petit string dentelle est vraiment petit pour contenir mon membre surtout que mon habillage sexy m’a redonné une érection. Il faut que je "désarme" tout cela aussi, je me jette sur mon canapé et entame une masturbation express. De repenser à cette douce sensation de brise sous mon peignoir suffit à arriver à une éjaculation maîtrisée en pinçant mon prépuce. Je cours aux toilettes vider tout cela puis repars à la salle de bain après avoir entre temps renfilé le peignoir.
Ma perruque est enfin attachée quand Anaëlle frappe à la porte, à peine la porte est entrouverte que je vois son regard tout sourire me balayer de la tête aux pieds. Elle est pressée, aussi nous partons au maquillage.
— Dis donc t’es certain de n’avoir jamais mis d’escarpins avant, tu marches vachement bien avec.— Ah ça, je te l’assure, mais mes pieds sont bien calés dedans, le talon ne bouge pas, alors c’est peut-être pour cela que je trouve des appuis sans problème.— Eh joli ce petit peignoir !— Ah oui et confortable voire plus.
Je lui raconte ma séquence sur le balcon.
— Mais vous les femmes, dans vos tenues légères, ce n’est pas ce que vous recherchez ces effets avec les petits courants d’air ?— Sans doute, inconsciemment, c’est vrai que moi l’été, vraiment dans les grandes chaleurs, j’opte facilement pour une robe légère sans sous-vêtements et je ne te cache pas qu’il peut y avoir par moments quelques petits instants assez agréables. J’ai presque fini, tu m’autorises à enlever quelques sourcils encore, ça ferait mieux.— Mais Madame DUVERT a déjà fait beaucoup.— Oui justement, mais elle a dû hésiter, et cela mélange d’arrondi et de pointe, ça fait moche, fallait faire l’un ou l’autre, là si tu veux quelque chose de sympa maintenant, il faut finir en pointe. Je fais et te montre, vas-y regarde.— Wouah c’est super fin, ça fait vraiment femme.— Normal que vois-tu dans le miroir, une femme non ?
— Oui en effet, mais quand je vais être de retour en homme, ça va faire bizarre.— Je crois que tu n’as plus qu’à t’épanouir dans un look androgyne, comme cela, tu seras à l’aise partout, tout le temps.— Quand je repense qu’il y a à peine 10 jours, j’étais encore dans une usine avec ces métallurgistes qui me traitaient de tapette, ils me verraient maintenant, je ne te raconte pas les commentaires.— Eh bien pourquoi crois-tu que ton ancien patron t’a conseillé de venir à Paris, parce qu’il a vu que tu étais un peu différent.
Anaëlle m’accroche des boucles d’oreilles à pince, je délaisse mon peignoir pour enfiler ma robe, elle me remonte la fermeture éclair.
— Te voilà parfaite Adrienne !
Je tourne sur moi-même devant le miroir après avoir mis une petite veste et attrapé mon sac à main.
— Tu es toute belle Adrienne, les mecs vont te "chauffer" tu vas voir.— Pas intérêt, bon je vais changer de culotte.
J’échange mon string contre un tanga noir plus couvrant. Anaëlle, assise dans le canapé, me fait signe de venir devant elle, j’approche très près, nos jambes se touchent, ses mains m’attrapent le côté des cuisses puis soulèvent ma robe, je vais pour parler, elle lève les yeux et me fait "chuuuuuut". Mon tanga vient de glisser le long des jarretières puis tombe à terre. Je reste en arrêt, les mains d’Anaëlle caressent mes bourses, mon pénis est désormais au garde à vous et il disparaît directement et entièrement dans la bouche d’Anaëlle. C’est la bouche pleine qu’elle regarde l’heure sur son téléphone et se met à accélérer violemment. Je n’oppose aucune résistance, tout mon foutre part sur les amygdales d’Anaëlle. Elle me lèche le gland pour un nettoyage parfait puis vient me rouler une vraie et grosse pelle. Nos langues se croisent entremêlées de sperme.
— Mais tu m’as refilé mon sperme, c’est pas cool.— Peut-être aujourd’hui tu vas croiser un homme que tu auras envie de satisfaire.— Mais je ne suis pas gay.— Regarde-toi, tu n’as pas vraiment l’image d’un mec viril (dit elle en riant) et peut-être que Mme DUVERT a invité ton "binôme de poubelle" Corentin, tu m’as pas dit qu’il t’avait posé la main sur la cuisse ?— Si, mais je ne vois pas le rapport et de toute façon il ne sera pas là.— Je suis certaine que si Mme DUVERT a vu son geste, elle l’aura invité. Tu l’as repoussé, sa main ?— Non, ça s’est passé trop vite.— Donc, lui comme elle, pensent sans doute que tu n’es pas farouche... allez j’y vais.
Anaëlle m’embrasse et disparaît.
Me voilà prête et j’avoue que ce que je vois dans le miroir ne me déplaît pas, bien au contraire, je me trouve plutôt mignonne. Je viens de repenser que je n’ai rien à emmener, à offrir, puisque j’ai un peu de temps, je passe juste aux toilettes puis sors au grand jour. Ça y est, Adrienne est bien vivante, à part sur la descente d’un trottoir où je fus un peu chancelante, la marche en escarpins ne me pose pas de soucis.
Je croise des personnes, j’ai l’impression que tout le monde me regarde, mais en me retournant, je vois que je fais vraiment illusion.J’achète un petit bouquet de fleurs, ma voix un peu éraillée par le stress ne choque pas la vendeuse, cela me met en confiance. Je file chez un caviste, je vois qu’il mate un peu ou plutôt beaucoup "sa p’tite dame" comme il dit, tout se passe bien aussi, ouf.
C’est donc toute rassurée et épanouie que j’atteins le quai du métro. Assise dans le métro, je m’aperçois que je ne me tiens pas comme une femme, aussi j’essaye de croiser mes jambes. Trop compliqué, mon "service 3 pièces" bloque la remontée d’une cuisse sur l’autre. Je me contente donc de garder les genoux collés, mais même cela ce n’est pas évident. A un arrêt, monte dans le métro un homme qui ressemble à un ancien collègue de province, cela suffit pour m’envoyer un coup de stress.
Intérieurement, je me dis, Adrien, ressaisis-toi, réveille-toi, en moins d’une semaine te voilà déambulant dans Paris en travesti, oh, mais où vas-tu t’arrêter. Tout se bouscule dans ma tête, j’arrive à ma station de descente, cela m’oblige à réagir et à bouger. Je gamberge toujours en remontant les escaliers, je me dis que tout un repas avec Mme DUVERT, ça risque d’être long, j’ai presque envie que Corentin soit là, même si Anaëlle m’a inquiété avec ce qu’elle m’a dit sur lui. Je ne me sens pas homo du tout, donc je ne sais pas si toutefois la prédiction d’Anaëlle était vraie, comment je dois réagir pour repousser ses avances sans le brusquer.
Je suis de retour à l’air libre à 2 rues de ma destination quand j’entends "Adrienne", je me retourne, c’est Corentin, mais comment m’a-t-il reconnu, moi qui pensais vraiment faire illusion.
Il s’approche et directement me fait la bise.
— Mais comment m’as-tu reconnu ?— Je t’avais entendu parler perruque avec Mme DUVERT et donc je ne sais pas pourquoi, j’ai senti que cela pouvait être toi et après tes mains t’ont trahi.— Mes mains ?— Oui les seules choses qui font encore masculines chez toi.— Oh zut, de ce fait, je ne sais plus où les mettre. On y va ?— Tu es vraiment mignonne, tu sais ? Voire "classe" !— Merci.
Madame DUVERT est à sa fenêtre quand nous arrivons.
— Ça va les jeunes ? Vous êtes bien assortis tous les deux.
Corentin sourit, moi je m’inquiète de voir Mme DUVERT essayer de faire l’entremetteuse. J’en suis silencieuse, heureusement Corentin est plus bavard.
— Ça va, on vient juste de se rejoindre dans la rue d’avant, j’ai deviné que c’était Adrienne, j’avais entendu parler de la perruque et quand j’ai vu ses mains, je me suis dit qu’une vraie femme prendrait plus soin que cela de ses ongles.— T’as raison Corentin, Adrienne, viens dans la salle de bain, tu ne peux pas rester comme cela. Corentin prépare l’apéro, nous les femmes on prendra un vin doux.
Bon visiblement, je vais tout subir, même le choix des boissons. Arrivée dans la salle de bain, Mme DUVERT me fait signe, aussi je tends les mains sans discuter. Elle lime, elle colle, elle coupe, elle vernit d’une façon très énergique, quand j’essaye de dire quelque chose, elle lève et rabaisse les yeux, me faisant comprendre de la laisser faire. Rapidement, je me retrouve avec des belles mains dont toutes les extrémités sont désormais "red cherry".
Nous rejoignons Corentin et trinquons. Le repas se déroule assez rapidement, Mme DUVERT est une bonne cuisinière.
Lourdement, en me regardant, elle précise que pour tenir un homme, il faut savoir faire des bons petits plats. Comme par hasard, nous sommes assis côte à côte avec Corentin et je vois qu’il ne se gêne pas pour me mater les cuisses plus que régulièrement, mais aussi souvent, il remet correctement sa serviette sur ses genoux et maladroitement sa main vient toucher le côté de ma cuisse.Mme DUVERT en nous servant le café, nous précise qu’arrive l’heure de sa sieste et nous demande nos projets pour l’après-midi.
— Corentin, tu pourrais faire visiter Paris à ta nouvelle amie, non ?— Bien sûr, avec plaisir, qu’as-tu prévu Adrienne ?— Rien, mais il faut peut-être que je repasse me changer, je n’ai pas une tenue pour faire beaucoup de marche.
Ensemble, ils me disent : "tu es parfaite comme cela"
— Tu te tiendras au bras de Corentin dans les rues pavées.— Oui, tu t’accrocheras à moi.
Il en profite pour poser carrément sa main sur ma cuisse, je le repousse gentiment avec un sourire. Nous voulions aider à débarrasser la vaisselle, mais Mme DUVERT est fatiguée et préfère gérer tout cela après sa pause. Nous la remercions vivement et c’est avec un visage radieux qu’elle nous voit partir, moi accroché aux bras de mon guide touristique.
Je le lâche dès que la rue est droite et sans encombre, il a vite compris aussi je crois qu’il fait exprès, car nous enchaînons les petites rues pavées et les escaliers. Je dois bien dire que je comprends que certaines femmes évitent les tenues comme la mienne, car entre les talons aiguilles qui viennent se coincer entre les pavés et ma robe, qui étant assez étroite, limite mon enjambée dans les escaliers, cette promenade me demande beaucoup de concentration.
Je ne résiste plus, aussi je reste constamment accroché à Corentin tout le reste de l’après-midi. Nous parlons de tout et de rien, il est vraiment sympa, je suis très détendue, je ne me pose même plus de questions si je fais illusion ou pas, je suis Adrienne au bras de Corentin, je me sens bien et c’est un bon guide.
Nous discutons beaucoup, racontant notre vie. Nous faisons une pause (bien méritée pour mes pieds) sur une terrasse afin de nous désaltérer. Arrive le sujet de nos expériences amoureuses (sous-entendues sexuelles) passées. Corentin est très franc, il s’annonce BI, a essayé les 2, mais penche de plus en plus vers les hommes et son fantasme et de sortir avec un travesti, au moins son message est clair, je suis sa cible, je lui souris, un peu gênée. Je lui dis que je suis hétéro, que j’ai eu très peu de relations avec les filles, m’estimant pas très doué pour les ébats amoureux.
— Toi, hétéro, mais tu penses avoir du succès avec les femmes en travesti ?— J’ai du succès avec ma voisine, mais c’est plus par jeu.— T’as jamais rien ressenti pour un mec ?— Jamais pensé.
Nous repartons, tous les deux songeurs, il faut être réaliste, il se passe quelque chose. Corentin propose de dîner vers Montmartre et finir après le repas par une descente "by night" des Champs-Élysées, je me laisse guider.
Je reçois quelques sifflets, heureusement, je reste accroché à mon garde du corps. Nous prenons le métro et comme il est assez chargé, nous restons debout, Corentin se colle à moi en protecteur, sa main posée sur mon dos. Le trajet se faisant, sa main commence à se balader tout le long de mon dos, son regard me dit "laisse-toi faire", ce que je fais, voilà que sa main me caresse les fesses, j’hésite à résister, mais j’avoue que cela me donne des micro-frissons loin d’être désagréables. Merde, j’ai le début d’une érection qui pointe, heureusement que j’ai échangé mon string contre un tanga, mon sexe reste pour l’instant entre mes jambes, s’il sort, obligatoirement ça se verra sous ma robe. Je chuchote à Corentin mon problème, il comprend et me lâche.
— Adrienne, hétéro, pas que ou plus, me souffle-t-il dans l’oreille.— Adrienne est perdue, mais Adrien se sentirait plus rassuré d’être un hétéro "classique".
Nous choisissons un petit resto sur une place au moment où des peintres remballent leurs affaires. Corentin s’occupe de choisir sur le menu pendant que je pars aux toilettes, ayant besoin de tout remettre en place.
— Madame, Madame, c’est de l’autre côté les femmes.
Merde, j’ai failli me faire "griller", c’est bon, sauvée par la serveuse.
Repas terminé, sympa, un peu trop alcoolisé et cela ajouté aux boissons du midi, j’avoue que je suis totalement désinhibée. Corentin le sent et en profite. Ses mains se baladent de plus en plus et tout d’un coup sous prétexte de regarder les sculptures d’une porte cochère, il me coince contre ces blocs de pierre et me vole un baiser.
Il voit mon regard apeuré et s’excuse, c’est de nouveau en silence, que nous continuons notre périple. Ses longues minutes me laissent réfléchir, je suis en travesti, je suis avec un mec plutôt mignon et sympa, les filles ne me font pas plus d’effet que cela, alors n’est ce pas l’occasion de vivre cette expérience, personne ne le saura, et si cela ne me plaît pas, j’effacerai cela de ma mémoire.Mon cerveau bouillonne, bon d’un autre côté, quitte à tester une relation homo, j’aurai préféré "faire l’homme", mais vu ma tenue, tenue ou après une journée, je m’aperçois que je me sens vraiment bien dedans, ça pose question, des questions encore des questions, et que des questions.
Corentin propose d’aller aux Champs Elysées en bus pour profiter de Paris la nuit. Je le suis, nous devons attendre le prochain bus, nous venons de rater de très peu le précédent. Je regarde toutes ses lumières, Paris est une très belle ville, c’est vrai. Corentin est juste derrière moi, je devine presque son souffle dans mon cou. Je ne me l’explique toujours pas, pourquoi frénétiquement je me suis retourné, posé mes mains sur ses épaules puis derrière sa tête et me suis mis à l’embrasser vigoureusement. Ses deux mains attrapent virilement mes fesses pour venir coller nos corps très fort. Je m’oublie totalement, je profite, le temps est arrêté, le bus arrive, nous le laissons partir sans nous. Le baiser s’arrête, nous restons soudés, les yeux dans les yeux, en silence, encore.
Tout compte fait, nous continuons la balade, main dans la main, on est bien, mon cerveau se remet à chauffer. Intérieurement, je me dis, arrête de te poser trop de questions, y a pas mort d’homme, profite de l’instant présent, mais le lâcher-prise n’est pas très courant chez moi.
Corentin me propose de venir dormir chez lui, j’hésite. Nous rentrons, accrochés l’un avec l’autre, je parle sans arrêt pour tout et ne rien dire, peut-être pour évacuer un stress, même si étonnamment je me sens bien.Nous approchons de mon appartement, longeons un parc, des bruits d’oiseaux nous incitent à aller voir. On devine des canards jouant sur l’eau sous la lueur de la lune. On s’assoit sur un banc juste en face, l’air s’est rafraîchi, je me colle à Corentin, sa bouche se rapproche de mon oreille, c’est d’une toute petite voix qu’il me transmet ses songes.
— J’aimerais bien que tu deviennes ma femme.— Ta femme, mais je suis un homme, je te rappelle, même si cela ne se voit pas trop là.— Moi je vois ma femme idéale.
Il me pose un bisou du bout des lèvres. Il refait sa demande.
— Tu viens dormir chez moi.— Non trop tôt, j’ai besoin de réfléchir.
Sa main se pose de nouveau sur ma cuisse, à mon tour, ma main se pose sur la cuisse, sa main guide la mienne vers son entrejambe, mes doigts devinent quelque chose de long et dur. Corentin me fait comprendre de la "masser" à travers son pantalon. Il ne tient plus, ouvre sa braguette et sors son outil. Spontanément, je commence à le masturber, il me regarde en me faisant signe que ce serait bien que ma bouche s’approche de son engin, je refuse.
— Pas la première fois.
Il comprend, je finis sa branlette, il se vide entre mes doigts. Plutôt que de chercher un mouchoir pour m’essuyer, ma langue commence à lécher mes doigts, ça fait sourire Corentin, je lui en propose, il refuse.
Nous reprenons notre chemin, nous nous séparâmes après un long baiser comme un baiser d’adieu. Je crois que je vais avoir du mal à dormir.
Diffuse en direct !
Regarder son live