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Ah l'Afrique !

Chapitre 1

Hétéro
Ah l’Afrique ! Mon mari est ingénieur pour une grande firme étrangère et chef de chantier pour un projet minier en Afrique. Nous sommes mariés depuis 8 ans et avons deux enfants, une fille de 8 ans et un garçon de 5 ans. Notre vie commune est calme, beaucoup trop calme d’ailleurs. Il y a quelque temps, je suis allé lui rendre visite au chantier. Il y séjournais depuis plus de trois mois et mon séjour au village de la compagnie était prévu pour 14 jours. Après huit jours, ne pouvant plus supporter l’atmosphère du village, je décidai de me rendre dans la capitale afin de séjourner dans un hôtel de luxe, me faire choyer par le personnel et faire des achats. Mon mari ne pu se libérer immédiatement et me laissa m’y rendre seule, promettant de me rejoindre dans les deux jours, pour être avec moi jusqu’au moment de mon départ pour le retour au pays. L’avion n’étant pas disponible et devant mon insistance à partir, on mit à ma disposition une LandRover et un chauffeur, Rany, un superbe spécimen mâle africain, grand, baraqué et d’une couleur foncée luisante. Une large bouche dont le sourire révélait des dents blanches éclatantes, était en contradiction malheureuse avec son silence persistant. Le voyage devait durer entre 4 et 8 heures, dépendant de l’état de ce qu’ils appelaient la route et des incidents de parcours... Nous partîmes tôt le matin avec un soleil radieux, mais déjà nous en étions à près de 30C. Je m’étais vêtue le plus légèrement possible, blouse blanche ample, soutien-gorge léger avec attache au devant, jupe courte beige, petite culotte blanche et souliers de toile. Rani ne portait qu’un short bleu et des sandales de cuir visiblement usées. Toutes ouvertures dégagées, nous nous sommes engagés sur la... route... après les adieux réservés et pudiques de mon mari. Nous avons roulé ainsi pendant plus de deux heures, en ne rencontrant que de rares animaux sur notre parcours. Par contre, les regards de moins en moins discrets posés sur moi par Rany ne m’avait pas échappés et j’avais moi même entrepris de détailler avec attention son anatomie. Son corps était couvert de muscles puissants, même ses pieds étaient énormes... Mon imagination tentait de concevoir un pénis proportionnel à son physique et les images qui m’apparaissaient provoquaient des frémissements non équivoques dans mon intimité. En arrivant à une intersection de deux sentiers et de la route, Rany a immobilisé la Rover et m’a fait comprendre par gestes et en utilisant la gourde d’eau, qu’il voulait s’engager sur un des sentiers pour y trouver de l’eau, se reposer un peu, puis reprendre le voyage. J’ai accepté d’un hochement de tête, trop heureuse de pouvoir délier mes jambes. Après quelques minutes de parcours difficile, nous sommes arrivés à ne petite hutte et d’un vieux puits. Pendant que Rany se dirigeait vers le puits, je m’étais éloignée pour soulager mes besoins naturels. A mon retour, Rany buvait à grande gorgée de la gourde, puis me la remise afin que je le fasse également. Maladroite à cette pratique, j’ai renversé beaucoup d’eau sur ma figure, elle s’est infiltrée sous ma blouse et m’a fait frémir au contact avec ma peau chaude. La chaleur était devenue suffocante et je suis allé m’abriter dans la hutte, suivie par Rany. Une fois à l’intérieur, avant même que mes yeux se soient habitués à la pénombre, Rany m’avait brusquement prises au seins, par l’arrière et entrepris de les pétrir tout en mordillant le cou. D’abord ce fut douloureux et j’ai tenté vigoureusement de me dégager, sans succès, il était beaucoup trop fort pour moi. Puis la douleur s’est transformée en plaisirs et j’ai cessée toute résistance... Il a passé ma blouse par dessus mes épaules et toujours par l’arrière, m’a arraché mon soutien-gorge. Ensuite il m’a forcé les bras derrière mon dos et solidement attaché mes poignets avec ma blouse. Après m’avoir couchée sur le dos, sans ménagements, il m’a arraché en quelques gestes, mes souliers, ma jupe et ma petite culotte, me laissant toute nue et apeurée. Après s’être agenouillé à mon coté et m’avoir longuement détaillée du regard, il à pris mes seins dans sa bouche pendant que sa main s’insérait sans délicatesse entre mes cuisses... Après avoir caressé ma chatte, son pouce trouva mon clitoris et le malmena avec énergie pendant que ses doigts s’insérait un par un dans mon vagin. Hasard ou expérience, Rany avait trouvé mon point G en quelques instant et j’ai eut une première jouissance, courte mais intense. Délaissant mes seins, il a enfoncé sa tête entre mes jambes et entrepris de me manger la chatte et mordiller mes grandes et petites lèvres. Après m’avoir forcé à ouvrir les jambes au maximum de mes capacités, il avait aspiré mon clitoris et l’avais retenu délicatement entre ses dents... Le traitement qu’il m’a alors fait subir avec sa langue, m’avait à la fois paralysée par la douleur à chacun de mes mouvements et fais jouir et crier plus de cinq fois en quelques minutes... délaissant mon clitoris, il a enfoncé sa langue dans mon vagin tout en titillant et malmenant mon rectum avec ses doigts. Vierge de cet orifice, j’ai protesté, je n’aurais pas du... Il m’a retournée prestement sur le ventre et entrepris de lécher et d’humidifier mon trou en retirant son short. Après m’avoir solidement empoignée les hanches, j’ai senti une pression énorme sur mon rectum et je n’ai pas réussie à empêcher son membre que je sentais énorme m’enculer. J’avais lâché un cri de bête en ayant l’impression que mon cul allait éclater, heureusement il n’en fut rien. Il s’était retiré complètement et m’avait enculée à nouveau, au moins cinq fois de suite, toujours aussi vigoureusement. J’avais cessé de crier après la troisième fois et accueilli son dernier assaut d’un simple gémissement. Dès lors il avait entrepris de me limer le trou avec force, tout en massant ma chatte d’une de ses mains. Après quelques longues minutes, il s’était dégagé de mon cul et m’avait retournée sur le dos. Pour la première fois j’ai pu voir son pénis. Ma brûlure au rectum était justifiés, il avait un membre énorme, long et coiffé d’un gland gigantesque. Je n’aurais jamais imaginée dans mes rêves les plus ludiques, qu’un pénis aussi gros pouvait exister sans être artificiel... Après m’avoir a nouveau ouvert les jambes, il s’est enfoncé d’un coup dans mon vagin détrempé et vibrant et m’a baisée avec tellement d’énergie, que je n’ai pas réussie à retenir mes larmes et mes cris et j’ai alors connu des jouissances de plus en plus fortes de plus en plus profondes. Soudainement je me suis rappelée n’avoir pris aucun moyen contraceptif et être alors au sommet de mon ovulation... Je lui ai crié, je l’ai supplié de se retirer, mais physiquement je communiquais le message opposé en accueillant ses charges avec délectation... Au bout de plusieurs longues minutes de ce traitement il s’est soudainement immobilisé au fond de mes entrailles et j’ai senti ses giclées chaude et épaisse dans mon intimité. Après s’être retiré, il m’avait fait mettre à genoux devant lui debout et sans me laisser le temps de comprendre à introduit son pénis encore en érection dans ma bouche. Les mains toujours attachées derrière le dos, presque étouffée par son pénis, j’avais entrepris de lui prodiguer la meilleure fellation qu’il n’ait jamais reçu. Après un long moment, son gland avait sembler exploser dans ma bouche et j’avais reçue et avalée une grande quantité de semence avec un goût légèrement acidulée. Rany était sorti de la hutte, me laissant couchée sur le sol, toujours attachée. Je me rappelle m’être endormie brièvement... Je fut réveillée par un début de jouissance et découvrit qu’il avait la tête entre mes jambes et léchait tour à tour ma vulve et mon clitoris... Voyant que j’étais à nouveau réceptive, il se leva me souleva et m’empala sur son membre... Il me lançait vers le haut et m’accueillait au retour d’un coup vigoureux de son immense pénis au fond de mon vagin. J’avais recommencé à jouir d’une façon désordonnée, à pleurer et à geindre. Une nouvelle fois son membre cracha sa semence brûlante dans mes entrailles. Sans pouvoir expliquer pourquoi, nous savions tous les deux qu’il me faisait un enfant et je savais déjà que je ne me ferais pas avorter, même au prix de mon mariage, maintenant je voulais désespérément ce souvenir de Rany... Tour à tour étendue sur le ventre, sur le dos et debout, dans l’heure suivante je subit avec délectation d’autres assaut et finit par perdre conscience et m’effondrer vide de toute énergie et pleine à déborder de sperme. Lorsque j’ai repris conscience, nous roulions sur la route et j’étais étendue, libre et nue à l’arrière de la Land Rover, mon linge près de moi. Encore faible, je me suis fait une toilette rudimentaire avec l’eau de la gourde et un linge et me suis habillée, avant de reprendre ma place à l’avant. Je me suis endormie à nouveau, pour me réveiller plusieurs heures plus tard à l’entrée de la capitale. Aujourd’hui je suis séparée, je n’ai jamais revu Rany mais j’ai un fils superbe, d’un noir ébène et prometteur pour son physique... il fera des ravages...
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