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Agadir sans lendemain...

Chapitre 1

Ma sublime inconnue !

Erotique
La semaine dernière, je suis allé au Maroc, plus exactement à Agadir, pour raisons professionnelles. J’étais invité par un entrepreneur de là-bas pour éventuellement travailler sur le projet du tout nouveau téléphérique qu’il est en train de construire pour relier le centre-ville touristique à la kasbah située au sommet de la colline en surplomb de celui-ci, puis à un immense parc d’attraction prévu sur la montagne suivante. Les premières journées ont principalement été consacrées à la découverte du projet et des différentes personnes qui travaillent dessus, avec bien sûr visite des chantiers qui ont déjà débuté, ainsi que des principaux lieux importants de la ville et sa région. C’est donc seulement le vendredi après-midi que j’ai pu profiter du parc aquatique dans lequel j’étais logé, pour me reposer et apprécier les plaisirs du pays... Après un succulent couscous, je décide de rester encore un peu à la table où je suis, pour m’imprégner des us et coutumes du pays, pour regarder tous ces gens, principalement des marocains, qui s’agitent devant moi entre les différents bassins du parc aquatique. Il y a d’ailleurs beaucoup de familles, avec des enfants en bas-âge... C’est absolument fascinant, ce brassage culturel et sociologique où cohabitent des femmes complètement voilées et d’autres avec des strings et hauts de maillots de bain qui n’ont rien à envier à ceux des plages européennes, sans parler de celles en burkini. Etonnamment, ce sont ces dernières ou plutôt certaines d’entre elles qui attisent le plus mon intérêt et attirent mon regard, notamment quand elles sortent de l’eau avec leurs habits trempés et collés à leur corps au point d’épouser les courbes de celui-ci. Je leur trouve un érotisme brûlant, sans doute parce que le tissu parfois fin et rendu presque transparent par l’eau, suggère les formes appétissantes de leur féminité. Alors, bien sûr, j’essaye d’être particulièrement discret quand mon regard se focalise sur une de ces belles jeunes mamans, surtout dans ce pays à la culture différente de la mienne. Je m’imagine d’ailleurs que cela pourrait très vite dégénérer si l’un des maris s’apercevait que je déshabille sa femme du regard comme je le fais depuis le début de l’après-midi !
Au moment où je m’apprête à quitter ma table pour aller faire une petite sieste dans mon bungalow, mon regard est capté par deux jolis petits culs en strings qui passent devant moi. Malgré leur jeune âge, je décide de suivre ces délicieuses femmes des yeux, alors qu’elles se dirigent vers le grand bassin... et c’est à ce moment-là que j’aperçois cette jeune et sublime maman habillée d’un burkini bleu ciel, qui sort de l’eau juste derrière sa jeune fille. Je donne entre 25 et 30 ans à l’excitante marocaine, mais c’est avant tout son magnifique cul et ses deux petits seins qui attirent mon regard. Elle ne semble pas porter de soutien-gorge, le tissu du burkini lui moulant la poitrine à la perfection et faisant même ressortir ses deux tétons qui pointent vers l’avant. Quant à son intimité, j’ai l’impression qu’un très joli et sexy tanga en dentelle l’habille, puisqu’on en devine les motifs à travers l’étoffe presque transparente du maillot de bain qui lui colle à la peau. Même si une partie du hijab lui couvre les cheveux, de belles mèches brunes éclairent son visage et mettent particulièrement en valeur ses magnifiques yeux légèrement maquillés. Bien évidemment, j’ai lâché du regard mes deux petits culs en string pour suivre cette jolie maman. À mon grand désarroi, elle se dirige directement vers un homme a priori un peu plus âgé qu’elle, qui est allongé sur un transat au bord de l’un des bassins. Le mec ressemble à un gros nounours et dénote avec la sublime brune... mais c’est de toute vraisemblance son mari, étant donné l’attitude qu’il a à l’égard de la femme et de la petite fille. Je ne sais pas d’ailleurs ce qu’il a pu lui dire, mais la maman tire sur le tissu de son burkini pour le décoller de son corps... ce qui a pour effet d’exciter encore un peu plus ma curiosité. Je continue donc de focaliser mon attention sur cette jeune femme...
Après être restée un court instant à proximité des transats, ma belle marocaine repart avec sa fille en direction d’un bassin pour ensuite retourner dans l’eau. Elles jouent un moment dans la piscine puis la jeune femme décide de ressortir, toujours suivie comme son ombre par la gamine... De nouveau, ses habits épousent parfaitement les formes de son corps, mais cette fois-ci, plutôt que de revenir vers son mari, l’excitante maman se dirige à l’opposé pour venir s’accouder à quelques mètres de moi, sur une barrière bordant le bassin et le petit podium d’animation situé juste à côté. Je peux admirer par transparence son superbe cul et ses jambes parfaites, même si je comprends très vite qu’elle s’est mise là avant tout pour aguicher les jeunes hommes chargés de l’animation et de la surveillance du parc aquatique. D’ailleurs, les jeunes marocains musclés et bronzés ont eux-aussi repéré la belle et excitante maman, chacun y allant de son “roulage” de mécanique avec, a priori, l’objectif de l’impressionner. Elle répond par de petits gestes discrets mais sans aucune ambiguïté quant à son envie d’allumer les mâles... J’aime regarder le balai érotique de cette jeune femme qui se meut avec lascivité et sensualité, chacun de ses gestes étant une invitation aux plaisirs du sexe et de la luxure. Parfois, je jette malgré tout un œil en direction du mari pour voir sa réaction, m’attendant à ce qu’il se lève d’un seul coup et vienne recadrer sa jeune épouse, étant donné le regard noir qu’il a depuis tout à l’heure. C’est d’ailleurs lors de l’un de mes coups d’œil, que j’assiste à une scène étonnante où le gros nounours appelle sa jeune fille pour lui dire quelque chose à l’oreille, avant que celle-ci retourne directement vers sa mère et commence à lui tirer ses habits, comme pour lui dire d’arrêter sa danse lascive et provoquante en public... La sublime brune est tirée sur quelques mètres par sa gamine, fait mine de danser avec elle sur les dallages chauffés par le soleil, puis elle revient au même endroit de façon toujours aussi féline et sensuelle. La scène se reproduit plusieurs fois de la même manière, malgré le fait que son mari se soit redressé sur son transat et qu’il semble prêt à bondir. L’homme à qui je donne facilement la cinquantaine, rappelle de nouveau la jeune fille, lui dit quelque chose, et elle revient immédiatement vers sa maman pour lui parler en arabe... Je ne comprends bien sûr pas les propos mais je m’imagine que la gamine rapporte le message du père et qu’il n’est pas tendre, car la jeune femme ne résiste cette fois-ci pas au tirage de ses habits et suit la petite. Néanmoins, la jeune brune laisse volontairement tomber sur le sol derrière elle un morceau d’étoffe noire. Son geste n’est d’ailleurs pas passé inaperçu aux yeux des jeunes employés du parc, car chacun d’entre eux essaye d’aller récupérer l’objet, systématiquement retenu par les autres. Je rigole de la situation et notamment de l’émoi provoqué par la jeune maman... mais j’ai surtout moi-aussi terriblement envie d’aller ramasser ce morceau de tissu que je prends pour un voile, et de le rapporter à sa propriétaire. Après avoir jeté un coup d’œil circulaire autour de moi pour vérifier que personne ne me regarde, je me lève et récupère le fameux objet de convoitise... Je réalise tout de suite ce qu’il est réellement, à savoir une très jolie petite culotte en dentelle noire. Mon cœur se met à battre la chamade, surtout que les jeunes marocains ont suivi mes gestes et me regardent d’un sale œil, comme si je venais de leur couper l’herbe sous le pied. Voyant la jeune femme auprès de son mari en pleine discussion avec lui, je décide d’aller me rasseoir à ma place, ne sachant pas quelle attitude adopter avec un tel objet entre mes mains... Je ne peux par contre pas m’empêcher de porter discrètement la petite culotte à mes narines pour m’enivrer du parfum intime de ma sublime marocaine. Quel bonheur ! Quel plaisir des sens ! Je me dis à cet instant que je pourrais la garder comme souvenir, comme objet de ce fantasme inassouvi pour cette excitante jeune maman...
Fantasme inassouvi !? Je la vois s’éloigner de nouveau de son mari, et retourner une nouvelle fois avec sa fille dans un des bassins du centre aquatique... fantasme inassouvi ! Elle ressort de l’eau après quelques minutes et s’approche de nouveau dans ma direction, a priori à la recherche de sa petite culotte. Son homme la suit des yeux... Qu’elle est belle, avec de nouveau son burkini trempé et collé aux courbes de son corps, qui met en valeur sa féminité ! Qu’elle est belle et envoûtante, avec son hijab qui encadre son doux visage et fait ressortir ses yeux finement maquillés ! Je n’arrive plus à détacher mon regard de la sublime jeune femme... Je porte une nouvelle fois mon précieux trésor à hauteur de mon nez, respire profondément pour profiter de ces fabuleuses senteurs épicées... Je donnerais tout, même mon âme au diable, pour pouvoir faire ne serait-ce qu’une fois l’amour à cette femme !

Elle cherche toujours sa petite culotte, ses yeux balayant le sol du regard. Je me lève de mon siège, me dirige vers elle sans oser regarder en direction de son mari... — Excusez-moi, madame, mais serait-ce ça que vous cherchez depuis tout à l’heure ? Je lui tends discrètement le morceau d’étoffe mais elle ne le saisit pas. Elle m’offre par contre le bonheur d’un large sourire, ce qui a pour effet de me faire fondre littéralement de désir. Elle est encore plus belle de près, avec ses yeux couleur amande et ses lèvres finement ciselées... — Merci beaucoup, monsieur ! Vous ne voulez pas la garder, car si mon mari vous voit me la donner, il risque de vous vouloir du mal ?! Je jette furtivement un œil dans la direction de gros nounours, qui vient justement de se lever de son transat et qui me fixe du regard avec férocité. Il m’apparaît évident que si, dans les trente secondes tout au plus, je parle toujours à sa femme, le molosse risque bien de me foncer dessus et de vouloir me réduire en bouillie. Il faut donc que je prenne la bonne décision dans l’immédiat... — Si vous préférez, sublime jeune dame, je peux vous la redonner à l’abri des regards, dans mon bungalow ou ailleurs ?! Vous êtes tellement belle que j’aimerais même être celui qui vous aide à la remettre... après avoir fait glisser le long de vos jambes celle que vous portez actuellement ! Je ne sais pas ce qu’il m’a pris ?! Au fur et à mesure que les mots sortent de ma bouche, je réalise la folie de ceux-ci, m’attendant à recevoir une paire de gifles en retour de la part de la jeune femme... mais non !? — Filez vite dans votre bungalow car, sinon, mon mari va vous tuer ! À tout hasard, quel est le numéro ?... Mais promettez-moi de ne rien tenter si je ne viens pas vous rejoindre ! Et si jamais je décidais quand même de venir, promettez-moi de ne pas chercher à me revoir ensuite !— Je vous le promets... Numéro 911... Si je ne vous revois pas, sachez que vous êtes vraiment trop belle !... J’ai juste le temps de finir ma phrase que l’imposante carrure de gros nounours s’interpose entre sa femme et moi... — Qu’est-ce que vous voulez à mon épouse ?! Chez nous au Maroc, ça ne se fait pas qu’un inconnu parle à la femme d’un autre homme ! — Aziz, monsieur avait juste ramassé ma boucle d’oreille que je venais de perdre, et il me l’a redonnée à l’instant en me voyant chercher... Encore merci, monsieur... atamannâ laka ijâzatan sa3îdatan... wa alaykom as-salam ! Puis, s’adressant de nouveau à son homme... — Ihda’ fakollo chay’in sayakôno 3alâ mâ yorâm ! Je n’avais bien sûr pas tout compris... et préfère donc m’éclipser. — Chokran jazîlan... ma3a ssalâma ! — Inch’Allah... En me dirigeant vers mon bungalow, je repense au regard noir de l’homme, et me dis qu’il ne laissera certainement pas sa femme s’échapper de sous sa surveillance à partir de maintenant. À peine arrivé dans l’alcôve, je me jette sur mon lit, encore tout émoustillé par ma sublime marocaine mais totalement persuadé qu’elle ne viendra pas. Je m’apprête donc à faire une petite sieste quand quelqu’un frappe à la porte... Je me relève d’un bond et me dirige vers l’entrée, mais déjà ma belle marocaine s’est engouffrée dans le bungalow et referme la porte derrière elle. Je m’approche d’elle, glisse une main sous son hijab pour découvrir ses cheveux... mais elle m’arrête de suite dans mon geste ! — Non !... Je veux que vous me baisiez comme une pute arabe que je suis ! Pas comme une européenne ! Elle colle immédiatement ses lèvres aux miennes et force le passage dans ma bouche avec sa langue. Alors que je lui rends son baiser avec la même fougue qu’elle, mes mains se sont déjà glissées sous le haut de son burkini pour défaire le lacet qui retient le bas. Sans aucun ménagement, je fais descendre le pantalon en tissu léger jusqu’à ses pieds, fais de même avec mon jeans et mon slip, puis lui choppe les cuisses pour obliger la jeune maman à les écarter de part et d’autre de mon bassin. Avec toujours la même brusquerie, je la plaque contre un des murs et la soulève pour que sa chatte surplombe ma queue déjà tendue d’excitation... Mon gland couleur cramoisi frotte sur le tissu de son tanga... elle me mord les lèvres... elle me griffe le dos... elle me souffle des mots d’amour... — Baisez-moi ! Souillez-moi comme une vraie chienne marocaine ! Je veux sentir le sperme couler le long de mes cuisses et de mes jambes quand je retournerai chez moi avec mon mari et ma fille ! Je veux qu’il ait des raisons de me battre ce soir ! J’imagine d’un seul coup gros nounours, au moment de rejoindre sa jeune femme dans le lit conjugal, en train de découvrir qu’elle l’a trompé et qu’elle a encore la chatte inondée du foutre d’un autre homme... Cette pensée augmente d’ailleurs mon envie de la baiser, de la posséder, de la faire crier comme une pute en chaleur ! Après avoir excité sa jolie petite craquette en frottant ma bite sur le tissu du tanga, j’écarte le sous-vêtement au niveau de son puits d’amour pour laisser ma sublime jeune marocaine s’abattre de tout son poids et s’empaler sur ce pieu droit comme un “i”. Elle est déjà trempée d’excitation... — Aah ! D’un seul coup, la jeune femme passe ses deux bras autour de mon cou et me serre tellement fort contre elle, qu’elle est à deux doigts de me faire tomber en avant. Son bassin se met alors à monter et descendre de manière complètement frénétique, comme si sa propre vie en dépendait. Elle crie, elle éructe, elle crache telle une possédée... son hijab en soie électrise ma barbe naissante, alors qu’elle me mord l’épaule jusqu’au sang ! Je la plaque violemment contre un mur, puis contre la porte d’un placard juste à côté, ma bite rentrant encore un peu plus profondément dans son sexe liquoreux et brûlant de désir... Je n’arrive pas à me contrôler, et un violent orgasme me submerge alors que je me vide en de longues et intenses saccades. Elle jouit également !!!
Nous essayons l’un et l’autre de retrouver notre souffle, mon sexe toujours enchâssé dans le sien... des gouttes de sueur coulent sur tout mon corps. Etonnamment, je ne débande pas malgré mon éjaculation... étonnamment, je ne sais pas ce que je dois faire maintenant avec ma belle amante toujours agrippée à mon cou ! C’est donc elle qui prend l’initiative de se retirer de mon étreinte tout en relâchant la sienne. La voyant réajuster son hijab et son haut de vêtement de bain, je m’attends à ce qu’elle enfile le bas de celui-ci et qu’elle prenne congé de moi... mais il n’en est rien ! La jeune maman fait au contraire glisser très lentement son tanga jusqu’en bas de ses jambes avec énormément d’érotisme, puis elle se positionne à quatre-pattes sur le lit, les cuisses légèrement écartées. Toujours avec beaucoup de lascivité, elle retrousse ses habits jusqu’à la cambrure de ses reins, avant de descendre le haut du corps contre le couvre-lit. Son superbe cul s’offre ainsi en totale indécence à moi, alors que je suis un parfait inconnu pour elle et que je dois bien avoir le double de son âge ou presque ! Je remarque quelques gouttes de sperme qui s’écoulent de son petit abricot foncé, sans aucun doute ce que je viens de lâcher en elle quelques minutes auparavant...
Sans prononcer le moindre mot, je m’agenouille sur le rebord du lit, juste derrière l’excitante marocaine dont je ne sais toujours pas le prénom, pose mes mains sur ses deux fesses à la peau bronzée, et écarte celles-ci avec mes pouces. Son petit œillet presque noir s’ouvre lentement, alors que la jeune maman accentue la courbure de son dos... Avec ma langue et mes lèvres, j’embrasse délicatement cette petite fleur finement ciselée, et commence à darder le petit trou encore tout serré qui m’est ainsi offert. Elle parle en arabe comme si elle récitait les psaumes d’une prière, et même si je ne comprends rien, cela a pour effet de m’exciter encore davantage... Plus elle récite, plus j’enfonce ma langue dans son anus... et plus ses paroles sont entrecoupées de gémissements de plaisir ! Après de longues et délicieuses minutes à lui bouffer littéralement le cul, je me redresse et monte debout sur le lit... La jeune femme a le visage caché par son hijab, mais j’imagine son sourire et ses yeux, sa bouche pulpeuse et les quelques mèches brunes qui dépassent de son foulard ! — Inch’Allah... Je ne sais pas pourquoi je dis ça à haute voix, mais c’est clairement pour moi le signal de départ. Je plie mes jambes et me baisse pour positionner mon gland toujours gonflé à mort, juste au niveau de son petit œillet... je lui gifle violemment la fesse droite... elle ramène ses mains et écarte encore davantage ses deux globes à la peau foncée... Je prends ma queue de ma main droite, vais récolter le foutre qui s’écoule encore de sa chatte avec l’extrémité de celle-ci, et plaque ensuite mon gland à l’entrée de son orifice anal... Sans la brusquer aucunement, j’exerce néanmoins une pression de plus en plus forte sur le joli petit œillet, jusqu’à ce que celui-ci s’ouvre et laisse pénétrer l’intrus. — Han !... Arghhh !!! — Oh oui ! T’es trop bonne, petite pute ! Sa respiration s’est de nouveau accélérée, mais la jeune maman continue de réciter ses prières... Je commence alors un lent va-et-vient, poussant ma queue à chaque fois un peu plus profondément dans son cul. Elle couine de plaisir, de jouissance... Quant à moi, je ne me suis jamais senti aussi bien dans le cul d’une femme qu’à cet instant !
Malgré la lenteur de nos ébats amoureux, je sens la tempête orgasmique toute proche. Je décide donc de chopper les extrémités du hijab de ma sublime marocaine, de les croiser pour éviter que celui-ci ne glisse de sa tête... et me mets à les tirer comme les rênes d’un cheval. La jeune femme se cabre encore davantage... et nous voilà donc partis les deux dans un galop sexuel complètement incontrôlable ! Ses fesses claquent contre mon bas-ventre et mon bassin, ma verge lui défonce le cul, ses petits seins se balancent au rythme des saillies... nos deux corps sont en fusion, tout proches de l’explosion ! La suite n’est que plaisir des sens, jouissance, désintégration... J’ai malgré tout le réflexe de me retirer de ma douce inconnue, de lui saisir le hijab au niveau de son cou, et de la tirer sans ménagement vers moi... Son visage à hauteur de ma bite, elle reçoit plusieurs giclées de mon sperme bien chaud en pleine face, une partie du liquide visqueux atterrissant d’ailleurs dans sa bouche ouverte pour l’occasion... Elle semble absolument radieuse, avec son délicieux visage et son haut de burkini maculés de ma semence ! Je l’embrasse délicatement sur le front et me laisse choir à plat-dos sur le lit, pensant qu’elle allait prendre le temps de se laver avant de sortir de chez moi... seulement, il n’en est rien ! La jeune maman se rhabille sans toutefois s’essuyer ni le visage ni ses habits, réajuste son hijab pour cacher les mèches rebelles... et s’apprête à partir rejoindre son mari et sa fille. — Vous n’allez quand même pas sortir comme ça, avec gros nounours dehors ? Il va vous tuer ! — Inch’Allah... — Et s’il vous laisse en vie, est-ce que nous pourrons nous revoir un jour ? — Inch’Allah... La jeune femme me fait un dernier sourire, franchit le pas de la porte et la referme sans bruit derrière elle... Je n’ai pas le courage de me lever pour la suivre des yeux, tellement je suis triste. Je ne la reverrai probablement jamais ! Je m’aperçois néanmoins au bout de quelques minutes, qu’elle m’a laissé à la fois sa petite culotte noire et son tanga... Je me couvre donc le visage avec, pour prolonger le rêve !
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