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Age sans pitié

Chapitre 1

Erotique
On dit que la jeunesse est un âge sans pitié. C’est vrai, j’ai vécu cette époque. En face de chez moi, habitait et habite encore une femme qui avait 30 ans, à l’époque. Je savais qu’elle était veuve non remariée. Avec mes 19 ans, je la regardais, un jour qu’elle étendait son linge sur sa terrasse, au niveau de la fenêtre de ma chambre. C’étais le début de l’été, la chaleur arrivait. Elle portait une simple chemise de nuit, transparente. Je pouvais tout voir: ses seins, sa taille et surtout sa chatte. J’exagère en disant que je voyais : je devinais. Pour moi, c’était suffisant pour me donner un envie précise : me branler. Il était encore tôt, je ne portais qu’un pyjama. Bien-sûr, ma bite débordait par la fente du pantalon. Je n’avais même pas à me déshabiller. Ma main savait comment faire. Elle allait et venait, avec de brusques arrêts où ma main touchait les couilles, en tirant sur la peau. Je ne tardai pas à faire sortir ma semence.
Soulagé, je la regardai une derrière fois avant de commencer ma journée. Le lendemain matin, par acquis de conscience, je regardai en face, elle était là; fidèle au poste. Toujours aussi peu vêtue, elle étendait sa lessive. Comme hier, je bandais. Cette fois, je descendis mon pantalon. Ma bite, bien droite, était la proie de ma main : je me branlai encore. Presque tous les jours c’était la même séance gratuite.
Un matin, je décidai de me mettre tout nu. Je pouvais le faire sans danger, puisqu’elle était loin à mon sens. Je m’astiquais tout le temps que durait l’étendage qui, à mon sens, se prolongeait de plus en plus, d’autant plus que la tenue de la dame avait changé : elle était maintenant en tenue plus convenable, dans un peignoir qui avait une fâcheuse tendance à s’ouvrir sur un corps nu, splendide. Je voyais distinctement ses seins, sa taille et surtout sa chatte. Mon regard était hypnotisé par sa chatte. Je ne me cachais même plus pour le masturber: même si elle me voyait, j’en étais satisfait.
Un jour, le malheur me tomba dessus. Cette jolie voisine, sonna chez moi. Ma mère ouvrit la porte. J’entendis parler sans distinguer les paroles. Je me doutais bien qu’elle était venue se plaindre.En descendant déjeuner, je n’en menai pas large, ma mère allait me gronder certainement. Elle devait bien se douter que je me branlais, que pouvait-elle me reprocher : l’exhibition ?
— « Tiens la voisine d’en face, te demande d’aller chez elle, pour changer des ampoules, tu es assez grand pour ça, elle ne peut pas ! »— « Quand je dois y aller, ça m’embête un peu ? »— « Pour oublier la corvée, puisque c’en est une pour toi, vas-y ce matin ! »
Tu parles d’une corvée : voir de près, la femme qui me fait jouir indirectement !
Sur le coup de 11 heures, je sonne chez elle. Elle ouvre aussitôt, en faisant un grand sourire.J’ai juste le temps d’entrer qu’elle en vient au fait:
— « Je n’ai aucune ampoule à changer. Je voulais simplement te voir pour te montrer de près comment je suis faite : tu pourras te branler, si tu veux, en me regardant de près et si tu ne veux pas te branler, je le ferai ou nous baiserons !
J’ai le choix. Ce n’est par difficile, trouver une fille pour baiser, c’est assez facile ! Par contre, trouver le lieu est compliqué, à moins de choisir un lieu dans la campagne.Je fais semblant de réfléchir quand sa bouche se pose sur la mienne. Son baiser m’excite encore plus que la vue que j’ai souvent sur sa chatte. Je commence à bander. Elle s’en aperçoit vite en se frottant à moi.
— « Déshabilles-moi, s’il te plaît ! »— « Toi aussi ! »

J’ai un peu honte de ma maladresse pour la mettre nue. Pourtant, ce n’est pas difficile, elle ne porte presque rien, sinon qu’une simple robe. Elle aussi, n’hésite pas, elle enlève mon pantalon, ma chemise, en me laissant le slip qui montre plus qu’il ne cache ma bite.Je regarde son corps parfait, surtout sa chatte. J’ai envie d’y aller directement.
— « Doucement, petit coq. Tu viendras dans mon ventre quand je le voudrai. - Alors, vite, j’ai envie de baiser ! »-- Nous venons de commencer. La baise commence par des caresses sur la femme ! »-- Caresses-moi les seins, les fesses, les cuisses, le clitoris, fais-moi jouir avant toi ! »
C’est plus compliqué que ce que je croyais,, de faire l’amour. Heureusement qu’elle est là. Son baiser sur la bouche reprend. Je reçois sa langue dans ma bouche: rien à voir avec les baisers des filles de mon âge. C’est plus profond, plus sensuel. Je sens qu’elle fait ça, uniquement pour le plaisir. Elle dirige mes mains pour que je les pose sur sa poitrine. Je caresse délicatement ses seins que je sens durcir sous mes paumes. J’ai une petite récompense quand son ventre se serre contre ma bite.
Elle me demande de m’accroupir devant elle. Elle écarte un peu les jambes. Je me dois d’embrasser sa chatte. Je suis déjà grisé par son odeur intime : elle ne s’est pas lavée pour conserver l’odeur naturelle, au lieu de celle du savon. Je suis tenté par son petit bouton. Je n’hésite pas à y mettre ma langue. C’est-ce qu’elle attendait. Je trouve son gout très excitant, la douceur de son clitoris sur ma langue fait également partie des plaisirs qui m’attendent. Je fais aller et venir la langue : c’est naturel de faire ce que j’entreprends. Je la tiens par les fesses. Elle me demande de passer par là pour lui caresser l’anus. Je passe entre ses fesses, d’une douceur incomparable. Je trouve son trou plissé. Je le caresse doucement.
— « Entre le doigt ! »
Je fais ce qu’elle désire. Je ne sais pas trop ce que je dois y mettre, alors doucement, j’entre tout le majeur. Je la sens remuer ses fesses, comme pour ajuster mon doigt. Ce qui me fait plaisir, c’est de sentir sa jouissance quand son cul se ferme et s’ouvre en cadence.Je me relève. Enfin, elle me sort du slip. J’ai une boite majuscule, l’attente ne l’a pas fait réduire.Elle me fait entrer dans sa chambre. Je vois, posés sur la table de nuit, deux godes en verre. Elle n’en a pas l’usage aujourd’hui. Elle veut me rendre l’orgasme que je lui ai donné.Elle se met la tête au pied, prend ma bite dans la bouche. Je regarde pour voir ce qu’elle me fait. Sa langue entoure mon gland, sa main vient à la base de la queue, elle enfourne le reste de la pine. Elle me lèche dans sa bouche et me branle en même temps. Je ferme les yeux, en pleine transe de jouissance. Que c’est bon cette bouche.
Elle va jusqu’au bout. Je ne peux rien faire pour ne pas jouir dans sa bouche. Quel bonheur de donner mon sperme à cette jeune veuve qui doit en manquer. Elle se relève, s’assois à mes cotés, me montre qu’elle déguste comme une friandise.
— « Il y a longtemps que je n’ai pas eu de semence dans la bouche, c’est bon ! »— « Excuse-moi, je n’ai pensé qu’à moi ! »— « Ne t’en fais pas, tu es jeune, tu rebanderas fort dans un petit moment. Je vais te mettre un gode dans le cul, pendant que tu te touches la queue ! »
Je ne suis pas sûr du résultat dans mon arrière-train. Je commence à caresser ma queue devant elle. Je commence à rebander quand je reçois la fausse bite dans le cul. Le fait d’être enculé par une fille est un plaisir inconnu. Je bande comme un âne.
C’est suffisant pour lui faire plaisir. Elle me laisse le gode pour venir sur moi. Je regarde, avec curiosité, ma bite quand elle s’assied sur elle. Je ne sais trop où elle va aller. Les façons les plus simples sont les meilleures. Elle monopolise ma queue pour l’usage de son puits, celui de devant. Elle me demande de lever un peu les jambes. Je lève directement les genoux : elle s’y appuie directement sur le dos. Assise comme elle est, elle peut se toucher le clitoris. Elle fait le grand jeu !
— « Depuis le temps que je n’ai pas été baisée, je me donne le maximum de plaisir ! »
Je sens plusieurs fois son con se contracter autour de la bite. Quand je jouis encore, elle jouit également.Elle en a assez pour aujourd’hui.
Nous avons rendez vous le lendemain après-midi pour l’aider à peindre les plafonds. J’ai mis toutes les vacances à repeindre et les dimanches suivants à tapisser.
Ma mère ne se doute pas de ce que je fricotte avec la voisine !
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