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Agence Day-Lys

Chapitre 1

Venins

Trash
Les timides aiment le monde de la nuit. Les fous aussi. Peu importe qui vous êtes réellement. Laissez votre imagination s’exprimer. Devenez qui vous voulez. La nuit vous appartient.

Suis-je fou ou timide ? À mon entrée dans le bar, le juke-box joue « Les Dingues et les Paumés » d’Hubert-Félix Thiéfaine, en parfait accord avec ma rumination mentale du moment. Lorsque tout semble s’accorder comme ce soir, j’ai l’impression d’être le héros d’une comédie musicale. Il ne manque qu’une belle femme m’attendant accoudée au zinc et ce sera comme à Hollywood. On m’appelle Éric ou simplement « le photographe ». Je suis l’unique salarié du Studio Wynterbird, spécialisé dans la photo d’art. Je fais surtout des photos de famille, de mariage, d’identité, les après-midis ou je suis ouvert.
Le Ravenna est mon bar préféré et il est situé juste sous mon studio. Encore un heureux hasard. C’est là que commencent mes nuits et c’est souvent là qu’elles se terminent. Contrairement à ce que vous pensez, je bois peu, lentement et un seul verre à la fois. La modération est la mère du bonheur. C’est très calme ce soir, comme souvent en semaine dans les villes de province. Même ici, à quelques kilomètres de la frontière suisse. Steve me sert mon poison préféré. Nous entamons notre conversation standard des soirées sans foule.
— C’est calme chez toi, ce soir.— Ben ouais. C’est comme ça. On est mardi. — T’as regardé le match ?— Y’avait un match ?
Etc.
Je mets une pièce dans le juke-box. Jim Morrison chante : « Show me the way to the next whisky bar ». Je sors avec les Doors. La rue est calme. Je croise l’un de mes congénères alcoolisé, cheveux gras et tenue négligée, si imbibé qu’il doit se tenir aux murs pour avancer. On dirait un breton en vadrouille pendant les grandes marées. Je passe devant l’Ecstatica, cabaret érotique fermé en semaine. Les weekends, il drague une clientèle aisée venant surtout de Suisse et d’Allemagne. Je regarde les photos des filles du prochain spectacle. Je reconnais une australienne que j’ai photographié.
Mes pas me conduisent devant le Magnolia. C’est Tania, la patronne, qui tient elle-même le bar ce soir. Tania est une perle. Elle a un mot gentil pour chacun de ses clients. Elle les écoute et leur donne son avis de femme expérimentée. Elle est divorcée. Tout le monde dit qu’elle en a bavé pendant son mariage. Je la salue et pose mes fesses sur un tabouret libre. Mon regard dévie sur son décolleté hypnotisant. Je me retiens de faire une blague sur le jaune criard de son haut. Il n’y a que deux autres clients. Des habitués qui m’ignorent. Je commande mon poison habituel. Tania me sert en silence, puis me souffle à voix basse :
— Il y a des filles qui te cherchaient cet après-midi.— Pardon ? Qui, moi ?— Oui, toi.— Quel genre de filles ?— La première, bon chic bon genre. Posée. Bien éduquée. Les deux autres… Brrr ! Dangereuses. À éviter, si tu veux mon avis. Je dis ça, je dis rien.
Je réfléchis un instant. Non, je ne vois pas qui cela pourrait être. Tania désigne la photo encadrée sur le mur derrière elle. Une photo d’elle, très sexy, presque porno chic. Nimbée dans un flou artistique, elle ne porte qu’un tee-shirt blanc qu’elle étire entre ses cuisses nues. Ses cheveux blonds ébouriffés la font ressembler à Debbie Harry. J’ai pris cette photo il y a cinq ans, un soir où nous étions plus que de simples amis. Au moment du tirage, j’avais forcé les couleurs pour lui donner un style « pop seventies ».

— La fille BCBG m’a demandé qui est le photographe. Elle a dit qu’elle cherche quelqu’un qui sache prendre ce style de clichés de qualité pro. Je lui ai donné ta carte. À toi de voir…— C’est cool. Merci.— Prudence, Éric. Ces filles sentent le souffre. Du genre à mettre le grappin sur un pauvre type, et à lui siphonner les couilles et le compte en banque. Je sais de quoi je parle. J’ai été ce genre de fille. Il y a longtemps… Je les sens à des kilomètres. Tu peux me croire.— Je te crois, Tania. Merci, vraiment. Je tacherai de les éviter.— Je te connais, Éric. Tu es trop curieux. Évite seulement d’aller dans le mur. Aucune femme n’en vaut la peine.— Aucun homme non plus.
Je quitte le Magnolia flatté par cette idée : trois filles me cherchent, une BCBG et deux « dangereuses ». Brrr ! Ça n’arrive pas tous les jours dans la vie d’un homme. A fortiori, dans celle d’un quinquagénaire. Un frisson me parcourt l’échine. Je suis peut-être au début d’une grande aventure. Il était temps. Je commençais à m’ennuyer dans ma routine. Je m’arrête devant la vitrine d’une boulangerie. Je vérifie ma tenue dans le reflet. Il faudrait que je passe chez le coiffeur. Demain après-midi, après la douche et le petit-déjeuner de treize heures. Je colle un post-it mental dans un coin de ma tête. Et maintenant, retour au Ravenna pour le dernier verre de la nuit.
Dès mon entrée, Steve me pointe du doigt. Je déteste ce geste. Il me stresse. Il n’y a pas de musique. Sale ambiance. La femme qui lui fait face se retourne et me dévisage de la tête aux pieds. Trop tard pour la douche et le coiffeur. Peau mate, yeux clairs, cheveux noirs très courts plaqués en arrière. Apparemment eurasienne. Elle porte un tailleur sombre en toile légère. Dessous, un haut en dentelle. Des escarpins rouges. Bon chic bon genre, donc. Où sont les filles « dangereuses » ? À la table du fond, deux filles cachent leur visage sous la capuche de leurs sweats roses.
— Vous êtes monsieur Wynterbird ? Steve me montrait justement votre travail. J’aime beaucoup vos photographies…
Steve range sous le comptoir, le book que je lui ai laissé. Il semble vaguement inquiet. Circonspect, plutôt. La femme BCBG s’approche de moi. Elle ne me tend pas la main et se contente de me fixer de son regard si étrangement clair.
— Seriez-vous disponible pour une séance photo ? Maintenant ?— Un bon photographe est toujours prêt… Madame ?— Appelez-moi simplement Day.— Très bien, Madame Day.— Simplement Day.— J’ai compris… Day. Appelez-moi Éric.
Elle fait un signe aux deux filles en sweats roses qui la rejoignent d’un pas trainant. Je ne discerne toujours pas leur visage. Elles portent des shorts moulants et des baskets sales. Tania a raison. Leur attitude pue. Je les conduis néanmoins au premier étage, devant la porte de mon studio. Je les fais entrer. Dès la porte refermée, Day me bombarde de questions.
— Vivez-vous seul, Éric ?— Oui. Pourquoi ?— Vous travaillez seul également, n’est-ce pas ?— C’est exact. Mais…— Je vais vous expliquer très précisément ce que j’attends de vous. D’abord de la discrétion. Vous ne montrerez à personne les clichés que vous prendrez pour moi. Vous n’en garderez aucune copie. D’ailleurs vous me remettrez la carte mémoire de votre appareil. Je paie mille euros la séance. Les clichés, la carte SD et votre discrétion.— Vous êtes dans le porno ?— Ah… Et évitez de poser des questions.— La prostitution ? Parce que ça, je n’y touche pas.— Ça n’a rien à voir avec la prostitution. — Les filles sont majeures ? Toutes les deux ?— Évidemment ! Assez bavardé. Mettons-nous au travail. Bien. Je veux un fond bleu.
Les filles laissent tomber leurs sweats et les jettent dans un coin avec leurs vilaines baskets. J’allume les spots et déroule un fond bleu derrière elles. Je règle l’éclairage de manière à donner un peu de volume à leurs silhouettes filiformes. Un clair-obscur pourrait mettre en valeur leurs petits seins et leurs petites fesses. Day surveille ma mise au point sur l’écran de mon ordinateur.
— Comme ça, c’est très bien. Vous pouvez commencer à shooter. Taslima, Kiara ! Touchez-vous.
J’appuie sur le déclencheur. Les filles jouent à se durcir mutuellement les tétons. D’abord avec leurs doigts, puis en les suçant. Elles frottent leurs poitrines menues, tétons contre tétons. Elles tournent leurs visages vers l’appareil. Taslima a un visage longiligne. Des pommettes saillantes. Un regard noir intense. Une chevelure lissée qui lui tombe sur les épaules. Kiara est rousse. Sa peau laiteuse est constellée de tâches de rousseur.
Les filles prennent des poses lascives, joue contre joue, lèvres contre lèvres. Elles se sucent la langue, s’amusent avec un filet de salive. Elles retirent leurs shorts. Je découvre leurs abricots pulpeux. Elles jouent à s’y mettre les doigts. Un feu s’allume entre mes cuisses. Je regarde le compteur. J’ai déjà pris plus d’une centaine de clichés. Kiara se tourne et Taslima fait mine de la sodomiser. Je continue de shooter en alternant plans larges et gros plans. Kiara s’agenouille devant Taslima qui la prend par les cheveux et plaque son visage contre les lèvres de son vagin, qu’elle écarte avec deux doigts.
— C’est très bien, me dit Day en posant sa main sur mon épaule. Pouvons-nous prendre encore quelques clichés dans votre salle de bain ? Vous avez une baignoire ?
J’installe rapidement deux projecteurs dans ma minuscule salle de bain. Les filles sont déjà dans ma baignoire. Taslima prend une pose salace, chatte en avant. Un sourire fend son visage.
— Tu aimes le Champagne, me demande-t-elle avant de se lâcher.
Un filet doré éclabousse le visage de sa copine rousse. Le filet devient plus puissant. La bouche pleine, Kiara se relève et crache tout dans la bouche de Taslima. Elles s’embrassent vicieusement en regardant l’objectif. Taslima se met à genoux et se fait arroser par sa partenaire. Elle se frictionne tout le corps avec la pluie dorée qui coule entre ses seins. Elles terminent la session en ciseaux, vagin contre vagin, couchées dans leur pipi.
— Je vais vous payer ce que je vous dois, me dit Day en retirant la carte mémoire de mon appareil. Venez. Laissons-les faire un brin de toilettes. Elles en ont besoin, je crois.— Euh… Allez-y. Je leur donne des serviettes propres. J’arrive.
Lorsque je la rejoins, Day s’est assise à mon bureau, à ma place. Elle bidouille son smartphone.
— Mille euros comme convenu. Le virement est effectué. Vous pouvez vérifier.— Je vous fais confiance.— C’est une bonne chose. J’aurais peut-être encore besoin de vos services plus tard. Vous n’avez visiblement pas de soucis à shooter du sexe trash. Et le résultat me plait. Puis-je vous recontacter ?— Je suis disponible vingt-quatre heures sur vingt-quatre.
Kiara et Taslima, douchées et rhabillées sortent de ma salle de bain. Elles ont enfilé leurs sweats roses qu’elles gardent ouverts sur leurs petites poitrines et leurs chevelures mouillées. Je songe à leur prêter un sèche-cheveux, mais je n’en ai pas.
— Ah! Les voilà, s’écrie Day. Nous vous laissons, Éric. N’oubliez pas. Vous m’avez promis d’être discret.— Je n’ai qu’une parole.
Je les raccompagne jusqu’à la porte. Day sort la première, suivie de Kiara. En passant, Taslima me pince le menton et susurre, sa bouche presque collée sur la mienne :
— Nous t’avons laissé un petit cadeau. Ne va pas le vendre sur Ebay, hein. Bisous, Ricky.
Je ferme la porte à clé et file dans ma salle de bain. Je découvre le « cadeau ». Putain de garces ! Elles ont chié sur le couvercle de mes toilettes et écrit FUCK, PIG et PUTA sur le mur avec leur merde ! Mais moi aussi, je leur ai joué un vilain tour. J’ai laissé tourner mon appareil en mode caméra, enregistrant directement dans la mémoire de l’appareil. La vidéo les montre en train de commettre leur forfait. Je pourrais la vendre à un site de porno extrême… En attendant, j’ouvre ma braguette. Quel soulagement ! Je commence à me caresser en connectant l’appareil à mon écran. Ces filles sont sans tabous. Je les regarde se mettre les doigts, se les lécher. Et écrire des conneries sur mon mur. J’éjacule.
J’édite un extrait de trois minutes où on les voit chier à tour de rôle, chacune aidant l’autre en lui écartant les fesses. Je poste l’extrait sur un site de partage de vidéos porno trash. Je prends une douche. Je nettoie le mur et le couvercle à l’eau de Javel. La baignoire, aussi. Je suis crevé. Je vais me coucher, heureux, satisfait de ma nuit. J’ai gagné mille euros sans me fouler. Jusque là, tout va bien.
Comment me suis-je retrouvé sur la banquette arrière de cette grosse berline qui roule à tombeau ouvert vers la frontière ?

Je ne m’en rappelle pas. Le chauffeur est chauve, en costume de chauffeur de maître. Il a des épaules anormalement larges. Il ne se retourne jamais et je ne vois pas ses yeux dans le rétroviseur. C’est comme s’il n’avait pas de visage. Très étrange. Day est assise à la place du passager. Elle se tourne lentement vers moi.
— Ce n’est pas la peine de mettre votre ceinture, Éric. Nous avons un cadeau pour vous. Taslima et Kiara vont s’en charger.
Je découvre Taslima à ma gauche, Kiara à ma droite. Comment se fait-il que je ne les avais pas remarquées avant ? Leurs regards convergent vers mon pénis. Est-ce moi qui ai rabaissé mon pantalon et mon boxer sur mes genoux ? Taslima empoigne mes bourses et les sert fort. Trop fort. Sa copine rousse me suce sans me décalotter et sans craindre d’utiliser ses dents. Elles sont énormes, ses dents. C’est de plus en plus douloureux. Je sais que l’orgasme qui arrive va être violent. Je me crispe. J’explose dans la bouche de la rousse, pendant que ses yeux me lancent des éclairs. Je crie. Kiara profite de ma bouche ouverte pour y recracher mon sperme. Les mains des filles se plaquent sur mes lèvres.
— Avale ton vieux foutre pourri ! Avale, on te dit !
Elles me lardent le ventre de coup de poing. J’avale malgré moi. Leurs doigts fouillent l’intérieur de ma bouche.
— T’as avalé ? C’est bien. Mais on n’a pas encore réglé nos comptes avec toi, trou du cul ! Tu vas payer pour nous avoir filmées à notre insu et avoir posté cette vidéo.
Kiara se met à pisser. Elle se contorsionne pour orienter le jet vers mon visage. Taslima me prend brutalement la tête et me force à me coucher sur la banquette. Elle baisse son short et pose ses fesses sans ménagement sur ma tête. Je sens son sphincter gonfler et s’ouvrir sur ma joue.
— Tu vas manger notre merde, Éric ! Et on te fera manger la tienne, ensuite !
Je me réveille en sursaut.
Il est onze heures trente. Je sors précipitamment de mon lit. Je marche en titubant vers mon bureau. Je supprime la vidéo du site porno trash. J’efface la mémoire interne de mon appareil photo. Je prends une douche. Ce n’était qu’un rêve et pourtant, mon ventre me fait mal et j’ai cette odeur de merde dans le nez. Je retourne devant mon ordinateur. Je me connecte à mon espace client sur le site de ma banque. Je vérifie le virement. J’aimerais en savoir plus sur ces filles. Le virement provient d’une certaine Agence Day-Lys. Je lance mon moteur de recherches et je ne trouve rien.
Je sors déjeuner à La Boule d’Or, un bistro tenu par un ancien flic, Raymond. Au moment de l’addition, je lui demande s’il peut se renseigner auprès de ses anciens collègues au sujet de cette agence. Puis, je rentre chez moi, j’ouvre mon studio et je m’occupe de mes clients ordinaires.
Il ne se passe rien de particulier jusqu’à vendredi où Raymond m’appelle pour me demander de passer le voir. Alors je vais déjeuner chez lui. Au moment du dessert, un Parfait au Kirsch offert par la maison, Raymond vient s’asseoir à ma table.
— Je me suis un peu renseigné à propos de cette Agence. Elle serait dans le viseur de plusieurs services. On ne sait pas très bien ce qu’elle fait. Le secret est bien gardé. Elle a une clientèle élitiste, des très gros riches.
Je remarque quelque chose d’étrange dans son attitude. Lui, qui est habituellement si franc, semble éviter mon regard.
— C’est pas ton milieu ça, Éric. C’est pas des gens comme nous. Mieux vaut s’en éloigner. Enfin, tu fais ce que tu veux…
Il se lève, me fait un signe de la tête et retourne en cuisine. Day me rappelle ce soir-là.
— Vous êtes libre ce weekend ? Alors préparez votre matériel. Je passe vous chercher dans une heure.
Une Audi A4 blanche aux vitres teintées se gare dans ma rue, à hauteur du bureau de tabac. Personne n’en sort. Je prends mon sac et je marche vers elle. La vitre coté passager s’abaisse. Le visage de Day, masqué par des lunettes de soleil Dior, apparait.
— Bonjour, Éric. Contente de vous revoir. Vous allez bien ? Montez à l’arrière.
J’ouvre la portière et… Je suis soulagé de constater que les deux chieuses ne sont pas là. Je balance mon sac sur la banquette et je m’installe.
— Mettez votre ceinture, Éric. Qu’y a-t-il ? Vous semblez inquiet…— Non non… Tout va bien.
Dans le rétroviseur, les yeux du chauffeur me surveillent. Il me sourit lorsque je boucle ma ceinture de sécurité. Il démarre doucement et prend la direction de la frontière. Day me tend une petite bouteille d’eau et une boîte de sushis.
— Prenez. Nous en avons pour deux heures de route environ. Lorsque nous serons là-bas, rappelez-vous que la discrétion est une priorité.— Vous ne me mettez pas un sac sur la tête pour m’empêcher de repérer le trajet ?
Le chauffeur éclate de rire. Dans le rétroviseur, Day verrouille son regard sévère sur le mien.
— Notre activité est cent pour cent légale, Éric. Elle requiert simplement de la discrétion pour le bien de notre clientèle. Oubliez ce que votre ami flic vous a dit.
Je suis estomaqué. Comment sait-elle pour Raymond ? Sait-elle aussi pour la vidéo ? Dans quoi me suis-je fourré ? Qu’est-ce qui m’attend au juste de l’autre coté de la frontière ? Peut-on sauter d’une voiture en marche comme dans les films, sans risquer de se rompre le cou ?
Il est trop tard pour fuir. La nuit arrive. Une nuit effrayante et excitante à la fois. Mystérieuse et dangereuse. Nous fonçons droit vers elle.
Je croque dans un sushi. Glacé comme les Alpes devant nous.
(À Suivre…)
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