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L’agente immobilière

Chapitre 1

Première visite

Hétéro
Peut-être vous souvenez-vous de la recherche de votre premier chez vous. Une chambre, un appartement, une maison. La joie, la motivation nous assaillent et nous effectuons, visite après visite, nous disant parfois candides, que le prochain lieu serait la perle rare. En même temps, nos attentes sont modestes. Les miennes l’étaient. Un petit appartement. Près d’un nouveau travail qui m’expatriait de ma famille. Et qui n’est pas un taudis. Car des centaines de kilomètres séparaient ma zone de recherche de la maison familiale, j’essayais de regrouper plusieurs visites sur la journée.
Ce jour-là, il faisait une chaleur de plomb. Nous étions en été. Un début de saison déjà fort chaud et ensoleillé. J’avais visité des appartements. Pas de perle rare. Un appartement dans une ancienne annexe d’usine, à deux pas d’une route aussi bruyante qu’une autoroute, un autre au simple vitrage et châssis en aluminium (énergivore) et un dernier dans lequel je n’aurais pas pu mettre la moitié de mes affaires pour un prix affolant. Je devais bien avoir passé la matinée, d’appartement en appartement. Il était pratiquement deux heures de l’après-midi lorsque je me glissai dans la voiture, déçu d’une autre ribambelle de visites infructueuses.
Tout à coup, mon portable émit un bruit de notification. Un mail. Je l’ouvris. Une visite se libérait dans l’après-midi. J’hésitais. D’un côté, je voulais juste rentrer et me reposer, oublier ce déplacement inutile et vain. De l’autre, le temps passait vite et je n’avais toujours rien trouvé. Je répondis. J’acceptais. Cela me laissait donc une heure. Je fis le plein de la voiture, voulant repartir le plus vite possible de la région si cela s’avérait être encore une annonce idyllique pour un endroit qui ne l’était pas, avant de manger un sandwich pas fameux et une eau restée trop longtemps au soleil. Je regardai à nouveau l’annonce sur le site pour me remémorer le bien. Un peu excentré par rapport à ma zone de recherche initiale, mais encore assez bien située, une mezzanine et une superficie un peu plus grande que les annonces habituelles.
J’arrivais quelques minutes en avance et me garai sur le parking vide de la résidence. Une résidence d’une dizaine d’appartements. Chacun avait sa place attitrée. Premier bon point. J’ouvris la portière pour profiter de la légère brise qui se faisait ressentir. Enfin un peu d’air. Je n’attendis pas longtemps avant qu’une grosse voiture noire se gare à deux places de la mienne. En sortit une femme, la cinquantaine, mais avec une telle énergie qu’elle me fit ranger à la hâte ma bouteille d’eau et l’emballage de mon sandwich. Blonde. Élancée. Habillée d’une courte robe blanche mettant en avant ses jambes bronzées. Elle se retourna vers le siège conducteur, se pencha dans sa voiture pour en prendre ses documents. Sa robe remonta. Je détournai le regard, par pudeur. Je visitais. Un appartement. Elle vint près de moi et me sourit, se présentant comme l’agente immobilière avec qui j’avais correspondu. Tout en parlant du bien, elle m’ouvrit la porte d’entrée.
Le bien se trouvait au second étage. Sans ascenseur. Tout en parlant, elle commença à monter, la première. Cette fois-ci, je ne détournai pas le regard. Je me suis retenu de lâcher un petit cri d’étonnement, voire de surprise. Sa robe était vraiment courte. La hauteur des marches me suffisait à voir qu’elle ne portait pas de culotte. Je me mordis la lèvre. Peut-être un peu trop fort. Et essayai de me ressaisir, sentant un familier fourmillement au bas de mon ventre.
Arrivés sur le palier, elle se retourna et me sourit. Je ne savais pas si elle devinait la cause de mon émoi. J’essayai de lui rendre son sourire. Elle ouvrit la porte et on rentra. Une chape de plomb régnait dans la pièce non ventilée. Elle se dirigea vers un des velux et l’ouvrit, pour faire passer un peu d’air, se mettant sur la pointe des pieds, sa robe remontant jusqu’à la limite de ses fesses. Avec les semaines de recherches, le stress de trouver un logement à temps, l’excitation de ce nouveau travail, cela faisait des semaines que je n’avais plus eu de plaisir charnel et chaque parcelle de peau qu’elle dévoilait de la sorte rendait mon corps fébrile, mon esprit affamé. Elle se tourna et présenta la pièce, un discours vendeur, vantant la superficie de la pièce ouverte, la luminosité naturelle et ce mur en pierres. Elle se glissa jusqu’à ce mur, caressant lesdites pierres pour appuyer son discours. Ses caresses innocentes devinrent intimes. Son regard devint taquin.
Du moins, je l’interprétais comme tel. Elle sourit.
Elle s’approcha de moi. Je ne reculai pas. Elle glissa une main sous mon bermuda, le descendit, faisant ressortir mon sexe excité face à pareille situation. Sa main faisait de légers mouvements de va-et-vient et je ne tardais pas à être dur sous ses caresses expertes. Elle regarda mon sexe, fit mine de le jauger avant d’accélérer sa cadence, imprimant un léger mouvement de rotation à son poignet, tout à fait exquis. Je tendis une main vers sa robe. Elle me frappa les doigts avant de tirer sur son vêtement, faisant apparaître deux seins encore fermes pour son âge. Elle m’invita, à ce moment, à jouer avec. Je tendis une main, d’abord timide, prenant son sein en main, jouant avec son téton, mais face à l’excitation toujours plus grandissante, je me penchai et vins sucer son autre téton, goulûment. Elle lâcha un petit cri de surprise avant de pousser un soupir qui m’enhardit dans mon jeu. Sa main se faisait plus ferme et assurée sur ma queue raide.
Elle me poussa contre la rampe de l’escalier qui menait à la mezzanine. Elle s’accroupit tout en écartant les cuisses, sans aucune gêne. Une main vint se loger sous sa robe tandis que l’autre tenait mon sexe. Rapidement, sa bouche me happa. La sensation me fit perdre le spectacle de sa main. Elle me suçait avec une certaine taquinerie. Je sentais sa langue contre mon gland avant qu’elle ne me prenne à moitié ou entièrement en bouche. Elle aspirait, par moments, me donnant une sensation de pur plaisir. Ma respiration se faisait plus courte et bruyante. Il ne fallut que peu de temps pour que je sente le plaisir monter, mais elle s’arrêta, juste avant, se redressant face à moi. Ses doigts vinrent se glisser entre mes lèvres. Un léger goût salé se fit ressentir, ne faisant qu’accroître le désir que j’éprouvais en ce moment.
Elle s’assit alors sur l’escalier qui menait à la mezzanine et écarta les cuisses, remontant sa robe sans aucune pudeur, sur un sexe d’où repoussaient quelques poils foncés. Elle me fit signe de venir. Ce que je fis. Je me mis à genoux et glissai ma tête entre ses cuisses, commençant à faire de doux baisers sur sa peau bronzée. Ses deux mains glissèrent dans mes cheveux et elle attira ma tête sur son sexe, à son sexe. J’avais les lèvres dessus. Son impatience m’excitait au plus haut point et quelque peu téméraire, je vins glisser ma langue en elle. Au son de ses soupirs, c’est ce qu’elle attendait. Elle tira un peu plus fermement mes cheveux, tout en gardant ma tête entre ses cuisses. Je bandais fortement alors que ma langue jouait au plus profond d’elle. Parfois, elle relâchait un peu la pression qu’elle exerçait et je venais suçoter son clitoris, le mordiller à d’autres moments.
Et puis, sans crier gare, elle me remettait le visage contre son sexe et je la pénétrais, de nouveau, de ma langue. Cela n’avait rien à voir avec les rares cunnilingus que j’avais exercés avec mes petites amies de l’époque. Elle me guidait. Je n’avais plus aucune notion du temps. Cela aurait pu être quelques minutes ou une dizaine. Elle me repoussa et je tombai au sol, le plaisir sur le visage.
Elle sourit en me voyant, allongé, bandant. Ses seins étaient toujours en dehors de sa robe. Elle la fit tomber, étant carrément nue. Elle vint sur moi et prit mon sexe en main, descendant mon bermuda de quelques centimètres supplémentaires. Elle se pencha un peu plus et je sus, à cet instant, qu’elle en avait autant envie que moi. Je n’avais jamais vu une femme si vulgaire et affamée. Et la situation m’excitait grandement. Elle frottait sa vulve contre mon sexe, demande charnelle d’être prise, remplie. Elle tint mon sexe et se glissa sur moi dans un long et puissant soupir. Les deux mains agrippées à ses hanches, je dus la lâcher sous la puissance de cette sensation. Elle commençait à monter et descendre, sans me laisser de répit face à ce fort plaisir qui m’envahissait. Je devinais le sien tout aussi présent au son de ses soupirs et ses gémissements qui franchissaient, par mégarde, la barrière de ses lèvres. Quel sentiment pour un jeune de pouvoir combler une femme si mature.
Surtout quelle excitation !
Nous étions tous les deux, perdus dans cet appartement vide d’un petit immeuble dont la presque totalité des habitants travaillait. Ses mains posées sur mon torse, elle avait la tête redressée sous le plaisir et se laissait allègrement aller sur ma queue. La chape de plomb était devenue chaleur de nos corps. Elle retira mon t-shirt, ses mains se posant à même mon corps, ses ongles traçant quelques sillons dans leur passage, sous le plaisir. J’osais reprendre ses cuisses, me laissant complètement aller également. Dans cette ambiance, il ne fallut pas quelques minutes pour que je murmure à l’agente immobilière que j’allais venir. Elle se retira de moi, glissa sa main autour de mon sexe et me fit jouir en quelques mouvements rapides et experts.
Nous nous sommes rhabillés et avons continué la visite. Le soir, en rentrant, mes parents me demandèrent comment s’étaient passées les visites. Je leur ai dit que j’avais trouvé l’appartement qui me convenait. J’avais fait une super rencontre. Ce ne serait pas la dernière entrevue avec cette femme d’âge mûr, mais cela, je m’abstins de leur dire.
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