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l'agente immobilière et sa fille

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
De retour à mon travail nous échangeons des messages assez enflammés entre Stéphanie et moi auxquels elle joint des photos de sa chatte ses seins et d’autres assez dévêtues.
— Tu es belle et désirable qui te prend en photo ? — Ma fille Maéva, tu l’as déjà aperçue lors de ta venue à l’agence.Tu me manque beaucoup tu me redonne envie de vivre et surtout encore plus envie de jouir avec toi et les caresses de Maéva ne me suffise plus.— Tu as donc des relations sexuelles avec ta fille ?— Oui maintenant tu le sais, tu vas me juger comme une salope ?— Oui comme une salope, tu t’es offerte à moi sans me connaitre et tu m’avoues que tu prends du plaisir avec ta fille mais rassure toi je ne te juge pas je t’accepte telle que tu es. Je préfère une salope qui me l’avoue qu’une femme coincée.— Merci pour ta compréhension, je te présenterai Maéva lors de ta prochaine venue.— Prenons notre temps avant par contre peux tu me trouver une décoratrice d’intérieur ?— J’en connais une très compétente mais je te préviens tout de suite elle est encore plus salope que moi, je t’envoie ses coordonnées.
Une voix suave et mielleuse me donne rendez-vous pour le samedi dans quinze jours au bureau de Stéphanie vers dix heures. Lorsque j’arrive Stéphanie vêtue d’un tailleur saumon me saute au cou et m’embrasse d’un baiser profond.
— Mon chéri je te présente Anne la décoratrice dont je t’ai parlé.— Enchanté Anne, Stéphanie ne m’a pas menti vous êtes une très belle femme.
Je la détaille un peu mieux, des bottines à franges style cow-boy une short en jean qui semble collé sur elle comme une seconde peau dessinant parfaitement sa vulve et pull assez fin très collant lui aussi qui laisse son nombril visible ainsi que le piercing qui y est accroché. Elle s’approche de moi et pose ses lèvres sur les miennes forçant les miennes avec sa langue.
— Tu ne m’a pas menti il est très beau ton mec j’en ferai bien mon quatre heures.— Calme toi je t’ai demandé de venir pour du travail pas une partie de jambes en l’air.— Moi les deux me vont bien.— Toujours aussi salope tu ne peux pas voir un beau mec sans écarter les cuisses.— Tu es une sainte toi dit moi tu as attendu combien de temps avant de baiser avec lui.— Doucement les filles on est pas là pour un concours dont je suis le gros lot, on est là pour le travail.
Galant je m’installe sur un siège arrière laissant les deux femmes devant.
— Elle a beaucoup de cachet extérieur, il doit y avoir une belle surface intérieure ?
Que se passe t’il dans la tête de Stéphanie, arrivée au milieu de l’escalier elle se laisse tomber à quatre pattes sur une marche en poussant un gémissement. Sa jupe courte remonte et nous laisse voir son entrejambe libre de sous-vêtement.
— Que t’arrive t’il ma chérie, tu fais un malaise ? — Non rassure toi, un vieux souvenir qui remonte en moi.— Racontes moi.— Je peux lui dire chéri ? — Tu fais comme tu veux c’est toi que cela concerne.— La première fois que j’ai monté l’escalier devant Jacques j’ai trébuché il m’a aidé à me relever j’étais très troublée. La deuxième fois je me suis mise à genoux avec une jupe très courte et cul nu, il m’a caressée et baisée j’ai jouis comme une folle. La troisième fois il m’a sodomisé toujours dans cet escalier voilà tu connais tout de nous.— Et c’est moi que tu traites de salope tu n’es pas mal dans ton genre toi non plus.— Que voulez-vous faire dans cette pièce ? — Avec la pièce d’à côté une suite parentale avec douche à l’italienne et dressing.— Bien il me faut prendre des mesures j’ai laissé mon mètre laser dans la voiture.— Je descends le chercher.
En remontant l’escalier sans bruit avec les marches en béton j’entends des soupirs et de petits gémissements, je m’approche de la porte et je découvre les deux femmes enlacées, le short d’Anne descendu sur ses chevilles la main de l’une fouille la chatte de l’autre. Je reste un bon moment sans bouger pour les regarder. Elles ne se rendent compte de ma présence qu’après leurs jouissances.
— Il y a longtemps que tu es là mon chéri ?— Depuis le début, vous étiez trop absorbée par votre plaisir.— Juste un petit début, que penses tu Anne de prendre une belle queue ?
Les deux salopes sont nues accoudées à la rambarde de la terrasse et je passe de la chatte de l’une à l’autre. Je ne retiens pas mes pénétrations puissantes pour leur donner du plaisir.
— Chéri dis nous quand tu vas jouir, tu éjacules dans nos bouches.
Elles se partagent mon foutre en s’embrassant passionnément.
— Je vous propose d’aller se restaurer pour reprendre des forces et de reprendre le travail après le déjeuner.— Moi je ne peux pas j’ai d’autres rendez-vous cet après-midi et Anne se fera un plaisir de baiser encore avec toi.
Quatorze heures trente, je suis de retour avec Anne qui se met à genoux au milieu de l’escalier.
— Baise-moi ou plutôt sodomise moi tu as déjà goûté ma chatte.
Anne dégrafe son short et tend sa croupe vers moi, je fais quelques aller-retours dans sa chatte avant de poser mon gland sur sa rondelle qui telle une corolle de fleur s’ouvre pour absorber ma queue jusqu’aux couilles. Je lui saisis les hanches et lui pistonne le cul comme un mort de faim. Anne ne tarde pas à jouir couinant comme un petit goret en recevant mon sperme dans son fondement.
— Ce n’est pas la peine de remettre ton short tu vas travailler le cul à l’air.— Avec plaisir j’aime le naturisme et m’exhiber.
Peu après seize heures les mesures sont terminées et le choix de la destination de chaque pièce.
— On a bien mérité un peu de bon temps maintenant seule ma bouche n’a pas goûté ta queue.
Adossé à un mur, ma queue raide disparaît entre les lèvres de Anne qui s’est accroupie pour me sucer, je dois dire qu’elle l’avale en gorge profonde maintenant ma queue enfoncée jusqu’à sa glotte une dizaine de secondes.
— Je me doutais bien que vous ne seriez pas sage en mon absence j’espère que tu ne lui as pas trop vider les couilles et qu’il reste du foutre pour moi .— Il m’a juste sodomisée à notre retour et là on vient juste de finir le travail.— Dans ce cas laisse moi une petite place, on vas le sucer toutes les deux en même temps et après il nous prendra comme ce matin.
C’est avec beaucoup de plaisir que j’ai lâché mon foutre dans les bouches de ces deux suceuses qui se le sont partagé.Anne nous a quitter avec une large auréole de mouille coulant de sa chatte s’étalant sur l’entrejambe de son short.
— J’espère que tu ne m’en veux pas d’avoir pris du plaisir avec Anne.— Je savai qu’en te présentant cette salope il y aurai du sexe entre vous, mais nous ne nous sommes rien promis entre nous et puis Anne et ma fille Chloé sont les seules personnes qui m’on donnée du plaisir depuis cinq ans.J’ai pris beaucoup de plaisir avec vous deux et je ne manquerai pas d’invité Anne pour te l’offrir encore.

Une bonne douche nous fait du bien et un bon dîner au restaurant. nous redonne des forces.
— Tu reste avec moi cette nuit, j’ai encore besoin d’avoir ta queue dans mon ventre et j’ai envie de jouir mais surtout sentir ton sperme en moi.
La nuit fut très agitée sexuellement Stéphanie tirant les dernières gouttes de sperme de mes couilles , elle était insatiable redécouvrant le plaisir de s’offrir et d’être possédée par un homme. Trois semaines ont passé et je me rends compte que lundi est un jour férié, je décide donc de prendre la route le vendredi soir assez tard. Vers onze heures le lendemain, je décide de faire une visite surprise à Stéphanie.
— Bonjour, vous devez être Maéva, je suis Jacques et je viens voir Stéphanie et récupérer les clefs de ma maison.— Enchantée je suis bien Maéva, maman m’a beaucoup parlé de vous mais elle est absente pour un salon de l’habitat avec Anne et vos clefs ne sont pas à l’agence mais chez nous je peux vous les donner à quatorze heures et en profiter pour visiter cette maison avec vous.
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