Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 28 J'aime
  • 5 Commentaires

Agnès ou l'écume des jours...

Chapitre 3

Le temps d'aimer

SM / Fétichisme
La musique de la voix de Richard accompagnait chacun de leur pas. Et elle ne comprit pas de suite qu’il s’adressait directement à elle. Elle lui fit répéter sa demande.
— Vous voulez partager mon déjeuner ? Nous pouvons sortir, j’ai une table réservée tous les midis… un simple coup de fil et vous êtes mon invitée d’honneur.— Je ne sais pas si je dois…— Oui, je comprends, un mari surement qui vous attend quelque part, un homme heureux sans aucun doute. — Euh… non, je suis seule pour un petit moment, mais je ne sais pas si je dois vraiment…— Allons ! On ne vit qu’une fois et ce jour qui passe vaut d’être vécu. Il doit être inscrit dans les annales de votre vie, comme l’un des plus… fastes…— Vous croyez…— Bien sûr, dites oui s’il vous plait ! Je n’ai pas souvent la chance de déjeuner en si belle compagnie. Une bonne table ne vous engage à rien… laissez-vous tenter.— Oh et puis après tout… vous avez sans doute raison. C’est une belle journée.— D’accord alors ? Je peux appeler pour la table ?— Oui… faite, je serai ravie de partager avec vous un repas convivial.— Bien, nous reprenons un apéritif avant de nous rendre au restaurant ?— Soyons fous… une autre vodka-orange, s’il vous plait, alors !
Agnès ne se reconnaissait plus. Elle était toujours sur son petit nuage, en pleine ouate. L’autre la draguait insidieusement et elle ne s’en préoccupait pas. Pourquoi ce mec aux bonnes manières lui remuait-il les tripes aussi violemment que si c’était Louis ? L’alcool ? Le gain ? La chance d’avoir été là au bon moment ? Elle ne savait pas trop sur quel pied danser, mais ce Richard ne précipitait absolument rien. Il lui faisait des avances ou bien se l’imaginait elle ? De toute façon, elle était retenue pour le repas de ce midi, elle saurait bien dire stop si les choses devenaient trop embarrassantes. Enfin, son esprit voulait calmer ses émois en lui laissant entendre ce qu’elle voulait croire pour l’instant.
Le restaurant et sa table devinrent juste parfaits. Richard avait choisi pour eux deux et elle se laissait bercer par cette ambiance un peu floue. Rien ne semblait trop beau, il lui sembla pourtant qu’elle devrait se réveiller de ce rêve idyllique. Un long moment il la scruta, laissant ses yeux d’un bleu délavé se glisser dans les siens, sans qu’elle ne parvienne vraiment à y échapper. Envoutée… elle se sentait envoutée. Elle se trouvait bien, et quand lors de ce repas de roi, une sorte de frôlement toucha un de ses pieds, elle ne fit aucun geste pour reculer sa cheville. Elle aurait pu glisser sa jambe un peu plus en retrait, mais elle n’esquissa pas cette marche arrière qui l’aurait sauvée.
Elle n’avait pas envie d’être épargnée. L’homme avait un charme que ses cheveux, poivre et sel renforçait encore. Elle laissa donc ces orteils glisser le long de sa jambe, pour mieux remonter vers son genou. Elle appréciait cette douce caresse et se surprit à souhaiter qu’elle ne cessât pas. Mais Richard suivait du regard toutes ses réactions et quand il lui demanda de se lever elle le fit sans un mot.
— Approchez votre oreille de mon visage, s’il vous plait !
Agnès venait d’approcher sa tête de lui.
— J’aimerais que vous alliez aux toilettes et que vous reveniez sans rien sous votre jupe.— Vous… voulez dire nue sous celle-ci.— Ben… c’est cela oui, vous êtes belle à croquer, mais j’aime les femmes un peu… salopes. Alors, allez aux toilettes et ramenez-moi dans la main votre culotte, en signe de soumission !— Vous êtes fou ? — Pas du tout et vous le savez. Allons un peu de courage. Obéissez-moi ! Vous allez adorer.— Donnez-moi une seule bonne raison de faire cela ?— Vous mouillez en ce moment et ça, c’est une raison valable non ? Faites ce que je vous demande et vous serez comblée. J’adore les femmes un peu… soumises qui acceptent les défis. C’en est un que de se dévêtir ici. Et tiens pourquoi aller aux toilettes, vous vous levez et vous retirez votre slip ! Levez-vous, voyons Agnès !— Je… je n’en sais pas… si c’est convenable.— On s’en fiche de ce qui est convenable, raisonnable ou toute autre chose. Seul compte notre plaisir et le mien c’est de vous voir vous dévêtir, enfin de vous voir retirer ce seul obstacle à mon pied. — Vous voulez vraiment que je…— Non seulement je le veux, mais je vous l’ordonne. Debout et déshabillez votre joli cul de cet affreux triangle qui lui retire tout son attrait.— Mais…— Pas de mais… vous êtes une cochonne et je l’ai senti dès le premier regard. Levez-vous et donnez-moi cette culotte. À moins que vous préfériez que je vous la retire moi-même.— Non, non s’il vous plait !— Alors petite chienne, debout et montrez-moi ce cul d’enfer qui se cache là-dessous.
Le préposé aux vins, à deux pas, ne pouvait qu’entendre cette étrange conversation. Si elle bougeait, il la verrait aussi faire et mon dieu se serait l’humiliation la plus complète. Et pourtant cet homme avait terriblement raison, son ventre était devenu un cratère à la lave claire incandescente qui coulait toute seule. Elle baissa les yeux à demi vaincue. Puis d’un coup, comme pour conjurer le sort, elle se remit sur ses pieds. Elle repoussa son siège. Un court instant l’homme crut qu’elle allait s’enfuir en courant. Il ne pouvait pas gagner à tous les coups ! Quand elle posa sa serviette nonchalamment après s’être essuyé les lèvres d’un revers de main, il vit qu’elle remontait l’ourlet de sa jupe.
Finalement, la victoire ne tenait qu’à très peu de choses. Le caviste, regardait cette scène comme un halluciné, mais il ne broncha pas quand la femme sans en avoir l’air fit glisser un voile violet le long de ses longues gambettes. Il avait une érection depuis un long moment déjà, et il n’était sans doute pas le seul. La petite chose de couleur franchit les talons des escarpins vernis de la dame. Puis elle disparut, roulée en boule dans sa menotte Elle allait se rassoir quand l’homme lui ordonna.
— Non ! Relève ta jupe et seules tes fesses doivent reposer sur le siège. Allons !
Elle fit ce que l’autre venait de lui demander. Sa patte se tendit vers le type aux tempes argentées et la chiffonnade changea de main. Le mâle avait pris la chose et cette culotte maintenant flirtait avec les narines masculines. Abasourdi, le garçon ne faisait semblant de rien et pourtant, comme il aurait voulu qu’elle perdure encore.
— Tu vois comme c’est simple. Maintenant, tu es prête ?— Prête à quoi ?— Tu ne parles que si je te le demande ! Compris ? Hoche la tête pour me faire savoir que tu es prête.
Agnès avait baissé puis remonté son menton qui tremblait. Le long de l’intérieur de sa cuisse, un ruban de liquide suivait les muscles. Elle songea, mais c’était sans importance que la toile du siège allait être tachée de sa mouille. L’homme face à elle avait les yeux brillants, remplis d’excitation sans doute et elle crevait d’envie. Rien à voir avec ce qu’elle ressentait avec son Louis. Non vraiment aucune commune mesure. Sur sa cheville, le pied remontait déjà et avait atteint le genou. Mais ce visiteur ne se contenta pas de rester là, il longea la cuisse et s’engouffra sous la jupe. D’instinct, elle avait écarté les deux jambes et les orteils chatouillaient agréablement son pubis.
— Garçon, un verre de vin pour Madame, s’il vous plait.
Zélé le gars s’empressait déjà ! Mais Richard avait une autre idée. Et Agnès en fut rouge de honte.
— Madame a très chaud, pourriez-vous s’il vous plait lui dégrafer son soutien-gorge ?— Euh…— Non n’ayez crainte, elle est d’accord.
Il avait les yeux dans ceux d’Agnès et l’autre passa dans son dos. Entre son pouce et son index, il pressa sur le fermoir dorsal du cache-seins. À sa grande honte, la brune sentit ses nichons libérés dans son chemisier !
— Passez-le-moi du temps que vous y êtes. Oui ! Ouvrez la chemise de cette dame et retirez-lui cet instrument de torture qui nous empêche d’admirer ses formes parfaites.
Trop heureux de la bonne aubaine, le serveur avec précision avait déjà déboutonné le devant du chemisier et ce qui apparaissait était d’un mauve identique à la culotte que Richard gardait sous son nez, sous les yeux d’une Agnès rouge comme une pivoine. Le soutien-gorge était désormais entre les assiettes, sur la table, bien en évidence. La jeune femme serra les bras comme pour retrouver un zeste de dignité. Mais elle dut se rendre aux raisons de ce type aux allures de gentleman. Son ventre était en éruption alors que les doigts de pied frottaient sur toute sa longueur sa chatte humidifiée au possible.
Elle était soudain terrifiée de se savoir ainsi à la merci de ce gars qui n’hésitait pas à la faire se désaper dans un lieu aussi fréquenté que ce restaurant. Le pire c’est qu’elle était en pleine possession de ses moyens, qu’elle pouvait tout à fait dire non, mais qu’elle le faisait presque de bonne grâce. Un comble tout de même que ce qui lui arrivait. Elle avait le feu au derrière. Et ce Richard en profitait avec son assentiment le plus total. Elle en ravala sa salive et comble de l’hypocrisie son ventre avança sur le pied qui frottait sa chatte. Elle adorait cette forme bizarre de sexualité, celle de se laisser guider par un inconnu. Elle se sentait perdue et finalement elle en était de plus en plus excitée.
Si elle l’avait pu, elle se serait laissée faire là, devant tout le monde. Mais apparemment il en décidait autrement. Tout son être était comme un grand brasier. Sa respiration mettait en avant ses seins maintenant libres sous la toile de coton d’un chemisier largement dégrafé. Il pouvait en regardant simplement, en apercevoir plus que la normale et il ne s’en privait nullement. Le préposé aux vins lui aussi attendait, raide comme un piquet avec une serviette blanche sur le bras, mais cette fois il s’était légèrement décalé pour mieux suivre le spectacle de cette table un peu à l’écart des autres. La culotte et le soutif lui brulaient les yeux aussi.
Agnès dut une fois encore se lever sous les injonctions de celui qui sans aucun doute serait avant la fin de l’après-midi son amant. Elle le sentait, le savait et cela lui donnait encore plus d’envie. Elle avait dû relever sa jupe sur le devant, montrer à cet homme ce que seul son mari avait vu ou touché depuis tant d’années. Mais les trainées le long de ses cuisses en disaient plus long que tous les discours et l’autre avait ricané. Il l’avait presque insulté en la traitant de pute et pourtant ces remarques acerbes n’avaient fait que renforcer son excitation. Sa peau se piquait de petits points dus à la chair de poule qui l’envahissait.
Elle était rouge sur tout le visage et l’autre lui demandait de se retourner en gardant la jupe relevée. Il voulait voir ses fesses. Alors qu’elle obéissait, une cliente venait de passer, raide et guindée dans une tenue de bourgeoise bien mise. Elle n’avait pas même jeté un œil sur cette femme à la jupe remontée qui laissait voir son sexe et surtout son cul à un grand type aux cheveux gris. Richard lui avait alors asséné une claque sur le gras d’une fesse et elle avait tressailli d’un coup. Pourtant cette gifle anodine l’avait complètement enflammée. La touffe de poils sombre que son pubis gardait avait un instant émoustillé le caviste qui visiblement n’en pouvait plus.
Richard demanda l’addition puis l’ayant réglé, il lui fit signe de le suivre. Elle allait se pencher pour reprendre ses sous-vêtements, mais il la stoppa net dans son élan.
— Laisse cela, au moins notre ami aura une compensation ! Il pourra se branler dans tes frusques qui sont bien inutiles désormais. Tu ne devras plus jamais en porter.
Le restaurant était derrière eux depuis belle lurette et l’homme conduisait tranquillement. Assise à ses côté la brune ne disait rien. Elle voyait la forêt défiler devant la vitre et quand il mit le clignotant sur une sorte d’aire en plein bois elle sut qu’ils étaient arrivés là où il le voulait. D’abord, il lui demanda de descendre du véhicule, puis il ouvrit le coffre et alors il lui parla.
— Tu es riche, tu es belle, mais tu restes une salope. Tu vas gentiment te déshabiller. — Quoi ? Ici en pleine forêt ?— Je t’avais dit de te taire, tu n’as pas le droit de parler. Nous allons régler cela une bonne fois pour toutes. Allons mets tes frusques dans le coffre !— … !
Les yeux embués de larmes, elle restait là sans bouger. Alors la claque formidable qui la cueillit sur la joue sembla la réveiller. La tête basse, Agnès se résigna à retirer jupe et chemisier.
— Tu peux garder tes chaussures. Le chemin est caillouteux et je ne voudrais pas te rendre à ton mari… abimée.
Entièrement nue elle dut encore se plier aux exigences de ce type qui la traitait tout à fait comme une pute. Il lui mit sur les yeux un bandeau et puis un collier et une laisse et ils marchèrent un long moment sur un chemin ou un sentier très accidenté. Elle suivait, tentant de garder un équilibre plutôt instable. Quand enfin il lui demanda de s’arrêter, elle entendit des voix toutes proches. Le creux qu’elle avait au ventre était autant de peur que d’envie de sexe.
— Toi ! Oui toi, approche !
Richard s’était adressé à une personne invisible et elle sentit une présence toute proche.
— Tu peux la tripoter tant que tu veux, mais avant, tu lui attaches les mains à cet arbre. Et l’un de vous autres me trouve une belle et longue baguette de noisetier.
Des bruits suspects lui revenaient, derrière son bandeau. Elle se sentit saisie par les poignets et l’écorce d’un arbre se colla à son ventre. C’était du genre râpeux, pas lisse du tout. Elle songea que ce devait être un sapin avec son écorce morcelée. Plaquée contre le tronc, ses mains fixées par elle ne savait quoi, elle ne pouvait plus se mouvoir.
— Tiens, tu vas la baiser, alors à toi l’honneur.
Elle ne savait pas ce qui se tramait dans son dos. Le premier coup, quand la badine s’abattit sur ses reins elle hurla.
— Cinq fois, tu dois le faire encore quatre fois. Je veux qu’elle sache ce que le mot obéir veut dire.
Tétanisée par la peur, elle attendait que la seconde touche de la baguette la secoue ! Elle arriva sur la gauche alors qu’elle l’attendait à droite et ça lui fit un mal de chien. Puis les trois dernières morsures sur sa chair la firent pleurer. Ensuite quelqu’un lui passa les mains sur chacun des impacts et elle se sentit cajolée, mieux en fait. Une main descendait sur ses fesses, les écartant sans lui faire plus mal que cela.
— Ne crains rien ! C’est une bonne cochonne, touche-lui la chatte, et dis-moi si elle est encore mouillée.— Oui ! Elle dégouline, ça lui coule sur les cuisses. — Alors tu peux la baiser ! Tu as dix minutes pour la faire jouir. Si tu n’y arrives pas, je la donne à un autre. C’est parti.
Les mains douces de celui qui la touchait venaient à nouveau de s’infiltrer dans la raie de ses fesses. Elle respira plus fort quand un doigt s’engouffra sans autre forme de procès dans l’œillet sombre. Puis l’homme délaissa la caverne et elle sut qu’une bouche aspirait sa chatte baveuse. L’autre lui passait la langue entre les cuisses, emportant avec lui un début d’orgasme. Elle ne tenait plus. Si ses bras n’avaient pas été liés au tronc elle serait sans doute tombée à genoux tant la caresse précise et ciblée la rendait folle. Et alors qu’elle tremblait de partout, une véritable pluie de gifles s’abattit sur ses deux fesses, mais la langue la titillait toujours.

La conjugaison des deux la secouèrent tout entière dans une jouissance hors norme. Elle ne se rendait plus compte de rien et sentait des tas de mains qui la frôlaient, qui lui étiraient la peau. Ses gémissements dans cette partie boisée devaient attirer des curieux, des pervers de tous poils aussi. Mais elle n’en avait cure, son corps réclamait encore et encore du sexe. Les voix, les hommes qui se trouvaient là, pouvaient bien lui faire ce qu’ils voulaient, elle était prête pour les saillies, prête pour recevoir, subir et surtout elle est prête pour donner… son âme à ce diable de Richard. C’est ensuite que délivrée de l’arbre et libre de tout bandeau, elle se livra à une chaine de fellations sous les yeux narquois de ce type qui l’avait amenée en ce lieu.
Combien de ses amants éphémères lui crachèrent leur foutre dans la bouche ? Elle n’avait comptabilisé que les trois premiers, ensuite les yeux clos elle avait seulement recueilli les offrandes. Ils n’avaient plus cherché à la prendre où avaient-ils reçu des ordres de Richard ? Elle s’emballait dans des léchages de grosses queues, de petites bites, et des paires de couilles nombreuses vinrent remplacer celles vidées par ses coups de langue bienheureux. Certains ne cherchaient pas à jouir en elle, enfin dans son gosier, non, ils ne désiraient que se soulager sur son visage. C’était les cheveux gluants de sperme, la figure poisseuse qu’elle reprit ses vêtements, entourée d’une armée d’ombres inconnues.
Richard l’avait offerte, Richard l’avait donné et lui n’avait même pas participé à l’hallali. Il le ramena jusqu’au casino Il était dix-huit heures bien tassé et elle put prendre une douche sur les lieux mêmes du travail de son… chevalier servant. Drapés dans un peignoir, en passant par des passages vides de personnel, ils atteignirent le bureau aux multiples écrans et aux sofas nombreux. Là, il la faisait s’allonger, lui servit un drink qu’elle but lentement. Quand il passa sa main sur ses épaules, pour rejeter en arrière le nid d’ange en éponge, elle sut qu’il allait enfin lui faire l’amour.
Elle était prête et se laissa cajoler par d’abord des mains qui étaient d’une finesse et d’une exquise douceur. Puis quand enfin il lui lécha la chatte, elle se cabra comme un animal précieux.
— Tu es belle et je veux te prendre par derrière.— … !— Ah oui ! Tu peux parler maintenant, le jeu est fini et nous sommes à l’apogée de notre rencontre. Je veux te sodomiser en levrette. Mais avant il me serait agréable de savourer ta langue partout sur mon corps. Commence par là !
Richard s’était lui aussi allongé sur le divan immense et moelleux. Il venait de remonter ses deux jambes sur sa poitrine, entièrement nu aussi après la douche. Il écartait ses deux fesses et dans cette raie culière remplie d’un fin duvet, un œil brun était bien visible.
— Tu veux que je te lèche… ? Là ?— Oui… mais ce n’est qu’un début tu t’en doutes.— Je… je n’ai jamais fait cela.— On est idiot que le temps d’essayer… allons ne me fais pas attendre.
Alors la jolie frimousse d’Agnès s’incrusta entre les deux gambettes masculines relevées et le bout de sa langue vint frôler cet anus présenté. D’abord, elle s’était raidie puis au fil des passages l’envie lui remonta du ventre vers la gorge. Elle se prit au jeu et sa pointe de langue s’enfonçait de plus en plus loin dans ce recoin perdu. Elle aimait finalement cet endroit peu ordinaire. Ensuite elle se laissa mettre en soixante-neuf et son nouvel ami lui régala la chatte de ses baisers étranges. Il réitéra sur elle les mêmes voyages qu’elle lui prodiguait. Les préliminaires durèrent longtemps et quand enfin il la fit mettre à quatre pattes pour la prendre, elle n’avait plus aucune crainte. Le tenon s’enfonçant dans la mortaise bien préparée, elle ne ressentit aucune douleur.
Il la lima de longues minutes et quand enfin il se délivra en elle, juste avant d’en sortir par la mollesse de son vit, elle se laissa aller à nettoyer cette limace d’une bouche envieuse. Il était aux anges et elle songea que son Louis pouvait bien se taper la terre entière, elle avait trouvé elle un complice à la hauteur de ses attentes. Elle se savait déjà perdue, elle reviendrait, de cela elle était absolument certaine… le casino et ses charmes sauraient lui ouvrir d’autres perspectives… et puis maintenant, elle avait des choses à raconter… à son mari !
Diffuse en direct !
Regarder son live