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Agréable chantier

Chapitre 1

La maîtresse a du talent

Hétéro
Comme tous les ans au mois d’août, je pars me ressourcer dans mon petit coin de paradis dans le centre de la France. C’est la maison familiale qui existe depuis plus de cent ans, dans un petit village d’Auvergne.
Les habitants du village savent que je dirige une entreprise de bâtiment, et régulièrement, ils me sollicitent pour des chantiers plus ou moins importants. Je viens ici pour fuir le rythme de la capitale et les responsabilités de l’entreprise, mais donner un coup de main à mes voisins ne me dérange pas.
Il y a quelques mois, un nouveau voisin, Laurent, me sollicite pour des travaux. Je ne le connais pas, mais il m’explique qu’il vient tout juste d’acquérir la maison qui est à trois maisons de la mienne. Je vois très bien de laquelle il parle vu que je connais très bien les enfants des anciens propriétaires. Il m’explique qu’il souhaite créer un mur mitoyen dans le jardin, abattre le mur entre le salon et l’ancien bureau pour agrandir la pièce. Il veut également abattre une partie du mur de la cuisine pas très lumineuse, pour installer une verrière, changer la fenêtre de leur chambre et enfin transformer la salle de bain du bas en salle de douche. Il y en a au total pour deux semaines entières de travail, voire plus. Je prépare le chantier avec l’achat des matériaux et des outils nécessaires quelques mois à l’avance.
Une fois sur place le samedi matin, je prends contact avec Laurent pour fixer un rendez-vous l’après-midi. L’avantage c’est que je connais très bien la maison, cela permet de faire le point rapidement sur les travaux. Je lui demande s’il participe aux travaux, mais il m’explique qu’il part le lendemain et ne revient que mercredi midi. Il m’aidera donc à ce moment-là.
Le lundi grâce à la mini-pelle qui arrive de bonne heure, je commence le chantier, par creuser les fondations du mur. Ma journée se déroule sans encombre et je croise la propriétaire avant de partir. Je prends cinq minutes en sa compagnie pour faire un point sur l’avancement. C’est une superbe blonde d’environ un mètre soixante-quinze, cheveux mi-longs et les yeux verts. Je lui explique ce que j’ai fait aujourd’hui et le programme de demain avant de lui demander si elle veut jeter un œil. Elle me répond que ce n’est pas nécessaire, qu’elle a confiance en moi et qu’elle regardera cela demain, car elle sera là toute la journée.
Mardi, la journée se déroule tranquillement. En milieu d’après-midi, je vais voir la propriétaire pour savoir si je peux me faire un café sur leur machine. Je toque donc à la porte de la chambre qui leur sert également de bureau et lui demande l’autorisation. Elle me répond par l’affirmative et me demande si je peux lui en préparer un avant qu’elle aille courir. Je vais donc à la cuisine préparer deux tasses de café et elle arrive peu après. On prend un peu le temps de discuter. J’apprends qu’elle s’appelle Camille et qu’elle a vingt-sept ans. Grâce à sa brassière de sport et à son legging moulant, je découvre également qu’elle a un physique plutôt avantageux : des fesses bien musclées et une petite poitrine qui a l’air de bien se tenir. Je lui demande ce qui les amène ici et lui explique que je connais très bien cette maison. C’est là que je découvre qu’elle est une des maîtresses de l’école du village et qu’elle vient tout juste d’être nommée.
Elle m’explique également que son mari est commercial dans toute la région Auvergne Rhône-Alpes, et que maintenant, il peut rentrer un soir par semaine. Camille me dit que depuis un précédent voyage dans le coin, ils sont fous de cet endroit et notamment du lac qui ne se situe pas très loin. Je lui dis que c’est mon terrain de jeu préféré depuis que je suis tout petit et que je le connais comme ma poche. Elle a hâte de voir tout ce qu’on peut faire aux alentours, car pour l’instant, elle ne fait que courir là-bas. On finit notre café. Je reprends le travail et elle file courir.
Je consacre la journée du mercredi à la salle de bain qu’il faut changer en salle d’eau. Le midi, Laurent rentre comme prévu et on passe l’après-midi à transformer la pièce. Camille rentre dans l’après-midi et au cours d’une pause aux toilettes, qui se situe à côté de leur chambre, j’entends une conversation plus intime. Au cours de cet échange que je résume ici.
— J’aime beaucoup ta tenue. — Tu dis ça à chaque fois que tu es à la maison, tu es toujours en train de me toucher, cela m’excite, mais tu me dis que tu n’as pas goût au sexe en ce moment. — Je sais, ce n’est pas ma faute, mais la charge de travail en ce moment et les déplacements m’épuisent. — Je t’aime et je n’irai pas voir ailleurs, mais j’ai aussi besoin que tu prennes conscience de mes besoins. On termine ensuite la salle de bain assez tard dans la soirée puis je rentre chez moi avec le souvenir de cette discussion.
Le lendemain, je dois casser un mur entre le bureau et le salon. Il fait beau et chaud et il y a peu d’aération dans la pièce. Je décide donc de me mettre torse nu pour travailler à l’aise. Je n’ai pas un corps d’Apollon, mais grâce au sport et aux travaux manuels, je suis plutôt bien entretenu. En fin de matinée, Camille descend en minishort de sport et brassière, elle a également sous le bras un tapis, un élastique et des petits haltères. La jolie blonde passe la tête par la porte pour voir où en est la tâche de démolition. Elle s’excuse presque de me voir torse nu, mais me dit quand même qu’heureusement que la seule femme qui vit ici est mariée, sinon elle risque de rester regarder. Elle m’explique qu’elle profite du temps pour aller faire du sport dans le jardin. Quelques minutes plus tard, je constate qu’elle s’est mise pile en face d’une des deux fenêtres du rez-de-chaussée. Les étirements qu’elle fait me laissent une vue magnifique sur le verso de son mini short.
Je continue de travailler sans me priver de jeter un œil dessus de temps en temps. Elle se met cette fois face à moi et elle me surprend à la regarder, même si ce n’est que quelques secondes. Je ne sais pas si c’est un jeu ou si c’est moi qui rêve, en tout cas, je ne crache pas sur la vue. Je me reconcentre sur mon travail tout en constatant qu’elle a vraiment un corps avec de belles formes.
Le vendredi passe plutôt calmement. Je termine de démolir les murs le matin. J’installe la verrière sans la fixer et je nettoie le salon pour le retour de monsieur l’après-midi. Le samedi matin, je profite du temps splendide et je décide d’aller faire un tour au lac, pour quelques activités aquatiques. Je dispose en effet à la maison, d’une planche à voile, et d’un petit bateau à moteur de cinq mètres, idéal pour naviguer sur le plan d’eau. Une fois sur place, je me change près de la plage d’accès aux engins nautiques.
J’ai la surprise de voir Camille passer en courant juste derrière moi, elle me voit et s’arrête pour discuter.
— Bonjour Camille, quelle surprise de vous voir ici. — Je viens plusieurs fois par semaine et là j’ai besoin de décompresser. — Ah bon, la fin de la semaine est dure ? — On s’est disputés hier soir avec Laurent, car il a invité sans me prévenir des amis qui arrivent cette après-midi. — Oui en effet ce n’est pas idéal. Mais c’est le bon endroit pour décompresser ici. — Oui, mais je suis jalouse, car beaucoup de gens naviguent et moi j’aimerais pouvoir le faire aussi. — Vous avez votre maillot de bain ? — Toujours, je vais me baigner après chaque footing. — Bien alors, finissez votre footing et venez me rejoindre pour que je vous prête la planche. — OK pas de problème, je ne sais pas en faire, mais je serais ravie d’apprendre.
Une fois son footing terminé, elle me rejoint, je lui explique les bases, lui montre comment faire et je lui cède la place. S’ensuit un ballet de positions un peu provocantes, prises exprès ou non, je l’ignore, pour m’exhiber ses formes. Camille porte un bikini qui met parfaitement en valeur une poitrine de taille moyenne, mais qui se tient très bien, et une paire de fesses bien fermes, résultat de ses séances de gym. J’ai le plaisir de pouvoir toucher ce corps à sa demande pour l’aider à trouver l’équilibre. Je la soupçonne de tomber sur moi exprès pour que je la touche et que je la rattrape. Je l’aide donc à se relever et elle est à chaque fois plus près de moi une fois debout. On finit cette séance de planche et elle me remercie vivement pour ce bon moment passé avec moi.
Je passe la fin de mon Week-end entre balades, repos et soirée sport à la télé, prêt à attaquer une nouvelle semaine qui va prendre une tournure inattendue.
La semaine commence très bien, le soleil est au rendez-vous et il fait déjà très bon le matin. Je vois Camille occupée à sortir un transat. J’apprécie sa tenue composée uniquement d’un tanga et d’un petit tee-shirt. Je commence à démonter la fenêtre de la chambre. Je constate que légèrement en diagonale de là où je me trouve, j’ai une vue agréable sur la maîtresse des lieux. Elle est allongée sur le ventre, en train de lire un livre. Je dois avouer que je bosse très lentement, car mon regard ne cesse de se poser sur le sublime cul de la jeune prof. J’achève ma tâche de la matinée tant bien que mal et Camille, qui s’est rhabillée, me propose de rester manger avec elle, car il y a des restes de leur repas du week-end. Comme je suis amateur de nourriture et que je ne refuse jamais un plat de saucisse et de lentilles du coin, j’accepte avec plaisir.
Je ne sais pas comment interpréter cela, mais Camille me dit qu’elle est amatrice de saucisse lentilles et qu’elle apprécie les saucisses depuis toujours. Je ne manque pas de relever, mais je n’en rajoute pas, je préfère répondre avec humour.
Le repas s’achève et je retourne sur mon perchoir afin de continuer mon travail sur la fenêtre. Il fait vraiment chaud cette après-midi, donc je décide de travailler torse nu. Alors que je travaille sur mon ouvrage, je vois Camille qui sort, nue, vêtue seulement d’un chapeau, de lunettes de soleil et je distingue des écouteurs dans ses oreilles. Elle se dirige de nouveau sur son transat, mais à ma grande surprise, elle s’allonge cette fois-ci sur le dos. J’ai donc une vue sur sa chatte décorée d’un léger ticket de métro et de sa paire de seins avec une si bonne tenue. J’essaye de continuer à travailler tout en scrutant occasionnellement cette jolie plante. Quelle chance que le jardin de la propriété soit très grand et qu’il n’y ait pas de vis-à-vis. J’arrive à me consacrer pendant un temps non négligeable sur cette fenêtre qui me donne du fil à retordre.
Je suis tenté de regarder de nouveau par la fenêtre, mais je ne vois pas la propriétaire qui a dans le doute fini sa séance de bronzage. Je me remets donc au travail avec la ferme intention de finir l’entourage de la fenêtre. Quelques minutes après, Camille rentre, toujours aussi nue que lors de sa séance de bronzage. Elle ne me dit pas un mot et file à la fenêtre, elle jette un œil sur le transat, se tourne vers moi et engage la discussion :
— Je ne me trompe pas, d’ici il y a une vue agréable. — En effet je ne peux pas me plaindre.
J’ai à peine le temps de répondre que Camille attrape mon pantalon, le déboutonne, le baisse et fait de même pour mon boxer. En moins de temps qu’il ne m’en faut pour réagir, elle saisit mon sexe déjà tout tendu par mes visions de l’après-midi. Elle me regarde droit dans les yeux, et je fais de même du haut de mon escabeau. De là où je suis, cette jolie blonde est à pile le visage au niveau de mon sexe. Elle ne se prive donc pas de le prendre en bouche et de commencer des va-et-vient à pleine bouche. Moi qui suis dominant habituellement, je lui laisse totalement le contrôle, parce que je suis toujours sous le choc de l’attaque rapide de cette belle nymphe. Je dois avouer également qu’elle maîtrise la chose à la perfection. Cette poupée, à la chevelure blonde, lèche de bon cœur mon sexe sans oublier mes poches à foutre. Elle prend son temps pour parcourir toute la longueur de ma tige. Elle tente tant bien que mal de la faire disparaître dans sa bouche.
Le tout en veillant bien à garder le contact visuel. Elle joue avec le rythme un coup à fond un coup en s’appliquant. Un coup elle lèche, un coup elle suce. La petite ingénue finit par accélérer le rythme, ce qui fait de plus en plus monter mon plaisir. La voir se délecter comme ça de mon sexe le fait durcir encore plus.
Camille s’arrête et me demande de la prévenir avant de jouir, car elle me prépare une surprise. Puis elle replonge mon sexe dans sa bouche. Elle s’acharne à toute allure pour faire venir mon plaisir. Je la préviens que je vais jouir puis elle sort ma queue, l’attrape avec sa main et me branle énergiquement juste devant son visage. Il faut peu de temps pour que je vois son visage accueillir mon foutre. Une fois totalement déchargé, elle nettoie mon sexe et me regarde pour me demander si la vue me plaît toujours. Elle file à la salle de bain et me laisse comme ça, encore surpris par cet agréable moment. Je remonte mon caleçon et mon pantalon et je descends de l’escabeau pour retrouver mes esprits. Je remonte dessus pour finir mon labeur du jour et je constate que Camille est de nouveau sur son transat. Je passe la fin de l’après-midi à poser la fenêtre puis je m’en vais sans dire un mot. J’ai hâte d’être à demain...
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