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Agréable chantier

Chapitre 2

Course, poursuite, et suite

Hétéro
On est mardi, je n’ai pas de trace de Camille, elle m’a laissé la clef pour toute la durée du chantier. Je peux donc entrer dans la maison même lorsqu’elle est absente. J’effectue mes travaux prévus aujourd’hui, mais j’avoue que je suis assez rêveur au sujet d’hier. Je ne sais pas quelle mouche l’a piquée, mais cela ne me déplaît pas du tout. En début d’après-midi, je reçois un message d’elle disant :

[SMS]> Si tu peux venir à Clermont demain soir ça m’arrange rendez-vous dix-neuf heures au café du nord. < Pour ? > Merde pas pour toi. < Ha on se tutoie maintenant ? > On verra.
Cet échange aussi énigmatique que court me laisse songeur, je me demande bien à qui il s’adresse et quel est l’objet de départ. Bien sûr vu l’heure et le lieu du rendez-vous, le doute est permis. Je décide de me concentrer sur mon travail, mais de garder ce message dans un coin de ma tête. Le lendemain, j’arrive tôt dans l’espoir de croiser la propriétaire. Quand j’arrive, je constate que j’ai réussi mon coup, car celle-ci est prête, mais encore au café, on se salue et elle s’excuse pour le message d’hier. Peu de temps après, elle part, habillée en jean avec un tee-shirt col V et un petit gilet. Elle me prévient qu’elle va rentrer tard. Je besogne toute la journée dans l’espoir d’avancer le plus possible. Je finis vers dix-sept heures, je passe à la pizzeria du village prendre de quoi manger. Je rentre me changer rapidement, et je fais la demi-heure de route qui me sépare de Clermont, dans le but d’en savoir un peu plus sur ce mystérieux rendez-vous.
Je m’installe sur une place de stationnement face au café et je commence à engloutir ma pizza tout en observant. Un peu avant dix-neuf heures, je vois Camille arriver, je constate qu’elle ne porte pas la même tenue que ce matin, puisqu’elle est vêtue d’une jupe courte, et le tee-shirt et le gilet ont laissé place à une chemise. Elle va s’assoir à une table vers l’intérieur du café et peu de temps après, un homme la rejoint. Ils discutent un long moment, il lui montre des photos, et finalement après une bonne heure de discussion, ils repartent ensemble. J’arrête ici ma mission de détective privé amateur et je rentre à la maison.
Le jeudi matin, j’arrive vers dix heures et demie, et trouvant madame dans la cuisine encore en pyjama, je m’excuse de mon retard, prétextant un détour pour acheter une pièce.
— Ce n’est pas grave, de toute façon, je viens de me réveiller, donc si vous aviez commencé plus tôt, j’aurais été réveillée. — J’ai bien fait donc, la nuit a été difficile ? — Non longue, j’ai attendu Laurent jusqu’à tard. — J’ai été étonné de ne pas le voir rentré hier après-midi. — Oui il travaille beaucoup en ce moment. D’ailleurs, au sujet de ce qu’il s’est passé l’autre jour, j’aimerais qu’il n’en sache rien. — Aucun risque, je suis une tombe. — Merci. Je ne serai pas là demain après-midi non plus, je dois allez à Clermont, j’espère vous voir avant de partir. — Je ne pars que dimanche, je veux profiter un peu avant de rentrer. — Très bien, on passera sans doute vous voir avec Laurent pour vous dire au revoir. Et au fait, c’est vraiment très bien ce que vous faites.
— Merci.
Je passe la journée à peaufiner les derniers détails du chantier et je rentre chez moi, intrigué par ma conversation du jour avec la jolie blonde.
Vendredi matin, je vois que la voiture de Camille est là, donc je ne risque pas de la manquer. Je me prépare vite, ma curiosité est plus forte que tout, j’ai décidé de la suivre cette après-midi. Je vais terminer les derniers détails et récupérer mon matériel afin d’être prêt en début d’après-midi. Je mange et je me poste dans la voiture dans le garage dont la porte est ouverte comme à chaque fois que je suis présent. J’ai un miroir sur mon garage qui me permet de voir la rue, je sais donc que Camille est toujours là. Vers quatorze heures trente, elle part, je laisse passer une ou deux voitures et je décide de la suivre. La route nous conduit jusqu’à Clermont-Ferrand et à ma grande surprise, elle se dirige vers l’hôpital. Elle se stationne sur le parking, je l’imite, mais à bonne distance. Elle part en direction du parking réservé au personnel et je décide de la suivre discrètement.
Une fois arrivée sur ce parking privé, elle tourne autour d’une voiture puis elle repart en direction du bâtiment et de l’entrée du public. Je décide de m’arrêter là et je retourne à ma voiture. Une vingtaine de minutes plus tard, elle revient et reprend la route.
On se dirige cette fois-ci vers le centre-ville de Clermont. On se gare dans une petite rue pas très loin d’une rue commerçante, ma cible descend et commence à marcher dans cette direction. Elle fait plusieurs commerces de la rue avant de se diriger vers un sex-shop. Je sais que c’est risqué, mais j’attends un peu, puis je rentre. Je connais cet endroit, car c’est un des seuls de la ville et je l’ai fréquenté étant plus jeune. Ça a beaucoup changé, mais il reste un petit côté authentique. En parcourant des yeux les rayons, je la vois regarder des accessoires qui me sont plutôt familiers, et je constate qu’elle a déjà un paquet avec une tenue dans les mains. Mes yeux continuent de divaguer et tombent sur la pancarte indiquant un Glory Hole, voilà le genre de nouveauté qui me plaît. J’aime ce genre de choses, mais je n’ai pas envie de rater Camille. Et puis finalement tant pis pour ma filature, je me décide à y aller.
Je commence à me déshabiller et à me branler pour faire durcir ma queue, j’enfile tant bien que mal une capote puis je la passe à moitié dure par le petit carré. Au bout de quelques minutes, je sens qu’une main se pose dessus, le va-et-vient se fait lent et hésitant. Mon pieu ne tarde pas à redevenir bien dur et tendu, et les va-et-vient de mon inconnu sont de plus en plus fermes. Je sens la capote partir et des lèvres se poser sur mon chibre. Une langue commence à arpenter délicatement ma tige jusqu’à mes bourses. Rapidement, je me retrouve plongé dans une bouche délicate. Les va-et-vient de cet orifice inconnu sont profonds et rapides, et je sens que la personne au bout femme ou homme prend du plaisir à me sucer. Cette pipe généreuse s’arrête soudainement et je sens un contact froid et liquide sur mon gland. Au vu de l’étroitesse du couloir dans lequel se rentre mon sexe, je sais que cet inconnu n’a pas froid aux yeux.
Ce ballet de ma bite dans ce petit orifice dure encore quelques minutes avant que la main reprenne le relais pour passer aux finitions. Compte tenu de la vitesse avec laquelle est branlé mon chibre, il ne me faut pas beaucoup de temps pour jouir. Je profite un peu de ce moment et je fais un petit tour du sex-shop pour regarder les nouveautés. Je pars peu de temps après et en rentrant, je constate que ma voisine est rentrée également, mais je n’ose pas aller la voir.
Le samedi, je range la maison en prévision de mon départ du lendemain et je fais un brin de ménage. Cela m’occupe une bonne partie de la journée et de l’après-midi, et vers 16h, je reçois un message de Camille.
[SMS]> Footing et baignade dans une demi-heure ?< Avec plaisir > Je passe vous prendre ou on se retrouve là-bas ? < Oui passez bien sûr.
Une demi-heure après, nous voilà partis, comme moi Camille est déjà en tenue, un petit short gris et rose, la brassière et un petit coupe-vent assorti. Je meurs d’envie de lui demander quelle est la raison de tous ces aller-retour soudains à Clermont. Mais on se contente de parler des travaux de la maison et de leur satisfaction. Arrivé au lac, on démarre le footing tout de suite et on court pendant à peu près quarante-cinq minutes. En courant, on discute de tout et de rien et également pas mal de sujets personnels et intimes.
— Un petit challenge, ça vous tente ? me demande cette jolie poupée blonde décidément bien entreprenante aujourd’hui. — Attention, je suis un grand joueur, je ne dis jamais non. — Tant mieux, comme ça vous regretterez quand vous aurez perdu, dit-elle pour me provoquer. — Quel est le challenge ? — Une course sur deux tours. — OK je suis chaud, la récompense ? — Attendez, laissez-moi réfléchir. A ce moment-là, je vois clairement qu’elle feint l’improvisation.— J’ai des suggestions, mais je ne sais pas si elles vont vous plaire ? — Dites toujours, je suis curieuse. — Pourquoi pas une bonne bouteille ? lançai-je sans trop y croire. — Non je ne suis pas fan.— Celui qui perd dispose du corps de l’autre quand il voudra. Je dis cela bien sûr pour la provoquer. — J’achète, lance-t-elle, tout heureuse. — Parfait, et au fait, après notre petite aventure et votre message, on peut peut-être se tutoyer vraiment, non ? lui demandai-je.— Oui je préfère aussi. Tu es prêt ? — Je ne te propose pas de handicap ? — Si tu n’as pas peur d’être ridicule face à une femme alors non. — Prépare-toi à perdre alors.— Arrête de parler, c’est parti.

Je crois que c’est ma victoire la plus accrochée autour de ce lac. Camille est restée collée à mes baskets durant l’intégralité des deux kilomètres cinq cents, et je pense qu’elle avait vraiment envie de gagner. On marque une petite pause pour reprendre nos esprits, et je l’attrape par la main pour la tirer un peu plus loin dans la partie boisée du lac. Je connais les coins tranquilles pour l’avoir exploré de fond en comble par le passé, avec d’ailleurs parfois d’agréables surprises. Camille suit sans dire un mot, une fois arrivé dans un endroit tranquille, je glisse ma main dans son minishort et je vais caresser sa chatte. Mes doigts sont couverts de mouille dès le premier passage et après les avoir légèrement introduits, je les enlève pour les lui faire lécher.
— Allez accroupis-toi et ouvre ta bouche de looseuse. — Ici demande-t-elle ? — T’es une princesse, t’as besoin de confort ? Je dois te rappeler que tu as perdu ? — Non c’est bon j’ai saisi.— Alors je vais te montrer comment on baise chez moi.
A ces mots, elle s’accroupit et ouvre sa bouche, je saisis sa tête par sa toison blonde et je fourre ma bite d’un coup dans sa bouche. Je commence des va-et-vient rapides, puis je ralentis et je fourre ma queue au fond de sa gorge. Je desserre mon étreinte pour qu’elle respire un peu et je replonge ma queue dans ce trou si accueillant, les larmes commencent à couler, sa bave commence à tacher sa brassière, ses mains sous mon tee-shirt sont crispées et ses doigts cherchent à s’accrocher à mon torse. Je continue de lui baiser la bouche pendant trois minutes et j’explose en elle. Surprise par ces jets puissants, elle est à deux doigts de tout recracher, mais je prends bien soin de la laisser respirer tout en maintenant ma queue dans sa bouche pour finir de la remplir. Je l’aide à se relever et contemple son visage rouge, et mouillé par les larmes.
— Alors tu commences à regretter ta défaite ? — Sérieux, c’est tout ce que tu sais faire ?
Face à cette provocation, je l’attrape et je la retourne, je baisse son short, je lui fais écarter les cuisses et je fourre deux doigts en elle. Au vu de son état d’excitation, j’en rajoute rapidement un troisième et je viens lécher son petit bouton rosé. Ses gémissements sont de plus en plus marqués, je continue de fouiller bien profondément son puits de plaisir. Je crache sur son petit trou et je frotte l’entrée avec ma queue à plusieurs reprises, le temps de le voir se détendre.
— Non pas maintenant je... outch.— Tu as perdu oui. — Doucement, doucement, doucement.— Quoi tu n’aimes pas ? Pourtant je suis rentré facilement.— Si si, mais je n’ai quasiment jamais fait, et puis là c’est très gros... — Il ne fallait pas me provoquer.— Je sais je n’aurais pas dû faire ma maligne, mais... — Tu veux que je sorte ? — Non je veux que tu me baises putain !!!! — Alors t’aimes ça hein finalement.— Bien sûr t’as une queue énorme.
Je lui attrape les hanches et je pilonne profondément, mais délicatement sa petite rondelle, au son de ses “putain” et “vas-y baise-moi le cul je kiffe”. Son conduit arrière m’offre beaucoup de sensations et je marque des temps d’arrêt afin de profiter du contact de ce corps. Je reprends de plus belle et c’est avec satisfaction que je l’entends dire “putain je jouis” ou “putain quelle queue” “continue, mais doucement”, aux trémolos de sa voix, je devine un soulagement ou un accomplissement. Je sors et je la retourne et lui demande de s’accroupir à nouveau.
— Non pas le visage c’est dégueulasse. — Ce n’est pas ce que j’ai prévu, soulève ta brassière.
Elle s’exécute et je cale ma bite entre ses deux mamelles, je la tire par les cheveux pour qu’elle remonte un peu, elle attrape ses seins par-dessus le tissu pour bien entourer mon membre et je monte et descends entre ses deux seins plus gros que des oranges. Il ne me faut pas beaucoup de temps pour venir tacher sa brassière.
— Je ne m’attendais pas ça ? — De quoi ? Le final entre tes seins ? — Non me faire baiser comme ça. — Quand on me cherche, on me trouve. — Je vois ça, dit-elle en m’embrassant, et je n’ai pas dit que ça ne me plaît pas, je suis juste surprise que tu sois ce genre d’homme. — On va se baigner ? Ça nous fera du bien de nous rincer.
Je constate que cette proposition la ravit. On se change donc pour une courte baignade, on prend bien soin de se laver et on reprend la route. Le retour se fait silencieusement jusqu’à ce que ma victime du jour pose sa main entre mes jambes. Je m’arrête dans un endroit le plus discret possible et elle m’embrasse.
— Qu’est-ce que tu fais ? — J’ai envie de toi, mais avec tendresse cette fois, tu sais faire ? — C’est la tendresse qui te manque ? — Tais-toi et fais-moi l’amour.— Je n’ai rien pour nous protéger.— Ne t’inquiète pas, on n’en a pas besoin, j’ai confiance en toi...
A ces mots, elle passe sur moi, écarte ce petit maillot de bain qu’elle n’a pas enlevé, et s’agenouille sur ma queue. Elle fait des va-et-vient de haut en bas en prenant bien le temps de profiter de ce contact charnel. Pour ma part, mes mains et ma bouche se délectent de ses délicieux seins, de ses tétons tout chauds jusqu’à ce qu’on jouisse quasiment simultanément, sa tête bien calée dans mon cou.
— Merci pour cette délicieuse fin d’après-midi, dit-elle en chuchotant dans mon oreille.— Ça a été un régal pour moi aussi.— Tu ne veux pas rester une semaine de plus ? Je sens que tu as plein de choses à me faire découvrir... — Et ton mari dans tout cela. — Ne t’inquiète pas pour lui va...

Avec plein de bons souvenirs en tête, je suis malgré tout rentré le lendemain en région parisienne.
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