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Un agréable moment... ou pas

Chapitre 1

Hétéro
J’ai commencé à avoir de la poitrine plus tôt que les autres filles. Je devais avoir huit ou neuf ans quand j’ai commencé à avoir quelques formes. J’ai eu une grosse poitrine, bien plus grosse que les autres filles. J’ai été jusqu’à porter des bonnets F avant d’avoir une réduction vers 22 ans. Aujourd’hui, je suis très fière de mon 95C. Je suis beaucoup plus à l’aise.
Durant mon adolescence, en plus d’être plutôt timide, j’étais complexée par ma grosse poitrine. Elle avait tendance à faire peur aux garçons que j’appréciais et les quelques petits copains que j’avais ne sortaient avec moi que pour jouer avec les ballons qui me servaient de seins. Et plus on avançait dans l’âge, plus j’avais envie d’autre chose que de me faire malaxer la poitrine. Certes, j’ai fait quelques pipes, et mes copains s’amusaient à passer leur pine entre mes seins. Le problème c’est qu’ils pensaient surtout à leur plaisir et peu au mien, et donc, je n’étais jamais assez excitée pour aller plus loin. Certains ont bien essayé de me doigter sans délicatesse donc je ne mouillais pas assez, voire pas du tout. De toute façon, la plupart du temps, ils jouissaient entre mes seins...
Et puis un jour que j’avais pris un cours chez notre prof de Français, son fils, Valentin, proposa de me ramener. J’habitais au milieu de nulle part et c’était souvent la galère pour rentrer à la maison. Là, j’allais avoir la chance de rentrer en voiture décapotable. Et puis, j’avais entendu tellement de choses sur Valentin... Je n’ai pas eu beaucoup de mal à accepter.
Dans la voiture, nous avons discuté de choses et d’autres. Valentin savait beaucoup de choses dans beaucoup de domaines et c’était très intéressant de discuter avec lui. C’était l’été et bien que nous soyons en décapotable, j’avais un peu chaud. J’ai donc ouvert mon gilet. Je n’ai pas pu cacher plus longtemps mon débardeur tendu par ma poitrine. Ça me faisait un décolleté plongeant dont j’étais fière par certains moments. D’ailleurs, Valentin n’y semblait pas indifférent. Il a été plutôt direct.
— Jolie poitrine, Mademoiselle !
J’ai rougi, mais en même temps, j’étais heureuse de lui plaire. Je connaissais sa réputation et j’avais entendu dire que c’était un très bon amant. Peut-être que lui, avec son expérience, il ne m’arroserait pas les seins et qu’il me permettrait d’avoir enfin un peu de plaisir avec un garçon.

Je l’ai remercié timidement.
— Tu dois en avoir du succès avec les garçons de ton âge entre ta poitrine et tes jambes !
J’ai rougi un peu plus en lui signifiant, du haut de ma naïveté, que c’était loin d’être le cas. En fait, il voulait savoir si j’avais un copain et si j’étais pucelle. Je l’étais et je le lui ai presque dit sans le vouloir. Valentin eut un léger sourire et il accéléra en sortant de la ville.
— Tu sais, à ton âge, les garçons se comportent souvent comme des idiots. — C’est le moins qu’on puisse dire. — Tu verras, en prenant de l’âge, ça ira mieux ! — C’est quand même pénible... j’ai l’impression d’être une chose... ils veulent juste jouer avec mes seins ! — Et toi ? Tu voudrais quoi ? — Je viens d’avoir 18 ans, Valentin... Ce que je voudrais... Dans l’équipe de volley, j’ai été la dernière à avoir un copain, la dernière à embrasser un mec... je ne voudrais pas être la dernière dans tous les domaines !
— C’est-à-dire... — Non, désolée... j’en ai trop dit.
Valentin s’est arrêté sur le bord de la route et m’a regardée.
— Ecoute Audrey... Tu es une fille intelligente, tu sais très bien que tu plais aux garçons... et je dois avouer que... si j’avais eu quatre ans de moins...
Il s’approcha un peu de moi. J’étais tétanisée. J’étais tombée dans son numéro de charme et je m’étais livrée à lui. Quand Valentin posa sa main sur mon genou, j’ai cru que mon cœur allait exploser. Pourquoi avais-je mis ma petite jupe en jeans ? Il est vrai qu’en cet été, j’avais un peu les hormones en ébullition, mais je ne voulais pas m’offrir à n’importe qui. Je ne voulais pas simplement me faire sauter. Je voulais connaître le grand frisson, celui dont plusieurs filles de mon équipe avaient parlé. D’ailleurs, Valentin avait couché avec deux ou trois de ces filles... alors pourquoi avais-je tant de réticence à m’offrir ? Il pouvait m’apporter ce que je désirais.

L’espace d’un instant, j’ai tourné mon visage vers lui en m’approchant un peu, mais au moment où il allait m’embrasser, j’ai détourné la tête. Valentin m’embrassa dans le cou et sa main glissa légèrement vers l’intérieur de ma cuisse.
Je sentais l’excitation monter en moi malgré la peur. J’étais sur le point de m’offrir, mais Valentin se redressa et lâcha ma cuisse.
— Tu as raison, Audrey ! Ce n’est pas parce que tu es très jolie que je dois te sauter dessus... excuse-moi !
Quel baratineur quand j’y repense ! Mais sur le coup, je me suis dit qu’il n’était pas comme les autres. Et si j’en croyais ce qu’on disait sur lui, je me disais que je pourrais passer un agréable moment. Alors pourquoi je laisserais filer cette chance...
— C’est vrai ? Tu me trouves jolie ?
Valentin me fit un beau discours bien rodé. Il avait dû en séduire des jeunes filles comme moi avec ce discours. Reste que j’y croyais, alors quand il m’a dit
— Mais comme tu ne veux pas... pas avec moi du moins, je ne vais pas insister !
J’ai fait mon possible pour qu’il change d’avis. J’étais vraiment sous le charme et encore une fois, prête à m’offrir.
Mais alors que Valentin était prêt à redémarrer, j’ai trouvé la force de combattre ma peur et ma timidité réunies. J’ai posé ma main sur la sienne et j’ai dit d’un seul souffle.
— Ne me laisse pas être la dernière !
Valentin me regarda puis s’approcha de moi. Une seconde fois, il posa sa main sur mon genou et, alors que nous nous embrassions, sa main glissa encore une fois vers l’intérieur de ma cuisse. Valentin s’arrêta au ¾, à l’endroit où mes cuisses se resserraient. Puis il m’embrassa le cou en me disant
— C’est vraiment ce que tu veux ?
Pour seule réponse, j’ai entre-ouvert les jambes pour lui laisser l’accès à ma culotte que je sentais déjà humide d’excitation. Ce fut pire quand j’ai senti les doigts de Valentin m’effleurer. Néanmoins, il n’insista pas. Il déposa une bise sur le haut de ma poitrine que je sentais pointer sous le tissu et me dit, alors que je faisais tomber en même temps les deux bretelles de mon top et de mon soutien-gorge
— Je connais un endroit plus calme que le bord de la route !
Un peu frustrée, mais terriblement excitée, je lui donnais mon accord. Je rajustai seulement mon top et défit mon soutien-gorge pour le laisser tomber à mes pieds.

Mes seins ballotaient doucement suivant l’état de la route, mais quand Valentin tourna sur un petit chemin, ils ballotèrent beaucoup plus. Le frottement du tissu et mon excitation me faisaient pointer. Puis Valentin tourna sur un petit sentier et s’arrêta à 200-300m. C’est vrai qu’on était au calme. Et le soleil de 17h donnait sur la voiture. Valentin a coupé le contact et nous nous sommes embrassés.
J’avais le cœur qui battait très fort et ce baiser m’apaisa autant qu’il me stressa. Valentin a dû le sentir puisqu’il m’a signifié que je pouvais changer d’avis quand je le souhaitais, il comprendrait. Cela me retira une partie de la pression que je me mettais inutilement. J’ai pu me laisser aller un peu et apprécier ce doux baiser. Valentin m’embrassait toujours quand il passa à nouveau sa main sous ma jupe et, machinalement, je lui ouvrais le passage jusqu’à ma culotte. J’ai frissonné à nouveau quand il en effleura le tissu. Tout en s’amusant à m’effleurer agréablement, Valentin commença à m’embrasser le cou puis le haut de la poitrine.
— Ça va Audrey ? — Oui... je suis un peu tendue, mais ça va ! — Détends-toi, ça va aller. — Oui, je sais... laisse-moi juste un peu de temps.
Valentin descendit ses baisers un peu plus bas vers mes seins, juste à la limite du tissu, puis sur le tissu. J’ai frémi quand il embrassa mes tétons qui pointaient sous mon top. Dans le même temps, je sentais mon entrejambe s’humidifier sous les caresses de Valentin. Il jouait avec mon petit bouton que je sentais durcir. Il le roulait entre ses doigts et le coton de ma culotte me laissait une sensation étrange. Pas forcément désagréable d’ailleurs. Ça changeait des loustics qui me retiraient la culotte presqu’en l’arrachant pour me fourrer un doigt direct ! Là, j’avais le temps d’apprécier et sentir le plaisir et le désir monter. C’est sûrement pour cela que j’ai commencé à caresser Valentin dans le dos et sur la nuque. C’est sûrement pour cela également que je l’ai laissé poser sa main droite sur mes hanches avant de remonter sous mon top. Rapidement, mais avec douceur, Valentin est arrivé à mes seins qu’il a caressés avec tendresse.
J’aimais la manière dont il prenait soin de moi... la manière dont il faisait monter mon plaisir et mon désir.
Malgré ma timidité, ma main est descendue le long de son dos pour lui caresser les fesses. Et alors que j’osais un peu en passant du bout des doigts sur son entrejambe que je sentais relativement dur, Valentin releva mon top jusqu’au-dessus de ma poitrine qu’il embrassa délicieusement. Mes seins pointaient dans sa bouche et je sentais son sexe durcir sous mes timides caresses. Entre deux baisers, Valentin me lança un sourire avant d’écarter un peu ma culotte et de passer sa main dessous. Il avait été si doux depuis une dizaine de minutes que je l’ai laissé faire. Un agréable frisson me traversa quand sa main chaude se posa sur ma toison et commença à se perdre dedans. Et le frisson se transforma en éclair quand Valentin effleura mon petit bouton déjà bien lubrifié par mon plaisir. Comme un réflexe, j’ai refermé ma main, enserrant la queue dure de Valentin à travers son pantalon, tout en poussant un soupir de bien-être profond.
Les baisers et les caresses de Valentin sur mes seins, associés à l’effleurement agréable, ne devaient pas être étrangers à mon état d’excitation, et bientôt, je mouillais abondamment.
Jamais un garçon ne m’avait fait autant d’effet et j’en venais à me dire que Valentin était très certainement le mieux placé pour être mon premier. Je n’étais pas en état de réfléchir clairement et le plaisir que j’éprouvais était si agréable...
J’étais comme dans un état second et je dégrafais le pantalon de Valentin et le lui descendis avant de caresser son slip puis de passer ma main dedans. J’ai caressé du bout des doigts sa pine dure avant de la prendre dans ma main et d’entamer un doux mouvement de va-et-vient. Valentin m’encouragea.
— Hmmm Audrey... c’est agréable ce que tu me fais !
Je lui signifiais que lui aussi, c’était agréable ce qu’il me faisait, et nous nous sommes embrassé à pleine bouche. Durant notre long baiser, Valentin me caressa entre les seins pendant que son autre main alternait un passage entre mes lèvres intimes détrempées et sur mon petit bouton tendu d’excitation. Je sentais le plaisir monter de plus en plus. Allais-je avoir un orgasme ? J’en prenais le chemin. Jusque-là, les seuls orgasmes que j’avais connus, je les avais eus toute seule !

Dès la fin de notre baiser, Valentin immisça le bout de son majeur en moi. Un doux frisson me parcourut le corps une fois de plus. Je me suis entendue dire « Oui, Valentin ! » dans un soupir de satisfaction. Alors Valentin commença à me doigter doucement, massant mon clito avec son pouce. C’était vraiment doux et je commençais à sentir une chaleur agréable monter en moi. Son autre main a recommencé à jouer avec mes seins et c’était très agréable également. Je m’approchais doucement, mais sûrement de l’orgasme tout en masturbant fébrilement Valentin. Bientôt, son index rejoint son majeur. Il ne cherchait pas à rentrer ses doigts à fond et à grande vitesse en moi comme les imbéciles de mon âge. Il y allait doucement et investissait les zones de mon corps qui me faisaient du bien, comme s’il me connaissait mieux que moi. Et il ne secouait pas non plus mes seins dans tous les sens, comme s’il savait que c’était douloureux.
Je me laissais aller au plaisir qu’il me donnait et, quand il m’embrassa, ce fut la libération. Je ne fus pas surprise d’avoir un orgasme, bien que ce soit le premier avec un garçon, mais je fus surprise par son intensité. Mon plaisir résonna dans le baiser de Valentin, avant que je n’aie le souffle coupé par cette décharge de plaisir. Valentin n’avait pas arrêté de me doigter délicieusement et il résista même quand j’ai essayé de l’arrêter. Après la libération, ce fut l’explosion... mon corps se cabra, et retomba lourdement sur le siège passager. Puis je fus prise d’une sorte de tétanie agréable en même temps que je sentais mon plaisir couler sur mes cuisses. Je ne saurais dire à quel moment Valentin a retiré ses doigts de mon corps. Pour dire, je ne me suis même pas rendu compte que j’avais hurlé mon plaisir.
Je reprenais mon souffle que Valentin, le sourire aux lèvres, me demanda
— Mais qu’est-ce qui t’arrive ?
J’avais encore la tête dans les étoiles et je lui ai souri bêtement.
— J’avais jamais connu ça ! Pas aussi fort... surtout avec un garçon ! — C’est vrai ? Et avec une fille ? — T’es bête ! — Ça aurait pu ! — Non... je me débrouille mieux toute seule !
Nous étions partis dans un fou rire agréable. Valentin était toujours en train de me caresser la cuisse. Ma jupe était relevée, ma culotte était toujours sur le côté et mes seins étaient toujours à l’air, mais j’étais bien. Valentin, lui, avait toujours son pantalon défait et sa queue dépassait sur le côté. Il m’avait fait tellement de bien que je voulais le remercier... je me suis dit que le sucer lui ferait plaisir. Alors je me suis penchée vers lui et ma bouche s’est approchée de son membre tendu, mais moins dur que lorsque je l’avais dans la main. J’ai commencé par déposer quelques bises avant de tout engloutir d’un coup et de commencer mon mouvement. Valentin m’arrêta rapidement. Sans me le reprocher, il a souligné mon manque d’expérience. Aussi, il m’a donné quelques conseils que j’ai immédiatement appliqués. Ainsi, je donnais de petits coups de langue sur sa colonne de chair et je suçotais son gland avant de le prendre dans ma bouche.
Je montais et descendais doucement, au rythme qu’il m’indiquait. C’était amusant et, contrairement à avec mes petits copains, pas du tout écœurant. Je me surprenais même à y prendre un certain plaisir. Je pouvais sentir sa bite grossir et frétiller dans ma bouche. Ça m’excitait terriblement.
Pendant que je me délectais pour la première fois de sucer un mec, Valentin me caressa le dos, les côtes... avant de tirer un peu ma jupe et de passer sa main sur mes fesses. Dans le même temps, je sentais mon sein gauche frotter sur sa cuisse droite. Mon plaisir montait à nouveau en moi et le désir que Valentin soit mon premier amant me parcourut l’esprit. S’il était aussi doux que jusque-là, s’il était à la hauteur de sa réputation, j’allais vraiment passer un agréable moment. Est-ce pour cela que, alors que Valentin m’arrêta dans ma pipe en tirant sur mon top pour me le retirer, je me suis laissé faire ? Je levais les bras et celui qui allait être mon premier amant m’enleva mon débardeur. Je me retrouvais en pleine nature, seins nus, et le soleil de fin d’après-midi illuminait ma poitrine.
C’est alors que tout s’est accéléré. Valentin est passé de mon côté, fit basculer mon siège et passa ses mains sur ma taille pour retirer ma culotte. Je surélevais les hanches pour l’aider et rapidement, Valentin, queue en main, frottait doucement mon antre humide en se perdant dans ma toison. Il avait été trop vite pour moi et quand je l’ai senti commencé à entrer en moi, j’ai essayé de l’arrêter.
— T’as pas un préservatif ?
J’espérais qu’il n’en ait pas... cela m’aurait donné un alibi pour tout arrêter.
— Oh... oui, tu as raison... attends un peu.
Il fouilla dans ses affaires quelques instants qui m’ont paru une éternité. Quand il s’est redressé avec un petit sachet brillant et le sourire aux lèvres, je savais que j’allais y passer. J’étais morte de peur, pourtant il avait été si doux jusque-là. Est-ce parce qu’il avait changé d’attitude et qu’il m’avait presque sautée dessus ?

Dans tous les cas, alors qu’il tentait d’ouvrir nerveusement l’emballage du préservatif, je le masturbais doucement. J’espérais secrètement le faire jouir... j’aurais dû y aller plus vite pour cela.
Valentin mit son « équipement » et se perdit à nouveau dans ma toison.
— On va pouvoir y aller maintenant... tu es prête ?
Sans me laisser le temps de répondre, Valentin m’attrapa par les hanches, fit basculer mon bassin et poussa mes jambes vers moi. Mécaniquement, j’écartais les jambes et je me retrouvais avec les genoux au niveau des oreilles. Je frissonnais néanmoins et je me sentais humide. Si ma tête avait quelques appréhensions, mon corps, lui, avait envie ! Après tous, Valentin avait été très doux et très attentionné jusque-là et j’interprétais naïvement sa nervosité comme une envie de moi. Je me flattais à croire que je l’excitais. Valentin passait doucement entre mes lèvres tout en me caressant les seins. Puis, après m’avoir dit
— Tu vas voir... tu vas aimer !
Il me pénétra sans aucune attention. J’ai senti que ça accrochait un peu et, alors que je tentais de mettre ma main pour ralentir sa progression, il pesa de tout son poids.

Où était passée sa douceur, où était passée sa délicatesse ? Où était passé ce plaisir que j’avais ressenti moins d’un quart plus tôt, et dont tant de mes amies m’avaient parlé ? J’ai senti mon hymen se déchirer et j’ai eu un sursaut de douleur. Un petit « Ah ! » est sorti de ma bouche.
— Tu vois... c’est bon, non ?
J’ai eu envie de lui dire « Crétin ! », mais je n’ai pu que soupirer d’un pseudo plaisir.

Derrière les picotements, je sentais quelque chose d’étrange. Pas forcément désagréable, mais pas forcément agréable non plus. Valentin était entièrement en moi et me remplissait de son dard. Je crois que c’est cette sensation qui m’a plu. D’ailleurs, quand Valentin a commencé son mouvement de va-et-vient en moi, cette sensation m’a paru de plus en plus étrange... et les picotements se sont atténués. Valentin a accéléré le mouvement et je me suis sentie ballotée dans tous les sens. Mes seins ressemblaient plus à de la gelée qu’à une poitrine et j’avais l’impression qu’un marteau piqueur s’agitait en moi. C’était loin d’être l’extase ! J’ai commencé à me masturber pour tenter d’améliorer les choses. Je me disais que si je mouillais un peu plus, ça irait sûrement mieux, mais c’était difficile de ressentir du plaisir dans ma position.
J’avais tout de même hâte que ça se termine, car même si ma masturbation me faisait du bien, je n’appréciais pas vraiment être ballotée et pilonnée dans tous les sens.
Puis Valentin est sorti de mon corps pour passer sa queue dure et tendue entre mes fesses. C’était plutôt doux et agréable. Du moins jusqu’à ce qu’il m’agrippe par les hanches et qu’il commence à forcer l’entrée. J’ai juste eu le temps de lui dire « Non, pas mon cul ! » qu’il était déjà rentré d’un à deux centimètres. Il me regarda et me demanda « T’es sûre ? » en continuant à investir mon cul.
— Arrête, ça fait mal !
Il a tenté une petite négociation avant de se retirer et de réinvestir ma chatte, sans plus de délicatesse que la première fois. J’ai décidé de simuler en soupirant doucement, en continuant ma masturbation. Valentin accéléra encore, tant en vitesse qu’en amplitude... j’avais l’impression d’être une vulgaire poupée de chiffon. Pas une caresse, pas un baiser... tu parles d’une première fois !

Enfin, Valentin a daigné s’intéresser à moi, plutôt qu’à son plaisir qui commençait de se lire sur son visage. Il s’est mis à me caresser les seins d’une main alors que son autre main appuyait toujours ma hanche pour me garder presque en boule. Ça n’a pas duré trop longtemps ! Jusqu’à ce qu’il se rende compte que mes seins pouvaient atteindre ma bouche. D’ailleurs, il me colla mon sein droit sur mes lèvres et essaya de me le faire embrasser. J’ai fini par le faire pour avoir la paix. J’avoue que c’était plutôt agréable d’avoir un moment de tendresse... même si ça venait de moi. Mais Valentin en a profité pour me le faire entrer dans la bouche. J’ai joué le jeu... si ça l’excitait que ça pouvait le faire jouir plus vite, alors pourquoi pas ! Et je me suis retrouvée à me suçoter le bout des seins. Finalement, ça m’a excité un peu.
J’avais le sein droit dans la bouche, je me caressais le gauche avec une main et me titillais le clito de l’autre quand j’ai senti Valentin frémir de tout son corps. Il suffoqua deux ou trois fois avant d’éjaculer. Je l’ai senti jaillir en moi à trois ou quatre reprises. C’était assez étrange comme sensation, mais à la fois très agréable... en plus du fait que ça signifiait la fin d’être ballotée de tous les côtés. Puis Valentin s’est effondré sur moi, le souffle court. Je pouvais sentir son cœur battre dans sa queue, toujours en moi.
Mais bien vite, il se retira, m’embrassa poliment et sortit de la voiture pour aller pisser dans les buissons à quelques pas. De mon côté, j’ai relevé le siège, remis culotte et soutien-gorge et rajusta mon top. C’est à ce moment que, ayant une sensation de vide entre les jambes, j’ai réalisé que je venais de perdre mon pucelage. J’avais saigné un peu... j’en avais d’ailleurs encore un peu, ce qui a taché un peu ma culotte. Je ne m’en suis aperçu qu’une fois chez moi.
Ce n’est pas certes pas ma meilleure expérience... loin de là ! Mais je garde tout de même un très bon souvenir... Si l’acte en lui-même ne m’a pas apporté grand-chose, j’avais tout de même pris beaucoup de plaisir lors des préliminaires. Et quand, le soir même, je me suis masturbée avant de m’endormir, j’ai à nouveau eu un puissant orgasme. Cette nuit-là, j’en ai eu trois !
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