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J’aide ma sœur à parfaire l’éducation sexuelle de son gendre

Chapitre 2

Une couguar et le jeune poney

Hétéro
J’aide ma sœur à parfaire l’éducation sexuelle de son gendre. 2
  -Ça va Marina? Tu apprécies? Me demande t il. Mais je n’y tiens plus, j’étais venu pour pisser et je n’y tiens plus, mais ça va être coton avec une érection pareille… Il va falloir que je débande !-Oui, tu es très doué. Mais pourquoi veux-tu débander ? Tu n’as jamais essayé d’uriner  quand tu bandes ?-Non ! Suite : -Eh bien, je reprends, avec un peu de volonté, tu peux y arriver et tu seras celui qui « pisse le plus loin de la classe ».Cette fois-ci, c’est moi qui me glisse derrière lui, je me colle à son dos, une main sur sa hanche gauche et l’autre sur son sexe. Je vois au sol le pyjama dont il s’est vite délesté pour me rejoindre.-Détends-toi, essaie de ne penser à rien, libère par ta volonté les muscles qui contrôlent ta vessie, oui, comme ça… Quelques gouttes commencent à suinter. Tu ne peux pas t’empêcher de temps en temps de les contracter et regarde… Tu pisses déjà à plus de deux mètres !J’essaie de suivre de ma main le rythme des jets qui se succèdent à intervalles réguliers. Je compresse mes doigts sur sa lance ou des jets dorés jaillissent et vont frapper la faïence du mur opposé  au dessus du jacuzzi à plus de trois mètres de distance et un mètre cinquante de hauteur. Il a enfin la vessie vide et je le retourne pour voir la barre toujours rigide. J’attire son attention :-Maintenant, j’attends de toi que tu me fournisses un autre liquide. Ses mains reprennent leur ballet, déviant progressivement leur route pour trouver la fourche de mes cuisses. Je fais semblant de me soustraire à leurs progressions en reculant un peu, pour éviter qu’elles ne viennent franchement vers ma fente. Je suis alanguie, détendue  et ma main droite a repris place sur son »bâton de berger »-Allez-y Marina J’adore votre façon de diriger les choses !-Ne t’en fais-pas Kévin, je vais en profiter, ce n’est pas tous les jours que j’ai un si beau gourdin en main !Et prise à mon jeu, mon poignet s’active sur son sexe de nouveau, le masturbant doucement.-Tu n’es pas si « manche » que me disait Estelle, mais n’oublie pas que je suis sa tante.— J’essaie de ne pas y penser, me rétorque-t-il, mais tu es drôlement bien foutue « Tata » !-Mais je suis une vieille pour toi, je ne suis pas censée  faire autant d’effets à la jeunesse.  — Je ne vois pas trop où est le souci, à la quarantaine, vous avez encore vos besoins, regardez, vous ne  lâchez pas ma teub tellement ça vous excite. Avouez qu’il y a de quoi douter !!— Oh oui, mais si Estelle l’apprend…  Je lui avoue, un peu honteuse.
Je ramène mes mains sur mon pubis pour lui en interdire l’accès mais mon mouvement de défense est bien inutile car ses mains écartent les miennes et continuent leur ballet brûlant qui déclenchent sur leur parcours des frissons intenses qui s’amplifient et se concentrent vers mon bas ventre à mesure que ses doigts en explorent les plis les plus intimes.
Je sens une chaleur naître entre mes cuisses, mon sexe se liquéfie petit à petit et je le sens s’ouvrir malgré moi à ses caresses.Il me retourne et je sens contre mes fesses son chibre bouger en lents va et vient, comme s’il voulait me masser le bas du dos avec. Je suis prise du désir impérieux  qu’il provoque dans tout mon corps.Une urgence qui grandit, attendant qu’il aille encore plus loin.Kévin plie légèrement les jambes, je sens son gland glisser entre mes fesses puis  s’insérer entre elles.Une lente progression de sa hampe dure et tendre à la fois entre mes fesses bute contre ma vulve et provoque des décharges d’adrénaline qui m’envahissent toute entière. Je n’essaie même pas de lui résister tellement j’attends ce moment. Mes mains se posent sur les siennes qu’il a mises sur mes hanches.— Continue, je n’en peux plus, prends-moi ! Tu en crèves d’envie comme moi !Il dégage ses mains et emprisonne mes seins aux pointes érigées pour les taquiner. Mes sens me submergent, je frissonne fortement à ce triple contact et ma raison m’abandonne. Le souffle coupé, je réalise que sa trique glisse sur ma fente d’avant en arrière pendant que ses mains continuent leur ballet sur ma poitrine. Ma raison vacille, sa bouche fait des bisous dans mon cou, faisant  naître de nouveaux frissons quand j’entends un doux murmure :-Je  vais te prendre Marina, et toi ? Tu le veux ?— Oh oui... oui...viens… Je n’attends que ça ! Je le supplie.J’ai comme des vertiges, mes jambes tremblotent. Je me cambre, écarte un peu les cuisses et essaie de guider  « l’intrus », Kévin plie encore un peu ses jambes, guidant son rostre vers l’entrée de ma chatte trempée. Quand je sens son gland écarter mes lèvres intimes, un violent frisson me secoue. Sous la poussée, son gland puis sa hampe m’investissent totalement, c’est à peine si mes jambes me supportent  sous la violence du plaisir que ce jonc vigoureux provoque dans ma grotte.Je reprends ma respiration alors qu’il bute au fond de moi, gémissante en haletant comme une pucelle.Un feu intérieur me dévore, Kévin se retire en partie pour mieux revenir, en un mouvement d’une extrême douceur qui  attise mon plaisir. Je ne pense plus à ce que je suis en train de faire à ma nièce, je ne suis plus que  plaisir, des vagues montent de mon sexe dans tout mon corps et explosent dans ma tête, de plus en plus intenses à chacune de ses poussées puissantes.Mes reins se creusent, je sens s’amplifier la vague de l’orgasme qui va m’engloutir, mon souffle s’accélère et je me mets à gémir sans arrêt.Le Kévin que ma nièce disait si peu réceptif ressent pourtant mon plaisir approcher et déclare :-Oh oui Marina, jouis sur ma queue, je viens aussi ! C’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes.-« Petit con » Oui...ouuuiii, je jouis...viens aussi...donne moi...ta semence !!!Je me crispe sous les décharges de l’orgasme qui me foudroie. Il gémit lui aussi et  je le sens se déverser en longues saccades au plus profond de mon sexe.Nous restons immobiles, parcourus de spasmes qui agitent nos deux sexes imbriqués quand soudain j’entends ma sœur hurler.-Oh mon Dieu ! Quelle horreur ! Mais tu ne respectes rien Marina…et toi Kévin, tu n’as pas honte de tromper Estelle avec ma couguar de sœur ?Je reprends mes esprits, réalisant l’énormité de l’acte. Je suis honteuse de remord mais si heureuse du plaisir de ce que nous venons de faire, de cette sensation intense et brûlante qui m’a envahie. Malgré les hurlements de ma sœur Justine je n’ai pas la force de me dégager de son futur gendre que je sens toujours en moi ne sachant comment réagir en ce moment précis.C’est Kévin qui finit par se dégager lentement montrant à Justine  une teub encore fière et hardie. J’attaque franco :-Dans notre jeunesse, ça ne te gênait pas de me piquer mes « Jules », et tu ne crachais pas dessus… Je suis en service commandé, enfin presque… C’est Estelle qui m’a confié que Kévin n’était pas assez « dessalé ». Donc je m’occupe de parfaire son éducation et ma fois, c’est un bon élève. Ça ne te plairais-pas, toi aussi, de tenir la bite de ton futur gendre dans la main? Ça ne te plairais pas de branler cette belle teub bien dure?-Mais tu n’as pas honte Marina ! Non contente de faire cocu ta nièce, tu voudrais que j’y participe ? Elle s’approche de nous et tente de nous séparer. Je lui saisis le poignet et la force à poser la main sur la bite de Kévin qui n’ose plus bouger un poil de cul. Justine essaie de retirer sa main mais je m’y oppose : -Sens comme elle est encore ferme et dure, regarde… Malgré la frousse que tu lui a fait, sa verge reprend déjà de la vigueur.Je la force à branler le nœud de Kévin et relâche tout doucement la pression de mes doigts. J’avais peur qu’elle retire aussitôt sa main, mais non… C’est-t-elle même rendu compte que j’ai lâché sa main ? Ses doigts se sont raffermis sur le pieu tendu et vivent leur vie propre. Justine réalise soudain ce qu’elle fait et, comme piquée par une guêpe, et a un mouvement de recul.-Mon Dieu ! Que suis-en train de faire ?-On dirait que ça ne te déplait-pas, je la taquine, une vraie sainte-nitouche…ça fait bien trente secondes que tu n’y étais plus obligée.— Mais  tu te rends compte de ce que tu me fais faire? proteste-t-elle faiblement.— Allez ! Ne te fais pas prier, je vois que tu en meures d’envie sinon tu serais déjà partie en courant. Je ne croyais pas que ma sœurette allait le faire mais sans broncher, je la vois tendre le bras et poser sa main droite sur la bite toujours au garde-à-vous. A suivre…
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