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Chapitre 3

Les choses dérapent à la piscine

Inceste
Le week-end arrive enfin. L’accident de la douche avec ma mère trotte encore dans mon esprit, mais j’arrive à passer outre. Pour elle, c’est comme si rien ne s’était passé. Elle n’est pas gênée par ma présence et il y a toujours cette connexion entre nous. Je suis rassuré.Il est environ 10h lorsque j’entends ma sœur crier :
— Maman, Paul, ça vous tente un petit tennis ?— Tu sais bien que je ne peux pas jouer banane ! — C’est pas grave, tu seras notre arbitre !
Bon, ça me fera sortir et j’aime toujours voir ma mère mettre une dérouillée à ma sœur. C’est toujours un plaisir.
— Je vous attends en bas ! dis-je en criant.
J’attends quelques minutes lorsque je vois ma sœur débarquer en première. Elle est habillée d’un petit haut blanc style brassière, aplatissant ses seins de belle taille, et d’une jupe. Il faut avouer que ma sœur est très jolie, avec deux atouts qui font baver plus d’un mec, notamment mes amis : ses longues jambes musclées et fines, et ses fesses, pas grosses, mais parfaitement dessinées.
— Prête à perdre contre maman ?— Tu n’as pas intérêt à l’avantager sur l’arbitrage !! Je le sens bien aujourd’hui, je sens que je vais gagner.
Je rigole. Elle me jette un petit regard noir et me fait repartir dans un élan de rire. Elle est très mauvaise perdante.C’est au tour de ma mère de descendre les escaliers. Elle a un débardeur blanc, un peu grand, ce qui laisse balader sa poitrine dans tous les sens. Une petite jupe blanche, très courte, accompagne le tout. Je n’arrive pas à détacher mes yeux de sa poitrine et je sens que l’excitation monte. Elle doit comprendre ce qui se passe, car elle me lance un regard avec de gros yeux en faisant un signe de tête vers ma sœur, pour me faire comprendre que ce n’est pas le moment de me laisser submerger. Je me suis ressaisi. Heureusement, Clara (ma sœur) n’a rien vu. Ma sœur passe en première, suivie de ma mère. Je sors de la maison en dernier, et ne peux m’empêcher de jeter un regard sur la jupe de maman, en espérant entrevoir ses fesses, mais c’est raté.
Nous arrivons au terrain de tennis. Ce dernier est à l’écart de la ville, un peu abandonné, donc il n’y a généralement personne. Ma sœur en profite pour se laisser aller et crier quand elle perd un point. Les joueuses se mettent en place tandis que je m’assois sur un banc. Le match commence. Je suis subjugué par les seins de ma mère qui se balancent à chaque frappe. Mais j’essaye de me concentrer. Je décide de regarder ma sœur. Je me rends compte que mon regard s’attarde sur ses jambes et ses fesses. Ne me dites pas que ?... Non pas ma sœur. Une bosse commence à se dessiner sous mon pantalon. A peine deux jours que je n’ai pas joui et je suis déjà dans cet état ? Merde. Soudain, ma sœur me lance :
— Paul, par pitié dis-moi que tu as vu que la balle de maman était faute !!
Je la regarde avec de gros yeux. J’étais trop occupé à mater merde !
— Euhhhh, c’est que...
Je regarde ma mère qui me lance un regard, que j’interprète de la manière suivante : “Je suis ta mère, alors fais attention à ce que tu vas dire”. Je panique et réponds finalement :
— Je crois que la balle était bonne Clara.— Comment ça tu crois ??? Tu ne regardais pas ?— Si si, j’en suis sûr, la balle était bonne !
Ma sœur pousse un cri d’agacement. Finalement, le match se termine en bons termes avec des sourires et des rires.Nous rentrons à la maison. La transpiration de ma mère rend son haut légèrement transparent, et laisse apparaître la jolie forme de ses seins ainsi que ses tétons. Je suis à côté d’elle, à la place avant, et cette simple vision commence à me faire bander. Elle jette un regard vers mon pantalon et me fait les gros yeux. Ma sœur est juste derrière. Je n’arrive pas à me calmer. Sa tenue m’excite beaucoup trop, c’est contre ma volonté. Elle lance à ma sœur :
— Clara, tu pourrais m’attraper une veste derrière, ton frère a froid.— Froid ? Mais il fait super chaud !— Oui, mais il ne faudrait pas qu’il attrape froid après son accident.
Elle me passe la veste et je la mets sur mon pantalon, pour cacher l’énorme bosse qui se dessine. Je la remercie du regard. Nous arrivons enfin à la maison. Les deux tenniswomen se dirigent vers la douche, tandis que je vais tremper mes pieds dans l’eau pour me rafraîchir. Quelle matinée ! Je n’en peux plus ! La journée s’écoule relativement sans encombre. Il est environ 16h quand ma mère vient piquer une tête dans la piscine. Elle enlève sa robe et laisse apparaître sa poitrine nue. Je suis pris au dépourvu. Elle sait très bien que je suis sensible en ce moment et elle se met dans une telle tenue pour nager ? J’ai les yeux rivés sur ses seins. Je crois qu’elle le remarque et détourne le regard. Elle plonge dans la piscine et me lance :
— Tu dois avoir hâte de vouloir retourner nager !— Oui je t’avoue que j’en ai marre de te voir profiter toute la journée sans moi !!
Elle rigole. Je la regarde nager, avec ses seins qui se balancent dans l’eau. Je commence à sentir mon pénis grossir de plus en plus. Je suis gêné et commence à vouloir partir pour me cacher de cette gaule, mais ma sœur arrive. Je suis pris au piège. J’essaye de cacher tant bien que mal cette énorme bosse avec mon bras plâtré. Ma mère me regarde et comprend la situation.
— Coucou vous deux, je viens juste vous dire que je vais faire un tour voir un ami. Ça va Paul ?— Euh oui oui, juste un peu mal au ventre.
Ma mère vient à ma rescousse :
— D’accord, pas de soucis chéri, amuse-toi bien et pas de bêtises !— Oui Maman !
Ma sœur s’éloigne. Ouf. Sauvé.
— Tu peux m’expliquer ce qui vient de se passer Paul ?— Désolé Maman, je n’arrive pas à me contrôler.— Mais enfin il y avait ta sœur !— Je sais, mais je ne comprends pas mon corps, je suis excité pour un rien... Et je ne peux toujours pas me soulager tout seul. Ne te fâche pas.
Elle me répond d’un air protecteur :
— Je ne te fâche pas Paul, c’est juste que je ne veux pas que ta sœur te voit dans cet état.— Je sais, mais je n’y peux rien...— Bon, montre-moi.
Je la regarde, surpris.
— Comment ça ?— Enlève ton bas et montre-moi, je vais t’aider si c’est le seul moyen pour que ta sœur évite de tomber sur toi dans cet état.
Je suis dubitatif. Ma mère me demande d’enlever mon bas. Et je suis tellement excité de la voir si près avec ses seins nus que mon pénis est gorgé de sang. Mais elle a raison sur un point, je ne peux pas me permettre d’être vu par ma sœur comme ça. Elle m’aide à retirer mon bas, et laisse apparaître mon pénis. Il est gros et veineux. Le gland est gonflé. Je ne connais pas la normalité de la taille des pénis. Mais je sais que le mien est plus gros que la moyenne. Pas forcément très long, mais épais. Elle le regarde, avec de gros yeux.
— La dernière fois sous la douche, j’ai été surpris de sa taille, mais là, de le voir en vrai, si proche... Je ne savais pas que tu étais aussi bien monté mon fils !
Je rougis. Elle rigole en me voyant dans cet état.
— Ça te fait mal qu’il soit aussi gros ? me demande-t-elle.— Oui, j’ai l’impression qu’il va exploser.— Bon, essaye de te détendre.
Elle s’approche de moi. J’ai les pieds toujours dans l’eau et elle est toujours immergée. Elle prend ma bite dans sa main et commence à faire des va-et-vient. Je pousse un petit gémissement. C’est tellement bon. Je la regarde, et je comprends qu’elle est toujours aussi surprise de savoir que son fils possède cet attribut.
— Mon Dieu, mais il est dur ! Je n’imagine pas la douleur que tu dois ressentir ...
Elle accélère. Sa deuxième main vient se loger sous mes couilles remplies. Elle les masse. Personne ne m’avait jamais branlé comme ça. Je comprends qu’elle a beaucoup d’expérience, et que je n’y connais rien en sexe. Elle continue d’accélérer. Je sens le plaisir monter de plus en plus et je lui gémis :
— Maman je vais jouir...
Elle me regarde, sourit et accélère.
— Je viens ...
Je jouis partout. Des spasmes me secouent et un flot de sperme sort de mon pénis. Il y en a partout sur ses seins qui sont légèrement en dehors de l’eau. Elle continue à me regarder et me dit d’un air coquin :
— Et bien effectivement, il y en avait besoin ! Ça va mieux ?— Oui beaucoup.
Mais il y a un facteur que je n’avais pas pris en compte. Je suis tellement excité par ce qui venait de se passer que ma bite reste dressée fièrement. Je ne débande pas.
— Ne me dis pas que tu es toujours excité Paul ?— Si je crois maman...
Elle paraît encore plus surprise de voir ce pénis encore dressé malgré l’importante quantité de sperme qui en était sorti. Elle recommence à me branler. 5 minutes, 10 minutes, 20 minutes passent, et rien ne se passe. Je reste dur comme de l’acier.
— Je n’ai jamais vu ça... Normalement, tu aurais déjà dû jouir à nouveau depuis un moment...
Moi même je ne comprends pas. Ma mère, avec ses seins à l’air, me branle depuis 20 minutes, mais je ne jouis pas, comme si mon corps me faisait comprendre qu’il en veut plus.Ma mère regarde sa montre.
— Ta sœur pourrait arriver bientôt. Il va falloir que je passe aux choses sérieuses sinon on est dans de beaux draps.— Euh qu’est-ce que tu entends par choses sérieuses ?
Sans me répondre, elle sort de la piscine, vient se placer à côté de moi.
— Tourne-toi vers moi Paul.
Je m’exécute et me retrouve face à elle. Ses seins sont si proches. Ma bite est toujours aussi dure. Je n’en peux plus. Elle se met à genoux, et descend sa tête vers mon pénis.
— Mais maman, qu’est-ce que tu ?...
Elle continue sa descente et embrasse mon gland. Puis, elle le lèche tendrement. Une décharge électrique me parcourt. Elle continue de jouer avec lui, puis l’insère entièrement dans sa bouche. Je comprends mieux pourquoi elle a parlé de choses sérieuses. Cela n’a rien avoir avec une masturbation. C’est encore plus fort. Elle entame des va-et-vient avec sa bouche, tout en continuant à me branler. Je sens sa langue jouer. C’est si bon. Elle tient mes couilles pendant la fellation. Elle me jette un regard pour voir si je suis réceptif. Cette vision de ma mère me regardant en train de me sucer, fait monter en moi une excitation nouvelle. Je sens que je vais bientôt jouir. Je regarde ses fesses qui bougent au rythme de ses va-et-vient. J’entends les bruits de bouche et de salive.
— Maman, je vais bientôt venir.
Je m’attends à ce qu’elle sorte mon pénis de sa bouche, mais non, elle continue. Elle accélère même. De plus en plus.
— Mais maman, je vais jouir ...
Elle continue et mon pénis se gonfle jusqu’à jouir une deuxième fois, mais cette fois, dans sa bouche. Malgré le fait que j’ai joui une première fois, une quantité importante de sperme sort à nouveau. Mais c’est si bon. SI bon de jouir dans sa bouche. C’est une nouvelle sensation que je ne connaissais pas.Elle enlève sa bouche et je l’entends déglutir. Elle n’a pas l’air dérangée le moins du monde.
— Désolé maman, je n’ai pas pu me retenir.— Ne t’inquiète pas chéri, ce n’est rien, et ça ne me dérange pas, ça faisait même longtemps que je n’avais pas fait ça.
Je sens un regard nostalgique. C’est vrai que depuis que mon père est parti, sa vie sexuelle s’est complètement estompée. Des hommes venaient très rarement et elle ne restait jamais avec eux plus de quelques semaines.
— En tout cas, ça a l’air d’avoir fait effet vu comment ton pénis dégonfle.
Elle me fait un bisou sur la joue et se dirige vers la maison, sûrement pour aller se rincer. Je reste assis dans le jardin, au bord de la piscine, quelques instants, avant de me diriger vers ma chambre. Je m’allonge sur le lit et pense à ce qu’il venait de se passer. J’ai envie que ça recommence, encore et encore, mais il ne faut pas. Et dès que mes mains seront guéries, ça sera fini de ce petit jeu. Finalement, je n’ai pas tant hâte de guérir...
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