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Chapitre 3

Voyeur / Exhibition
Hier, j’enfile une robe très courte un peu ample sur des escarpins assez hauts. J’adore cette robe car je peux montrer mes fesses comme je veux. Il me suffit de porter mes mains à mes cheveux comme pour les remettre en place pour qu’elle monte et dévoile une grande partie de mes fesses. A dix heures pile, je suis chez Julie. Elle m’ouvre complètement nue, me fait entrer et sans attendre que l’on s’embrasse, fait passer ma robe par-dessus ma tête. Le baiser vient après. Sans un mot, elle m’entraîne vers sa chambre. Elle a deux fenêtres qui donnent sur l’hôtel, elles aussi ouvertes, je jette un œil rapidement, mais je ne peux pas voir s’il y a quelqu’un derrière les fenêtres de l’hôtel, tant pis. Elle m’allonge sur le lit sur le dos, écarte mes jambes et se met sur moi têtes bêches. J’enlace ses fesses pour amener à ma bouche son sexe déjà bien luisant. Je me régale de cette vulve chaude et ruisselante d’où s’échappe un liquide que j’adore boire. Mais je n’oublie pas son gros bouton d’amour que je suce, mordille, lèche, aspire jusqu’à ce qu’elle explose dans un énorme orgasme, que j’accompagne avec mon propre orgasme. Quand nous revenons à nous, elle descend du lit, me prend la main et me fait lever.
— Je ne pouvais plus attendre, j’avais trop envie de toi, je ne pense qu’à toi depuis ton départ. Je me suis masturbé trois fois en pensant à toi.— Moi aussi, je me suis masturbé en pensant à toi.— A la douche, on t’attend.
Nous prenons une douche évidemment crapuleuse qui dure un peu de temps. Elle a préparé un petit encas que nous avalons debout dans sa cuisine. Evidemment, nous nous occupons aussi de nos sexes. Nouvelle douche crapuleuse et nous sommes presque prêtes. J’enfile ma robe et mes escarpins. Elle met une jupe très courte et un débardeur assez échancré.
— On dirait ma tenue d’hier.— C’est exact, j’ai raccourci cette jupe, qui entre nous était déjà bien courte. J’ai fait ça hier entre deux masturbations pour qu’elle soit aussi courte que celle que tu portais. Comme pour le débardeur, je l’ai un peu plus échancré sur les côtés et augmenté de décolleté. Tu aimes ?— J’adore, tu vas faire un malheur.
Nous quittons son appartement et allons chez ses amies à pied, ce n’est pas si loin. Nous sommes samedi, il commence à y avoir beaucoup de monde dans la rue à cette heure-ci, et nous faisons notre petit effet. Une brise un peu plus forte que la veille soulève régulièrement la jupe de Julie, elle la rabat de temps en temps, mais sans beaucoup de convictions. Moi, je me rectifie les cheveux assez souvent.
— Putain Lili, je mouille grave, tu as raison, c’est super excitant.— Moi aussi je mouille grave, je pense même que mes cuisses luisent de ma cyprine.
Elle se laisse un peu distancer puis revient à ma hauteur.
— Je te confirme, tes cuisses luisent, ça se voit très bien, et moi ?
Je lui laisse prendre quelques mètres d’avance, effectivement, ses cuisses luisent presque jusqu’aux genoux. Je reste un peu derrière elle, j’adore ce spectacle, elle a des fesses d’enfer qui ondulent au rythme de sa marche, c’est magnifique. Ce qui est encore plus excitant, c’est qu’on voit qu’elle est entièrement nue sous sa jupe. Je réalise que je vois ce que voient ceux qui me suivent d’habitude, et ça me plaît.
— Amène-toi, on arrive.
Nous arrivons dans un immeuble cossu, Julie sonne, la porte cochère s’ouvre sur un immense porche. Au bout, sur la gauche, un escalier, pas d’ascenseur, nous sommes dans un vieil immeuble. Quatre étages et quatre-vingt-douze marches plus haut, nous arrivons à un palier dont une porte est ouverte. Deux jeunes filles nous accueillent. Elles sont toutes les deux nues, Julie avait raison, ce sont deux magnifiques filles intégralement bronzées. Je me vois déjà dans leurs bras à faire l’amour avec elles.
— Bonjour les filles, déjà en tenue ?— Oui, mais d’abord, on doit faire connaissance, je suis Anne et voici ma chérie d’amour Claire.
Elles me prennent chacune une main et m’entraine dans le salon. Là, Claire me fait face et fait passer ma robe par-dessus ma tête. Anne se baisse pour m’enlever mes escarpins. Ses mains se posent sur mes chevilles et remontent le long de mon corps en glissant avec légèreté. Elles s’attardent sur mes fesses, mon mont de Vénus sans toucher à mon clitoris qui commence à pointer le bout de son nez. Elles continu jusqu’à se rebattre sur mes seins. Deux autres mains font de même en repartant des chevilles, mais Claire s’est mise derrière moi, ses mains s’attardent sur mon mont de Vénus en touchant mon clitoris, je suis au bord de l’orgasme. Je fini par exploser dans un sublime orgasme quand Anne se penche sur mes seins pour les titiller et que Claire me masturbe le clitoris plus franchement.
— AAAAAAAAAAHHHHHHHHHH
Mes jambes m’abandonnent, elles me retiennent et me serrant contre elles. J’ai les seins d’Anne sur mes seins et ceux de Claire s’écrasent sur mon dos. Quand je reprends mes esprits, je suis allongée sur un divan et six mains me cajolent. Je ne bouge pas, je veux profiter du moment au maximum. Cela dure un bon quart d’heure, Claire se redresse.
— Mais c’est qu’elle fait semblant d’être dans les vaps ma parole.
J’ouvre les yeux en souriant.
— Oui, c’était trop bon.— Je te comprends, mais maintenant il faut y aller, nous devons recouvrir ton corps de peinture.— Ok.
Elles me montrent des photos de femmes peintes pour que je choisisse ce que je veux qu’elles fassent. Je choisi une femme avec un tee-shirt assez claires en haut car en regardant bien, on voit ses mamelons érigés. Le bas du corps représente un jean sur presque toutes les photos, j’opte pour ça car elles vont pouvoir bien maquiller mon sexe. Je me lève, mais au lieu de commencer à me peindre, elle me passe un produit sur tout le corps. C’est un produit pour me le nettoyer de manière à ce que la peinture tienne mieux. Leurs mains sont très actives, surtout sur mon clitoris qui a l’air de beaucoup leur plaire, à tel point que je jouis sous le doigt de Claire.
— Doucement les filles, je ne vais pas tenir longtemps, d’autant que je vais devoir rester debout pendant la séance.— Ne t’en fais pas, on commence la peinture, et on finira par les cuisses et les fesses, comme ça, tu pourras t’assoir sur ce tabouret recouvert d’une feuille si tu es fatiguée, mais pour l’instant reste debout en attendant que le produit sèche bien.— Ok.
Elles préparent les couleurs, en me les montrant pour que je donne mon accord. Au bout de quatre heures de séance peinture, c’est fini, je suis prête. Je me regarde dans une glace, c’est assez étonnant, on a vraiment l’impression que je suis habillée, il faut bien regarder pour voir la fente de mon sexe, mais c’est possible. Par contre, comme je le voulais, on devine aisément que mes seins sont peints et non couverts par un tee-shirt. Mes fesses sont sublimes avec leurs poches de jean, mais c’est l’endroit qui bluffe le moins du fait de la raie très visible. Si on regarde bien, on voit que je ne porte pas de culotte ou de string, rien ne vient briser la courbe de mes hanches.
— Alors, on y va ?— Laisse-nous nous habiller.
Anne et Claire enfilent une jupe et un corsage sur leur peau nue. Habillé est un bien grand mot pour ce que je vois. Les jupes moulantes sont raz la chatte et les corsages permettent de distinguer leurs poitrines libres. Elles sont bandantes.
— Allez les filles, c’est parti.
J’ai quand même un petit pincement au cœur quand je sors de l’immeuble et commence à marcher dans la rue, mais ça passe très vite et l’excitation prend vite le dessus. Anne et Claire sont équipées de caméras très discrètes fixées sur le col de leurs corsages. Elles marchent quelques mètres derrière nous pour filmer discrètement les réactions des personnes croisées. Je marche devant les filles, je suis étonnée du peu de réactions des gens que je croise, il faut dire que personne ne regarde personne dans la rue, tout le monde trace son chemin. Néanmoins, plusieurs personnes m’ont regardé fixement et ont réalisé ce qui se passait, mais c’était marginal, je suis un peu déçue. Au bout d’une demi-heure, nous arrivons dans une rue bordée de commerces, il y a du monde. Je me glisse au milieu de la foule, Anne et Claire me filment toujours. Je remarque quand même que beaucoup plus de personnes me fixent exagérément, elles voient que quelque chose n’est pas normal. Certaines, en général des jeunes, comprennent et me regarde en souriant, voire même lèvent le pouce. Ils regardent tous derrière quand je suis passée. Arrivée en haut de la rue, je passe devant un bar avec un brumisateur, avec la chaleur ambiante, je me jette dessous pour me rafraîchir. Julie se précipite pour m’empêcher de me faire mouiller, mais il est trop tard, je passe sous la brume. Cette peinture se nettoie à l’eau, l’effet est immédiat, elle coule un peu sur le haut de mes seins, mon ventre et mes fesses. Le sein gauche est presque naturel sur le côté droit et le mamelon. Anne avait prévu un incident et avait pris un corsage assez long pour me couvrir au cas où. En passant devant une vitrine, je constate les dégâts, mais je suis trop dans le trip, je veux continuer. Je remonte une autre rue moins encombrée. La réaction des gens est assez variée, surprise, étonnement, amusement, admiration, mais jamais virulente. Un homme me suit pendant plusieurs mètres, il finit par venir à ma hauteur. Julie vient vers nous pour s’interposer, mais je lui fais signe de rester où elle est.
— Putain comment tu peux te balader à poil comme ça dans une rue.— Je ne suis pas à poil, je suis un tableau ambulant.— Oui, mais un tableau ambulant en chair et en os et qui n’a que de la peinture sur la peau.— Oui et qui prend un immense plaisir à faire ce qu’il fait.— Ça t’excite ?— Tu ne peux pas savoir à quel point.— Je pense au contraire que je peux le savoir simplement.— Et comment ?— Arrête-toi.
Je m’arrête et lui fais face. Il se rapproche un peu et me montre sa main.
— Je peux, elle est propre ?— Vas-y.
Il place sa main sur mon mont de Vénus et me plante un doigt dans le vagin. Il retire sa main, la regarde, constate que les extrémités des phalanges sont bleues, et la porte à ses narines.
— Je peux dire que ça t’excite grave, et moi aussi.— Et comment je peux le savoir ?
Il se saisit de ma main gauche et la plaque sur sa braguette. Je sens un énorme sexe dur comme du bois. Les passants défilent autour de nous, certains se retournent sur nous en regardant surtout mes fesses. J’entends quelques réflexions, mais c’est surtout de l’étonnement et de la surprise amusée, voire de l’admiration. Il relâche ma main.
— Tu as pu constater ?— Oui, impressionnant ton engin, il est disponible.— Oui, mais immédiatement, je dois partir pour deux mois dans le Sud dans trois heures gare Montparnasse.
Je me retourne vers Anne qui a tout filmé.
— Tu connais un coin tranquille par ici ?— Oui, je connais très bien ce quartier, suis-moi.
Nous la suivons dans une autre petite rue plus déserte. Elle entre dans une porte cochère ouverte.
— C’est ici qu’habite une de mes ex, il ne passe jamais personne.
Je pousse le mec contre le mur du porche, lui défais sa ceinture, déboutonne sa braguette et lui baisse son jean. Une superbe bite assez longue pointe son gros gland vers le ciel.
— Tu tiens à ce qu’on fasse ça ici ?— Et qu’on soit filmés, oui, ça te pose un problème ?— Tu as un trop beau cul pour refuser.— Tu as une capote ?— Dans ma poche droite, j’en ai toujours.
Je sors une capote de sa poche, m’empare de sa bite et l’encapuchonne. Je lève une jambe, me plaque contre lui et me laisse descendre sur son vit. Je suis tellement mouillée que son sexe m’empale d’un seul coup jusqu’aux couilles. Je fais quelques montées et descentes, mais le rythme ne lui plaît pas, il se saisi de moi par les fesses, me soulève en me libérant de sa bite, me plaque contre le mur.
— Ouvre et monte tes jambes.
Je m’exécute et il me plante sa bite d’un seul coup dans la chatte. Je passe mes bras autour de son cou pendant qu’il me maintient par les fesses en me pistonnant violemment. Je suis tellement excitée que j’ai énormément de mal à résister à l’orgasme, il est endurant le bougre. C’est lui qui me libère quand je sens son sexe palpiter dans le mien. Je me laisse aller à un fulgurant orgasme pendant qu’il jouit. Nous revenons à nous, il me repose à terre délicatement.
— Quel pied, tu es la reine des salopes, mais j’aime les filles comme toi qui savent aller jusqu’au bout, c’est vraiment dommage que je doive quitter Paris.— Merci, j’ai pris un super pied moi aussi, mais de toute manière, je ne pense pas qu’on se soit revu.
Je me mets sur la pointe des pieds pour lui déposer un baiser rapide sur la bouche. Mais quand je me recule, je constate que son jean est plus foncé que tout à l’heure et que sa chemise bleue a pas mal de roses. Il me regarde aussi.
— Je crois que tu ne vas pas pouvoir continuer à jouer au tableau ambulant.
Je me regarde, mes seins n’ont pratiquement plus de couleurs, mes fesses ont la trace de ses mains, mon pubis est complètement naturel, mes cuisses sont nettoyées, toute la peinture est partie. Anne vient vers moi.
— Tiens, j’ai l’habitude, la peinture ne supporte pas le contact ni l’eau. Enfile ce corsage.
J’enfile le corsage, il m’arrive à peine en bas des fesses, mais mes jambes peuvent encore faire illusion. Il sort le premier.
— Adieu ma belle, je ne suis pas près de t’oublier.— Adieu beau mec..../...
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