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Chapitre 5

Voyeur / Exhibition
.../...— C’était super, merci, tu es géniale.— Oh les mecs, vous croyez que vous allez vous en tirer comme ça ?— Je crois qu’on t’a suffisamment importuné comme ça, tu es sympa, magnifique, c’est vrai, mais un peu trop pour nous.— Et vous me laissez sur ma faim, vous avez eu votre petit plaisir, mais moi, rien à foutre, vous me laissez tomber comme une vieille chaussette.
Ils me regardent médusés, se regardent ne sachant pas quelle attitude prendre. C’est moi qui prends l’initiative. Je plaque Paul contre un mur du recoin et lui pose les mains sur la ceinture de son jean. Il a un reflex de m’en empêcher, mais j’insiste et il se laisse faire. J’ouvre sa braguette, passe la main dans son slip et en sors une très belle bite déjà un peu raide.
— Mais c’est que monsieur a une belle bite. Tu as la même Pierre ?— Bien sûr, nous sommes identiques, vrais jumeaux.— Eh bien montre-moi ça.
Il s’exécute, j’ai à ma disposition deux belles bites que je m’empresse de branler. Mentalement, je remercie Julie de m’avoir montré son instrument de plaisir. Je suis au milieu d’eux, ils se laissent faire en se regardant. Je m’agenouille, en prends une dans la bouche, lui fais deux ou trois succions puis je passe à l’autre pour une même punition. Les deux bites sont au garde-à-vous, bien raides. Je me redresse.
— Maintenant les mecs, au travail. Je présume que vous avez des préservatifs, tous les jeunes en ont.— Bien sûr.— Sortez-les.
Paul sort deux préservatifs de sa poche arrière. Je vérifie la date de péremption, je me suis fait avoir une fois, tout est ok.
— Allez les mecs, on s’équipe.
Ils enfilent leurs capotes pendant que je me lubrifie l’anus avec ma cyprine et ma salive. Je fais passer mon débardeur par-dessus ma tête et fais glisser ma jupe à terre. Je les pose à côté de nous.
— Voilà, je suis en tenue.

Ils me regardent ne sachant quoi faire.
— Un de vous deux pour l’arrière ?
Ils se regardent.
— Nous ne l’avons jamais fait.— Ne vous en faites pas, je me suis bien préparée, j’ai l’arrière-train nickel, la voie est libre.
Paul s’avance et passe derrière moi. Je me saisis de sa bite, me penche un peu en guidant sa bite entre mes fesses.
— Vas-y.
Il pousse, je sens sa bite se glisser entre mes fesses, ouvrir mon anus et s’enfoncer lentement dans mes entrailles. Je me redresse. Il passe ses mains devant moi et se saisit de mes seins qu’il malaxe doucement, c’est bon.
— Ok Paul continu, à toi Pierre.
Pour Pierre, c’est plus facile, il me plante sa bite d’un seul coup dans ma chatte ruisselante. Lui, pose ses mains sur mes fesses.
— Oh putain Paul, je sens ta bite.— Moi aussi, je sens ta bite, allez frérot, baisons-la puisqu’elle ne demande que ça.
Ils s’activent dans mes deux orifices, je sens leurs sexes me pistonner, quand l’un entre, l’autre sort, c’est divin. Je ne pourrais pas résister longtemps, mais ce sont des jeunes, eux aussi vont venir vite. C’est ce qui se passe, en une minute, un violent orgasme me secoue juste au moment ou je sens leurs bites palpiter dans mes trous. Je m’exprime bruyamment.
— AAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHH
Heureusement qu’ils me tiennent, je suis sur le point de m’écrouler, mes jambes m’abandonnent. Quelques instants plus tard, je suis de nouveau opérationnelle, j’ai toujours la bite de Paul dans le cul, il n’a pratiquement pas débandé. Pierre m’a libéré et s’est réajusté. Paul me caresse toujours les seins, délicatement.
— Tu les aimes hein ?— Je les adore, ils sont exactement comme je les aime.
Il se dégage en libérant mes seins, je me retourne, sa bite est toujours raide. Je m’accroupis devant lui, enlève la capote et lui gobe. Il pose ses mains sur ma tête.
— Oui, c’est bon, j’aime, continue s’il te plaît.
Je n’ai pas besoin de ses encouragements, j’ai envie d’une bonne dose de sperme jeune. Il est plus résistant que je ne le pensais, je m’active sur son sexe depuis deux minutes, je n’ai pas l’impression qu’il va jouir tout de suite. Je sens une main sur ma vulve, c’est Pierre qui me caresse le sexe. Je bouge mes fesses pour lui faire comprendre que j’aime bien ce qu’il me fait. Il comprend le message et me plante un doigt dans le vagin. Je pompe toujours Paul, enfin, je sens les prémices de son éjaculation qui en définitive me surprend. Un énorme jet de sperme m’envahit soudain la bouche, j’ai à peine le temps d’avaler qu’un second aussi important suit. J’avale pour en recevoir un troisième plus petit et un quatrième et dernier. D’où sort-il une telle quantité de sperme après avoir déjà joui ? Je me redresse et m’avance pour l’embrasser, il a un mouvement de recul, je m’y attendais. C’est un gamin, bien que certainement plus âgé que moi, mais aussi plus ignorant, et bien élevé. Il se réajuste, moi, je suis toujours à poil. Pierre vient déposer un baiser sur chacun de mes seins. Il me sourit.
— Je n’aurais jamais imaginé que ce qui vient d’arriver soit possible. Tu es une sacrée gonzesse, ça restera un souvenir extraordinaire.— Tu pourras en parler aux copains.— Jamais ils ne me croiront, et de toute manière, je préfère le garder en moi, juste entre nous deux avec Paul.— Moi aussi, j’en garderais pour moi ce souvenir extraordinaire.
Pierre prend mes affaires et me les tend, je prends mon débardeur pour l’enfiler, il s’agenouille devant moi en me présentant ma jupe. J’y glisse un pied puis l’autre, il remonte ma jupe le long de mes jambes, mais au moment où elle arrive au niveau de mon sexe, il se penche et dépose un baiser sur mon clitoris. Il finit son mouvement, remonte le zip et boutonne le bouton de la ceinture.
— Te voilà prête.— Tu es un gentleman Pierre, merci.
Je dépose un baiser rapide sur leurs bouches, que Paul accepte cette fois, et nous sortons du porche, il n’y a personne dans la rue.
— Salut les mecs, je rentre chez moi.— Tu habites loin ?— Juste à cinq cents mètres, j’y suis en six ou sept minutes.— Il fait nuit, on t’accompagne.— C’est sympa, merci.
Je me mets entre eux, chacun me donne un bras. Ces garçons ont une certaine éducation.
— Merci Messieurs, allons d’un pas alerte et guilleret.
Ma démarche fait sauter l’arrière de ma jupe à chaque pas, ce doit être un régal pour mes suivants qui sont malheureusement rares. Une fois devant chez moi, ils me laissent. Je dépose une nouvelle fois un baiser rapide sur leurs bouches.
— Vous êtes des gentlemen messieurs, ça devient rare par les temps qui courent.
Je rentre chez moi complètement lessivée. Après une douche et un repas rapide, je me couche pour m’endormir immédiatement le corps apaisé et repu, mais en pensant à la jolie Julie.
Ce matin, lever à sept heures, après un passage à la salle de bain de trois quarts d’heure, je sors pour acheter de quoi petit-déjeuner en jupe et débardeur. Il fait déjà assez chaud, ma boulangerie habituelle est fermée le dimanche, je dois aller un peu plus loin. Aujourd’hui, ce n’est pas une brise, mais un léger vent, ma jupe est constamment à l’horizontale et mon débardeur gonfle, ne protégeant plus mes seins des regards indiscrets, ce qui, entre nous, ne me dérange pas. Je songe à aller me changer, mais voyant qu’il n’y a pratiquement personne à cette heure matinale du dimanche, je décide de rester comme ça. Arrivée à la boulangerie, je me mets dans la file, il y a cinq personnes. Arrive derrière moi une femme dans les soixante ans avec un magnifique chien blanc tacheté de noir, une sorte de dalmatien mais beaucoup plus costaud. Il a l’air très gentil et doux. Je le regarde et pose ma main sur sa tête pour le caresser.
— C’est un pointer, un chien de chasse, il est très gentil.— Je l’avais remarqué.
Le chien se colle à moi, il demande encore une caresse. Je lui caresse la tête une ou deux fois puis le laisse et regarde les pâtisseries. Soudain, je sens quelque chose d’humide qui se glisse entre mes cuisses, remonte et s’en va. Je me retourne, la femme me regarde d’un air contrit.
— Excusez-le mademoiselle, c’est un chenapan.— Rien de grave.
Je me retourne vers le sens de la file quand cette fois-ci, c’est un coup de langue qui se glisse entre mes cuisses et me parcourt toute la raie des fesses. Je me retourne un peu fâchée, mais la tête de la femme me déconcerte et ma colère tombe d’un seul coup. Je pense tout de suite à un chien dressé par des zoophiles.
— Il est dressé n’est-ce pas ?— Oui, j’ai du mal à le maîtriser, il est à ma fille.— Je vous attends dehors, vous pouvez m’accorder quelques instants ?— Oui, bien sûr.
Je prends mon pain et un croissant, paye et sors pour l’attendre dehors. Quand elle sort, je l’aborde.
— Vous pouvez venir jusque chez moi, j’habite à côté.— Oui, pas de problème.
Elle m’accompagne jusque chez moi. Ma jupe vole toujours.
— Magnifiques fesses, j’ai envie de les caresser.— Ne te gêne pas.
Une main glisse sur mes fesses deux secondes.
— Super, j’aime tes fesses, je dois dire qu’en général, j’adore les fesses des femmes, mais les tiennes sont vraiment exceptionnelles.— Merci.
Elle me caresse les fesses trois ou quatre fois sur le chemin quand personne ne nous suit, mais nous arrivons chez moi assez vite, ce qui semble la contrarier. Je la fais entrer dans le porche, le ferme, enlève ma jupe et m’adosse au mur en écartant le plus possible les jambes devant le chien. Il vient vers moi, mais la femme l’arrête.
— D’abord l’arrière, tourne-toi et écarte tes fesses.
Je me tourne, écarte mes fesses avec mes mains et attends. Une langue énorme vient me lécher du périnée au bas du dos. Je suis parcourue d’un violent frisson. Il donne trois ou quatre coups de langue, c’est divin.
— Tourne-toi vers lui maintenant.
Je lui fais face de nouveau, il lève la tête et plante son museau sur mon sexe. Il donne de grands coups de langue, je suis électrisée. Sa langue devient de plus en plus pesante, il sautille comme s’il voulait me monter dessus. Il ne me faut pas très longtemps pour être terrassée par un super orgasme.
— AAAAAAAHHHHHHH
J’ai du mal à m’en remettre, heureusement que je suis adossée au mur.
— C’est super hein ?— Extraordinaire, je découvre.— Si tu veux, il peut faire bien d’autres choses.— Je n’en doute pas, mais pas ce matin, je suis déjà prise à autre chose, mais donne-moi tes coordonnées, je te recontacte demain ou après-demain, j’ai envie de découvrir ces autres choses.
Elle me tend sa carte, mais quand je veux la prendre, elle s’esquive.
— Et moi, je ne peux pas profiter un peu de toi ?— Bien sûr.
Elle prend mon débardeur et le fait passer par-dessus tête.
— Voilà comment tu devrais tout le temps être, tu es trop belle pour cacher ces magnifiques formes.
Ses mains parcourent tout mon corps, de la tête aux pieds. Elle y prend, a priori, un immense plaisir. Elle m’embrasse les seins, me titille les tétons puis s’accroupit devant moi, me saisit par les fesses et me plaque contre sa bouche. Sa langue s’active sur mon sexe, d’abord la vulve, elle ne s’attaque au clitoris qu’après l’avoir exploré de fond en comble. Elle plante un doigt dans mon vagin et le ressort. Quelques secondes plus tard, il se fraye un passage entre mes fesses pour venir me titiller l’anus et s’y enfoncer un peu. Elle me fait retourner, plier en avant et plante sa langue entre mes fesses qu’elle écarte. Je suis au bord d’un nouvel orgasme. Son majeur vient me titiller le clitoris, j’explose.
— AAAAAAAHHHHHHH
Elle embrase mes fesses, mon dos pour revenir à mes fesses. Au bout de cinq minutes, elle s’éloigne.
— Merci ma chérie, j’espère que quand tu viendras pour Rex, je pourrais moi aussi profiter de toi.— Ça va de soi.— A bientôt.
Elle me donne sa carte et s’en va. Je rentre chez moi ma jupe et mon débardeur à la main, les jambes un peu flageolantes, la journée commence bien. Je prends mon petit-déjeuner et passe à la salle de bain pour me rafraîchir le sexe et l’anus. Je me prépare pour aller chez Julie, change de jupe pour une moulante et quitte l’appartement. Cette journée promet d’être mouvementée, excitante et très jouissive.
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