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J'aime ma sœur.

Chapitre 4

Inceste
25 mai 2021.
Deux ans, deux mois et dix-neuf jours plus tard je me décide de vous écrire mon histoire puisque aujourd’hui est un jour particulier et que ça pourrais m’aider.
Peu de temps après avoir fait l’amour avec Ophélie pour la première fois, j’ai décidé de quitter mes études de commerce et de chercher un métier stable avec les diplômes que j’avais déjà. J’ai donc été conseiller et plus tard manager dans une petite société de jeux vidéo car je voulais acheter au plus vite un appartement ou une maison afin de vivre avec ma sœur et de pouvoir lui prouver chaque jour que Dieu fait de mes sentiments les plus sincères sans que nos parents le découvrent.
Malheureusement même si nos parents étaient peu présents et avec la distance que l’on s’imposait entre nous, ils ont fini par découvrir la vérité un soir, ils sont tous les deux rentrés beaucoup plus tôt du travail que d’habitude et ils nous ont surpris en pleine action dans ma chambre. Notre mère est tombée dans les pommes et notre père nous a ordonné de faire nos valises et de ne plus jamais revenir.
Je nous voyais déjà dormir dans un hôtel miteux, je venais tout juste de décrocher mon job et la paye n’était pas exceptionnelle. J’ai fait mes valises en pleurant, pas parce que j’étais mis à la porte mais par honte, honte de ne pas pouvoir protéger ma sœur et de ne pas avoir pensé à un plan de secours.Ophélie m’attendait devant le coffre de sa voiture les yeux rouges, nous avons mis nos valises dans le coffre puis nous sommes partis sans jeter un seul regard en arrière.
Nous avons effectivement dormi dans un hôtel, par chance il était loin d’être miteux... C’était déjà ça. J’ai dû multiplier les heures supplémentaires et chaque dépense était contrôlée, j’ignore encore aujourd’hui comment elle faisait pour ne pas craquer et continuer à me faire des petits clins d’œil au détour d’un couloir. Elle ne cessait d’être belle et délicate alors que je me sentais faiblir et devenir morne.
Au bout de deux mois j’ai loué un appartement en périphérie de notre petite ville de campagne, notre premier chez nous, notre foyer. J’avais fait exprès de prendre deux chambres, voulant faire de la personne que j’aimais le plus au monde la mère de mes enfants. Le tableau aurait été si beau.La vie a suivi son cours et de petit salaire modeste je suis passé à salaire confortable, je pouvais emmener ma charmante demoiselle au restaurant régulièrement et en vacances de temps à autre. Nous étions heureux de pouvoir nous aimer sans être jugé, de nous tenir la main en publique, d’être nous en somme.
Le 6 mars, après un repas préparé par mes soins, j’ai posé un genou devant ma muse et lui ai demandé de faire de moi le papa le plus comblé du monde. Cette nuit fut l’une des plus mémorables de ma vie, sexuellement nous avons toujours été en symbiose parfaite, mais là ce fut l’apothéose.
Elle s’est allongée sur le dos en travers du lit en laissant tomber sa tête dans le vide, tout en se déshabillant lentement. Mon érection commençait à me faire mal et une fois en tenue d’Adam j’enfonçais mon sexe dans sa gorge sans aucune pitié, ses mains étaient sur mes cuisses et en cas de problème elle devait taper. J’augmentais ma cadence après lui avoir laissé le temps de respirer et je posais ma main sur sa gorge pour y sentir mon passage, tandis que mon autre main pinçait ses tétons.
Ma sœur s’est redressée, a retiré le reste de ses vêtements en me regardant droit dans les yeux.
— Ce soir je m’offre complètement à toi, oublie les préliminaires et possède-moi !
Si je m’attendais à ça, c’est une offre qui ne se refuse, puis je serais un monstre de ne pas aider cette jolie femme, pas vrai ?
J’ai plaqué son torse contre le matelas et ai remonté ses fesses pleines avant de la baiser sans ménagement, il n’y avait ni amour, ni sensualité il ne restait en nous que la bestialité, ma main venait gifler son cul sans temps de pause et chacune des claques lui arrachait un petit cri qui m’excitait de plus en plus, au bout de quelques minutes de ce traitement nous avions fini par jouir en laissant échapper un long rauque. Après s’être remise de ses émotions elle m’avait regardé avant de se mettre sur le dos, de remonter ses genoux à ses seins et d’écarter outrageusement son anus, mon sexe s’était remis au garde-à-vous devant cette scène : ma propre sœur m’offrait sa virginité anale les jambes écartées et mon sperme commençait à s’échapper de son vagin.
Comprenant le cadeau je m’étais allongé sur elle et pendant que je l’embrassais l’une de ses mains avait saisi mon sexe et le dirigeait vers son cul, je l’avais laissé se pénétrer jusqu’au bout à son rythme. Je prenais alors les devants et j’entamais lentement des petits allers-retours, j’ai pris ses seins dans mes mains avant d’en mordiller les tétons. Nous n’étions plus des êtres physiques mais des sensations, ma muse faisait elle-même bouger ses hanches pour prendre la totalité de mon membre pendant que je l’étranglais, en sentant la jouissance proche j’ai décidé d’accélérer le rythme, ses yeux se retournaient dans leurs orbites tandis que j’éjaculais en elle pour la seconde fois de la soirée.
En silence nous nous sommes endormis l’un contre l’autre, heureux de vivre pleinement notre amour sans honte ni peur.
Nous étions partis pour vivre la plus magnifique des vies, même si nous n’avions jamais cherché à reprendre contact avec nos parents, notre mère nous appelait de temps à autre et en toute discrétion, notre père était triste mais trop fier pour faire un pas vers nous, tant pis, nous avions l’habitude de n’être que tous les deux sans vrai soutien parental.
Cher lecteur, chère lectrice, je vous remercie d’avoir lu mon histoire et j’espère vous avoir transmis mon amour pour Ophélie au travers de mon texte.
Il y a tout juste une semaine j’ai perdu la personne qui donnait un sens à ma vie à cause d’un camionneur saoul. Un avenir et une vie heureuse anéantis en un instant. Aujourd’hui à son enterrement, il y a Abodée, notre mère et une voisine qui nous aimait beaucoup. Dans ce cercueil il y a ma dulcinée et dans ma main son test de grossesse positif qu’elle avait caché dans son sac.
Fin.

P-S : Je remercie « Abodée » de m’avoir soutenu et de m’avoir aidé à faire mon deuil par le biais de cette histoire. Vivez heureux, vivez pleinement et n’oubliez pas de dire à vos proches que vous les aimez.
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