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J'aime faire l'amour

Chapitre 1

Divers
Je m’appelle Véronique, j’ai 40 ans, je suis divorcée depuis cinq ans et je « dors » avec mon fils depuis un an, je suis enceinte, mais ce n’est pas mon fils le père, c’est Marc, le mari de mon amie Valérie. Voici comment cela a commencé :
Dans la société où je travaillais, et où je travaille encore, j’ai fait la connaissance de Valérie, nous avons sympathisé alors que nous n’avions rien en commun, elle avait beaucoup d‘amants, alors que moi j’étais très sage à part coucher avec mon mari. Je suis divorcée depuis près de cinq ans, j’ai attendu plusieurs mois avant de prendre une relation sérieuse, mais au bout de quelques mois, je l’interrompis, mon copain a voulu me prendre par-derrière, alors que je ne l’avais jamais fait, je ne voulais pas même avec mon mari, c’est peut-être la raison de son départ. Valérie le fait souvent, elle me dit que c’est bien meilleur que par-devant et qu’elle jouit beaucoup plus vite. Après ce nouvel échec, je choisis, comme Valérie, d’avoir des amants pour une nuit ou un soir, ils ne peuvent pas passer la nuit avec moi, ils doivent souvent rentrer chez eux puisqu’ils sont pour la plupart des hommes mariés.
Nous nous échangeons les « bons coups », souvent je fais des pipes dans la voiture, j’aime avoir du sperme tout chaud au fond de la gorge et j’avale tout sans que l’on soit obligé de me le demander. Un « ami » commun me demande de passer la soirée avec Valérie et moi, mais comme je ne sais pas ce que Valérie en pense, avant de dire oui, je préfère le lui demander. Je pose la question à Valérie, qui me répond oui bien sûr, comme si cela était une évidence pour elle, à se demander si elle n’était pas déjà au courant de ma démarche, qui si son accord n’était qu’une simple formalité et se propose même d’organiser notre future rencontre à trois. Nous nous retrouvons au lit, notre homme au milieu, sa queue est déjà bien raide et dure, elle passe de bouche en bouche, je la suce un peu et la passe à Valérie.
Nos bouches se croisent et un petit bisou sur les lèvres à chaque fois, une fois la langue de Valérie se montre un peu plus téméraire et ma bouche s’entrouvre, sans tarder, sa langue pénètre dans ma bouche à la recherche de ma langue, c’est la première fois que j’embrasse une autre femme. Valérie m’embrasse comme le ferait un amant, mes seins deviennent très durs et ma chatte se trempe, avec un homme, je n’ai pas cette sensation, j’ai peut-être trop l’habitude. Je m’agenouille pour que mon amant me prenne bien la chatte en levrette, alors que Valérie s’allonge devant moi, les jambes bien écartées, la chatte bien ouverte en attendant ma langue. Je reçois pour la première fois un jet de cyprine tout chaud sur mon visage. Valérie sert bien ses jambes pour que ma tête soit prisonnière pour que je ne puisse pas la retirer. Nous changeons de position, mais ma chatte est pleine de sperme pour le plus grand plaisir de Valérie qui me lèche bien pour ne pas en perdre une goutte.
Je jouis sur son visage plus qu’avec le mec qui m’enfile sa queue. J’espère que la prochaine fois, sa chatte sera bien remplie pour que moi aussi je puisse bien la lécher. Je connais bien la saveur du sperme puisqu’à chaque fois que je fais une pipe à un amant, je lui demande de se laisser aller au fond de ma gorge. Je découvre ma bisexualité en même temps que celle de Valérie et je m’aperçois que maintenant, je suis plus attentive et que nous ne sommes pas les seules, je savais que beaucoup de femmes se masturbaient soit devant leur mari et surtout devant leurs amants, mais je ne savais pas qu’autant de femmes étaient bisexuelles. Nous échangeons avec Valérie nos bons coups masculins et féminins, puisqu’elle et moi aimons nous faire sucer la chatte et même nous aimons que nos amants y participent puisqu’une chatte pleine de sperme soit bien meilleure.
Je n’y ai toujours pas goûté par-derrière, pourtant Valérie me dit que c’est encore meilleur, si la longueur n’importe peu, c’est surtout la grosseur. Un soir, Valérie m’invite à dîner, je sais que ce n’est pas pour manger, mais baiser avec son mari et surtout me faire perdre la pastille de ma rondelle. A l’apéritif, elle installe son mari entre nous et sans tarder, elle sort sa queue pour bien la sucer et me demande de faire la même chose. Je prends cette bite dans la bouche pour à mon tour bien la sucer. Marc le mari de Valérie s’allonge sur dos pour me permettre de le chevaucher, sa bite entre dans ma fente, j’ai les fesses en l’air et Valérie en profite pour mettre un peu de gel sur ma rondelle, je me doute qu’elle va arriver à ses fins, me faire prendre par derrière.
Contrairement à ce que je pensais, ce n’est pas la bite de son mari, mais un gros vibro qu’elle met dans mon cul, pour bien l’élargir avant d’en prendre une vraie bite et de recevoir une première giclée de foutre dans mon cul. Valérie avait raison, c’est bien meilleur que par-devant, la première fois, cela fait un peu mal, mais quand j’ai été dépucelée, j’ai peut-être eu mal la première fois, je ne me souviens pas, il y a si longtemps. Quand mes amants ne me demandent pas ma rondelle, c’est moi qui la propose et c’est rare qu’ils ne veulent pas. Valérie vient souvent me voir pour me faire l’amour et mon fils s’est aperçu de ma bisexualité, quelquefois il nous regarde faire l’amour, mais ne sort jamais sa queue pour se masturber, alors qu’il le fait quand il est seul dans son lit.
Valérie a remarqué qu’il devait avoir une grosse queue quand il bande à nous regarder et me demande si cela ne me dérange pas si elle fait l’amour, bien sûr que cela ne me dérange pas, surtout que moi, je ne peux pas, c’est mon fils. La première fois que Valérie couche avec mon fils, elle me dit :
— Il a vraiment un gros potentiel, il ne sait pas bien s’en servir, mais il apprend vite.
Je ne sais pas si depuis, Valérie vient me voir ou voir mon fils, de toute façon, elle fera l’amour soit avec lui soit avec moi.4Valérie me tient informée des progrès de mon fils et c’est vrai qu’il progresse de jour en jour, certainement qu’il est éduqué par une spécialiste du cul, mais il a de bonnes dispositions, peut-être par son père qui a de bonnes dispositions, mais il ne tient pas de moi, car quand je l’ai conçu, je n’étais pas la salope que je suis devenue. Un soir, alors que mon fils est invité à une petite soirée, mais qu’il n’a pas de petite amie pour l’accompagner, je lui propose mes services et comme c’est la mode de « sortir » une vieille, ses copains ne s’en apercevront pas, et puis je trouverais certainement quelqu’un pour faire l’amour. Je me suis préparée à cette éventualité en mettant des bas autofixants, une mini-robe et une petite culotte assez ample pour que le passage d’une main en soit facilité. Avant d’arriver à la soirée, je dis à mon fils, danser je veux bien, mais pas plus.
Nous dansons ensemble, mon fils se colle à moi, il me fait des petits bisous, alors que je ne voulais pas, je les accepte, il est tellement tendre, souvent nos bouches sont très près et un petit flirt est presque normal. J’entrouvre ma bouche et sans attendre, la langue de mon fils y pénètre et recherche la mienne, je sens à travers son pantalon la grosseur de son sexe et Valérie ne m’avait pas menti en me disant qu’il été bien monté. Je me suis prise au jeu et malgré moi, ma culotte est trempée, je me sers de plus en plus à mon fils pour sentir à travers nos vêtements, je n’y tiens plus et ma main se faufile entre nos corps pour prendre cette belle queue, mon fils s’écarte un peu de moi pour que je ne sente pas trop qu’il bande et que sa queue est énorme. J’ai envie de branler cette grosse bite et ma main ouvre la braguette de mon fils et se faufile dans son caleçon pour enfin l’avoir entre mes doigts.
Me voyant excitée, mon fils me caresse doucement les seins et descend ses mains vers mon ventre, j’espère qu’il va continuer sur mon bas-ventre et qu’il va entrer son doigt et même plusieurs dans ma chatte qui est prête à les recevoir. Je lui demande de se baisser un peu, pour que je puisse prendre sa grosse bite dans ma chatte, il ne veut pas, mais j’insiste un peu seulement pour qu’enfin il entre dans ma fente, je sens sa grosse queue dans ma chatte. Il ne lui faut pas bien longtemps (il est tellement excité) pour jouir, je le vois sur son visage, alors je lui demande de se laisser aller, car je me protège. La soirée se termine, nous rentrons à la maison sans échanger un mot et nous regagnons notre chambre, je vais me masturber, car j’en avais encore envie, je suis sûre que mon fils de son côté va aussi encore se faire jouir.
Le lendemain, comme je le fais tous les matins, je prépare le petit-déjeuner en nuisette, mon fils me rejoint dans la cuisine, me fait une bise sur la joue et me dit :
— Ce que nous avons fait hier est complètement immoral et ne doit pas se reproduire.
Je m’aperçois en regardant son caleçon que ses paroles ne correspondent pas aux réactions de son corps, je m’approche de lui, je baisse les bretelles de ma nuisette pour lui faire découvrir ma poitrine, je sors sa grosse bite pour la mettre entre mes seins et le prendre enfin dans ma bouche, hier soir, je n’ai pas pu. Je l’entraîne dans ma chambre, il me suit sans broncher, je me doute qu’il a envie autant que moi. Nous y passons toute la journée, nous avons même oublié de manger. Je continue à coucher avec le mari de Valérie et elle avec mon fils, un jour alors que nous nous faisons l’amour Valérie et moi, nues sur mon lit, sa bouche sur mon bouton et ma langue dans sa chatte, nous faisons pas mal de bruit et mon fils qui vient de rentrer, en entendant le bruit vient dans ma chambre, il se doute que nous faisons l’amour et vient nous mater un peu.
Valérie le voit, sa langue quitte mon bouton, et lui demande de s’approcher, je regarde moi aussi, ne sentant plus la langue qui me fait jouir, mon fils est tout près de Valérie, elle ouvre sa braguette pour libérer la bite, et vite, elle la met dans sa bouche pour qu’elle durcisse encore un peu plus avant de la mettre dans mon cul pour laisser libre ma chatte, Valérie a encore envie de la sucer. A ce régime, une bite dans mon cul, une langue sur mon bouton et ma langue dans une chatte, sèche j’aurai préféré avec un peu de sperme dedans, je ne tarde pas à jouir et à envoyer une bonne giclée de cyprine sur le visage de Valérie et sur le bas-ventre de mon fils. Valérie me propose que le week-end prochain, elle viendra avec Marc, son mari, pour faire l’amour à quatre, je suis heureuse, car pour la première fois, je pourrais être prise en double, je pense tout le restant de la semaine à ces deux bites en moi, et je jouis seule sans me masturber.
J’aime apporter le petit-déjeuner à mon fils qui est encore au lit, surtout avant qu’il se masturbe, pour avoir tout son bon jus dans ma bouche ou dans ma chatte. Mon fils me prend matin et soir, souvent le week-end, il me prend aussi l’après-midi, je me laisse prendre debout contre le mur de la cuisine quand je prépare le déjeuner où le dîner. Enfin, la soirée avec Valérie, Marc et mon fils arrivent, même avant le dîner, nous nous retrouvons au lit, mais cela ne se passe pas comme prévu, Marc et mon fils préfèrent avant de nous prendre que Valérie et moi fassions l’amour ensemble pour qu’ils puissent bien se masturber et envoyer leur sperme bien chaud sur nos visages.
Après avoir bien joui, leurs queues sont toujours bien dures et raides, Marc s’allonge à côté de moi, je me doute qu’il veut que je le chevauche je sais que mon fils va en profiter pour mettre sa grosse bite dans ma rondelle, il a l’habitude de le faire et c’est la première fois qu’il m’encule avec une autre queue dans ma chatte. Ils me défoncent bien, j’espère qu’ils vont jouir en même temps pour que je sente leurs spermes bien chauds au même moment. Valérie, qu’elle s’est fait prendre en double plusieurs fois, m’encourage en m’embrassant et en le caressant la poitrine pour me donner encore plus envie et me dit :
— La prochaine fois, un copain viendra mettre sa bite dans ta bouche, pour que tu goûtes à trois bites.
Nous avons pris l’habitude de nous retrouver à quatre quelquefois plus pour nous éclater. Un soir alors que je fais l’amour avec Valérie, elle me dit :
— J’arrête la pilule pour que ton fils m’engrosse.— Je comptais arrêter la mienne pour que ton mari reste en moi pour me mettre enceinte, mes amants et mon fils se contenteront de ma bouche ou de mon cul.
Un peu plus tard, j’apprenais que je vais être grand-mère, et je devais annoncer à mon fils qu’il ne serait plus unique.
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