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Chapitre 3

Une nouvelle idée réalisée

Hétéro
Résumé : Après avoir conduit mon mec à se caresser devant moi, puis à jouir sur mes bas, j’ai eu d’autres idées. Restait juste à préparer cela...Quelque temps plus tard, l’occasion s’était présentée avec la venue de Sabrina, une collègue de mon entreprise de services informatiques invitée pour discuter de certains projets pour la boîte. J’essayais d’y faire régner une bonne ambiance et la jeune femme, si elle avait à peine vingt ans était extrêmement douée dans le domaine de l’infographie web. Sa personnalité effacée, très timide, son apparence physique un peu enveloppée, avec des cheveux bruns lui cachant un visage un peu rond, ses t-shirts de nerd... Tout cela avait fait que les recruteurs étaient passés à côté de son talent. Sans trop me vanter, j’avais un certain don pour voir au-delà des apparences et je me félicitais tous les jours de l’avoir embauchée, elle et d’autres personnalités tout aussi particulières.La soirée se passait agréablement entre Sabrina et moi qui échangions des idées entre geeks et les interventions de mon copain ; si celles-ci étaient plus rares, étaient intéressantes car, même s’il travaillait dans un domaine bien différent, c’était le point de vue d’un profane, donc d’un client potentiel pour certaines applis. Le courant en plus passait bien entre eux, elle appréciait sa gentillesse et son humour quand on lui en laissait l’occasion, car nous étions assez prises par notre discussion. Je lui avais demandé de faire un peu le service et c’est ainsi qu’à un moment ; par pur hasard puisque j’étais juste en train de boire, je l’avais vu mater en douce le décolleté de Sabrina qui était penchée sur un document qu’on étudiait. Il faut dire que si j’étais assez bien pourvue sur ce plan-là, elle avait vraiment été gâtée par la nature Sabrina ne s’était aperçue de rien, focalisée sur le dossier, concentrée, si désireuse de me faire plaisir ; à moi qui lui avais donnée sa chance.Il avait vu que j’avais remarqué son manège, avait pâli et le reste de la soirée il avait été très affable en imaginant peut-être que j’allais oublier.
Sabrina partie, il avait déjà tout rangé, tout sourire, croyant que c’était réglé, mais je m’étais assise dans le canapé avant de le faire venir en parlant sur un ton impératif.***********
— Oui chérie.— Tu n’as rien à avouer ?— Euh...— Tu penses que je n’ai plus de mémoire ?— Ah, j’ai oublié de ranger un truc ?— Tu te moques de moi, tu sais très bien de quoi je parle.— C’était purement un accident, je me penchais pour poser le plateau et euh mes yeux se sont posés sur ses gros enfin son décolleté voilà.— Un accident ! Décidément tu es incorrigible. Je pensais passer une soirée normale avec une collègue sympa sur qui je fonde des espoirs ; comment j’allais imaginer que mon mec allait mater ses "gros seins" comme tu as failli le dire ?— Je me doutais bien que tu ne l’avais pas prévu ! (En fait si ; cela c’était passé exactement comme je l’avais imaginé, mais bon il n’avait pas besoin de le savoir et c’était si bon de jouer avec la vérité) je suis désolé.— Les miens ne te suffisent pas c’est ça, je ne suis pas assez bien pour toi, en fait, tu veux juste des gros nichons !— Mais non, mais non, ne te fâche pas.— Je ne me fâche pas, je suis plutôt triste.
Et de laisser perler une petite larme au coin de l’œil... tout en rendant grâce à mes quelques cours au club de théâtre de la fac.Il me regarde ; toujours dans l’expectative et je rajoute alors.
— Mais je suis aussi en colère !
J’enlève d’un coup mon t-shirt, exposant mes seins dans leur écrin de lingerie, lui montrant les délicates fioritures de dentelle jaune qui rehaussent la beauté de ma poitrine.
— Tu as ça pourtant, je te laisse me toucher, me caresser, tu n’en as pas assez, tu voulais toucher les siens ? Tiens, je parie que tu voulais te faire faire une branlette entre ses gros seins comme tu dis !— Mais je ne l’ai pas dit !— Tu as failli c’est pareil. Bon sang, regarde-moi, ils ne te plaisent pas ?
En disant cela j’empaume les bonnets de mon joli soutien-gorge avec mes mains et tends les deux superbes globes de chair vers lui avec une moue qui lui fait pétiller les yeux.
— Tu es superbe ma chérie, et ton soutif sur ta peau, c’est si sexy.— Mais je parie que tu meurs d’envie que je l’enlève hein, que tu puisses encore mieux mater, ah je vais te la faire oublier Sabrina moi.
Ma voix qui tremble de colère (ou devrais-je dire du plaisir d’être la maîtresse du jeu) le domine, le pousse à tout de suite obéir à mes demandes.
— Ah tu aurais voulu te branler entre les siens, ah, tu voulais jouir dessus ! Je vais te la faire oublier moi, t’est mon mec tu as compris !— Oui chérie.— Sors ta bite allez, c’est comme ça que t’aurais aimé qu’elle te parle j’en suis sûre, dépêches-toi avant que je ne m’énerve.
Comme je l’avais prévu dans mes fantasmes, sa queue est déjà dure et tendue quand il se libère du carcan de son pantalon et de son boxer pendant que j’enlève sensuellement mon soutien-gorge.(rappelez-vous les filles, toujours sensuelle, un petit mouvement d’épaule vers le haut et le buste bien droit).Feignant toujours la colère, je l’attire vers moi (pourquoi tout simplement ne pas lui dire ce dont j’ai envie ? Parce que c’est bien plus amusant pour moi, bien mieux pour les idées qui bouillonnent derrière le miroir...) et je mouille quand je le vois se saisir de son sexe et le coincer entre mes seins.
— Voilà t’es bien là hein, c’est mieux qu’avec elle hein ? Allez bouges-toi, je vais te montrer que t’as une vraie nana, tiens elle t’aurait pas fait ça elle hein ?
Et de cracher un jet de salive entre mes seins pour que son sexe coulisse mieux.J’ai l’impression que ses yeux vont sortir de ses orbites quand il me voit faire cela, il s’excite encore plus, concentré sur les sensations qu’il a en glissant entre mes seins qui font comme un fourreau brûlant pour son sexe. Après tout, j’imagine que même s’il n’a qu’un quart des sensations que j’éprouve, il doit être sacrément excité non ? Moi en tout cas, sentir son sexe dur glisser entre mes seins, serrée contre lui, sa peau qui frotte mes mamelons à chaque mouvement, ses yeux fous, l’odeur au thé vert de son gel douche, ses mains qui appuient de chaque côté de mes épaules quand il est à moitié vautré sur moi.Ma culotte est bonne à essorer, heureusement j’ai un jeans noir qui ne révèle rien, oh s’il savait les pensées qui m’agitent.J’en rajoute encore dans le délire verbal d’une voix rauque que j’ai un peu de mal à contrôler, mais tout occupé à savourer la cravate de notaire que je lui prodigue, il n’entend pas le tremblement de ma voix.
— Allez lâche-toi mon salaud, ça Sabrina ne te le fera pas, te branler entre de gros nibards bien chauds, c’est bon hein ?— Oh putain oui, tu es merveilleuse, ooh c’est booon.— Tu ne materas plus les autres maintenant.— Non, non, promis, je ne veux que toi, c’est toi qui m’excites, qui, qui va me faire jouir.— Tu bafouilles mon chéri ? Tu veux que j’arrête ?— Non, non, je fais ce que tu veux, continue, continue.— Allez gicle ton foutre sur mes seins, tu n’auras jamais une fille comme moi,— Chérie, chérie je vais jouir.— Vide-toi les couilles sur mes seins allez allez.
Je le repousse juste ce qu’il faut pour qu’il se dégage de mes seins ; le voir empoigner sa queue, se lâcher totalement et se branler sur mes seins lourds, tendus, aux pointes dures est un spectacle qui m’emmène au nirvana dans tous les domaines.Enfin, son gland dirigé vers moi, il éjacule sur mes seins, les couvrant de sa semence chaude. Les multiples traits laiteux sur ma peau bronzée forment un tableau moderne et surtout terriblement sensuel. Il s’effondre sur le canapé, vaincu, à côté de moi, haletant et murmurant son amour.J’écoute cette douce musique à mes oreilles, contemplant le petit lac blanchâtre qui s’est formé entre mes seins, les lignes de sperme qui coulent vers ce lac quand je bouge mes seins.Et j’ai une pensée pour Laurane, une de mes autres employées, aux lèvres rouges et pulpeuses qui sont une invitation à un autre fantasme. Après tout, au nom de l’équité, je pourrais aussi l’inviter non ?
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