J’aime le voir à ma merci Résumé ; après avoir conduit mon mec à se faire jouir devant moi, sur mes bas, sur mes seins et avoir invité pour se faire une collègue, je continue mes mises en scène.Je suis sous la douche, pendant qu’il est affalé, épuisé, vidé sur le canapé après avoir joui sur mes seins. Sabrina vient de partir, inconsciente du rôle qu’elle a joué dans mes plans. Tout en me savonnant, je me dis que mon idée d’inviter Laurane, ma seconde employée n’est pas farfelue du tout. Laurane est aussi une nerd ; c’est-à-dire une fan d’informatique et de références cinématographiques obscures ; elle est d’ailleurs même fan de cosplay, cette pratique qui consiste à se déguiser en personnage de manga, de film, d’héroïne de jeu vidéo ou de lignes temporelles alternatives. Si elle est petite et moins dotée par la nature au niveau des attributs mammaires, elle a un corps vraiment très bien proportionné, un beau vidage fin, de longs cheveux blonds, des yeux bleus clairs superbes souvent cachés derrière des lunettes à branches épaisses et, pour l’avoir amenée à une convention de fans, son déguisement de fée clochette la transforme en bombe. Je ne parle pas de sa bouche pulpeuse qui donne envie de l’embrasser, j’ai même dû virer un représentant, le bellâtre type qui est parti furax en braillant qu’elle avait une bouche à pipe (sic). Inutile de dire qu’il n’est plus revenu ensuite ! Enfin, bref, là, sous le jet revigorant (j’en ai bien besoin après l’orgasme que je me suis payé avec le moussant) je mets mentalement en place ma petite stratégie.Un certain temps plus tard (nota : le temps littéraire n’est pas le temps réel) Laurane se retrouve invitée chez nous. Peut-être encore plus timide que Sabrina (sauf quand elle enfile ses costumes), il a fallu discuter un peu pour la convaincre, mais quand j’ai parlé d’équité, d’égalité de traitement, comme elle est droite, rigoureuse, elle a accepté. Je lui ai présenté mon mec qui avait pour une fois un sujet de discussion avec elle en parlant de comics américains. Je comptais évidemment sur cela, connaissant leurs passions. Au cours de la soirée, je les ai donc laissées discourir, n’intervenant finalement que peu, tissant lentement ma toile la poussant habilement à finir par nous montrer les photos de la dernière convention où elle s’était rendue. Quand je l’ai vu regarder les clichés de Laurane déguisée en fée clochette et en sorcière elfique, j’ai compris qu’il était ferré. La soirée s’est finalement parfaitement achevée et, cerise sur le gâteau, l’ambiance dans ma petite entreprise en sortirait renforcée. Une fois la jeune femme repartie, je suis partie ranger la vaisselle en faisant beaucoup de bruits, il a tout de suite compris que quelque chose ne tournait pas rond. Pauvre chéri ; c’était dur pour lui qui avait fait attention à ne pas mater le petit décolleté de Laurane et à rester sage, mais peine perdue ! Quand il est venu m’aider, j’ai dit que je n’avais pas besoin de lui, qu’il en avait assez fait ; comme prévu, il a répondu : — Mais qu’est-ce que j’ai fait cette fois ? Je ne réponds pas, mais pose une question sur un ton anodin (c’est là que ça risque de chauffer pour vous les garçons) — Elle est sympathique Laurane hein ?
— Euh oui.— Elle est petite hein ?— Euh oui, effectivement.— On a envie de la protéger hein ?— Euh, je pense que certains peuvent avoir ce réflexe, mais euh elle doit être de taille.— Heureusement pour elle, vu les lubriques qui risquent de lui courir après. Je le vois lever les yeux au ciel, se demandant ce que je vais trouver ; t’inquiète mon bonhomme, tu vas y avoir droit. Oh comme j’adore parcourir ce chemin de l’excitation. — Tu ne vas pas recommencer ?— Mais non, j’ai trouvé parfaitement normal que tu passes la soirée à quasiment la monopoliser, histoire de protéger la petite elfe.— Euh c’était une fée.— Tu vois bien que tu as été attentif à elle, à fixer toutes les dix secondes ses grosses lèvres pulpeuses.— Elles ne sont pas si grosses...— Eh ben voilà encore une fois, tu les as bien regardées, j’avais pensé que cette fois ça irait, oh, tu es intenable, heureusement elle est à mille lieues d’imaginer ce à quoi tu pensais. Ah tu me rappelles ce gars que j’ai viré et qui parlait de sa bouche à pipe ! Là j’ai un peu peur qu’il ne commence à comprendre mon manège, mais il est tellement conciliant et prêt à m’écouter qu’il ne note pas du tout qu’on est en train de faire un remake avec juste une autre actrice. Ceci dit, je fais un peu varier quand même on ne sait jamais. Je reprends ma diatribe en insistant sur un air navré : — Oh, je sais bien qu’elle a des lèvres attirantes que moi je n’ai pas, qu’on a envie de la câliner, vous les hommes dès que vous voyez une femme plus petite, c’est un réflexe venu du fond des âges. Moi je n’ai pas ce genre d’arguments.— Mais tu as des seins superbes ma chérie !— Et il a fallu que j’en arrive à devoir faire des trucs pervers pour te le faire remarquer. Je parie que t’as encore des idées lubriques hein, que tu voudrais de nouveau que je fasse des trucs dégoûtants pour que tu l’oublies.— Mais, non je te force à rien !— Ce qui veut dire que tu y as pensé quand même, Monsieur aimerait que je le, enfin que je te prouve que je peux aussi le faire.— Mais non, je...— Suffit, je sais bien que tu vas fantasmer là-dessus, sur sa bouche à pipes comme on dit, mais je vais te montrer que moi aussi je sais y faire espèce de pervers, allez viens là maintenant avant que je n’aie plus de courage ! Évidemment, la perspective d’une fellation ne manque pas de le motiver et ses dénégations sont bien faibles, surtout en se dépatouillant de sa ceinture et de son jeans à boutons.Pourquoi je ne lui ai pas demandé directement ? Hé, cher lecteur/trice, comme l’a dit le philosophe, le chemin parcouru fait partie du plaisir, je vous l’ai déjà écrit !Il est donc rapidement nu debout devant moi, le sexe déjà dressé. Je joue un peu les effarouchées, que son ego de mâle soit flatté (profites-en pour le moment...)Je me suis assise (ah j’adore ce canapé) et je regarde sa queue tendue ; le plaisir visuel participant au reste. Son sexe n’est pas un truc énorme qui vous empêche de vous asseoir pendant une semaine, mais c’est un joli modèle, gland bien dessiné, rapidement rechargeable et il me convient bien.Il est aussi délicieux à l’odeur quand je le hume, et mmm délicieux au goût quand je le lèche un peu, faisant le tour du dessous du gland avec la pointe de ma langue. Ses yeux sont déjà brillants par anticipation, il a l’impression de dominer la situation, alors que c’est moi qui détiens le pouvoir.J’écarte ma bouche et je fais coulisser son sexe dans l’espace arrondi dégagé ainsi, de bas en haut, et je recommence. Je le sens se tendre, grossir, ses mains sont crispées le long de son corps, ses abdos serrés, il est beau ainsi et le petit phénomène bizarre qui tend à liquéfier ma petite chatte recommence...Les yeux dans les siens ; j’embouche le gros gland juste fait pour ma bouche, mes joues se creusent sous la succion et comme je l’ai vérifié dans le miroir de la salle de bain, il doit avoir une vision très excitante.Je ressors, un fil de salive transparent reliant encore ma lèvre inférieure et son gland. — Alors je ne suis pas si nulle hein ?— On non tu es merveilleuse.— Laurane te fera pas cela, je parie.— Quoi ooooh puutain. Je l’embouche et, les yeux dans les yeux, la tête relevée, je le fais glisser au fond de ma gorge, hé je ne me suis pas entraînée pour rien !Ma bouche dans ses poils pubiens, je reste quelques secondes avant de ressortir, bavant sur sa queue, le laissant admiratif et désemparé par les sensations que je lui donne. Je veux l’avoir à ma merci alors je continue. — C’est pas assez chaud peut-être, tu veux plus ? Il ne répond pas et je crache sur sa queue comme je l’ai vu faire dans certains pornos sur lesquels je me suis masturbée.J’ai l’impression que les yeux lui sortent de la tête quand il me voit faire ma salope, je ne peux pas dire autre chose.Je passe une main sous ses burnes, les serre un peu, le faisant grogner, alternant délicatesse et un peu de brutalité soft.Il geint, oh comme je l’aime ainsi. — Ah ça tu l’as pas avec d’autres hein.— Noooon, nooon, c’est boooon.— Je vais te faire jouir moi, te dégorger la bite mon petit salaud. Il doit halluciner en entendant cela, mais bon sang, j’adore le choquer, le provoquer et j’ai encore des tours en réserve. — C’est bon hein ?— Oh oui, oui, continue, je ferais tout ce que tu veux.— On va voir cela. Je le reprends profondément en bouche, les joues creusées, une main occupée à le branler plus ou moins rapidement, je ressors, vais mouiller le bout du majeur avec les traces de son excitation, le reprends et en grognant, passe ma main sous ses burnes pour lui taquiner son petit trou avec mon doigt. Il sursaute, se raidit, ce n’est plus que des mmmh, mmmh ..... Je lui enfonce avec vice et plaisir le majeur dans son petit trou et, éperdu de sensations, il explose dans ma bouche.Une vraie explosion, un grognement bestial, je sens le flot de son sperme sur ma langue, j’en avale un peu, savourant rapidement le goût un peu acidulé de son foutre. Il me regarde, hagard, en sueur, j’ouvre un peu la bouche, laissant couler un peu de sperme aux commissures des lèvres. Son sexe a encore quelques soubresauts qui sont autant de traits de plaisir pour moi. J’ai assez maté de pornos (oui beaucoup de femmes aiment) pour savoir de quoi j’ai l’air, la bouche ouverte, son sperme dans ma bouche, son sperme qui coule sur mon menton, dans mon cou.Mais je ne veux pas qu’il se perde et je l’attire vers moi, il me regarde un peu perdu, se demandant ce que je veux et je continue à le tirer vers moi en lui disant : — Viens partager avec ta salope qui t’aime. Comment pourrait-il se soustraire à ma demande ?Quand on commence à se rouler une pelle au sperme, quand sa langue vient goûter son foutre sur la mienne, quand il lèche ma joue et mon menton en happant tout son jus.Quand il fait cela.Alors je pars dans un orgasme démentiel...
