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Chapitre 6

regarder du porno

Hétéro
Résumé : Elle a mis à exécution ses divers plans pour l’amener à faire ce qui l’excite. Le faire se masturber devant elle, le faire jouir, puis goûter son sperme, le partager... Elle a toujours de nouvelles idées.
Il s’est endormi, vaincu par l’orgasme que je lui ai procuré pour mon plus grand plaisir...Je le regarde, si beau, si doux, si désireux de me plaire. S’il savait les idées que j’ai dans la tête, les scénarios qui s’y développent... Si parfois je passe des jours sans idées, ou alors à revivre encore et encore l’orgasme que j’ai eu avec lui. Là, à peine a-t-il sombré que d’un coup, une nouvelle fantaisie naît dans mon esprit pervers. Je réfléchis et mets mentalement en place les pièces, et comme je n’ai pas du tout envie de dormir, je vais à l’ordinateur surfer un peu. Quelques idées de voyages (ah ces budgets qui nous freinent et restreignent nos envies !) et surtout, point de départ de mon scénario, une petite installation d’un logiciel spécial, basé sur une utilisation très détournée d’une alarme. Un choix rapide de film, c’est ce qui est le plus difficile avec le nombre de tubes X qui existe, mais j’ai mes favoris et je trouve mon bonheur et aussi quelques idées pour plus tard...
Je mets tout en place et vais me coucher près de mon chéri et de son corps brûlant.Quelques jours plus tard, je vérifie qu’il est bien à l’appartement en le contactant par visio. On discute, je le chauffe un peu (beaucoup, je sais qu’il adore mater mon décolleté et j’en joue) avant de lui parler d’une réunion qui durera uniquement dans mon imagination, car je rentre directement. Avant de rentrer, je vérifie avec mon smartphone que la merveilleuse petite webcam discrète placée en haut de la bibliothèque fonctionne bien, ce qui me permet de voir qu’il est bien devant l’écran. Je regarde alternativement ma montre et l’écran et, pile à l’instant prévu, le film se lance. Je le laisse un peu regarder, le temps qu’il soit fasciné et tendu, puis je rentre brusquement (tiens, quel hasard, j’ai huilé la serrure le matin même) en claironnant : - Chéri, j’ai pu rentrer plus tôt !
Trois secondes pour arriver dans la partie bureau, trois secondes qui ont dû le mettre en panique et :
— Mais qu’est-ce que tu fais ?— Euh tu es rentrée, ce n’est pas...—... Ce que tu crois ? C’est ce que tu allais me dire ? Je rentre toute joyeuse, car j’avais pu changer la date et j‘entendais du dépit dans ta voix, et je te trouve en érection devant un film porno.— Mais ça s’est déclenché tout seul, je te jure, je surfais et...— Et bien alors si « ça s’est déclenché tout seul » tu l’éteignais !— Mais t’es arrivée juste à ce moment !— (mode ironique ON) bien sûr, j’ai fait exprès, non, mais non, n’éteins pas, je veux voir ce que c’est comme truc.
Je m’approche de l’écran, mon petit chéri tout penaud à côté qui ne sait plus quoi dire et je continue - J’ai bien l’impression que c’est un film de lesbienne ou je me trompe ? Voyons voir, remets en avant OK « orgie lesbienne II » hé bien c’est clair. Tu fantasmais sur un duo,
— Mais non pas du tout.— Alors, dis-moi pourquoi une actrice me ressemble et que l’autre semble être le sosie de Sabrina ?— Non, ça a l’air d’être un rêve.— Tu suis bien, bon là voilà qui se caresse avec un gode maintenant. Et bien, c’est chaud.
A ce stade, je me dois de préciser que ce film qui a déjà quelques années, ce n’est pas vraiment la première fois que je le vois. La façon dont l’héroïne se caresse m’a souvent inspirée, et la ressemblance des actrices avec mes employées m’a - je dois l’avouer - excitée même si ce n’est que récemment que j’en ai vraiment pris conscience.Évidemment, vous aurez compris après cet aparté que je suis excitée, surtout devant lui qui oscille entre gène et excitation et qui ne sait pas à quelle sauce il va être mangé.
— Bon, ton film.— Mais ce n’est pas.— Bien suûuur ouiiiiiii allez admettons, n’empêche que je suis encore sous le choc, te voir, ah je ne peux pas laisser cela sans suite, hmm que faire (comme si j’avais besoin de longuement réfléchir !) ah j’ai une idée qui t’évitera de faire ce genre de choses à l’avenir ! Allez, mets-toi nu puisque tu voulais être à l’aise. Non, ne te réjouis pas, je ne vais pas te toucher et interdiction de te toucher toi aussi.
Pendant qu’il se déshabille, je vais faire de même et je passe à ma table de nuit récupérer un joli gode vibrant doré et je reviens m’asseoir, nue, dans le canapé en face du fauteuil où il est assis, nu.
— Voilà, le cadeau à la noix d’une soirée déconne entre filles qui va enfin servir (tu parles, j’ai passé un bon moment à choisir sur les sites en ligne !). Allez les mains sur les accoudoirs.
Je m’assieds, jambes largement écartées, mon entrejambe bien exposée à mon mec qui reste scotché, les yeux grands ouverts, ne s’attendant pas à vivre un film.Je commence à me caresser tout le corps, le ventre, le dessous des seins, toutes les zones que les mecs croient non érogènes et qu’ils ne font souvent qu’effleurer ; je me délecte du grain de ma peau, de sa douceur. Le gode est pour le moment posé à côté de moi et lentement, ces effleurements font monter la température. Mes tétons gonflent, se raidissent, deviennent durs, de petites gouttes de sueur apparaissent sur mes tempes, ma petite chatte s’humidifie fortement... Et mon mec bande franchement.
— Rapproche-toi, tu verras mieux ta punition (bon je doute que c’en soit une, mais le mot est l’essentiel)
Je parcours lentement l’arrondi de mes seins, testant leur fermeté, leur réaction face à la façon dont je pince les pointes, mmm, je me masse la poitrine en le regardant, le visage qui empourpre doucement, le gland qui se gorge de sève, mes mains descendent sur mes hanches, passent sur mes cuisses, remontent vers l’intérieur et frôlent le triangle moussu de mon sexe qui mouille de plus en plus.
— Mmm, je crois qu’il est temps d’utiliser ce jouet.
Je m’empare du vibro et une fois allumé, je le fais suivre le même chemin que mes mains, waouh, l’effet est franchement sympa et rajoute à mon excitation. A la sienne aussi puisqu’il en est arrivé à ce que je voulais, yeux fixés sur moi à tel point qu’un éléphant à deux mètres serait invisible.Plus je me rapproche de mon entrejambe, plus les vibrations me font de l’effet, comme une petite langue agitée de tremblements rapides. Je rapproche l’engin de mon vagin et passe doucement sur les lèvres puis prends un air dépité qui l’inquiète immédiatement.
— Mmmm pas ultra-mouillé ce truc, hé, j’oubliais que c’est une punition pour le voyeur de pornos.
Je lui tends le gode, pointe vers l’avant et lui dis d’un ton qui n’admet pas de réplique :
— Allez mouille le, prépare-le pour ta chérie.
Comme il est juste devant moi, je n’ai qu’un petit geste à faire pour mettre le gode devant sa bouche :
— Allez mouille-moi ça !
Il lèche le gode comme une glace à grands coups de langue, le regard un peu fuyant, je reprends le vibro, le fait pénétrer un peu en moi puis le lui retends en disant – Mouille-le plus, allez !Je lui pousse le gode dans la bouche et il se met à vraiment sucer sous mes encouragements. Il ne remarque pas que je ne me caresse plus vraiment, focalisée sur la façon dont il suce le gode, creusant ses joues, je le pousse en avant et rajoutant – allez suce bien, mouille-le pour moi puis le reprend et me pénètre profondément et facilement tant je suis excitée. Je me pistonne la chatte avec le gode, vibrations au maximum et l’effet est intense, ses mains sont crispées sur les accoudoirs qu’il serre avec force, ses yeux brillent d’excitation et sa queue est tendue vers moi.Je ressors le gode et n’ai même pas besoin de le pousser dans sa bouche pour qu’il le happe :
— Allez, déguste ma mouille, suce-moi ce gode, bouffe-la bien, ça t’excite mon salaud hein.
Il ne répond pas, mais ses yeux deviennent des puits sans fond tant cela l’excite, et la goutte qui perle à son gland en dit plus long que tous les discours.Je me pince un sein avec ma main libre et lui enfonce le gode dans sa bouche avec l’autre.
— Allez suce bien, à fond, putain, tu m’excites mon chéri, oui aspire bien mon jus, allez.
Je suis presque obligée de lui arracher de la bouche tant il ne sait plus où il en est et puis, je me branle avec le gode comme une folle, car, moi aussi je perds toute retenue (je n’ai aucune envie de la garder d’ailleurs !) et m’enfonce le gode sans plus aucune régularité tant je suis excitée. Je regarde ses yeux, son sexe prêt à cracher tant il coule de présperme, comme il est beau ainsi !
Les vibrations me rendent folle, ma chatte est inondée, entre deux halètements, je lui enjoins de ne pas se toucher, lui dis qu’il est puni, et finalement lâche - Voilà regarde ton film, petit pervers !
Sa queue est tendue comme un arc et j’en rajoute encore dans les dialogues crus sous prétexte que « c’est comme ça dans ton porno hein ! » entrouvre la bouche, goûte rapidement le gode moi aussi, avant de le replonger dans mes chairs roses et brûlantes, laissant couler la salive de ma bouche ouverte, je crie de plus en plus fort et finalement braille un « oh je vieeennns « du plus bel effet qui finit par l’achever, car quand je pars dans un orgasme énorme, il éjacule sans même se toucher, son sperme giclant sur mes cuisses et mon ventre me procurant un second round de plaisir.
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