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J'aime le voir...

Chapitre 7

Laurane et moi

Lesbienne
J’aime le voir... mais pas cette fois !Comme c’est désormais devenu mon habitude, j’ai entraîné mon mec dans un piège sensuel, et en ai retiré énormément de jouissance. Mais en regardant avec lui du porno lesbien, cela a réveillé en moi certains appétits...
Nota : Pour les impatients, usez de la roulette jusqu’aux étoiles******** Quelques jours ont passé après cet épisode ; quelques jours, mais surtout quelques nuits de rêveries sensuelles dans lesquels je me vois pratiquer l’amour saphique. Oh, ce ne sont pas des rêves très détaillés, car les femmes n’ont pas vraiment de visage, enfin elles en ont un, mais à chaque fois, un fin voile empêche de clairement distinguer leurs traits. Les scènes sont multiples et s’entrecroisent, mélange de films (je confesse en avoir regardé d’autres et m’être fait jouir à de multiples reprises) et d’images. Images d’inconnues croisées dans la rue, dans des magasins, d’employées, de vagues connaissances d’université...
Je me réveille chaque fois un peu plus confuse, mais aussi chaque fois plus excitée. Mon mec est content, car nos ébats sont de vraies empoignades sensuelles et sauvages.
J’en viens finalement à utiliser ma solution habituelle en pareil cas et me prends un long bain chaud et relaxant avec plein de mousse. Une fois bien immergée, je me détends et raisonne sur ce qui m’arrive. Suis-je prise à mon propre piège de fantasme ? Quelque chose de latent s’est-il réveillé ? Je dois reconnaître objectivement qu’une expérience me tente et que oui, il y a dans mon entourage des femmes qui me plaisent. Je me fais cet aveu et, comme si cela avait libéré un verrou mental, ma petite sieste rituelle d’après bain fait naître les mêmes rêves, mais, cette fois plus de voile diaphane, plus de visage estompé. Non je vois clairement Laurane, la plus timide de mes collaboratrices, jeune nerd fan de cosplay aux longs cheveux blonds. Je sais maintenant ce dont j’ai envie, il ne me reste plus qu’à savoir comment faire. Et, à l’instar de la clarté de mes rêves, la solution m’apparaît nettement.
Je me mets donc à jouer sur deux tableaux, d’abord mon mec, ce qui est finalement le plus facile, alterner entre la culpabilité que j’ai fait naître chez lui et le plaisir que je peux provoquer. Je joue les effarouchées devant les désirs qu’il a fait naître à cause de ses films puisque nous en avons visionné d’autres, je lui fais miroiter les plaisirs qu’il pourrait en retirer jusqu’à ce qu’il en salive, puis je le désarçonne en jouant les timides et en lui demandant de ne pas être présent, que c’est sa faute si je suis troublée de tout cela. Le pauvre ne sait plus vraiment à quel saint (j’ai failli écrire sein évidemment) se vouer et je me régale de son désarroi si excitant, car il en rajoute dans l’escalade sensuelle pour me faire plaisir.
Le second axe de mes efforts porte sur Laurane. Oh, je rassure mes lecteurs & lectrices les plus romantiques, je ne suis pas que guidée par l’envie ou le goût de la luxure. Depuis que je me suis avoué mon désir, depuis que j’ai enlevé les œillères d’une certaine morale, ce ne sont pas que des sentiments amicaux que j’ai pour elle. J’ai dans ma quête quelques avantages, je sais qu’elle vit seule, qu’elle n’a que peu d’amis, sort peu en dehors des conventions de série télé et des visites régulières dans les musées. Nos discussions au travail, m’ont fait connaître ses centres d’intérêt qui se rapprochent d’ailleurs souvent des miens. Sans que cela soit trop voyant, je multiplie les passages dans son bureau tout en prenant garde à agir de même avec les autres. Profitant de l’absence de Sabrina, notre autre collègue, je déjeune plusieurs fois avec elle et sous prétexte de billets gagnés à la radio, je l’invite à visiter deux salons d’art avec moi.
J’avoue y prendre énormément d’attrait, beaucoup par la découverte d’artistes qui sont de vraies pépites avec de très belles œuvres, mais aussi et surtout par la complicité qui se renforce entre elle et moi.
Nos échanges dépassent le cadre professionnel et ses commentaires artistiques sont toujours très pertinents.Bon, revenons au sujet, nous ne sommes pas dans la Pléiade après tout. Donc je procède par petites touches, par de petits frôlements " accidentels", des rires tactiles, un enthousiasme certain dans mes bises et mes petites étreintes amicales. Ses petites gouttes de sueur, ses gestes nerveux à remonter ses cheveux, ses regards qui durent, des discussions "entre filles" qui dérivent un peu... Lentement, mes filets sont posés, mes regards plus lourds. Je la sens toujours plus troublée et c’est avec délectation que je revis les affres des époques lycéennes. Mais cette fois, j’ai bien plus d’expérience, j’ai bien appris mes leçons et je sais (un peu) mener ma barque parmi les affres de l’amour.
Quand elle commence à vraiment se confier à moi, sur sa solitude, ses rêves et ses espoirs, quand elle insiste sur le fait qu’elle se sent parfois différente, je sais qu’il est temps d’aller voir un film avec elle.
J’ai toujours aimé les salles obscures, l’ambiance, l’attente avant le film, le grand écran et le son qui nous envahit de partout. Le film de SF que nous avons choisies a un arrière-plan un peu horrifique, bon prétexte pour se retrouver " par mégarde" épaule contre épaule puis se remettre d’aplomb en s’en rendant compte... chaque fois plus tard. Des scènes romantiques arrivent aussi et allègent l’ambiance sans parler du fait que cette fois, nos épaules restent collées et que nos mains se touchent de plus en plus. Et moi, j’entends de moins en moins le film. Ce que j’entends parfaitement par contre ce sont les battements de son cœur de plus en plus rapides, de plus en plus forts. J’ai l’impression d’être devenue une créature surnaturelle douée de facultés auditives non humaines tant je ressens tout ce qui se dégage d’elle. Ma cuisse vient se coller à la sienne et sa respiration et son cœur qui s’emballent font que lentement, très délicatement même, je pose ma main sur sa cuisse.
Je ne prête plus guère attention au film qui paraissait prometteur d’ailleurs, mais dont je serais désormais bien incapable de restituer l’histoire. La seconde qui s’écoule alors et qui parait comme dans les romances " durer une éternité " voit la main fine de Laurane se poser sur la mienne.
Nous restons ainsi comme figées durant de longues minutes et quand j’ai l’impression que ma main va prendre feu, je me tourne vers elle et rencontre son regard brillant. Nos têtes se rapprochent et nos lèvres viennent sceller l’offrande de notre rencontre. J’ai complètement oublié que j’avais choisi la rangée de l’arrière, mais heureusement que je l’ai fait, car notre baiser dure longtemps, très longtemps, tout en délicatesse et en douceur, je ne le décrirai pas plus, car cela restera quoi qu’il advienne Notre moment.
Le film est complètement oublié et c’est le générique de fin et sa musique assourdissante qui nous fait nous séparer avant que les lumières ne s’allument. On se regarde toutes les deux, un peu confuses, un peu tendues, comme si la lumière nous avait révélées. Puis, on se sourit, ravies de voir sur le visage de l’autre, le même sourire, les mêmes yeux brillants de joie et osons le dire de tendresse.
J’avais un peu prévu un autre scénario, mais moi aussi mon cœur bat follement et lentement, en savourant la marche, nous nous dirigeons vers son petit appartement. Ces quelques instants sont comme un ailleurs, comme hors du temps. Je n’étais jamais allée chez elle, juste déposée ou, comme ce matin, cherchée au pied de l’immeuble.
Dans l’escalier, on ne résiste pas à un nouveau baiser et on monte rapidement en riant.
Une fois la porte de son logis franchie et surtout refermée derrière nous, nous reprenons notre baiser torride, que nous interrompons au même moment pour lâcher chacune « je n’ai jamais... »On ne va pas au bout de notre phrase, chacune a compris dans ce début d’aveu que c’est la première fois que nous avons une relation saphique. Ces quelques semaines de tensions, de frôlements, de séduction douce trouvent leur achèvement dans notre baiser. Collées, quasiment imbriquées, l’une dans l’autre, nos langues ont entamé un ballet fou qui me rend toute chose. Et quand je reprends mon souffle, totalement hors d’haleine, je constate qu’il en va de même pour Laurane.
Ses pupilles sont dilatées comme si elle avait pris du peyotl ou d’autres substances et je sais qu’elle voit la même chose chez moi. On se sourit avec le même air coquin, jetant tous nos préjugés, toutes nos retenues au loin et, tout en s’embrassant encore et encore, on avance dans une espèce de danse du crabe désordonnée ou, à chaque pas un vêtement tombe. Nos chaussures, une jupe qui se dégrafe, une autre qui manque me faire trébucher. Je me recule et la découvre dans un superbe ensemble de lingerie vieux rose en dentelle de qualité qui s’harmonise à merveille à sa peau dorée.
Ma lingerie est fort jolie, mais je découvre à l’aune de ce que je vois que ce doit être le péché mignon de Laurane qui profitant de mon air époustouflé m’attire dans sa chambre. Chambre, que, tout comme le reste du logis je suis incapable de décrire alors que mazette son décolleté superbe, ce soutien-gorge qui met en valeur sa superbe poitrine, ce tanga qui remonte haut sur les cuisses dorées...
Je me retrouve je ne sais comment dans son lit, le temps est soudain ralenti et nous sommes l’une en face de l’autre, assise en tailleur à nous observer. Ses yeux pétillants, son sourire, ses longs cheveux blonds qui encadrent sa poitrine opulente, son ventre plat...Elle me regarde et moi, si pétrie de certitudes j’espère lui plaire.
— Comme tu es belle !
Encore une fois, nous rions, car la phrase a été prononcée quasi en même temps et elle enlève tout stress, libérant ainsi nos pulsions************************************Je défais mon soutien-gorge, libérant mes seins déjà tendus par le désir, elle tend les mains et caresse ma poitrine, un sourire coquin aux lèvres, de la pointe des ongles, elle titille mes tétons durcis et c’est délicieux.
— J’aime me faire cela, alors j’imagine que cela te plaît.— Oh bon sang oui, tu es douée.
Elle continue ses effleurements, traçant un chemin sensuel avec la pointe de ses doigts, soupesant mes seins, s’extasient sur la douceur de la peau, je la regarde, déjà haletante, les lèvres entrouvertes.
Ses mains passent sur mes épaules, mes hanches, reviennent à mes seins, elle se penche et vient les embrasser, je ferme les yeux sous l’afflux de plaisir, c’est différent de mon mec et de toutes les autres expériences, plus sensuelles, et en même temps savoir que c’est une femme, que c’est Laurane me rend toute chose. Elle picore tout le haut de mon corps de baisers légers, de petits coups de langue, elle mordille mon cou telle une succube. Marmonnant quelques mots sur son désir, ses envies refrénées...
Enfin, alors que j’étais au bord de l’explosion rien qu’avec ce qu’elle me fait, elle se recule, tout aussi empourprée que moi et, me regardant dans les yeux, dégrafe enfin, son soutif, Je m’en prends plein les mirettes, ses beaux seins lourds pointent vers moi et, à mon tour, je caresse, je palpe, je hume, je lèche. Je suis un peu plus sauvage, l’attente m’ayant sacrément excitée. De temps en temps, nous échangeons des baisers ; baisers qui se transforment de plus en plus en coups de langue sauvage, tant la tension monte entre nous, tant nous ne sommes plus aptes à résister, à aller lentement.
Je reprends un peu le dessus, en la poussant en arrière, la contemplant allongée, puis lui enlève sa petite culotte dévoilant un petit triangle blond qui laisse clairement voir ses lèvres gonflées et déjà suintantes de liqueur féminine. Je ne puis résister et, toute appréhension envolée, je vais la lécher, dégustant sa mouille au goût de pêche (de pécher aussi). Ma soif de luxure un peu étanchée, je déguste plus lentement, taquinant son clitoris dressé, pinçant délicatement ses lèvres entre les miennes, lapant pour récolter la mouille dont elle me gratifie en abondance avant d’échanger un baiser chargé d’effluves érotiques.
A mon tour, je stoppe juste avant que je ne la sente partir au vu de la tension de son corps parfait, de ses gémissements éloquents et excitants.Elle me débarrasse rapidement de ma culotte de dentelle, regarde mon corps offert, comme si elle voulait s’imprégner de cette vision et, sous son regard brûlant je me sens belle et offerte en toute liberté. Puis elle me montre bien sa main droite, me laissant voir deux longs doigts, j’ai le temps de me demander comme une personne si fine peut avoir de si longs doigts puis elle plonge vers mon triangle et parcourt les doux reliefs de ma petite chatte avant de me pistonner rapidement et profondément, car moi aussi je suis totalement trempée. Soudain, après de longs instants pendant lesquels tout mon corps s’arque et que je gémis comme une petite chienne en chaleur, elle se redresse et, me regardant dans les yeux, lèche lentement ses doigts brillants de sucs. Comme elle est sexy !
Sans avoir besoin de parler, nous nous mettons en 69, j’adore la sensation de son corps sur moi, ses seins lourds sur les miens, sa peau brûlante, sa... mmmm bon sang... sa langue qui parcourt mon intimité, ses mains sur mes fesses. Ma langue parcourt sa petite chatte de blonde de haut en bas, sa mouille coule dans ma bouche, sur mes joues, mon cou et cette petite coquine me rend la pareille avec les intérêts en plus.
Elle alterne douceur et petite violence comme si elle savait, comme si elle lisait en moi et me laisse sur la crête. Je caresse moi aussi ses petites fesses fermes, sentant la sueur sur son dos, sentant les battements de son cœur qui gagnent en rythme, tambour sensuel qui rythme mon plaisir.
Sa langue est diabolique et je me sens monter, monter, je lèche, lèche encore, tentant de résister à cette vague énorme qui prend naissance au plus profond de moi et, quand elle darde toute sa langue en moi comme si elle voulait m’aspirer en jouant les succubes, je ne puis plus résister et je jouis.
Ma jouissance déclenche la sienne et dans un cri commun, nous exprimons notre plaisir ...
Quelques secondes de respiration saccadée, un rapide demi-tour et elle se vautre sur moi pour que nous partagions nos plaisirs en jouant de nos langues tout en flottant dans un nuage de plaisir.
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