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Chapitre 8

nous servir le dessert

Hétéro
Résumé : Comme c’est désormais devenu mon habitude, j’ai entraîné mon mec dans un piège sensuel, mais ce nouveau piège qui m’a fait découvrir l’amour lesbien avec Laurane, mon employée, génère désormais d’autres questions...
Alanguie, je contemple Laurane, enfin épuisée après plusieurs heures d’amour sensuel. Je ne dois qu’à mon entraînement de coureuse de fond de ne pas avoir cédé avant elle au sommeil. Je n’avais pas trop de plans avant cette rencontre ou plutôt j’en avais plusieurs, mais je n’avais pas compris que j’étais vraiment amoureuse. J‘étais peut-être un peu trop égoïste ces derniers temps, et maintenant, je me retrouve dans un vaudeville. Mais un vaudeville moderne où les sexes des partenaires ne sont plus les mêmes que dans les pièces de Feydeau !
Maîtresse du jeu il y a quelque temps, je suis désormais entre deux amours, entre deux personnes et ce retour de boomerang du destin me fait sacrément gamberger. Que faire, que dire quand on aime les deux ? Tout en sombrant à mon tour, ma dernière pensée cohérente est l’espoir que les bras de Morphée seront peut-être un cocon pour trouver une solution.
Quelques heures plus tard, alors que je roule tranquillement vers notre chez-moi, je me dis que la seule chose que m’a apportée le repos était d’être en forme pour un nouveau round avec Laurane ! Et je ne sais toujours pas comment tout cela va évoluer. Mais je ne suis pas une battante pour rien, j’ai créé mon entreprise, fait évoluer ma vie, je saurais aussi maîtriser tout cela.,
Pour me détendre quand je rentre, je saute sur mon mec qui était en train de bosser en télétravail et lui fais une magnifique fellation. En deux temps trois mouvements, je le fais jouir dans ma bouche et vais partager son sperme avec lui dans un long baiser voluptueux et sensuel.
Détendue, je lui annonce de but en blanc qu’à cause de lui, j’ai couché avec Laurane et que nous allons régler sa faute plus tard. Encore «vidé» et sous le choc, il ne pipe mot (elle était facile je le reconnais !) quand je lui annonce qu’il a intérêt à être en forme pour expier sa faute. Guillerette, je repars au travail après un agréable passage par la case salle de bains où en récompense (souffler le froid et le chaud, vous vous souvenez les filles) je l’ai laissé me regarder pour s’exciter.
En fin d’après-midi, après une longue journée de travail, je finis par une petite pause avec mon équipe puis sous prétexte d’un dossier supplémentaire, je retiens Laurane. Les autres la plaignent un peu en partant, ah s’ils savaient !
Une fois seules, je la serre dans mes bras et nous échangeons un long baiser très tendre. Ensuite allongées serrées sur mon canapé, nous échangeons ces petites paroles qui soudent les couples. Lentement, je lui fais part de mon amour et en même temps de mon désarroi, tiraillée entre deux amours. Je dois avouer à ce stade de mon récit que, lors de son passage chez nous deux mois plus tôt, je n’avais pas seulement remarqué que mon mec flashait sur les seins de Laurane, mais qu’elle aussi semblait très troublée par lui, il faut reconnaître qu’il est très beau dans son genre.
Aussi comme je l’espérais, elle comprend ma tension, de surcroît pour toutes les deux, il s’agit de notre première rencontre lesbienne et elle en vient même à me plaindre un peu de ma situation. Elle confesse que, même si elle a eu peu d’hommes dans sa vie, elle a quand même aimé caresser un corps masculin. Je la pousse dans ses confessions et elle lâche dans un aveu (encouragée par mes caresses) que ce qui l’excitait, c’était quand elle faisait jouir l’homme, « quand je le dominais un peu quoi». Comme c’est chou quand elle craint de m’avoir choquée, je la rassure et pour la tranquilliser, je lui avoue mon attrait pour ce genre de jeux et ma pratique sur mon mec.
J’ai donc peu de mal alors à l’inviter pour le soir, même histoire de se « détendre »Une fois chez nous, je prends le temps de me pomponner sous le regard excité de mon petit ami. Me voir enfiler des bas fumés, un porte-jarretelles et un corset blanc rehaussé de dentelle le met dans tous ses états, mais je lui rappelle fermement que cette situation lui est entièrement due ; dame, n’est-ce pas lui qui regardait un film lesbien et a fait naître malgré moi ce genre de pulsions !Alors je lui enjoins de rester sage et que s’il le reste, il aura peut-être droit à un peu d’amusement.
— Même si tu ne le mérites pas vraiment, tu es bien d’accord n’est-ce pas.— Euh oui.— Euh ?— Oui, oui.
Cela sonne à la porte et quand je vais ouvrir, je me trouve face à une Laurane superbe, très féminine sans ses atours habituels de geek. Elle me sourit et nous nous embrassons langoureusement dans le couloir pendant que mon mec debout à côté de nous reçoit son manteau et son sac à main.
Je ressens un certain plaisir à le voir planté là, les yeux qui lui sortent de la tête à voir nos langues se mélanger. J’en rajoute dans les soupirs et les gémissements et son teint vire au rouge brique.
On s’installe finalement tous les trois autour de la table et le repas, ma foi se déroule dans une excellente ambiance, détendue, à évoquer nos vacances, échanger des anecdotes bref à nous découvrir. Laurane est sous le charme d’une conversation spirituelle et je me réjouis de la situation.
Pour le dessert, je propose une petite surprise à la jeune femme et quand je reviens de la cuisine où j’ai préparé des bananes flambées au rhum, la surprise, ce n’est pas tellement les flammes bleutées, mais bien le fait que je sois uniquement en lingerie. Les deux sont un peu scotchés et l’ambiance se fait plus lourde, plus capiteuse.
Laurane réagit comme je l’espérais et sous prétexte de se repoudrer le nez, revient un court instant plus tard, juste vêtue d’un sublime body en dentelle vert sombre soyeux et irisé, mais surtout très échancré, complété par de sombres bas autofixants.
Je la complimente sur sa superbe lingerie et elle me confesse que cela a toujours été son péché mignon.
— C’est bien différent de mon attitude geek avoue hein ?— Oh, oui, c’est très excitant. Et me tournant vers mon petit ami, je rajoute – bandant même pour certains. Tiens, tu vas nous servir le dessert, allez.
Il s’exécute et nous sert les bananes à la petite cuillère, bouchée après bouchée, la sensation est divine, se faire servir comme des reines, regarder l’autre goûter du bout de la langue le fruit chargé en alcool et en saveurs. Surtout que, d’un accord tacite, nous suçons la petite cuillère et son contenu en regardant notre chevalier servant devenir toujours plus tendu. Je lui ai en effet demandé de se mettre nu et sa verge est bien dressée devant nous. Il va de l’une à l’autre pour nous servir et à chaque fois, d’un geste délicat (ou plus fort), je tapote son sexe tendu, comme en jouant. Il geint de plus en plus souvent et Laurane et moi échangeons des plaisanteries sur son état d’excitation.
Est-ce l’alcool, la tension, l’état d’esprit chargé d’érotisme de la soirée ?Toujours est-il qu’elle aussi s’amuse avec son sexe, à en tapoter le bout, frotter d’un doigt le gland cramoisi où perlent des gouttes translucides.Je sens l’escalade entre nous et mon entrejambe s’humidifie à vitesse grand V. Je le masturbe délicatement avec le O formé par mon pouce et mon index ; elle soupèse ses bourses pleines ; je branle à toute vitesse sa queue humide ; elle tire la peau vers le bas et serre le bas de son engin ; je titille le gland avec mon ongle ; elle caresse délicatement les burnes puis les serre plus fort, le faisant gémir ; je lèche la tige, et elle embouche le gland et pompe avec force.
Il commence à tressauter et je stoppe en disant.
— Il ne faudrait quand même pas qu’il ait trop de plaisir n’est-ce pas ?— Tu as raison, j’ai cru comprendre qu’il était un peu trop obsédé.— Oui, mais on va lui demander de se calmer. Allez chéri, caresse-toi, on va pas tout le temps nous occuper de toi.
En disant cela, je pose le dessert devant lui et vais me poster derrière la jeune femme, lui enserrant la poitrine de mes bras et lui picorant le cou de baisers.Il se caresse devant nous, le poing crispé sur sa queue et s’agite de haut en bas à toute vitesse, excité comme un collégien devant son premier porno. Il faut dire qu’il y a de quoi, cela fait bien une demi-heure que nous lui taquinons le sexe et que nos tenues affriolantes le rendent fou.Je sens la délicate dentelle sous mes bras et, ne pouvant résister, vient empaumer les seins opulents de Laurane. Opulents et durs, le téton tendu et je les serre entre mes doigts tout en regardant notre serveur particulier se donner du plaisir.
— Je crois qu’on va bientôt avoir de la chantilly sur les bananes, tu ne crois pas ?— Oui, il semble à point, oh comme tu me gâtes, voir cela c’est si excitant.— Tu mouilles bien ?— Énormément, je vis un fantasme. Je peux le ?— Oui, tu peux le guider, l’encourager.
Et Laurane de le pousser à accélérer, puis a ralentir un peu, puis a reprendre plus fort.Je la sens toute chose et je suis dans le même état, car moi aussi je vis mon fantasme.Enfin, tout le corps de notre homme se crispe, ses muscles sont saillants, ses hanches font des a coups vers l’avant qu’il ne peut plus contrôler et il finit par jouir à longs traits sur la dernière banane restante.
— Comme c’est beau ! fait notre invitée, comme c’est excitant de diriger sa jouissance, il avait une sacrée envie.— C’est toi qui as su apporter une excitation supplémentaire ma chérie, regarde toute la crème.
Effectivement, il a eu la main lourde si je puis dire, car plusieurs jets de sperme sont venus recouvrir la banane, comme des traînées blanches décoratives qui me mettent l’eau à la bouche.Je me lève, prends une petite cuillère, la plonge dans le dessert pervers et en déguste une bouchée avec un soupir d’extase en les regardant avec un air destiné à leur faire bouillir le sang. Ils me regardent tous deux, soufflés.Je me ressers puis leur présente la cuillère en disant d’une voix rauque d’excitation :— Qui veut goûter ?
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