Résumé. Après avoir découvert les joies de diriger mon mec, j’ai découvert l’amour lesbien avec Laurane, mon employée, et enfin la joie de diriger les deux. Mais le jeu ne s’arrête pas...
Je les regarde, lui et Laurane, tous les deux le visage levé vers moi avec un air d’adoration totale, ivres de plaisir après cette jouissance si intense. Je n’ai plus besoin de faire des plans un peu tordus pour les amener à faire ce dont j’ai envie (je l’avoue, cela me manque quelque part), j’ai juste à leur dire quoi faire. Et ce rôle me plaît énormément ! J’ai encore plein d’idées qui n’ont qu’un seul but, nous donner toujours plus de plaisir.Mon mec est un peu out après deux jouissances (sans compter celles d’hier soir) et Laurane encore un peu sonnée de son orgasme. J’ai ressenti énormément de plaisir à les voir, mais je n’ai pas encore joui comme je voulais. Je réfléchis deux secondes et puis enjoins à la jeune femme de me donner l’objet qui se trouve dans le second tiroir de ma table de chevet. C’est à dessein que je le lui demande, car l’expression qu’elle arbore quand elle découvre le gode ceinture vaut son pensant d’or. J’ai commandé ce jouet avec délectation en passant un bon moment sur les sites de vente en ligne, c’est dingue tout ce qu’on peut trouver et qui est dévolu au plaisir. J’ai choisi un modèle en silicone violet, pas trop ressemblant à une vraie verge et dans la moyenne de la taille, histoire de s’amuser simplement. Je me harnache rapidement et me retrouve devant eux, affublée de ce sexe factice, mais qui ne faiblira jamais. J’ai choisi un modèle qui a une espèce de renfoncement dessous qui frotte directement sur mon clitoris, les avis garantissaient l’orgasme et lors de mon premier essai seule, j’ai effectivement ressenti de bonnes sensations. J’attendais donc avec impatience une première expérience. Les deux se sont remis à genoux devant moi, l’un à côté de l’autre, et je les fixe en mode dominatrice, déjà bien excitée alors que nous n’avons même pas encore commencé le jeu.Je m’amuse quelques secondes à tapoter leurs joues avec ma fausse queue (je confesse l’influence du porno dont je suis consommatrice) et la façon dont leurs bouches tentent de la happer au passage m’excite terriblement. Je me fais sucer à tour de rôle puis par les deux, ressentant l’excitation d’un mec quand il se fait faire une double pipe. Surtout que s’y rajoute le regard de Laurane vers mon mec quand il me suce avec un air concentré, il est indéniable que cela l’excite un max et je note avec joie que si elle se caresse, elle a, d’elle-même saisi le sexe de mon (notre ?) mec pour le caresser. Je me régale de les voir faire et ma petite chatte commence à se liquéfier sous l’excitation. J’ai envie de me défouler face à tant d’émotions et je leur demande de se mettre en 69 pour se préparer pendant que je les filme un peu, histoire d’avoir une trace pour les longues soirées d’hiver. Je me sens une âme de réalisatrice en les dirigeant, et ils réagissent à mes consignes comme des acteurs chevronnés tant ils ont envie de me faire plaisir. — Allez lèche-le bien, allez rends-lui la pareille, tu va voir, tu va aimer te faire prendre ! Et je rajoute encore - Ne me fais pas honte en discutant. Il ne se rebelle pas, ayant pris goût à quelques caresses anales lors de nos jeux et surtout si désireux de me faire plaisir.J’alterne entre gros plans et plans larges comme on dit et même si je ne suis pas une experte, cela me semble pas mal.
Finalement, les sentant prêts, je le fais se mettre fesses tendues vers moi et après avoir enjoint à Laurane de lui écarter les fesses, je pénètre pour la première fois le cul de mon mec. Je manque jouir en avançant ma fausse queue en lui, ses gémissements, l’air halluciné de Laurane devant l’anus qui s’écarte lentement... Je rajoute encore à mon excitation en la faisant cracher sur ma queue mmmm avant de prendre doucement un petit «rythme de croisière » dans ma pénétration, avançant chaque fois un peu plus loin. Je commence à sérieusement m’exciter et ne me freine plus vraiment ni dans les attitudes ni dans le verbiage en m’adressant à ma complice. — Goûte sa queue et roule-moi une pelle petite chienne ! Elle happe le plastique qu’elle déguste sans réfléchir puis vient me rouler une pelle bien chaude, bien salope qui rajoute encore à ma tension.Je commence à bien bourrer mon mec sous ses gémissements toujours plus forts et les encouragements de Laurane. C’est une douce musique à mes oreilles et la vague monte en moi. Mais je ne veux pas y céder trop vite et après une dernière poussée qui le fait presque avancer d’un coup vers la tête de lit, je les fais échanger leurs rôles. Il utilise la cyprine qui coule à flots pour préparer son anus et à son tour écarte les petites fesses de Laurane pour que je la prenne par derrière. Les deux n’ont jamais été pris analement et c’est un régal mental de me dire que je les dépucelle par là.Bien préparée, je la pénètre plus facilement que lui, il est vrai qu’elle a bien vu que ce n’était que du plaisir et que, de plus, il lui caresse le clito pendant que je m’enfonce en elle.Bientôt, sa corolle est entièrement écartée et je viens me coller contre son petit cul. Je reste ainsi pendant un moment et je la sens trembler de tout son corps, j’en rajoute dans le verbal en lui demandant si elle aime se faire sodomiser. — Oui, oh oui, c’est, c’est différent et en même temps, c’est bon, et vos caresses, oh le pieeeeed.— Tu en veux encore ? Tu veux te faire bourrer ton petit cul ?— Oui, tout ce que tu voudras.— Tu es vraiment une petite salope hein ? Te faire prendre le cul par moi devant notre homme ?— mmmm mmmm.— Répète, je n’ai pas entendu, tu es quoi ?— Une petite salope, une... une.— Dis-le !— Une une enculée, je suis une enculée.— Encore ! Elle répète la phrase pour mon, non, notre plus grand plaisir, puisque mon mec savoure ce concerto tout en étant aux premières loges. C’est délicieux, pervers, excitant et quand j’alterne entre le petit cul de Laurane et la bouche de mon mec qui vient ensuite m’embrasser, je grimpe de plus en plus sur la vague. Je donne de grands coups de reins, la petite protubérance frotte sur mon clito et ma mouille coule à flots tant je suis excitée. Je me retiens encore une fois, ressors, place mon mec sous Laurane, juste au bon endroit pour qu’il lui lèche sa petite chatte pendant que je la reprends par derrière. Elle est penchée en avant et entre deux halètements, le pompe ou joue avec sa queue de nouveau tendue. Je la tiens aux hanches et me lâche complètement, prenant juste le temps de parfois pénétrer comme une sauvage la bouche de notre mec, je me perds dans un délire, je crois même que je crache sur ma queue pendant qu’il la lèche, dégustant ainsi un cocktail pervers. Laurane n’est plus qu’un long cri de plaisir, un feulement rauque auquel répondent les halètements de notre homme et, enfin, face à l’afflux de sensations, le long cri de ma jouissance. J’ai l’impression d’être un peu dans les vapes, tous les muscles tendus quand je m’allonge. Je les fixe, Laurane rouge, échevelée après sa première jouissance anale, lui le sexe tendu et dur, la bouche brillante de nos jus et puis je leur dis dans un souffle.— Préparez-vous, je rêve d’une double pénétration...
