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Air hostess

Chapitre 2

SM / Fétichisme
Mission Demoniaque.
Fran?oise, sortie du m?tro, hume l’air empuanti par les ?chappements et gagne le boulevard Bonnes Nouvelles. Une foule dense l’entoure qui la distrait de ses pens?es. Depuis son enl?vement en Syrie et sa miraculeuse ?vasion (Voir AIRHOSTES disponible sur la B.B.S) elle se repose dans sa maison de la chauss?e d’Antin, Elle a gard? pr?s d’elle son ins?parable Shannah, tous les jours un peu plus parisienne, dont les go?ts raffin?s se mod?lent sur les siens, et la tr?s utile Souria, toujours souriante qui se charge de cuisiner et de dorloter son nourrisson. Depuis deux mois, en convalescence apr?s l’?pisode dramatique de Syrie, Air-france ne lui a plus confi? aucune t?che. Mais ce matin, elle a re?u une carte de l’Oncle Gabriel qui s’inqui?te de sa sant?. On ne r?siste pas ? Tonton Gabriel. A chaque escale, Fran?oise lui envoie une petite carte illustr?e ? laquelle, il ne manque pas de r?pondre. Elle atteint rapidement le comptoir d’Import-Export, et le concierge dans le Hall la salue avec le sourire, tandis qu’elle p?n?tre dans le secr?tariat. Elle s’adresse ? Mademoiselle Rose, quinquag?naire ? lunettes dont la t?te d?passe du comptoir d’acajou,’ Je viens voir mon Oncle.’ ’Il vous attend, Fran?oise.’ et d’un doigt exerc? elle appuie sur un bouton invisible sous la tablette. La porte derri?re la secr?taire donne acc?s ? des toilettes un peu vieillottes, en marbre et en ch?ne vernis. Fran?oise, sans h?siter, saisit le porte serviette et le tord vers le plafond. Tout le panneau, lavabo compris, pivote sur son axe et d?voile un long couloir parquet? qui bient’t couvert de moquette s’?loigne, ?clair? d’un lumi?re tamis?e. Un ascenseur la conduit au cinqui?me ?tage au bureau des op?rations. La secr?taire personnelle du Boss la gratifie d’un solide SHAKE-HAND ’Comment allez-vous Anne?’. En franchissant le porte secr?te, Fran?oise a retrouv? son identit?: Anne de Neubourg, capitaine de l’Arm?e fran?aise, attach?e aux services sp?ciaux. Le colonel Vidalain, dit l’Oncle Gabriel la re?oit avec effusion. Une mission importante lui est r?serv?e. Profitant d’un Congr?s international du personnel navigant, Anne-Fran?oise doit repr?senter la France mais aussi nouer des contacts ?troits avec des milieux d’affaires proches des compagnies am?ricaines, mais li?s ?galement au show-business. Des cr?dits importants sont ? sa disposition ? N-Y et en Californie. Pour assurer sa couverture, Fran?oise voyagera avec ses deux amies et le b?b? m?tis de la noire Souria.
Dans un beuglement de col?re, le Concorde s’arrache ? la piste et fonce vers le z?nith, puis apr?s avoir accompli une parabole parfaite, il trouve son altitude pr?f?r?e et le cap sur New-York. Enfonc?es dans les profonds fauteuils, Shannah et Souria se taisent, impressionn?es par le fracas des moteurs. En grande conversation avec une h’tesse, Fran?oise lit la liste des passagers, elle sait qu’il est important de nouer un contact avec le s?nateur Brown qui occupe ? lui seul une rang?e de si?ges r?serv?s. Tr?s puissant personnage, aussi influent au S?nat, que dans le conseil d’Administration de plusieurs banques, il serait dit-on le conseiller secret de la maffia, tr?s amateur de jolies femmes, avocat des producteurs de films ? succ?s. En entrant dans la cabine, il a jet? un regard perspicace sur les deux amies de Fran?oise et lorsque celle-ci gagne le petit bar, il se l?ve et vient ? son tour demander une coupe de champagne. Fran?oise l?ve les yeux et son regard suffit ? faire dispara?tre la stewardes. Le S?nateur se lance ? l’abordage en fran?ais, preuve qu’il s’est renseign? sur l’identit? des passag?res. ’Je suis tr?s heureux de voyager dans ce Concorde, puisqu’il me donne l’occasion de contempler la jolie Fran?oise, l’h’tesse de l’Air dont l’enl?vement ? bouleverser la France et aussi l’Am?rique. Je vois que ces p?rip?ties n’ont pas nuis ? votre beaut?. Vous ?tes plus belle que jamais’. Notre amie lui r?pond en anglais qu’elle est tr?s heureuse de rencontrer un homme aussi c?l?bre en France qu’en Am?rique. Et que son jugement lui fait grand plaisir venant d’un connaisseur qui avait ?t? le mari de plusieurs beaut?s am?ricaines.’ Brown d’un geste qui parait anodin, ferme la porte du bar derri?re lui. ’L’ op?ration Brown d?bute ? 15h27’, d?clare mentalement Fran?oise, tandis que le s?nateur la saisissant par le bras, l’a fait virevolter devant lui comme pour mieux appr?cier sa taille fine et ses hanches de r?ve. Comme elle ne r?siste pas ? cette traction, il l’attire vers lui . Feignant de glisser, Fran?oise tombe dans ses bras et sa bouche ouverte dans un cri de stup?faction bien imit?, s’?crasa sur la sienne. Un long baiser les r?unit, enlac?s. A travers la fine chemise de soie du parlementaire milliardaire, elle sent l’humidit? de son torse mouill? de sueur. Il fait tr?s chaud dans ce petit r?duit. M?l? au parfum de son eau de toilette, elle per?oit son odeur corporelle puissante qui ?voque des ?treintes id?ales. ’Je mouille’ se dit-elle, ’il va sentir mon d?sir, comme je per?ois le sien’. Le solide quadrag?naire la tient fermement par la taille de la main gauche, la droite appuy?e sur la poitrine de notre h?ro?ne ferme la prise et ?value discr?tement l’?lasticit? du soutien-gorge. Il presse son bas-ventre contre le sien et elle sent, sous le fin tissus de cachemire du pantalon, achet? ? Londres et adapt? au climat californien, qu’elle ne le laisse pas indiff?rent. Fran?oise, par pudeur, tente de r?agir, mais son temp?rament et sa mlssion se compl?tent pour faire ?chouer sa r?sistance. Le milliardaire la tra?ne dans le couloir et gagne la porte des toilettes. Il ferme le verrou et assied Fran?oise sur le lavabo. En se d?battant sous la poigne ?nergique du s?nateur, elle perd ses souliers. Il ?carte les jambes de notre h’tesse, en poussant en avant son ventre comme un bulldozer. Fran?oise respire bruyamment, sa poitrine se soul?ve, son parfum favori s’?vade du d?collet? et fouette les sens du milliardaire excit?. Glissant la main sous la jupe du deux pi?ces de soie sauvage, il atteint la ceinture du slip et le tire sur les cuisses. Notre h’tesse en perdant la protection de sa culotte, semble soulag?e, lib?r?e de toutes contraintes, elle livre son entrejambes ? la main fourrageuse du m?le qui sans attendre, investit le clitoris, ?carte les l?vres et pointe son index dans la vulve. Fran?oise soul?ve son bassin et porte son ventre ? la rencontre du doigt dispensateur de volupt?s. Sans un mot, Brown, la conduit dans un W.-C.. et avec son aide, laisse tomber son pantalon et son slip, s’assied sur le si?ge et l’attire ? califourchon sur son sexe dress?. Fran?oise se plante sur le p?nis et s’?tonne de sa faible longueur. Le s?nateur se tr?mousse, la sueur coule sur son visage h?l? de play-boy prolong?. La vivacit? de sa verge et sa grosseur rach?te son c’t? d?risoire, Fran?oise ne tarde pas ? jouir, elle mouille abondamment et la cyprine coule ? flot sur les couilles du parlementaire avant de tomber goutte ? goutte dans le vase du W.-C.. Le bruit d’eau excite le s?nateur .’ Oh! oui, j’aime ??, pisse sur moi. Je veux sentir ton urine couler sur mes couilles’. Fran?oise sourit, malgr? la jouissance qui monte, elle ?prouve un besoin pressant d’uriner et sous la pri?re du californien, elle lib?re sa vessie, le p?nis fr?tille, toujours engag? dans son sexe. Sous le flot br?lant qui mouille le poil de son pubis et inonde ses testicules, le quinquag?naire ne peut plus se retenir, il jouit et les palpitations de sa bite entra?nent l’orgasme de Fran?oise, qui perd sa cyprine et son urine confondues. Longtemps, ils restent immobiles dans le r?duit, sentant la jouissance se retirer et le sexe de l’homme se ratatiner dans le r?ceptacle de sa partenaire. Ensuite, tr?s excit?, le parlementaire d’une langue exp?riment?e tient ? nettoyer toutes traces d’urine sur le corps de sa partenaire. L?chant tous les replis et s’enivrant du go?t et de l’odeur d’urine. Rhabill?s et apparemment tr?s corrects, ils retournent vers les fauteuils. ’Comment savais-tu que je suis fou de ce genre de sexualit? ? Je n’en ai jamais rien dit ? personne ?’. ’Je n’en savais rien. C’est ?galement ce que je pr?f?re ’, r?pondit Fran?oise s?re de r?pondre ? un penchant secret et de nouer des relations durables avec cet homme important.
La f?te egyptienne. ===================
Le Waldorf-Astoria ne rel?ve pas des ?tablissements tranquilles et reposants. Un nu?e de gar?ons d’?tage, de femmes de chambre, de ma?tre d’h’tel, de grooms, de voituriers, de concierges s’agite en un ballet incessant qui persiste m?me la nuit. Shannah tr?s impressionn?e par le clinquant et le luxe ostentatoire des lieux accompagne Fran?oise qui se rend ? l’invitation du s?nateur ? une soir?e tr?s sp?ciale, dont le th?me tourne autour de l’Egypte des pharaons. Le chauffeur-valet de chambre du parlementaire attend dans le hall. Fard?e par la syrienne qui lui a dessin? des yeux de biche, Fran?oise envelopp?e dans un long manteau de soie noire, porte une valise d’accessoires de th??tre qu’elle a lou?s dans la sixi?me avenue. Une cadillac noire aux fen?tres opaques les accueille, la destination demeure secr?te. Apr?s une heure de route, la berline p?n?tre dans le jardin d’une somptueuse villa, mise ? la disposition du milliardaire et de ses invit?s. Une petite pi?ce r?serv?e ? Fran?oise et ? Shannah, permet ? l’h’tesse de l’air de rev?tir son d?guisement, une panoplie compl?te de reine d’Egypte. La jeune fran?aise porte sous son manteau, une l?g?re tunique transparente qui ne cache rien de son corps magnifique. Un pectoral d’or enrichi de gemmes pr?cieuses d?voile ses seins app?tissants, une ceinture de pi?ces d’or, d’o? pendent des scarab?es sacr?s et des cha?nes entrem?l?es de gros cabochons de lapis-lazuli sont sens?s d?rober aux regards sa superbe toison pubienne. Habill?e en esclave soumise, les cheveux noirs dissimul?s par une ?norme perruque de lin, Shannah pose sur la t?te de son amie, le Pschent, cette coiffure qui symbolise le pouvoir sur la haute et la basse Egypte. Devenue Cl?op?tre, investie dans son personnage elle remercie d’un sourire sa servante, qui introduit ses doigts fusel?s dans les tuyaux d’or de ses gants. Ses pieds sont chauss?s d’une semelle qu’elle maintient gr?ce ? un serpent d’or qui ondule sur ses orteils laqu?s. Elle fait une entr?e remarqu?e dans la salle r?serv?e aux invit?s. Elle gagne une estrade basse surmont?e d’un fauteuil dor? portant de la main droite le fl?au d’or et de la gauche, le sceptre qui affirment son autorit?. Shannah agenouill?e ? ses pieds, les seins nus, porte une courte jupe blanche. Les spectateurs sont subjugu?s, Brown vivement applaudi pour ses initiatives, vient baiser la main de sa conqu?te. En cet instant, il se prend pour C?sar retenant captive la reine d’Egypte. Les invit?s, un verre ? la main se sont rapproch?s et d?taillent ? haute vois les beaut?s d?couvertes. Mais d?j?, la lumi?re d?faille, un projecteur hollywoodien allume des ?clairs dans les bijoux en toc. La voix de Shannah s’?l?ve tout ? coup dans le silence retrouv?. ’Oh reine, toi qui es la d?esse de la f?condit?, la m?re de toutes nos richesses fait pleuvoir tes bienfaits sur ton peuple ?plor? qui attend la crue de son grand fleuve. Accepte l’hommage des humains qui d?sirent copuler sur ton corps divin pour h?ter la mont?e des eaux. Accepte leur semence g?n?reusement r?pandue sur ton corps de d?esse. Prend place sur l’autel du sacrifice’ . Fran?oise-Cl?op?tre s’?tend avec abandon sur un tapis de p?tales de roses dress? sur l’estrade. Tr?s excit?s, les m?les de l’assistance dont nombreux sont ceux d?j? d?v?tus, entourant le corps sublime se masturbent, parfois aid?s par la Syrienne. Les plus ardents, les plus rapides ?jaculent d?j?, cherchant les seins ou le pubis. Des flots de sperme d?goulinent, se croisent, se m?langent. du plus gras au plus liquide. L’?motion sexuelle s’empare des femmes qui relevant leur robe du soir se masturbent en criant. On y reconnait des actrices superbes les doigts enfonc?s dans leur chatte et hurlant de d?sir. D’autres plus ?g?es, couvertes de bijoux, prise par l’ambiance, cherchent chez une amie, une main secourable pour activer leur jouissance. Entre-temps, la couche de sperme qui recouvre le corps de la reine brille sous les projecteurs. Brown tr?s excit?, exhibe son petit p?nis ridicule, compl?tement nu, il se couche sur le corps de Fran?oise et la p?n?tre bri?vement. Les retardataires le prennent ?galement comme cible. Shannah reprend la parole:’ Oh reine gratifie ton peuple de tes eaux bienfaisantes.’ A genoux, devant l’estrade, elle attend. Et le miracle s’accomplit, un ?norme jet jaillit du sexe entrouvert de Fran?oise. L’urine tourbillonne dans les rayons des spots et asperge l’ esclave agenouill?e et tous les spectateurs avides de recevoir cette douche br?lante. L’urine dilue le sperme sur les cuisses de l’h’tesse. La Syrienne l?che en poussant des cris de jouissance. Des femmes d?poitraill?es pr?l?vent du liquide pour se masser les seins. Brown extrait Fran?oise de sa couche fleurie et l’entra?ne dans une pi?ce voisine. D?pouill?e de ses oripeaux de th??tre, Fran?oise est pr?sent?e par le ma?tre de s?ant ? un gigantesque noir, b?ti comme un arbre, dont le corps nu brille comme de l’?b?ne. ’Je te pr?sente Thimoty Tombstone, le plus grand sp?cialiste du casting de tous les E.U.’ Le noir se penche pour lui baiser la main, la retenant entre ses immenses paluches, il embrasse la paume, l’avant-bras, les biceps et continue par les seins. Fran?oise se sent comme une toute petite chose dans les bras de l’athl?te. Shannah rest?e dans la grande salle pour trouver son plaisir parmi les invit?s, lui manque. Elle comprend vite les desseins du s?nateur, il veut voir. Voir le noir la p?n?trer. Couch?e sur la moquette, la fran?aise redoute l’?norme braquemart de Mister Tim. Celui-ci, avec une grande douceur, ?carte les grandes l?vres poiss?es par les orgasmes r?p?t?s de Fran?oise, il explore le vagin surchauff? d’une langue p?n?trante, mais se d?cide pour l’anus. Le sphincter sous la caresse insistante et l’appoint de salive, s’entrouvre et lib?re la douceur de ses parois. La grosse bite prend son appui et le gland force l’ouverture. Fran?oise n’a pas souffert, l’excitation couvre la douleur, elle jouit tandis que le membre tendu plonge plus profond?ment en elle. Brown se masturbe et bient’t il arrose le plancher de quelques gouttes de sperme, tandis que Fran?oise et Tim li?s par un m?me cri, unissent leur plaisir dans un orgasme partag?.
Blues in the Sky. =================
Le Cesna vibre en tangant sur l’aile, Thimoty Tombstone le redresse en jetant un regard curieux sur sa voisine. Assise en co-pilote, Fran?oise en tailleur de lin bleu nuit, brod? de motifs dor?s, songe ? la carte postale illustr?e, re?ue ce matin. Face, la tombe de Victor Hugo au P?re LaChaise,et au revers: ’ L’?tude des monuments fun?raires est captivante et riche en informations. Meilleurs baisers de ton Oncle, sign? Gabriel’. Il sait d?j?, se dit la jeune fran?aise. Elle est entour?e d’informateurs anonymes et invisibles, elle sent autour d’elle, les liens myst?rieux des honorables correspondants. L’allusion est claire, Tombstone peut se traduire en pierre tombale. Le code suivant veut dire, continuez, foncez. Elle avait donc raison d’accepter ce voyage dans le monomoteur de Tim, qui veut essentiellement la conduire ? New-Orl?ans, pour lui pr?senter son empire du bisness, et ?blouir ses amis par la blondeur de sa conqu?te, et accessoirement profiter du trajet pour tisser des liens plus tendre avec Fran?oise. Shannah a ?t? invit?e par Brown ? participer ? un barbecue dans son ranch pr?s de Washington, elle est partie tr?s t’t ce matin, en h?licopt?re priv?, Souria dormait encore, un sourire b?at illuminait son visage, elle tenait dans ses bras, Karim, son b?b? tout aussi endormi. Tim pose sa large main sur le genou de l’Airhostes. Dans ce geste, il met toute l’affection qu’il porte ? la jeune fille. Fran?oise voudrait bien piloter le petit appareil qui r?agit si bien aux commandes, mais elle ne peut faire ?tat de son brevet de pilote, brevet militaire obtenu ? Istres, lorsqu’elle commandait une unit? de jets de combat. Elle pr?tend avoir ?t? initi?e par un commandant de bord d’Air-france qui lui a enseign? les rudiments du pilotage. Tim lui c?de le double des commandes, ravie notre amie se laisse aller au gr? de sa fantaisie, et tout en maintenant le cap sur le Mississippi, elle prend un peu d’altitude pour ex?cuter quelques cabrioles, immelmann et autres vrilles qui t?moignent de sa ma?trise. Tim en profite pour explorer ses dessous. En fait, sous la jupe de lin, Fran?oise ne porte rien. La grande main s’?gare avec son assentiment dans un buisson touffu et trouve l’entr?e de la grotte des plaisirs. L’un apr?s l’autre, les longs doigts noirs h?sitent, p?n?trent dans ce lieu humide, en ressortent tout englu?s et laisse la place au suivant. Fran?oise hal?te tout en suivant des yeux l’horizon artificiel, le badin indique 240 knots, la pression d’huile est parfaite, elle peut s’abandonner ? la main salvatrice qui anime son d?sir. Tim se l?che les doigts, il recueille avec sa langue tous ses t?moignages de la sensualit? de la jeune fille. Bient’t, il reprend le pilotage, pour permettre ? Fran?oise de se d?pouiller de tous ses v?tements et de d?gager la fermeture ?clair de son compagnon. Et tandis, qu’il reprend le cap en s’aidant de la balise de Saint-Louis,, elle engloutit l’?norme membre noir dans sa bouche, elle en garde encore le souvenir dans sa vulve reconnaissante.
Pendant ce temps, l’h?lico pilot? par le valet ? tout faire de Brown atteint le ranch, tr?s ?loign? de toutes communications, et se pose sur une petite piste de ciment au milieu du d?sert, face au b?timent de bois, ancien relais de diligences, appartenant au milliardaire. Brown aide Shannah ? descendre. Un homme les attend, grand et mince, il salue le s?nateur et sa compagne qui entrent dans la pi?ce principale. Le pilote apporte les l?gers bagages. Shannah comprend tr?s rapidement les intentions du parlementaire. Il d?sire voir la syrienne se faire prendre par le pilote ou le blond myst?rieux qui la regarde avec envie. Seule femme, assise dans un divan de rotin en compagnie de trois hommes excit?s, elle ma?trise la situation. Ce n’est pas la premi?re fois qu’elle doit faire face ? trois m?les en chaleur. Dans le bordel de sa m?re, elle passait de l’un ? l’autre et son tact naturel permettait d’?viter les querelles. Le confident valet et pilote l’entreprend le premier. Leurs bouches se joignent, les mains courent sous sa jupe. Des mains ?trang?res retirent sa culotte de dentelles. Tandis que le vaillant serviteur suce son clitoris rougi par le frottement, elle constate avec ?tonnement que le s?nateur n’est pas seulement voyeur, enti?rement nu, il caresse avec ardeur le p?nis du blondin et lui l?che les testicules.
Le Cesna touche le sol, sans probl?me, Tim et Fran?oise montent dans une vaste Chrysler noire qui les conduit en ville. Leur tourn?e des lieux de plaisir de la Nouvelle Orl?ans passe par tous les speak-easys du quartier fran?ais. Tim poss?de beaucoup de ces ?tablissements o? le consommateur d?guste son whisky en contemplant des filles debout sur le comptoir qui d?voilent petit ? petit une anatomie st?r?otyp?e retravaill?e par des chirurgiens champions du silicone. Sans aucune pudeur, les spectateurs se masturbent et glissent des billets de 10 dollars dans le slip des ’artistes’. Lorsque le billet atteint 100 dollars, le donateur a droit ? un coup d’oeil sur le petit jardin de ces dames, enti?rement pass? ? la tondeuse ? gazon et o? les grandes l?vres rectifi?es par les chirurgiens esth?ticiens m’apparaissent plus que sous forme d’un l?ger pli parfaitement ferm?. D’autres billets conduisent la fille a effectuer une branlette d’une main experte et d?nu?e de tout sentiment. Fran?oise est frapp?e par l’aspect uniquement commercial du syst?me. En Europe, les putes ont la charit? de vous faire croire qu’elles ?prouvent un certain sentiment, une certaine attirance pour leur visiteur. Ici, les filles ne sont pas des putes, elles ne couchent pas, o? alors en dehors de l’?tablissement. Elles se consid?rent comme des employ?es qui exercent un m?tier comme un autre. Apr?s leur neuf heures de prestation entrecoup?es de poses, elle retournent pr?s de leur ami, leur mari, leurs enfants avec la bonne conscience du travail accompli. Tim entra?ne sa conqu?te dans un ancien th??tre. Une sorte de revue en chanson, men?e par une grande noire athl?tique habill?e ou plut’t d?shabill?es en cow-girl attire une poign?e d’hommes et quelques couples, en grande majorit?, noirs. La fille exhibe ses seins, mod?le standard gonfl?s au silicone et se dandine. Devant elle, quelques femmes noires qui masturbent leur compagnon, qui bandent en regardant la chanteuse qui beugle des insanit?s ? double sens. Elle a reconnu Tim, le patron de l’Agence de casting la plus connue et attire son attention par des sourires et des signes tout en interpr?tant sa chanson. Elle se penche, et confie quelque chose ? l’oreille du g?ant noir. Fran?oise est tr?s intrigu?e, la chanteuse la regardait intens?ment en chuchotant. Elle est s?re qu’elle lui parlait d’elle. Assise ? c’t? de Tim, elle lui tire les vers du nez ’Qu’est-ce qu’elle te disais ?’. ’ Elle disait qu’elle te trouvait ? son go?t! Si tu veux bien monter sur la sc?ne, elle voudrait te l?cher pour conna?tre la saveur de ton con ’. La chaleur envahit le visage de l’Airhostes, en m?me temps une bouff?e de flammes inonde son vagin. La proposition de la belle noire a fouett? son d?sir. Sa respiration s’acc?l?re et Tim s’aper?oit du changement de son visage. ’Tu veux la rejoindre sur la sc?ne ? Soit tranquille, elle est tr?s propre et tr?s Safe.’ Fran?oise se dit qu’il l’a d?j? essay?e, et s’efforce d’?carter toute id?e de jalousie. Tim l’aide ? escalader les lourds fauteuils de feutrine rouge et ? plat ventre elle rampe sur la sc?ne, soutenue par des dizaines de bras noirs, qui glissent sous sa jupe. A peine arriv?e sur le proscenium, la chanteuse s’accroupit et la retournant sur le dos, retrousse la jupe de lin bleu. La magnifique toison fauve de Fran?oise brille sous les feux de la rampes. Les spectateurs applaudissent et tentent de franchir la fosse d’orchestre. D?j? la bouche fard?e a pris possession de son sexe, une langue exerc?e parcourt sa vulve, escalade le clitoris, redescend sur l’anus, tandis que les mains noires aux paumes si claires ?cartent les fesses pour faciliter l’introduction dans le rectum. Fran?oise jouit, sa mouille coule ? flot et rejaillit sur ses cuisses, elle g?mit de plaisir, tandis que la divette tout en l?chant et en su?ant d?taille ses sensations. ’Hum ! c’est bon. Elle a un merveilleux go?t de jeune fille et en m?me temps, une pointe d’?pices de Cayenne. Elle m?riterait d’?tre noire.’ L’assistance exulte, Fran?oise rend la pareille ? la chanteuse qui dissimule sous les paillettes, un con accueillant, largement fr?quent?, mais tendre, onctueux, souple, s’adaptant ? toutes les audaces et ouvert en permanence ? la langue de notre amie. D?j? des mains s’emparent de ses fesses. Des hommes surgis de partout se battent pour poss?der la chair blonde de la fran?aise, mais Tim intervient, il l’arrache ? la populace, rabat la jupe et referme le chemisier. ’Viens ’ dit-il en l’entra?nant ’ Tu la retrouveras ta chanteuse, en priv?, je te le promets. Mais je ne peux pas supporter que ces hommes puissent te monter dessus’. Ce fut la seule fois, o? il d?voila son amour et sa jalousie pour cette blonde qui l’avait ensorcel?.
Rentr?s ? l’h’tel, un vieux palace fran?ais, au charme vieillot, un message les attendait, Au t?l?phone, Shannah les appelait au secours. Elle se trouvait au poste de police ? Washington, accus?e de l’enl?vement du s?nateur Brown qui avait disparu. Elle pleurait, affol?e par les accusations injustes du Sh?rif alert? par un coup de t?l?phone anonyme. On ne retrouvait pas de trace de l’h?lico, ni du pilote, ni du blondin. La police effectuait des rondes dans le d?sert pour retrouver le parlementaire manquant.
Un juge obstin?. ================
’Ma?tre, pouvez-vous m’assurer que votre cliente aura les moyens financiers de payer sa caution ?’. ’Sans aucun doute, c’est la petite fran?aise qui poss?de des fonds ? Washington. J’ai ?t? coll?gue du Directeur G?n?ral de la banque ? Harvard, il ne m’a pas cach? qu’elle est en mesure de renflouer les caisses du Comt?. ’ ’D’o? vient tout ce fric, ne pourrait-on l’inculper, elle aussi, pour blanchiment d’argent, par exemple, et rafler le magot!’. ’Monsieur le Juge,... ce serait tr?s dangereux, l’oseille a ?t? vers?e r?guli?rement en provenance directe de l’Elys?e. Ce qui veut dire que cette fille doit ?tre la maitresse, d’un ministre ou d’un tr?s haut fonctionnaire.’ ’Merci de me pr?venir. Monsieur le procureur a-t-il quelque chose ? ajouter?’. Jim Clayton, l’atorney g?n?ral, encore un coll?gue ? Harvard de l’avocat, Anthony Greenwood, se pin?a le nez, un geste familier qu’il ne pouvait r?primer lorsqu’il devait r?fl?chir ? un probl?me ardu. ’La caution sera ?lev?e, mes services ont pratiquement d?montr? sa culpabilit?. L’affaire est dans la poche. Mon cher Anthony, je ne comprends pas, comment un vieux renard, comme toi, a pu se laisser entra?ner ? d?fendre cette cause pourrie et cette pouffiasse syrienne.’ ’J’ai confiance dans les d?clarations de ma cliente, elle est innocente !’. ’Innocente ou pas, le d?partement d’?tat tient ? ce qu’elle reste en t’le, le plus longtemps possible. La C.I.A. pr?tend qu ’elle appartient aux services secrets syriens. D?s qu’elle sera condamn?e ? une tr?s longue peine, ils lui proposeront un march?, d?noncer tous les agents de son r?seau contre une remise de peine. Anthony Greenwood, apr?s avoir quitt? le palais de justice, rejoignit Fran?oise Laborde qui l’attendait d?j? ? son luxueux cabinet proche de la Maison Blanche. En reconnaissant, le gigantesque noir qui accompagnait la jeune fran?aise, il e?t un frisson, ’J’avais le nez creux, pense-t-il, si Tombstone est dans le coup, l’affaire est d’importance.’ Il connaissait l’?tendue des entreprises appartenant au noir et soup?onnait l’emprise de celles qui n’?taient pas connues. Bien implant? dans le Missouri et toute la c’te sud, ce diable d’homme venait de s’emparer, coup sur coup, de plusieurs ?tablissements de la cote est et sp?cialement ? Los-Angeles. Il avait d?j? un pied dans le casting des vedettes des principaux producteurs et sa r?putation pr?tendait que s’opposer ? lui, valait un arr?t de mort. Le c?l?bre avocat avait d?fendu plusieurs fois Tombstone dans des proc?s qui l’opposaient ? des boss de la p?gre, qui avaient toujours perdu ou ?taient d?c?d?s myst?rieusement pendant l’instruction. ’Je suis un coll?gue d’universit? de l’attorney g?n?ral, Jim Clayton, surnomm? ’Pince-nez, il m’a laiss? entendre, que Shannah ?tait seule dans le ranch, lorsque Brown a disparu, les services de l’attorney n’ont pas trouver de trace d’un h?licopt?re, comme le pr?tend ma cliente. Rien ne prouve que le financier a rejoint un autre homme, totalement disparu. Le chauffeur pr?tend qu’il a conduit la syrienne et le milliardaire au ranch dans une cadillac d?capotable et qu’il est reparti aussit’t. La seule chose qui reste myst?rieuse, c’est le coup de t?l?phone d’un inconnu, qui passait par l? et a entendu des coups de feu.’ ’Ne trouvez-vous pas ?trange qu’un voyageur se retrouve ? cet endroit, ? plus de trente kilom?tres de toute route et o? on ne peut acc?der que par des chemins de mulets’. ’ J’estime que c’est tout ? fait rocambolesque, mais le district attorney et le sh?rif sont persuad?s du contraire. Je vais obtenir de Jim, une autorisation de visite pour que vous puissiez rencontrer votre amie ? la prison du Comt?. Elle a bien besoin de votre affection pour tenir le coup’ . Tim reconduit Fran?oise ? son h’tel et reprend l’avion pour N-Y. Dans la nuit du lendemain, la fran?aise qui partage son grand lit avec Souria, est r?veill?e par un coup de t?l?phone de Tim qui lui apprend qu’il a beaucoup de nouvelles ? lui raconter. Il vient d’arriver ? Washington, bient’t, il frappe ? la porte de la chambre. Fran?oise lui pr?sente Souria, presqu’endormie. Le regard du noir sur l’immense stature de la soudanaise n’a pas ?chapp? ? Fran?oise. ’Dis-moi ce que tu as appris? ’.’ J’ai consult? un priv?, un d?tective de mes relations qui a d?j? d?couvert que le cadavre de Brown a ?t? retrouv?, lard? de coups de couteaux, ? proximit? du ranch, dans un buisson ?pineux. Malgr? les recherches, l’invit? n’est pas connu. Mais l’argument capital du procureur, un couteau ensanglant?, trouv? dans le ranch porte les empreintes de ta Shannah.’ ’Mon dieu, elle est perdue!’. ’ Non, si tu as confiance en moi et que tu es s?re de son innocence. Je la tirerai de l?’. Tim voulait retourner ? N-Y, mais Fran?oise lui propose de partager son lit. Tim, sculptural dans sa beaut? muscl?e s’?tend sur le corps prestement d?nud? de l’h’tesse. Sous le poids de ses 120 kg, le matelas en latex se creuse sous Fran?oise, le g?ant noir l’?crase ce qui ravit la jeune femme qui jouit toujours lorsqu’elle est domin?e, par une force qui diminue sa respiration, lui coupe le souffle et acc?l?re la mont?e du d?sir. Il ne lui ?chappe pas cependant que tandis qu’il la fouille de son ?norme p?nis, d’une main, il caresse les ?normes seins de Souria. Tim la p?n?tre, elle s’ouvre sous la puissance de l’?treinte et jouit imm?diatement. Elle mouille et sa plainte graduellement s’?l?ve jusqu’? l’acm? de l’orgasme. ’ Arr?te’, dit-elle ? cet amant incomparable,’ arr?te, garde tes forces pour mon amie Souria qui meurt d’envie de se faire baiser.’ Pour toute r?ponse, Tim l’embrasse affectueusement pour sa compr?hension et ? la force des poignets se glisse sur la compagne de lit qui a d?voil? ses seins. Un instant, il la surmonte, pendant qu’elle retire sa longue chemise de nuit. lorsqu’elle apparait nue, sa peau noire luisant sous la lumi?re tamis?e de la vielleuse, il s’abat sur elle, comme un ch?ne frapp? par la foudre, sa grosse bite glisse entre les cuisses d’?b?ne. Souria ouvre les jambes pour le recevoir, mais il rampe sur la couverture, de ses grandes mains il ?carte les l?vres, le sexe d’un rouge cramoisi de la soudanaise se couvre de s?cr?tions ?paisses et laiteuses qu’il happe d’une langue gourmande. La jeune m?re retrouve le go?t du plaisir et crie dans un dialecte incompr?hensible la joie qu’elle ?prouve. Ensuite, elle clame sa joie de retrouver sur la queue tendue la saveur du con de son amie Fran?oise. Mais d?j? le Play-boy la p?n?tre en l’?crasant de tout son ?tre. Fran?oise excit?e par les cris de son amie et les hal?tement furieux du m?le, lui caresse les couilles et emport?e par sa sensualit? exacerb?e par une p?n?tration avort?e, elle lui l?che tendrement l’anus.
L’avenir est sombre. ====================

Les relations entre Tim et les deux femmes prennent un aspect ambigu. L’athl?te au coeur d’artichaut ne peut se d?tacher de Fran?oise qui flatte sa vanit? vis ? vis de la communaut? noire et qui l’excite au plus haut point. Il t?moigne ? Souria d’ un sentiment fleur bleue tout ? fait inattendu. Les deux femmes pr?sentes, il esp?re les voir se t?moigner leur tendresse. Il parait tr?s excit? lorsque Fran?oise chevauche le ventre nu de sa compagne ou plonge son visage dans les gros seins nus de la nourrice. Fran?oise, doit s’avouer qu’elle ne peut r?sister ? l’odeur de sueur des noirs. Cette saveur ?pic?e, au go?t exotique qui ?mane de leur corps entra?ne de sa part un d?bordement de cyprine qui d?borde de son sexe. Les blancs ont une sueur, moins aphrodisiaque, les noirs disent que nous sentons le cadavre. Bouche ? bouche, Fran?oise along?e sur le corps rebondi de Souria, Tim les p?n?tre l’une apr?s l’autre, sortant son ?norme bite toute englu?e de la jouissance de la blonde fran?aise pour envahir le sexe rouge cerise de la jeune m?re. ’ Ah ! crie celle-ci, ?a glisse bien, le jus de ma Fran?oise ?a me fait jouir’. Et la grande noire se tr?mousse pour s’enfiler plus profond?ment le p?nis qui gonfle au fur et ? mesure. Les trois corps apais?s, les deux femmes affam?es de sperme, rassasi?es, le m?le prend du repos, ?tendu sur le dos de Fran?oise toujours along?e sur Souria. Le temps passe, ils se taisent, tentant de retenir ces moments privil?gi?s dans la m?moire de leurs chairs. Puis la sexualit? reprend ses droits, Fran?oise per?oit la reprise de la tension dans la grande queue qui repose entre ses cuisses. Tim, lui l?che la nuque, la mord et lui fait sentir entre les fesses qu’il est pr?t ? reprendre l’assaut. Cette fois, il varie, il modifie son approche. Une p?n?tration anale compl?te provoque l’orgasme prolong? de Fran?oise qui jouit, sa langue palpitante aspir?e par la bouche pulpeuse de Souria, qui engloutit sa salive. Quelques minutes plus tard, elle-m?me subit le m?me sort, elle hurle de plaisir la grosse bite enfonc?e jusqu’au pubis dans son cul ?panoui.
Shannah en larmes se r?fugie dans les bras de Fran?oise. Greenwood a tenu parole, il a obtenu, non sans mal, une autorisation de visite. Il parvient ? faire sortir le sh?rif qui veut assister ? l’entretien en l’entra?nant dans un bureau, soi disant pour recueillir son avis personnel, sur la situation de sa cliente. Flatt?, le repr?sentant local de l’autorit? du comt?, laisse les deux filles en pr?sence dans la sordide cellule grillag?e. ’Je savais que tu ne m’abandonnerais pas !’ ’On va te sortir d’ici. Un peu de patience’. ’ Si tu savais, ils me traitent comme du b?tail. Tous les adjoints du sh?rif sont des rustres, des paysans. D?s que je me lave, ils viennent me regarder comme une b?te rare. Je fais mes besoins, sous leurs regards ?grillards. Tu sais que je n’ai pas peur des hommes, mais je ne peux plus supporter cela.’ ’Calme-toi. Raconte moi ce qui s’est pass? au ranch. Le procureur se tait, nous ne savons rien’. ’Apr?s l’invitation de Brown et le d?part de son h?licopt?re personnel, j’ai compris tout de suite qu’il avait une id?e luxurieuse en t?te. Il m’avait plac?e ? c’t? du secr?taire-pilote et n’arr?tait pas de me peloter. Il m’avait demand? de mettre une tenue tr?s sexy et il incitait le pilote ? prendre des privaut?s ? mon ?gard, tandis qu’il LUI caressait la nuque. Quelque chose ne collait pas. Avait-il l’intention de me sauter ou de me faire baiser par le secr?taire. Je me demandais s’il ne pr?f?rait pas caresser son employ?. Arriv?s au ranch, tout ? fait isol? dans le d?sert, voil? le blondin qui nous attend et qui se pr?cipite sur moi, comme si j’?tais aimant?e. Brown n’?tait pas content. R?fugi?s tous les quatre dans une grande berg?re en rotin, ils me d?shabillent et je pense, un instant qu’ils vont m’enfiler les uns apr?s les autres. Je me r?jouis d?j?, mais voil? que ce corniaud de Brown demande de se faire attacher sur la table avec de grosses cordes qui tra?naient dans le ranch. Il avait l’air fin avec sa petite bite ridicule.’ ’Oui, mais il sait s’en servir. Il m’a fait jouir pas mal avec ce petit machin’. ’Possible, mais cet imb?cile ne m’a pas touch?e, sinon, il vivrait encore. Il d?sirait qu’on le couche sur la table ? plat ventre, pour permettre au blondin de l’enfiler, tandis que le secr?taire avait pour mission de me baiser sous ses yeux. La dispute a d?bouch? brusquement, le blondin pr?f?rait me sauter, le secr?taire voulait baiser le s?nateur comme il paraissait en avoir l’habitude. Il fumait tous, une cochonnerie de marijuana qui empuantit la pi?ce, la fum?e obscurcissait ma vue. Ils en sont venus aux mains et Brown m’a cri? de couper ses liens. J’ai saisi un grand couteau sur une desserte et j’ai coup? les cordes. Puis le blondin m’a entra?n? dans une chambre vide, tandis que les deux autres continuaient ? s’engueuler. Le blondin baisait bien. Il avait une longue bite tr?s fine qui disait-il, plaisait beaucoup aux messieurs. Totalement bisexuel, il vivait d’exp?dients et des dons de ses amant(e)s. Tr?s mince, nerveux, remuant sans cesse, stress?, les yeux dans le vague, il baisait en parlant sans cesse. Il ne parvenait pas ? jouir, comme s’il avait absorb? une de ces drogues qui font bander, mais retardent l’?jaculation. J’ai du jouir cinq ou six fois, puis je me suis endormie. Je me suis r?veill?e quand le sh?rif est arriv? avec ses cochons d’adjoints. Ils m’ont tous pelot?e, soi-disant pour v?rifier que je n’?tais pas arm?e. J’?tais ? poil, il n’?tait pas difficile de voir que je n’avais pas d’arme. Il n’y avait plus personne dans la baraque, Brown, le secr?taire Allquist et le blondin avait disparus. Voil? tout ce que je sais .’ L’audience pr?liminaire est fix?e au 13 mai. La caution demand?e par le procureur du comt? s’?l?ve, vu les charges retenues ? 500.000 dollars’.
Fran?oise prend un vol r?gulier pour N-Y pour rassembler la somme. Elle laisse Souria et son b?b? sous la garde de Tim qui revient d’un myst?rieux voyage sur son Cesna. Les deux noirs sont ravis d’occuper la chambre. Fran?oise retourne au Waldorff et prend discr?tement contact avec Paris, elle obtient un accord pour pouvoir disposer du montant n?cessaire sur les cr?dits mis ? sa disposition. Le concierge du Waldorf lui t?l?phone ’ Mis, une....’dame’ veut vous rendre visite. Hum!!’. ’Demandez lui, comment s’appelle-t-elle ? ’ ’ Elle dit qu’elle porte le nom de Jane Radcliffe et que vous la reconna?trez facilement’. ’Faites la monter’. La porte s’ouvre sur une apparition surprenante, Jane Radcliffe n’est autre que la chanteuse noire qui trouvait Fran?oise tellement ? son go?t ! Les deux femmes s’embrassent et Jane explique qu’?tant de passage ? N-Y, elle a re?u un message de Tim qui lui signalait que l’h’tesse fran?aise ?tait ? nouveau au Waldorf. Jane est v?tue d’un short blanc tr?s court et d’un corsage en lam? qui met en valeur sa poitrine haletante. ’J’ai encore plus chaud ici qu’? New Orleans’, dit-elle en ?pongeant ses aisselles nues. Son parfum troublant est noy? dans le flot odorant de sa transpiration. Fran?oise ne peut r?sister ? cet appel ? sa sexualit? et tandis que Jane d?boutonne son strict chemisier blanc, elle d?grafe le short et d?gage les longues jambes de la chanteuse. Bient’t les deux femmes enti?rement nues se rejoignent sur le couvre lit de soie et s’?treignent avec fureur. Chacune conna?t maintenant le go?t intime de l’autre, mais elles n’ont pas encore connu d’orgasme partag?. Se pla?ant la t?te, entre les cuisses de Jane, Fran?oise plaque son sexe sur le visage de la divette. La noire ouvre les grandes l?vres de l’ h’tesse qui lib?rent une gicl?e de cyprine parfum?e, pendant ce temps, la blonde racle le clitoris turgescent de la star. Un orgasme, sans cesse renaissant emporte les deux femmes dans un d?lire sexuel qui leur fait oublier toute r?alit?. Plusieurs heures s’?coulent avant qu’elles s’abattent dans leurs bras, ?puis?es par la violence de leurs sentiments.
Une lueur d’espoir. ===================
Tim n’a pas perdu de temps, install? dans la chambre de Fran?oise, il a mobilis? ses informateurs et rencontr? le d?tective qui enqu?te sur les participants ? la tuerie du ranch. La disparition du chauffeur-confident apparait comme tr?s importante au g?ant noir, l’attorney ne partage pas son opinion. ’ La fille a peut-?tre ?galement tu? le chauffeur’, dit-il ? Tombstone, qui lui fait observer que d?j? transporter le cadavre de Brown paraissait difficile ? attribuer ? une mince jeune femme. L’enqu?teur priv? fouille les milieux interlopes et les bars fr?quent?s par les gays. il esp?re trouver la trace du blondin ? la longue bite. Apr?s une journ?e harassante, consacr?e ? la visite de tous les bars louches de Washington, il trouve une piste au ’Green daffodil’, un barman bouffi, en ?change d’un billet de 10 dollars, reconnait la description de ’Mary Pink’ surnom du blondin qui monnaie ses charmes. Un billet de 50 dollars fortifie sa m?moire et lui arrache des d?tails suppl?mentaires. Parfois, le blondin ? la recherche d’un client se travestit en gonzesse et arpente le bitume. Il s’est battu avec une prostitu?e du nom de Nikki qui d?fendait son territoire. Retrouver Nikki t?che facile pour un d?tective confirm?, qui vers les 10 heures du soir, aid? par des copines compatissantes aper?oit sous la lueur d’un lampadaire ?lectrique une grande rousse corpulente qui parcourt ? pas furieux les quelques m?tres de trottoir qu’elle d?fend farouchement. Elle rougeoie, la chevelure de flammes, les l?vres sanglantes, les joues maquill?es ? outrance, le l?ger chemisier entrouvert sur une poitrine rebondie, la mini-jupe et les souliers ? tr?s hauts talons pass?s au minium, tout concourt ? souligner une forte personnalit?. Notre enqu?teur engage la conversation, et la rousse incendiaire lui propose un endroit plus discret pour cent dollars la passe. Marchant devant lui, elle traverse un passage ?troit, entre les buildings, encombr? de poubelles, o? des coll?gues de bas-?tage pratiquent des fellations au rabais sur des ombres filiformes et peu fortun?es. Nikki atteint un h’tel petit, mais propre o? elle a ses habitudes. Elle franchit le bureau d’accueil, suivie de notre limier. Dans l’escalier ?troit, il se risque ? glisser la main sur une cuisse et atteint un fessier ferme endurci par les longues d?ambulations de la dame. Dans la chambre, m?fiante, elle exige que l’enqu?teur face usage des lavabos pour passer sa queue au savon. elle surveille l’op?ration, car dit-elle son exp?rience lui a appris que l’hygi?ne, l’absence de drogues et une bonne psychologie lors du premier contact l’ont toujours pr?serv?e des mauvaises surprises. Elle s’?tend sur le lit, apr?s avoir retrouss? sa mini-jupe et retir? sa culotte de soie noire, c’est moins salissant avec toutes ses mains d’hommes qui vous tripotent dans l’escalier . et toc ! Comme le priv? ne fait pas un geste d’approche, elle se m?prend et ouvre encore plus largement son chemisier rouge, jusqu’? retirer de son soutien gorge rouge, ses gros nichons rebondis aux ?normes t?tons rouges. L’enqu?teur ne peut masquer la bosse qui vient de se former dans son pantalon. il saisit un sein d’une main ferme et questionne la fille. ’Dis- moi, Nikki. Tu as eu des probl?mes avec une petite frappe, celui qu’on surnomme Mary Pink. ’ ’Le salaud, si je le retrouve, je lui coupe sa banane ? cet enfoir?.’ ’Tu ne sais pas o? il cr?che?’. ’Qu’est ce que tu lui veux ? Tu es aussi de la p?dale ? ’. Le ton devenu prudent, la fille d?clare qu’elle n’a aucune id?e de l’endroit o? il vit, ni dans quels lieux on peut le trouver’. Comme la pute parait fra?che et exp?riment?e, notre limier d?cide de profiter des cent dollars vers?s et se d?shabille, sous l’oeil critique de la donzelle qui se marre. Il s’?tend sur le lit aux draps propres, mais la fille qui s’est absent?e dans les toilettes revient avec une panoplie d’instruments. ’Qu’est ce que tu pr?f?re, le fouet ou le martinet ? D’abord, je vais t’attacher. Nu, les fesses en l’air, il subit les brutalit?s de la dame qui se venge des tracas quotidiens en lui z?brant les fesses de longues marques rouges sanguinolentes ? souhait. D’abord silencieux et surpris par la sp?cialit? de la tapineuse, il crie ce qui accentue la d?gel?e de coups, la peau des fesses le br?le, mais tout ? coup la robuste fille d?pose un baiser mouill? sur l’ecchymose la plus cuisante. Maintenant apr?s chaque coup, elle baise la marque sanglante de ses exploits et le priv? sent monter en lui une jouissance terrible qui prend naissance dans ses reins meurtris et tord ses couilles enflamm?es. Il appelle maintenant les coups qui augmentent son plaisir. Apr?s une derni?re rafale qui fait p?ter la peau des ?corchures, elle le retourne comme une cr?pe , et saisissant son p?nis entre ses l?vres carmin?es, elle suce le membre br?lant qu’elle mord cruellement avec ses incisives. Il jouit ? flot dans la bouche tout ? coup douce et accueillante qui avale avec la satisfaction du devoir accompli, l’offrande du client satisfait. Allong?s tous deux, sur le lit, elle parle un peu de son boulot de ses clients ou de ses clientes parce que sa client?le comprend les deux sexes. Mais jamais elle ne reviendra sur Mary PINK.
Pr?venue par Tim, des r?sultats de l’enqu?te, Fran?oise, accompagn?e de Jaune prend le premier avion pour la capitale f?d?rale. Elle loue ? l’a?roport un vaste bahut Chevrolet et se met ? la nuit tombante ? la recherche de Nikki le tapin. Les deux femmes la blanche et la noire questionnent les filles nombreuses dans cette rue. Oui c’est bien ici, le coin favori de Nikki. La fille en se d?hanchant sur ses hauts talons reprend son poste d’attente et Fran?oise l’aborde avec un sourire engageant. Jaune reste dans la voiture et promet d’intervenir si la conversation dure trop longtemps. Fran?oise prend le m?me chemin que le d?tective et se retrouve sur les draps blancs de la petite chambre. Elle ?chappe ? l’obligation du savonnage et se voit d?culott?e et d?shabill?e de main de ma?tre par la rouge dominatrice. Enti?rement nue, celle-ci implore la jeune fran?aise d’ utiliser les instruments de sa sp?cialit? pour la battre, mais Fran?oise incapable de faire mal, caresse la lourde poitrine et suce les t?tons ?carlates. La pute g?mit sous la caresse.’ Mord-moi’, dit-elle ’mord moi les seins’. Les dents de la fran?aise ?crasent les bouts durcis. En entendant les cris de jouissance de la rousse, elle en oublie de questionner la fille, elle commence elle-m?me ? jouir. Son con coll? ? la cuisse puissante de la pute, d?verse un flot de jus, sa respiration s’acc?l?re, ses yeux dilat?s fixent le visage extasi?. Elle extrait de la masse d’outils sexuels r?pandus sur le lit un gros godemich? qu’elle introduit, sans douceur, dans le con rouge?tre. La fille sursaute, ’Dans le cul, mais moi quelque chose dans le cul’ crie-t-elle ? Fran?oise qui obtemp?re aussit’t. Un second godemich? aussi gros que le premier fich? dans l’anus, la fille rend la pareille ? Fran?oise, les deux filles tenant fermement les godes s’assurent une jouissance prolong?e. Apr?s un long moment d’extase, la pute extrait le gode du sexe de Fran?oise pour le sucer avec ravissement, elle passe ensuite au godemich? vibrant qu’elle extrait du cul de sa compagne et l?che avec passion. On frappe violemment ? la porte et Jaune fait une entr?e de th??tre, son Stetson blanc sur la t?te elle domine de son m?tre quatre-vingt dix les deux femmes enlac?es. Elle ne peut r?sister ? son envie de d?guster les filles comme un sorbet. Fran?oise la pr?sente ? Nikki, mais d?j?, la grande noire fourre son museau entre les cuisses de la p?ripat?ticienne, Fran?oise baisse le short et le string blanc qui s?pare les deux fesses et l?che l’?norme clitoris boursouffl? de la noire qui suce les grandes l?vres de la rousse. Bient’t, nues toutes les trois, elles alternent les positions, chacune d?sirant offrir au deux autres le meilleur aspect de sa virtuosit? sexuelle. Si Nikki d?sirait se sentir l’esclave d’une femme dominante qui r?ponde aux caresses par des coups, elle a trouv? en Jaune une partenaire id?ale. Apr?s une fess?e donn?e avec force sur son gros derri?re, Nikki humblement implore son pardon. elle re?oit l’ordre de l?cher Fran?oise ?tendue sur les draps. Sa langue parcourt tous les recoins du sexe de la blonde, qui comme vous vous en doutez, mouille d?j? comme une fontaine, pour aiguillonner son ardeur, la noire lui tord les seins, mord les t?tins flamboyants et pince les fesses. Nikki subit un martyre qui engendre une jouissance croissante. Elle pousse des cris ?touff?s par les poils pubiens de l’h’tesse. Elle mouille ?galement avec abondance le visage sombre qui maintenant lui mange le bas ventre. Deux heures se passent en combinaisons diverses, chacune proposant sa version pr?f?r?e et sa place dans le trio. Les trois femmes sortent de l’h’tel lorsque, la nuit tr?s avanc?e, les n?ons des bars louches s’?teignent l’un apr?s l’autre. Nikki se rend ? son poste habituel pour gagner sa cro?te, les deux autres vont reprendre la voiture. Les trois femmes sont entour?es par un groupe d’adjoints du sh?rif qui les pousse dans un car de ramassage, la voiture saisie, les suit, pilot?e par un policier. Le sh?rif accueille Fran?oise avec un rire sacarstique et l’accuse de faire ill?galement le trottoir. La jeune fran?aise sort le grand jeu, demande de t?l?phoner ? l’ambassadeur de France, ancien officier de son p?re, avant d’entrer dans la diplomatie, d?clare que son amie Jaune, artiste de vari?t?s a retrouver en Nikki, une amie d’enfance, qui vit dans des conditions difficiles. Mais que maintenant, les trois femmes vont vivre ensemble, dans la plus stricte l?galit?. Apr?s quelques menaces voil?es sur le sort qu’il r?serve ? Shannah et aux trois autres, il est bien forc? de les rel?cher avec des excuses et de leur rendre le v?hicule de location d?ment fouill?.
Le blond ? la longue p.. ========================
Fran?oise retient ? son h’tel, une chambre suppl?mentaire pour caser Nikki et Jane, celle-ci intervient aupr?s de Tim pour lui trouver un job. Elle repartira ? New-Orleans avec la fille pour la prendre en stage au ModernTheatre comme meneuse de revue. Tim a repris un bar ? attractions ? Frisco et cherche une g?rante. Nikki, tr?s ind?pendante n’a pas de maquereau. Ses poings lui suffisent ? se faire respecter. Elle parait enchant?e de travailler en Californie. Comme elle est connue de Mary Pink, surnom du blondin recherch?, Tim et Fran?oise joindront leurs efforts pour le rep?rer. Le lendemain soir, Fran?oise habill?e d’un smoking noir, la poitrine aplatie et portant une perruque noire ? queue de cheval accompagne Tim dans le milieu Gay de la capitale f?d?rale. Son aspect androgyne et sa beaut? fascinent les hommes et les femmes. Sur son passage, on s’interroge, Le grand noir qui la tient serr?e, vient-il avec un giton ou est-ce une lesbienne ? Apr?s deux ou trois ?tablissements et filtrages soup?onneux, ils apprennent qu’une certaine ’Alex’, pour Alexandra a d?j? ?t? vue en compagnie du blondin. Alex plus grande que Fran?oise accepte un verre de Bourbon, Une superbe chevelure platine, des yeux bleu-violet, une grande bouche et des dents superbe, la fille attire tous les regards, qui fixent surtout sa superbe poitrine qui d?borde du bustier bleu p?le paillet? de clous dor?s. ’Oui, elle conna?t ’Mary Pink.’ ’Non, elle ne donnera pas son adresse ’. Une tentative pour la faire boire d’avantage, tourne ? la confusion de nos amis, la t?te leur tourne et la donzelle , tr?s entra?n?e ne montre aucun signe d’?bri?t?. Sollicit?e par Fran?oise, elle accepte de continuer la conversation dans le petit fumoir du premier ?tage, qui sert surtout aux consommateurs de cannabis. Assise entre Tim et la fran?aise, Alex peu farouche est partag?e entre les avances de l’homme noir et la douceur de Fran?oise. Cette derni?re explore les dessous parfum?s et caresse les cuisses satin?es de la dame. Tim plonge dans le soutien gorge balein? et extrait une superbe poitrine d’un blanc laiteux redessin?e par la science au format standard am?ricain. Ni trop grosse, ce qui parait malsain, ni trop tendue ce qui donne une impression de ballons gonfl?s, ses seins souples et vivants, dressent leur pointes palpitantes que se partagent Tim et Fran?oise. La fille prend l’initiative de retirer le pantalon du smoking de l’h’tesse, ce qui met fin au suspense, l’androgyne sans pantalon est bien une femme. La langue pointue d’Alex s’insinue dans la fente de Fran?oise qui a d?gag? ses seins qui respirent enfin. Comme ? son habitude la fran?aise mouille, mais Alex tr?s excit?e avale au fur et ? mesure le jus d?licieux qui coule de son con. Tim a profit? de ces initiatives pour retirer tous ses v?tements. Nu, le sexe tendu par le d?sir, il s’approche des deux femmes. Fran?oise couch?e sur le dos, offre son sexe ? la voracit? d’Alex qui suce tout en caressant les jolis seins de l’h’tesse. Tim d?barrasse la fille de son corsage, de son soutien gorge, retire la jupe ? volants, et retire doucement le slip en dentelle qui prot?ge son intimit? la plus secr?te. Malgr? sa grande exp?rience, il sursaute, le linge retir? d?voile un p?nis mou et des testicules soigneusement ?pil?s. Travesti, Alex vit de la prostitution, attir? par la beaut? de Fran?oise, il n’est pas insensible ? la grosse bite de Tim qu’il saisit d’une main douce et manucur?e. Fran?oise r?le de plaisir sous la langue ?nergique d’Alex, qui des deux mains ?carte ses fesses pour inciter Tim ? l’enculer. Celui-ci a recul?, il n’a aucune vell?it? d’homosexualit?, Fran?oise l’implore de contenter celui qui la fait jouir. Tim ? genoux derri?re Alex pousse son ?norme engin dans l’anus entrouvert, le travesti pousse un cri d?chirant qui se termine en plainte amoureuse. ’Oui, encule-moi, plus fort . Vas plus profond. Ah! c’est bon. Je n’ai jamais eu une aussi grosse. Je sens ta bite qui remonte jusqu’? mon estomac. Pousse plus fort, encore. c’est divin !’. Tim tout d’abord tr?s passif, agissant pour faire plaisir ? Fran?oise, se sent entra?n? par la jouissance. sa queue tendue comme une ?p?e, il frappe d’estoc, son ?norme gland laboure les parois fragiles du rectum, traverse les sphincters et explose dans un jaillissement de sperme dans la chaude cavit? de son h’te. De plus en plus excit?, Alex mord dans le clitoris de Fran?oise et griffe ses seins haletants. D?gag?s et assis c’te ? c’te, les protagonistes se rendent compte que le jour se l?ve. Ils ont pass? toute la nuit ? de sauvages p?n?trations, Tim enculant Fran?oise qui suce le petit truc ridicule d’Alex, sensible cependant ? la succion et qui ? son grand ?tonnement bande dans la bouche gourmande de l’h’tesse. Epuis?, heureux, le travesti livre enfin l’adresse convoit?e.
Libert?, tu n’es qu’un concept! ===============================
La caution de Shannah, pay?e aux autorit?s du comt?, Fran?oise va chercher, son amie ? la prison du comt? de Washington o? elle a ?t? transf?r?e. La petite syrienne, toute menue, toute maigrie pleure serr?e contre la jeune fran?aise. Durant le trajet, Fran?oise conduit d’une main s?re, la voiture poss?de une bo?te automatique, en maintenant dans son bras droit les fr?les ?paules secou?es par les larmes. Shannah lui raconte son douloureux s?jour dans cette prison, v?ritable bouge sous un ext?rieur propret. Nous dormons ? quatre par cellule, un ?norme grille glisse sur des galets et nous s?pare du couloir ?clair? nuit et jour. Aucune fen?tre, on ne peut ?chapper ? la sensation d’enfermement sous-terre. L’air empuanti, pollu? par la respiration des deux cents femmes entass?es par quatre, dans les vingt-cinq boxes du pavillon C., une gardienne chang?e toute les deux heures nous surveille sans arr?t. Une tinette, vieux bidon ? p?trole sert ? recueillir nos d?jections. Bien mise en ?vidence pr?s de la grille, sous les yeux fureteurs de la matonne, elle oblige Shannah ? attendre la nuit pour uriner. D?s qu’elle pisse dans les urines d?j? r?pandues, ses compagnes de chambre se pr?cipitent pour se mouiller les mains ? son sexe et se masser les seins. La voisine qui occupe la couche du bas, la saisit au moment o? elle remonte sur sa paillasse, pour lui l?cher l’int?rieur des grandes l?vres encore humides. Une v?ritable passion pour ces filles, partag?e par les gardiennes qui encouragent- ragent ce genre de distraction. Finalement Shannah, ne dort jamais sur le mince matelas du dessus. Toute les nuits, elle partage la couche d’une blondasse vulgaire aux dents malpropres, elle su?ait ses parties intimes r?servant ? son cul, un long index ? l’ongle noir. ’Pisse-moi dans la gueule ! oui, pisse, j’attends, tu vois bien que je garde la bouche ouverte. J’ai envie de go?ter ta pisse toute chaude.’ Finalement , j’ai ob?i, j’ai l?ch? un petit jet ? la grande satisfaction de ma nouvelle amie, qui m’a d?fendue contre toutes les autres harpies. Elle m’emp?chait d’utiliser la tinette, d?sirant tout conserver pour elle. Elle achetait de la bi?re ? la cantine qu’elle me r?servait et qu’elle me poussait ? consommer sans cesse disant ’je m’en passerai bien, je la boirai quand elle ressortira, elle aura bien meilleur go?t.’ Cette triste relation de la d?tention sordide de la syrienne, aurait d? attrist? Fran?oise, mais assez curieusement lui avait mis le feu aux joues. Elle voyait dans son imagination la prisonni?re en chemise de nuit r?glementaire puisant ? m?me la source, le liquide br?lant qui constituait son plaisir. Cette ?vocation suffit ? rallumer sa sexualit? d?vorante, elle arr?te la voiture, et elle embrasse fougueusement son amie sur les l?vres. ’Ma pauvre Choute, comme tu as du souffrir, toi si d?licate, si raffin?e’. ’Je ne sais pas,... au d?but affreux ? supporter, puis je crois j’y ai pris go?t. Je pensais ? toi, je me disais, je pisse dans le bouche de Fran?oise et je me sentais heureuse, comme si tu m’avais retrouv?e.’ Cette d?claration se termine par un baiser ardent qui joint les langues des deux filles, les mains sous les jupes ont trouv? des orifices propices ? une masturbation rapide mais efficace. Rentr?es ? l’h’tel, les deux femmes s’isolent dans une chambre vide pour leurs retrouvailles.
Pendant ce temps Tim et le priv? retrouvent la trace de Mary Pink. Comme Shannah le conna?t elle pourra l’identifier. Elle accepte le soir m?me d’accompagner Tim ? la piaule du blondin. Pi?g?, dans sa chambre sans issue, le fr?le prostitu? ne peut fuir, affol? par la pr?sence du gigantesque Tim et de Shannah qu’il a reconnue, il tremble de tous ses membres et jure qu’il ne savait pas que la jeune fille avait ?t? accus?e du meurtre. ’ Lorsque j’ai vu Shannah ? sa descente de l’h?licopt?re, j’ai oubli? d’un seul coup que Brown m’avait fait venir pour que je le baise, j’avais envie d’elle. Mais le milliardaire d?sirait que je l’encule devant son chauffeur qui lui rendait ce service habituellement. Je suppose qu’il voulait l’?prouver ou le rendre jaloux. J’?tais pay? pour le ficeler sur la table et le prendre devant le chauffeur qui devait baiser la demoiselle. Devant mon refus, et le d?sir manifeste de Shannah de partager mon point de vue, il lui a demand? de couper ses liens. Shannah et moi, nous nous sommes enferm?s dans la chambre, pendant que les deux hommes continuaient ? se disputer. Nous avons fait l’amour, tr?s d?licatement, avec tendresse et tout le respect que je lui porte, nous avons recommenc? trois ou quatre fois, et nous nous sommes endormis. Les sir?nes de la police m’ont r?veill?, ils venaient de tous c’t?s en 4x4, tout terrain, je ne voyais plus personne dans le ranch, je suis pass? par la grange et profit? de l’arriv?e du sh?rif pour gagner le d?sert, dans la direction oppos?e. ’ Par reconnaissance pour la douce Shannah, il finit par accepter de t?moigner ? son proc?s. La culpabilit? d’Allquist, le chauffeur-pilote et amant occasionnel du financier ne paraissait plus faire de doute. Il restait cependant introuvable, lorsque le limier apprit d’un adjoint du sh?rif que le district attorney avait un atout dans sa manche, la police du comt? avait lou? un appartement dans un motel pour loger un t?moin capital, d?terminant pour apporter la preuve de la culpabilit? de l’accus?e. Nul doute qu’il ne s’agisse d’Allquist. Le priv? parvient assez rapidement ? localiser le motel en suivant les v?hicules du comt? faisant le va et vient du palais de justice au lieu pr?sum?. Quand, il arrive cet apr?s-midi au parking du motel, il choisit un emplacement ?loign? des voitures de police. En s’approchant discr?tement derri?re la haie d’?pineux qui s?pare les diff?rents blocs, il f?t conscient de l’?nervement qui gagnait les inspecteurs en civil. certains couraient en tous sens, d’autres agglutin?s dans une cabine, t?l?phonaient avec fr?n?sie. Le sh?rif ne tarde pas ? appara?tre dans sa voiture toute blanche de la poussi?re du d?sert. Il ?tait suivi par une ambulance qui charge un corps recouvert d’un drap, s’agit-il d’un personnage que la police dissimule aux regards ou d’un cadavre. Notre priv? fait un pas de trop pour se renseigner, reconnu par le sh?rif, arr?t? pour obstruction ? la justice et bient’t accus? de meurtre sur un inconnu. Son colt est saisi par les inspecteurs aux fins d’examen.
Il fit appel ? Ma?tre Greenwood, comme la loi l’y autorise, pr?venu tout aussi t’t, Tim d?cide de prendre ? sa charge la d?fense du d?tective priv?. La s?ance du tribunal, apr?s une remise de huit jours n?cessit?e par la sant? du t?moin, fit compara?tre Shannah, et comme t?moin de la d?fense, le blondin versatile. Il confirma spontan?ment qu’il ?tait rest? dans le lit occup? par la jeune syrienne, jusqu’? l’arriv?e de la police du comt?. Le contre-interrogatoire men? par le district attorney en personne, tente de trouver des contradictions entre la version de Shannah et celle du blondin. ’ Monsieur... Euh... BlackFish’, dit-il en s’adressant au t?moin,’ pouvez-vous nous confirmer sous la foi du serment que vous n’avez jamais quitt? la jeune.... femme ? Euh’. Il se pin?ait le nez, son surnom de ’ Pince-Nez’ pr?tendaient les gens bien inform?s, provenait surtout de son aptitude in?gal?e ? fourrer son tarin dans les affaires les plus louches, les compromissions sign?es maffia. ’Je confirme, votre Honneur’. ’ La cour se demande ’ poursuivit le procureur Clayton, ’ si le t?moin tente de couvrir la coupable, ou au contraire de se procurer son propre alibi’. Avec habilet?, il changeait de cible, et il gardait en r?serve le t?moignage du t?moin principal de l’accusation. Introduit sur une chaise roulante, Allquist, amaigri et les traits tir?s tient ? rectifier certains faits. ’Je n’ai jamais accus? Mademoiselle Shannah, que j’ai en grande estime, d’avoir tu? mon patron. Non, je n’ai pas tu? celui-ci. J’?tais en rage contre lui, car apr?s m’avoir promis successivement de baiser la fille, puis de le sodomiser, ce qu’il me demandait chaque jour, il m’avait pr?f?r? cet avorton qui n’est ni un homme, ni une poup?e. ’ De qui, voulez-vous parler ? ’ Je parle de Mary Pink, le type qui est assis ? droite, au premier rang du public.’ Montrez le du doigt’.Demande le pr?sident. Allquist d?signe d’un index tremblotant le blondin. ’ Voulez-vous dire qu’il a assassin? le financier Brown ? ’. ’Grand Dieu, non, il s’?tait enferm? dans la chambre avec Mis Shannah ’. ’Alors, c’est vous le meurtrier ?’. ’Je ne me souviens de rien, nous avons beaucoup bu, Brown et moi, on s’?taient r?concili?s et je lui avais donn? satisfaction ? sa demande. Il buvait encore pendant que je le p?n?trais. Il avait la t?te sur la table, et je voyais le d?sert qui entourait le ranch. Apr?s je suis sorti faire une ronde, je m’?tais rhabill? et je tenais mon L?ger ? la main. Je n’ai rien vu, mais j’ai re?u un coup sur la t?te et quand j’ai repris conscience, la police ?tait l? et je me suis ?loign? dans le d?sert. ’ ’Donc, vous ne savez rien, si j’en crois vos d?clarations ?’ ’Pas tout ? fait, Votre Honneur, il y a quelques jours, je regardais par la fen?tre du motel o? vous m’aviez enferm?, les d?tectives Mulliar et Richardson ?taient ? mes c’t?s et j’ai vu un homme qui me visait avec une carabine. J’ai re?u une balle ? c’t? du coeur, mais j’avais eu le temps de le reconna?tre, c’est un ancien espion de la Stasi qui a d?j? dans le pass?, tent? de tuer mon ma?tre le financier Brown, qui s’appelait en r?alit? Bauer, et avait ?t? directeur des op?rations internationales de la BDR. Le type qui a essay? de me tirer comme un lapin, s’appelle Oskar Reynecke. Le ciel semblait tomber sur la t?te de Fran?oise, ce sinistre personnage qui revenait de son pass?, n’?tait-il pas intern? en Allemagne.
Le pass? peut-il revivre ? ==========================
Le lendemain du proc?s, qui abandonne les charges contre Shannah et reporte le verdict ? quinzaine, Fran?oise apprend successivement que le nomm? Oskar Reynecke s’est ?chapp? depuis deux mois de la prison. Elle re?oit ce matin une carte illustr?e portant au recto le visage caract?ristique de Boris Karlov dans ’Frankenstein’, au verso une formule sibylline comme ? l’habitude ’ Les revenants s?journent dans nos pens?es. Prend bien soin de ta sant?. Sign? Oncle Gabriel’. Le message a pris du retard, pense notre h’tesse, et elle se demande qui dans son entourage peut renseigner le boss. Tr?ve de r?flexion, le Congr?s international des h’tesse navigantes s’ouvre demain ? New-York. Laissant Souria et Karim ? la garde vigilante de Tim, elle prend le courrier de N-Y avec Shannah. Le Waldorf arbore les drapeaux des pays participants. Fran?oise retrouve au bar du rez-de-chauss?e, de nombreuses copines qui travaillent sur des lignes ?trang?res, des anglaises, des russes, des finnoises, des cor?ennes et surtout de tr?s nombreuses am?ricaines aux uniformes multicolores qui repr?sentent les diff?rents compagnies. Toujours en civil, Fran?oise regagne sa chambre pour se mettre en uniforme, la tenue d’?t? d’Air-france, une robe l?g?re que par cette chaleur, elle porte comme ? l’habitude ? m?me la peau. Shannah, vautr?e sur le lit l’observe ’ Tu oublie ta culotte ?’. Tu sais bien, je ne mets jamais de culotte en uniforme, j’aime que la brise me caresse le poil, quand j’accueille les passagers’. La salle r?serv?e au Congr?s, tendue de drap gris-bleu o? s’affairent les d?corateurs des stands commerciaux parait immense ? Fran?oise qui doit prendre la parole en tant qu’ unique repr?sentante de la France. Elle monte ? la t
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