Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 50 J'aime
  • 5 Commentaires

Aire d'autoroute à sexe

Chapitre 1

Gay
Je venais d’avoir mon permis voiture, à peine 19 ans, un corps mince, cheveux courts, musculature fine et bien dessinée, un visage encore "ado". Trop à mon gout, mais libre de mes choix puisque majeur, indépendant et disposant d’un travail intéressant !
Je partais dans de la famille à 500 km de chez moi, en Bretagne. Alors que j’effectuais un "arrêt technique" sur une aire d’autoroute, je remarquais le manège bizarre de messieurs stationnés devant les wc mais restant au volant. J’allais à l’urinoir et commençais à me soulager par un beau jet d’urine. Un peu éclaboussé par le jet, je me recule lorsque je perçois une personne qui arrive derrière moi.  Je me déplace un peu pour laisser de la place au nouvel lorsque je constate qu’il n’avance pas. Un peu étonné, je tourne tête de son coté pour m’assurer qu’il y a bien quelqu’un. Je vois un homme d’une cinquantaine d’année, grand, dégarni sur le dessus, propre sur lui. Au premier coup d’oeil, on voit le bel homme, aisé, bien habillé. Bizarrement il reste en arrière. Intrigué, je regarde un peu plus. Et là je remarque son érection à travers le pantalon.
Choc assuré ! j’avais entendu parlé de cette catégorie de personnes sans trop y attacher d’importance. Je dois avouer que question "cul", si cela me taraudait régulièrement, je n’y prêtai pas une attention très soutenue. Trois ou quatre aventures avec des amies n’avait pas fait de moi un expert du sexe. Encore moins de ses variantes !
En un flash, je venais de comprendre que j’étais entré dans un monde que je ne connaissais pas, celui de la sexualité masculine.
J’ai senti une poigne puissante me saisir le bas ventre. En une fraction de seconde, j’avais l’érection la plus violente que je n’ai jamais eue !
Sonné, je regardais ma queue gonflée par l’émotion. Immédiatement, une rougeur écarlate envahissait mon visage alors que mes mains devenaient fébriles. Je remballais ma bite en catastrophe dans le pantalon et je quittais les lieux en regardant droit devant moi. C’est tout juste si j’entendis l’homme dire d’une voix posée "je suis là tous les jours de 17 à 18H, à bientôt" !
Remonté en voiture, je quittais les lieux sur les chapeau de roues .. quelques kilomètres plus loin, tout en roulant, je sentais ma queue exploser dans mon slip tandis qu’un flot de sperme noyait mon bas ventre ! L’odeur de mon foutre remontait jusqu’au narine. Jamais je n’avais vécu une telle situation, ni ressenti une telle émotion !
Durant mon séjour de quelques jours dans la famille, je repensais de temps à autre à cette histoire. Sans trop m’y attarder. Cependant, au fil des jours, l’idée de m’arrêter sur cette aire au retour faisait doucement son chemin.
Effectivement, rejoignant mon domicile, plus j’approchais de la fameuse aire d’autoroute en question, plus j’y pensais, plus j’étais fébrile ... et plus j’étais excité ! A un moment, je du admettre, sauf à me mentir, que je cherchais à recréer l’aire d’autoroute en question lorsque je reconnu les lieux ... situé sur la voie en sens inverses comme de bien entendu. La déception fut de courte durée, une dizaine de kilomètres plus loin, une sortie avec un pont au dessus de l’autoroute m’indiquait que je pouvais repartir en sens inverse. L’hésitation a été de courte durée, si hésitation il y a eu !
J’arrivais doucement sur l’aire afin d’observer les lieux et de repérer mon bonhomme. Rien ! personne ! Après quelques hésitations, je décidais d’attendre au volant. Je préparais ma carte routière pour me donner une contenance au cas où ....
J’étais là depuis plus d’une demi-heure et mon exploitation commençait sérieusement à redescendre quand une voiture arriva. Un homme seul en descend. Il se dirige vers les wc. Rien dans son attitude n’attire mon attention. Sauf que cinq bonne minute plus tard, il n’est toujours pas ressorti !
Je décide de pénétrer à mon tour dans le wc. Personne à l’urinoir et la porte du wc est ouverte, il n’est donc pas la dedans. Quelque peu étonné, je ressorts lorsque j’entends "pss, pss, psss, ...". Intrigué, je me retourne, ne vois personne. Puis je vois une main qui passe dans entrebâillement du WC et me fais signe ... compris !
L’homme que j’avais vu entrer dans le wc m’inspirait confiance. Il est propre, pas mal foutu malgré une quarantaine bien entamée. J’entre dans le wc. Il ferme derrière moi et me regarde de la tête au pieds. D’un signe de tête il me désigne mon bas ventre "je te suce ?". Sans me laisser le temps de répondre, ses doigts s’emparent avec dextérité de la tirette de ma braguette et la descend calmement. Mon sexe complétement tendu, fait le reste, il pousse presque brutalement la toile de mon short, mon érection est telle que ma bite est presque sortie. Mon bonhomme se met à genou et d’un mouvement avale ma queue tout en repoussant le prépuce pour me décalotter totalement.

La situation est tétanisante : les quelques pipes hésitantes des copines n’avait rien à voir avec ce fourreau doux et profond qui m’avalait par sussions successives. Sa main, également très douce, me massait les burnes, malaxait, pétrissait, tirait dessus. Petit à petit je repris un peu le contrôle de mes émotions. C’est là que je m’aperçoit que son autre main, me pelote les globes des fesses. C’est doux, c’est agréable, c’est excitant. Petit à petit cette main glisse vers ma raie. A moment il arrête de me peloter toute n continuant à m’avaler la bite. A l’aide d’une bombe qu’il a pris dans sa poche, il enduit ma raie d’un gel froid qui me fait sursauter. Je me recule brutalement. Aussi, il me rattrape par le bassin " ne t’inquiète pas, c’est un lubrifiant. C’est froid sur le moment mais tu vas très vite aimer". Très vite son double massage reprend sur mes couilles et dans ma raie. De ce coté là, les doigts se font plus précis sur leur intention ... un doigt vient avec insistance caresser ma rondelle. Ce n’est aps désagréable. Mais j’appréhende un peu la suite.
Dans les jours précédent je m’étais rencardé plus précisément sur ce que pouvais faire deux homme ensemble. Dans ma tête, pour savoir à quoi j’avais bien pu échapper quelques jours plus tôt. dan,s mon for intérieure pour identifier toutes les potentialités d’une rencontre de ce genre !
Après un long moment de ce traitement, mon bonhomme se redresse "enlève tes fringues, on va se faire un complet". Lui même dans la foulée se dévête. Il accroche ses vêtements au patère du wc et fait de même avec mes habits qu’il m’aide à enlever pour aller plus vite.
On est en plein été, il fait doux, presque chaud. Mais la situation ait naitre chez moi une chaire de poule sur la peau. Mon bonhomme le remarque, du bout des doigts, il caresse mon torse. Hésitant je fais de même sur son corps.
Il est bien foutu, pas gras, pas très poilu. Propre, son eau de toilette me caresse les narines ans les agresser. Je plonge mon regard vers son sexe. Il est aussi en plaine érection. Sa bite est de taille modeste.Comme la mienne, une quinzaine de centimètres, pas très grosse mais également bien dure. Complétement décalottée, sa verge est cramoisie à force d’érecter.
Ses lèvres s’emparent des miennes. Le contact est agréable. Sa langue sent ma bite. J’en reconnais l’odeur. Tout en m’embrassant, ses mains reprennent leur massage, une sur mes couilles, l’autre en excursion entre mes fesses. Puis, d’une main, il amène ma tête vers sa verge. Le moment de vérité est arrivé : je le suce ou je me sauve ?  Son insistance est douce mais ferme. Mis en confiance, je me laisse guidé. Arrivé à hauteur de sa bite, je ferme les yeux et pose mes lèvres sur le gland. L’odeur est caractéristique : douce, entêtante, enivrante. Sa main presse doucement ma tête vers sa bite comme une invitation à aller au fond des choses. J’entrouvre les lèvre, son gland s’immisce dans la faille. Je ne desserre pas les dents. Sa verge vient buter dessus puis se glisse sur le coté entre la peau de la joue et les dents. Sa bite ressort, j’ouvre la bouche pour reprendre mon souffle, sa queue s’engouffre dans ma bouche, totalement. Au point de me donner un spasme. Tout en me faisant astiquer sa bite par ma bouche, ses doigts enserrent mes tétons. Doucement il les tortille. Si au début, je ne ressentais rien de particulier, au bout de quelques minutes, mes seins me procuraient une sensation nouvelle. Une sensation qui allait jusqu’à irradier mon ventre. Je commençais sérieusement à fatiguer à sucer cette bite dure comme du fer quand j’ai senti des spasme sur la longueur de la verge. Puis très vite un liquide au gout bizarre m’envahir la bouche. En moi-même je pensais "salaud, il va me gicler dans la bouche". Je reculais pour dégager la bouche de ce pieu de chair. Et j’examinais avec curiosité le gland de mon bonhomme. En fait ce n’était que le liquide de pré-éjaculation. Mon bonhomme sourit "t’inquiète pas, je et préviendrai. Ça fait cela plusieurs fois avant d’être la bonne". Rassuré, je me remis à le pomper. Effectivement, une, deux , trois fois, un peu de liquide est venu envahir ma bouche. Je m’étais habitué au gout au point de trouver cela pas si désagréable que cela. A chaque fois mon bonhomme me rassurait et sa main guidait ma tête vers son dard.
La routine est dans le sexe comme dans toute activité, source de relâchement. Je pompais mon bonhomme avec application quand une énième alerte me laissa mon vigilant que pour les précédentes ... un flot de sperme envahit brutalement toute la bouche. J’avalais au moins le premier jet. Un gout très salé et une odeur très forte de sperme me saisissait. Aussitôt, mon bonhomme me redressa et me fourra sa langue dans la bouche pour aspirer le sperme qui s’y trouvait encore. D’une main habituée, il essuyait sa bite des trop pleins de sperme qu’il venait de gicler.
Puis sans autre préambule, il s’appuya sur le mur, se passa du gel dans la raie ... "mets la moi, tout de suite". Surpris mais très excité, je me plaçais derrière lui et présentais ma queue devant son cul. Un cul lisse, aux globes ronds. Assez excitant au final. Sa main se saisit sans ménagement de ma bite et la plaça devant son anus. "Vas-y, mets la !" Le ton était à la fois péremptoire et suppliant. J’étais sur une autre planète. Comme un somnambule, je poussais, il se cambra encore plus pour faciliter la pénétration. Je me surpris à bien regarder son cul pour savoir ou lui mettre. Je replaçais ma bite bien devant son cul et je poussais !
Tout d’abord, rien ! Comme un mur que l’on ne peut pas traverser. Je persévéré. Mon bonhomme poussa un petit râle. Je continuais, excité et frustré tout à la fois. D’un coup, je sentis sa rondelle céder. Le "haa" poussé à ce moment par mon bonhomme me confirma que j’atteignais mon but.
J’arrêtais là, mon gland engagé dans son cul, sans avancer ni reculer, pour reprendre mon souffle et mon contrôle.
La sensation sur ma bite était extraordinaire. Un fourreau serré et doux en même temps. Je restais là sans bouger un certain temps. Puis mon bonhomme dis "vas-y, mets la, vas-y doucement".
J’avançais, j’arrêtais, j’avais le sentiment de lui en mette des mètres ... je n’avançais que de quelques millimètres !  Mon bonhomme, lui aussi excité,  devenait impatient. Brutalement un poussa son cul vers l’arrière pour que ma bite le pénètre plus fort.
Cela déhancha chez moi un fanatisme assez ancien, voire de mes plus jeunes années : une pénétration brutale. Sauf que dans mes délire, j’emmanchais une nana ! là, c’était un mec.
Son mouvement des fesses pour me recevoir plus à fond libéra chez moi toute retenue. Je le pilonnais de coup rapides et poussés à fond. A chaque fois que j’arrivais à fond, il poussait un râlé "rhaaa", "rhaaaa" ... en quelques vas et viens, je senti ma queue se raidir encore plus et ma semence s’expulser avec jouissance et douleur de ma bite.
Une fois vidé, je restais collé à lui quelques instant avant qu’il ne s’écarte document. De grandes cernes lui marquaient le tour des yeux. Visiblement, il avait pris son compte. Moi aussi, j’étais vidé.
Nous nous sommes rhabillé en silence. Avant de quitter le wc mon bonhomme tenta de poser ses lèvres sur les miennes. Je détournais la tête, un peu honteux et généré de cette nouvelle expérience que je n’aurai même pas imaginé quinze jours plus tôt !
Alors que je rejoignais ma voiture j’aperçus le type qui avait attiré mon attention lors du voyage aller ... J’ai eu le sentiment qu’il nous avait épié.
Contact, marche arrière, manœuvre, marche avant : on tire un tarit sur ce qui vient de se passer ... jusqu’à la prochaine aventure sexuelle dont je sais maintenant qu’elle se produira tôt ou tard. Plutôt tôt que ... !
Diffuse en direct !
Regarder son live