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Aire de Gignac

Chapitre 1

Gay
Aire de Gignac 12h45. Peu de voitures sur l’aire. Il fait enfin beau et des mecs discutent entre eux près du fourré.Je suis en jogging, t-shirt, et je me dirige vers le fourré, je baisse mon jogging et me retrouve cul nu.Un homme arrive et je sens le souffle court dans mon cou, ce souffle chaud s’accompagne d’une grosse bosse que je sens au niveau de mes fesses. Il baisse son pantalon, et au niveau de mes fesses, je sens bien une barre qui se presse contre moi. Je me retourne vers lui et on s’embrasse.
Sa bite bande instantanément et je la prends en main.Après que mon compagnon leur ait fait signe, deux autres mecs qui nous observaient s’approchent de moi et m’obligent à me baisser vers la queue de mon beau jeune homme.En descendant, je palpe ce corps en regardant sa queue qui m’excite. Son visage est très jeune et son corps est celui d’un homme jeune puissant dans la pleine possession de ses moyens physiques et sexuels.
Il appuie ma tête contre son paquet et émet un souffle rauque.Un des gars retire comme il peut mon jogging encombrant. Je me retrouve nu, lui me tenant la tête et moi respirant l’odeur parfumée de son sexe.Sa bite est assez massive, ses couilles sont petites, mais très poilues.J’embrasse sa queue, ce qui a pour effet de la faire bander façon taureau. Elle est très large et doit bien atteindre les vingt bons centimètres.Je sens deux doigts qui forcent mon anus, pendant que j’entreprends d’engloutir son gland baveux. Il pousse sa queue dans ma bouche. La demande est très virile et je me sens soumis à ses désirs. Je sens des petites claques sur les fesses, mon beau gars m’oblige à faire une gorge profonde.
Je manque à chaque fois de m’étouffer.Sans ménagement, celui que je vais appeler Rémi, me baise littéralement la bouche avec son très gros dard. Je sens son chibre qui palpite dans ma bouche, il grossit de plus en plus, je m’accroche à ses belles fesses musclées et poilues pour ne pas tomber. Les autres soit me tapent avec leurs belles bites, me doigtent le cul, me prennent par les cheveux sans la moindre violence.
Tout d’un coup, Rémi me relève, il est là debout face à moi, sa queue forme comme un poteau en plein milieu de son corps, ses couilles ont presque disparu, je vois bien les veines de sa grosse bite.Les hommes me caressent, il me retourne et me fait pencher avant. Immédiatement, deux hommes prennent place devant ma bouche et me présentent leur belle queue, ils me violent la bouche.Derrière moi, Rémi demande à deux autres gars bien bâtis qui viennent d’arriver de m’écarter les fesses. Une lueur de lucidité me dit de m’échapper de ce traquenard sexuel, mais les trois hommes me maintiennent fermement. La pénétration va être inévitable et tant mieux. Rémi grogne, je prends le gel dans la poche de mon jogging abandonné par terre, je sens qu’il m’enduit mon cul de gel. Le contact de ce fluide me fait ouvrir sans maîtrise mon anus qui se contracte à chaque toucher.
Les gars respirent fort, ça sent l’homme prêt à jouir égoïstement...Le claquement de la capote rapproche de plus en plus la pénétration de mon corps.Je retiens ma respiration, je sens le bout du gland de Rémi se poser sur mon orifice. Le gel a l’air d’accélérer la progression de sa bite, mon cul est tellement sensible que je peux deviner même ses grosses veines. J’arrête de sucer mes deux gars pour souffler, mais Rémi me pénètre virilement sans se préoccuper de ma souffrance qui n’est d’ailleurs que très peu présente.
Je m’accroche aux reins d’un mec pour ne pas tomber. Rémi puissamment me possède maintenant de toute la longueur de sa belle bite. Je me sens investi comme avec un âne.Mais là au lieu de me laisser m’habituer à l’engin, il se met de suite à le retirer avec force et me l’enfoncer de plus en plus profond. Cette sensation de douleur se transforme petit à petit en plaisir. J’ai l’impression que mon cul mouille et que la pénétration se fait plus facilement, avec plus d’aisance. Le bruit que fait cette bite en sortant me rend fou. Quand Rémi m’attire vers lui pour la pénétration, je recule pour mieux me défoncer, les gars reprenant la farandole de leurs queues dans ma bouche, un 4ème homme s’approche de ma figure et j’alterne avec les trois bites dans ma bouche.
Ma prostate est malmenée, ma bite vit toute seule ce semblant de viol académique, je suis au maximum de bandaison, tous les gars me caressent de partout, chaque main provoque en moi un décuplement de sensations. Leurs mains viriles, calleuses, poilues valorisent mes cuisses, mes mollets, mon entrejambe, mes cheveux.
Je sens que je défaille parce que Rémi accélère soudainement le rythme, il doit suer sur mon dos, de sa sueur chaude d’homme en train de prendre du plaisir.Sa bite n’a plus aucune résistance, mon cul est devenu chatte pour ce bel et jeune étalon.Mes jambes me lâchent, je ne peux tomber, car les hommes me tiennent, je sens une vague incroyable de jouissance qui part de mon anus qui traverse mon corps et qui me donne un océan de plaisir. Rémi m’attrape par les épaules, et se soude à moi dans un coup de final magistral.
Il reste en moi ainsi plusieurs secondes, sa grosse bite ne semble pas vouloir dégonfler, alors que deux des mecs ayant joui sur mon visage remontent leurs pantalons, leurs shorts, leurs slips, lui capote pleine recommence à me bourrer. Ce travail à nouveau provoque dans mes entrailles des sensations nouvelles. Je suis repu et je dois subir encore des coups de boutoir de ce mâle en rut. Je râle, mais deux autres hommes me tiennent avec force, m’enfonçant tour à tour leur queue dans la bouche, la chaleur de mon cul qui grandit rapidement, ma bite se met à juter sans que j’y fasse quoi que ce soit comme si ma prostate était pressée de l’intérieur, cette jouissance me fait voir des étoiles, mes jambes fléchissent à nouveau. Je ne peux plus serrer mon anus qui est dilaté au maximum. Rémi décule d’un coup puis m’asperge sur mon dos d’un flot de semence encore important. Un des deux hommes prend sa place et mon cul dilaté s’accommode très vite de cette nouvelle pénétration.
En quelques secondes, il va déculer et jouir sur mon dos. Le sucé jouit alors violemment et Rémi, fier de sa prestation virile, me donne sa grosse bite encore énorme à sucer. Je la sens prête à défoncer un petit cul comme le mien, mais je n’en peux plus et le lui dis.
On allume une cigarette, et de sa voix forte, il dit : c’est bien les gars, vous m’avez bien aidé, et toi petite salope, je vois que tu as bien pris ton pied, ce fut un bon moment.J’en bande encore.Tout cela s’est vraiment passé sur l’aire de repos de Gignac la semaine dernière en début d’après-midi.
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