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Akiko la japonnaise

Chapitre 1

Hétéro
Akiko la japonaise.
(pure fiction écrite en 09.2010).

Depuis quelques années, j’avais remarqué que dans la grande ville voisine, il y avait de plus en plus d’étudiants asiatiques des deux sexes. Lorsque je suis entré à l’université et que grâce à mon statut de boursier j’ai bénéficié d’une chambre à la Cité U, j’en ai eu la confirmation. Dans toutes les classes, il y en avait : Chinois, Coréens, Japonais, Indochinois...

Si dans la journée, ces étudiants et étudiantes s’efforçaient de parler en français ou en anglais, le soir dans les couloirs, on se serait cru en Extrême orient, d’autant que parfois des odeurs de cuisine exotique se répandaient elles aussi dans les couloirs.

Il y a quelques semaines, je faisais mon footing autour du plan d’eau qui est situé près du campus. Je profitais de ces belles soirées d’un été indien particulièrement clément cette année pour essayer de garder la forme avant les mois d’hiver. Là, j’ai croisé deux asiatiques que j’avais déjà vues sur le campus et dans les amphis. Nous n’avions pas sympathisé particulièrement, nous contentant de nous saluer brièvement.

Ce soir là, je me suis arrêté à leur hauteur et nous avons bavardé un peu avant de reprendre tous les trois la direction de la cité U. C’étaient deux étudiantes japonaises qui après avoir suivi un cursus d’histoire dans leur pays étaient venues en France pour étudier l’histoire de la Seconde Guerre mondiale vue de l’Europe. Elles se prénommaient respectivement Chika (sagesse) et Akiko (enfant de l’automne).
Elles étaient assez semblables avec leurs longs cheveux noirs et leurs yeux marrons foncés, un petit nez légèrement épaté au-dessus d’une bouche bien dessinée dans un visage aux pommettes un peu marquées complétaient leur portrait. Elles n’étaient pas très grandes, entre un mètre soixante et un mètre soixante cinq mais elles avaient une silhouette longiligne que je me plaisais à deviner sous leurs vêtements épais.

Nous habitions deux bâtiments de la Cité U proches l’un de l’autre et lorsque nous nous sommes quittés, je leur ai dit que si elles voulaient bavarder en français, je pouvais les aider. Je pouvais aussi les aider en les transportant avec ma voiture sur les différents lieux de mémoire intéressants pour leurs études.

Cette nuit là fut peuplée de rêves érotiques où je voyais mes deux Japonaises se partager mes faveurs, suçant à tour de rôle mon sexe turgescent.... Depuis plusieurs années, je fantasmais sur ces jolies fleurs exotiques depuis que j’avais vu un film X avec une actrice franco-vietnamienne. J’imaginais leur douceur et leur savoir-faire érotique... et ça me faisait rêver.

Dimanche dernier, alors que je revenais d’être allé passer le week-end chez mes parents, j’ai rencontré Akiko dans le hall de mon immeuble.

— Je te cherchais !
— Qu’y a-t-il ?
— Nous n’avons pas de cours jeudi, peux-tu nous emmener comme tu l’as proposé ?
— Bien sur mais il faut que je vérifie mon emploi du temps.

Nous sommes montés jusqu’à ma chambre. Effectivement, j’étais libre aussi le jeudi. Je n’avais que deux heures de cours de 8 à 10 heures.

— OK ! Rendez-vous au parking à 10 heures 30 !
— Ça marche !

Cette jolie fleur s’exprimait avec un accent chantant légèrement nasillard que je trouvais tout à fait charmant et je commençais à entrevoir autre chose qu’une simple relation de camaraderie. Quelle n’a pas été ma surprise lorsqu’Akiko s’est allongée sur mon lit en relevant ses bras au-dessus de la tête. Dans ce mouvement elle a bombé le torse et j’ai vu immédiatement que cette coquine ne portait pas de soutif : Les pointes de ses seins saillaient sous le tissu fin de son sweat-shirt. En même temps sa jupe, très courte, était également remontée sur ses jambes dévoilant à peine son petit abricot tout rose dans la fourche de ses cuisses.

C’était une invitation sans équivoque... Je ne suis assis près d’elle sur le lit et je l’ai enlacée. Nos bouches se sont jointes en un baiser ardent alors que ma main droite partait explorer les dessous de sa jupe. Son petit abricot aux lèvres très charnues était tout lisse mais au-dessus du clitoris, il y avait une touffe de poils noirs qu’au toucher je devinai non disciplinée...

Akiko s’était pressée contre moi qui la serrais doucement dans mes bras. Je sentais ses seins menus mais durs et pointus contre mon torse. En la maintenant contre moi avec un bras passé autour de la taille, j’ai glissé mon autre bras sous son sweat-shirt pour aller cueillir ses tétons et les faire rouler entre mes doigts.

Je ne sais pas ce qu’elle a dit en japonais quand je lui ai prodigué cette caresse mais elle semblait apprécier. Nos baisers étaient de plus en plus chauds et mon sexe était dressé depuis bien longtemps dans mon slip. Akiko s’est défaite de mon étreinte et elle est venue me chevaucher pour être face à moi qui étais assis sur le bord du lit. Elle a mis ses cuisses de part et d’autre de mes hanches pour se frotter contre moi et sentir ma bite qui n’en pouvait plus...

Nous n’avions encore quitté aucun de nos vêtements. Akiko portait encore sa jupe plissée (40cm de haut au maximum), son léger sweat-shirt et des bottes à talon arrivant sous les genoux. De mon côté, j’avais encore mon tee-shirt, mon pantalon de jogging et mon slip. Nous avions ôté mutuellement nos hauts. Je découvris la merveilleuse poitrine d’Akiko, menue avec des seins bien ronds et des tétons proéminents. Etaient ils sortis ainsi parce que je les avais caressés quelques instants auparavant ?

Je me suis mis à mon aise. En quelques secondes j’étais entièrement nu. Dans le même temps Akiko s’était débarrassée de ses bottes et allongée sur le lit. La jupe troussée autour de la taille, elle me tendait les bras :

— Viens ! Depuis que je suis en France je n’ai plus fait l’amour ! J’ai envie de toi !

Comment résister à cette invitation ? Depuis bien longtemps j’ai toujours dans mes affaires une provision de préservatifs. On ne sait jamais sur quelle bonne fortune on va tomber et cela servait parfois pour dépanner des copains...

Je me couvris rapidement et d’une seule poussée lente et progressive, je m’introduisis dans le fourreau humide de ma jolie japonaise. Heureusement que j’allais doucement : Oulla ! Qu’elle était étroite ! Je n’ai pourtant pas un sexe surdimensionné mais là, j’étais serré comme si je baisais une pucelle.

Lorsqu’Akiko fut habituée à ma présence au fond de sa chatte, je commençai les va-et-vient, tout doucement puis au fur et à mesure que je sentis sa jouissance monter, j’allais de plus en plus vite dans un mouvement ample en veillant à ne pas sortir de son sexe. Là encore elle prononça des mots sans suite dans sa langue ou en anglais où elle exprimait son plaisir. Soudain elle poussa un cri strident au moment où son corps se tétanisa de jouissance.

Je me suis retenu de jouir car je voulais profiter le plus possible de cette fille qui s’était offerte ainsi. Je restais fiché dans sa chatte étroite et chaude et avant de reprendre mes mouvements, je la laissai récupérer un peu en lui disant des mots doux au creux de l’oreille. Et elle me répondit :

— Fais-moi encore l’amour ! Fais-moi jouir comme ça encore une fois !

Oh bien sur, j’allais recommencer ! Je redressai mon buste pour moins peser sur elle et je repris mes mouvements alternatifs. Mais là, à chaque fois, je sortis de sa chatte pour mieux y entrer à nouveau. Elle était tellement humide que c’était très facile de faire coulisser ma bite dans sa chatte, même si elle était étroite. Elle fermait les yeux et ramenait ces longs cheveux sur son visage. Je ne voyais  plus que sa bouche aux lèvres si délicatement dessinées, entrouvertes laissant voir ses dents d’une blancheur absolue.
Bientôt la jouissance nous emporta en même temps, je lançai quelques jets de sperme au fond du préservatif et je restai plusieurs minutes ainsi, savourant mon plaisir. Nous nous sommes désunis et nous nous sommes glissés dans les draps. L’étroitesse du lit fit qu’Akiko se blottit dans mes bras, nos jambes mêlées, pubis contre pubis et nous nous sommes endormis ainsi jusqu’au petit matin.

Depuis cette nuit mémorable, je revois régulièrement Akiko. Nous nous sentons bien ensemble et presque chaque fois, nous faisons l’amour et passons la nuit ensemble. Elle m’a présenté à plusieurs de ses copines asiatiques :

— Mon amant français qui me fait si bien jouir !

Voudrait-elle faire profiter ses copines de mon sexe ? Eh bien, elle se trompe. C’est elle que je préfère... au point que j’ai entrepris d’apprendre sa langue pour aller finir mes études au Japon.
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