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Alain . . .

Chapitre 1

Le début d'une belle relation adultère.

Erotique
Depuis la rencontre que j’ai faite au port Leucate avec ce promeneur, je n’ai pas eu d’aventure. On va dire que je suis restée sage quelques semaines. Entre le travail, la maison, mes activités et loisirs, je n’avais pas la tête à ça, mais aussi pas l’occasion.
Mais une rencontre totalement inattendue au mois de juillet 2017 : j’ai fait la connaissance d’un homme. Bien conservé, vraiment bel homme. Jamais je n’aurai pensé que cet homme allait changer ma vie autant que ça !
Avec cet homme, il y aura plusieurs chapitres. Chaque chapitre sera une nouvelle aventure avec Alain.
Notre rencontre s’est faite bêtement aux pompes à essence. En effet, je m’étais garée devant une pompe 24/24, et ma carte bleue ne fonctionnait pas sur l’appareil. A plusieurs tentatives, le résultat était le même. Je sais qu’il peut m’arriver que ma carte bleue ne passe pas à cause d’un petit découvert que je peux avoir de temps en temps, mais cette fois-ci, j’étais sûre du solde que j’avais, et il n’y avait aucune raison que la carte ne passe pas.
Une voiture était en attente derrière la mienne. Je fais un signe au conducteur avec un joli sourire comme pour lui dire que j’étais désolée de le faire attendre. En me souriant, il descend de sa voiture, se dirige vers moi, pour me proposer son aide.
Je lui explique le problème de carte bleue, il me propose donc d’éloigner ma voiture pour y mettre la sienne afin de voir si cela faisait la même chose avec sa carte bleue. Mais non ! Sa carte bleue fonctionne ! ! ! ! Alors ! Pourquoi pas la mienne ? ? ? Il peut croire que je n’ai pas le solde sur mon compte, et à cette idée, je suis quelque peu gênée.
Il me propose d’aller à la pompe voisine, ce que je fais, et là ! Par miracle, ça fonctionne ! Pourquoi ? Je ne sais pas.
Je fais mon plein, il reste à côté de moi, et, une fois que le plein de carburant est fait, Alain me propose de m’offrir un verre au bar de la galerie marchande de la grande surface. J’accepte.
Nous garons nos voitures sur le parking, en face de la cafétéria et descendons pour se rejoindre. Il me propose d’aller à l’intérieur au lieu de la terrasse, ce sera plus confortable avec la climatisation que de rester en plein soleil, même s’il y a des parasols.
Ce Monsieur est galant, il ouvre la porte et m’invite à entrer la première. J’imagine son regard se poser sur moi dans mon dos puisque je suis habillée d’une minijupe qui moule mes fesses cambrées, de chaussures à talons de 8 centimètres et d’une petite veste.Mon maquillage est discret. Un rouge à lèvres nacré rose, un peu de noir autour des yeux, mes cheveux attachés en forme de chignon. Quand il fait chaud comme en ce mois de juillet, j’évite de me maquiller de trop, le maquillage arrive à couler. (Je sais, pas très sensuel ce que je dis). Mais c’est juste une réalité tout à fait normale.
Nous nous installons à une table, puis il se présente comme un homme qui habite dans les alentours, juste à la retraite et que sa femme est encore en activité pour un an. Je sais qu’il a 64 ans, et qu’il s’ennuie un peu à la retraite. Il me dit qu’il a toujours travaillé et, de se retrouver libre comme le vent lui manque un peu. Je comprends que c’est un homme actif et qu’il n’a pas les pieds dans le même sabot.
Je lui raconte aussi un peu ma vie, que je suis également mariée, que je suis aide-soignante, que ma vie est assez remplie de part mes loisirs. Je lui raconte un peu mes loisirs. Je fais de l’équitation d’un bon niveau, que je fais des concours hippiques en CSO, et un sport de self-défense que mon mari m’inculque.
Au bout d’un moment, il se lève en s’excusant, il doit aller aux toilettes. De ce fait, j’en profite pour sortir dehors pour fumer une cigarette et, en même temps, j’en profite pour déboutonner un bouton de mon chemisier afin de laisser paraître légèrement la naissance de ma poitrine. (Je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça alors qu’il ne me draguait pas du tout. En revanche, j’ai aperçu à plusieurs reprises son regard vers ma poitrine. Et je me suis laissé dire que peut-être, j’aurais l’occasion de lui dire au revoir en lui faisant une petite pipe dans sa voiture...) Depuis quelques jours, j’ai envie de recevoir un nouveau sexe entre les lèvres autres que celui de mon mari. Il y a pas mal de temps que je n’ai pas eu cette occasion.
Quand il revient, il est étonné de ne plus me voir à notre table. Je lui ai fait un signe et il est revenu me rejoindre à l’extérieur.
Une fois ma cigarette terminée, nous sommes retournés à notre table.
Cela fait environ une heure que nous sommes à cette table. Il me demande mon numéro de téléphone, mais je lui ai dit que je ne le donnais pas, afin de ne pas avoir d’éventuels problèmes avec mon mari. Alors nous nous sommes échangé nos adresses mail.
Nous nous sommes dit au revoir et sommes partis chacun de notre côté.
Je me serai bien laissé tenter de lui faire une petite gâterie avant de la quitter, mais les circonstances ont fait que je n’ai pas trouvé l’occasion de lui dire ou de lui faire comprendre. J’étais un peu déçue, mais je me suis dit que ce n’était pas plus mal, d’autant plus qu’il habite dans les environs d’où je me trouve.
Le soir même, je reçois un mail de sa part me remerciant de ce moment passé, et qu’il me trouve très charmante. Nous nous sommes donc échangé quelques mails et je me suis aperçu qu’il me draguait alors qu’au bar, il n’avait rien fait pour me charmer.
Au bout de quelques messages, il m’avoue qu’il aurait aimé passer un bon moment avec moi, mais qu’il n’a pas osé me le dire ou me le faire comprendre.
C’est à partir de ce moment que le déclic est arrivé, quand je lui ai dit que c’était bien dommage pour lui, parce que j’aurai bien été tentée de lui faire une gâterie dans sa voiture avant de le quitter. Que cette envie m’avait traversé l’esprit.
Son langage a changé pratiquement aussitôt. Il est devenu plus ardent et beaucoup plus ouvert, direct.
Il m’a écrit qu’il n’en revenait pas que je pouvais être comme ça alors qu’il n’a rien vu quand il était en face de moi. Par contre, qu’il avait remarqué qu’un bouton de ma chemise avait été retiré le temps qu’il aille aux toilettes. Je lui écris que c’était normal, c’était pour qu’il se rince l’œil.
Ce soir-là, par mail toujours, il m’a demandé s’il était possible de se revoir le lendemain, et que je lui fasse cette gâterie loupée dans sa voiture... Ma réponse a été positive puisque je ne travaillais pas ce jour-là.
Nous nous sommes donc retrouvés le lendemain sur le parking, je suis montée dans sa voiture et nous sommes allés à quelques kilomètres sur une route de campagne. Il s’est garé dans un chemin de bois.
A peine le moteur stoppé, il a fourré ses mains dans ma chemise et a sorti rapidement mes seins pour les malaxer. Je l’ai laissé faire car j’aime quand un homme s’excite sur mes seins.
Ce qui m’a plu, c’est qu’il a commencé à me dire des mots coquins (petite salope, tu vas me sucer comme une chienne,...) J’aime quand on me parle ainsi.
Je lui ai simplement répondu qu’il suffisait qu’il la sorte et qu’il verrait comment je vais l’avaler. Ni une ni deux, il a débraguetté son pantalon, m’a tiré par les cheveux et carrément mis son sexe dans la bouche ouverte. Il m’a littéralement baisé la bouche en me tenant la tête et en faisant lui-même des va-et-vient.
J’avais l’intention de lui faire une douce fellation, lente, mais je ne pouvais pas faire ce que je voulais, alors je l’ai laissé faire. J’avais juste à creuser les joues pour faire l’effet de succion et me suis laissée baiser la bouche ainsi.
A un moment donné, en me tirant les cheveux, il pousse ma tête pour me donner des coups de sexe sur le visage. Un peu violent le monsieur tout de même ! !
Après avoir reçu plusieurs coups de sexe sur le visage, il a remis son sexe pour me rebaiser la bouche ! Le va-et-vient a duré une minute, peut-être deux grands maximums, et j’ai compris qu’il allait jouir quand il a poussé un premier râle. Au deuxième râle, j’ai senti sa liqueur chaude envahir ma bouche en bloquant ma tête de façon à ce que je ne puisse pas me retirer.
— Avale salope ! Avale tout ! ! Je ne veux pas voir une seule goutte sortir de ta bouche !
Chose que j’ai faite, mais avec un peu de mal, car j’ai été prise au dépourvu et je ne salivais pas du tout.
J’ai ensuite passé ma langue sur son gland pour nettoyer, l’ai repris doucement en bouche et voilà. Je me suis essuyé les lèvres.
Je voulais sortir de sa voiture pour fumer une cigarette, mais il m’a dit que je pouvais fumer dans sa voiture en ouvrant les vitres. Ce que j’ai fait.
En fumant ma cigarette, je lui ai tripoté son sexe. Tellement bien qu’il s’est mis à durcir lentement dans ma main ! (Vivace l’homme de 64 ans !)
Je me suis prise au jeu et j’ai commencé une lente masturbation. Il m’a demandé s’il pouvait me prendre, qu’il avait des préservatifs dans sa boîte à gants. Je lui ai dit que je ne faisais que sucer, mais pas envie de me faire prendre. Il m’a donc embrassé le temps que je le branle. Sa bouche sur la mienne, ses mains sur mes seins à les peloter, et moi à le masturber lentement, j’aimais cette situation.
— Mais c’est que tu vas réussir à me faire gicler une deuxième fois petite garce ! — C’est vrai ? — Oui, c’est vrai ! Il y a bien longtemps que je n’ai pas rebandé deux fois de suite en si peu de temps.— ça veut dire que je te fais de l’effet. C’est plaisant pour moi. — Tu peux le dire que tu me fais de l’effet ! Tu es une vraie petite chienne. Une salope de femme qui trompe son mari.— Je ne le trompe pas aussi souvent que tu peux le croire. — Je ne te crois pas ! Une femme qui se fait amener dans une voiture pour faire une turlute, c’est juste une salope qui aime la bite !— Je ne le fais pas d’habitude. — Ferme ta grande bouche de suceuse ! Branle ! En plus, tu vas réussir à me faire gicler une deuxième fois si tu sais bien t’y prendre !
Je m’affaire à conserver le même rythme de la masturbation. Je le trouve un peu grossier et je ressens un certain manque de respect vis-à-vis de moi. Je pense à ce moment précis que j’ai fait une grosse erreur de le suivre dans sa voiture. Il ne me donnait pas du tout cette image au bar hier et dans ses mails.
— Branle-moi un peu plus vite ! Serre un peu plus ta main ! Dis-moi que tu aimes la bite !—... (Je ne réponds pas, mais continue à le masturber)— Je t’ai demandé quelque chose !— Je prends plaisir à te masturber.— Ce n’est pas ce que je t’ai demandé ! Dis-moi que tu aimes la bite ! Tu veux une baffe ou quoi ? — J’aime la bite.— Regarde-moi dans les yeux et redis-le-moi ! — J’aime la bite ! (En le regardant dans les yeux)— Tu vas me faire gicler chienne, continue, je viens ! ! !
Aussitôt, j’accélère le rythme, je sens une petite quantité de sperme dans la paume de ma main. (Il devait être très excité car après avoir éjaculé avec ma bouche une vingtaine de minutes après, il a éjaculé une deuxième fois avec ma main !)
Voyant le temps passer, je me suis essuyé les mains avec du papier que j’avais prévu, et lui ai dit que je ne veux pas rentrer si je ne veux pas donner de doutes à mon mari qui était à la maison.
Il m’a ramené sur le parking, on s’est dit au revoir. Il m’a bien remercié.
Le soir, je reçois un mail de lui pour m’excuser d’avoir été un peu dur avec moi et de m’avoir traité comme il l’a fait. Je lui ai répondu que ça ne m’avait pas du tout déplu.
Deux jours après, je reçois un mail d’Alain me demandant si je pouvais me libérer pour que nous puissions nous revoir. La seule journée où je suis en repos est le vendredi. Mon mari n’étant pas là, l’après-midi, je lui propose.
Le vendredi après-midi, nous nous retrouvons sur le même parking de la grande surface. Nous allons boire un verre comme à notre première fois.
— Alors jolie Nathalie, tu es contente de me revoir ? — Oui, ça fait plaisir. — Si j’ai bien compris, tu aimes bien quand un homme de maltraite ? — J’aime bien me sentir dominée, mais je ne suis pas dans le SM. — Dominée, explique-moi un peu mieux s’il te plaît. — Et bien, je veux dire que j’aime quand mon partenaire prend des initiatives, qu’il me guide, qu’il soit autoritaire, sans être la soumise, attachée et fouettée.— L’autre jour dans ma voiture, comment as-tu réagi par rapport à mon comportement ? — Pour être franche, je t’ai trouvé un peu brutal, surtout parce qu’on ne se connaît pas, et j’ai trouvé que tu as été un peu trop vite. — D’accord, il ne faut pas te brusquer donc ? — C’est ça.
Il me regarde droit dans les yeux, met sa main sur la mienne qui est posée sur la table.
— Je vais te proposer un marché. — Oui ? — Un marché que tu es libre de refuser.— D’accord, dis-moi.— D’abord, acceptes-tu que nous ayons une relation suivie et régulière ?— Oui, j’en serai ravie.— Je voudrais faire de toi ma soumise. Je ne parle pas du niveau SM, mais d’une femme que me sera soumise, c’est-à-dire qu’elle fera ce que je lui demanderai, se laissera guider. — Si une femme soumise est comme ça pour toi, ça me va. — Très bien ! Tu as dû le remarquer, je suis assez dirigiste et autoritaire. — Oui, j’ai remarqué. — Mais ça ne te déplait pas ? — Pour dire la vérité, non, ça ne me déplait pas.— Tu aimes recevoir la fessée ? — J’ai eu l’occasion de recevoir la fessée, et je ne te cache pas que j’aime bien oui. — Ne t’inquiète pas, je ne vais pas te donner la fessée sans motif. Mais je te t’administrerai une fessée quand j’estimerai qu’elle est justifiée. — Ah oui, quand même ? Tu comptes me donner des fessées alors ? — Une soumise reçoit toujours quand elle le mérite. — Marché conclu. — Tu as le temps de finir ton verre, et on va aller dans le même coin que l’autre jour. Tu sais ? Le chemin. J’ai envie de toi. — On peut retourner au chemin de la dernière fois. Par contre, je tiens à soulever un point qui est important pour moi. — Oui, dis-moi, c’est le moment de faire le point. Tu as raison de m’en parler. — Je veux bien être ta soumise, je veux bien que tu joues avec mon corps, que tu m’insultes, mais dans l’immédiat, je ne souhaite pas de pénétration de ta part. — Ah bon, tu ne veux pas que je te prenne ? — Pas pour le moment. Nous verrons comment évolue notre relation, mais pas dans un premier temps. C’est juste par rapport à mon mari. — Bon... D’accord, je respecte. On y va ? — Oui.
Nous sortons du bar et nous nous dirigeons vers sa voiture. Nous la prenons dans le seul but d’être un peu plus discrets. Deux voitures garées l’un derrière l’autre attirent davantage les regards qu’une au fond d’un chemin. Nous roulons une vingtaine de minutes. Alain tourne en direction le chemin, et va un peu plus loin que la dernière fois. Il arrête le moteur, pousse son siège vers l’arrière au maximum, se tourne vers moi.
— Pourquoi tu t’es habillée comme ça ? — Hein ? Quoi ? Pourquoi tu me demandes ça ? Je suis mal habillée. — Non, pas du tout, tu es très bien habillée, mais tu savais que tu allais me rejoindre, alors tu aurais pu t’habiller un peu plus sexy. — Comment ? — Tu aurais dû mettre une minijupe, un bon décolleté, et être maquillée un peu plus provocant. La dernière fois, tu étais habillée plus sexy que ça.
J’avoue que sur ma tenue vestimentaire, je suis restée simple. Habillée d’un pantalon blanc en toile, pourtant moulant, d’un haut beige, qui laisse deviner une grosse poitrine, et des chaussures de ville à petits talons. Quant au maquillage, très discret. Un peu comme quand je vais travailler. Mes cheveux libres.
En prenant une poignée de cheveux dans une de ses mains, il tourne ma tête vers lui.
— Tu sais ce que ça mérite de ne pas avoir été habillée sexy pour venir me voir ? — Oui.— Qu’est ce que tu mérites ? — Que je vais devoir te faire une pipe. — Non ! Ça mérite une fessée ! — Pas ici, ce n’est pas possible.— Et pourquoi ? — On peut être vu. — Alors ce n’est pas possible de recevoir ce que tu mérites ? — Non.— C’est qui qui doit dire si c’est possible ou pas ? ! — Toi.
Il lâche la poignée de cheveux, ouvre la portière de sa voiture, descend, fais le tour de son véhicule pour se trouver devant ma portière. Il l’ouvre.
— Descends !
J’hésite un peu et descends.
— Déboutonne ton pantalon et descends-le jusqu’aux genoux !
Je suis devant lui, je déboutonne le premier bouton du haut, et continue à déboutonner les trois autres boutons. Je me dandine un peu car mon pantalon me serre, pour enfin l’avoir baissé jusqu’aux genoux.
— Retourne-toi et prends appui sur le capot avec tes mains.
Je fais exactement ce qu’il me demande en m’appuyant sur l’aile de sa voiture.
— Tu as un cul toi ! Tu en es consciente ? — Oui, on me le dit souvent.— Tu dois en faire bander plus d’un !
D’un coup, je reçois une claque sur la fesse droite. Je sens mon string rejoindre mon pantalon au niveau de mes genoux. Me voilà les fesses nues, à l’air !
— Tu la veux ta fessée ? — Oui.— Tu la mérites hein ? — Oui.— Et pourquoi tu la mérites ? — Parce que je ne me suis pas habillée assez sexy.— Très bien. C’est pour ça que je vais te botter le cul.
Une claque, une deuxième, et une troisième. Je suis debout, courbée vers l’avant, appuyée sur l’aile. Sa fessée est douce et ferme. Je ressens un homme qui aime et qui sait administrer la fessée. J’aime bien.
— Ton cul devient rouge ! Tu as mal ? — ça commence à me chauffer.— Alors, tu n’as pas assez chaud au cul si tu n’as pas de douleur.— ça commence à me faire mal.
Je ne suis pas en mesure de compter combien de temps il a frappé mes fesses, mais je dirais un bon quart d’heure. J’ai mal, mais sans être vraiment une douleur. Il a finalement arrêté de me fesser, et ses mains sont devenues plus douces. Il me malaxe les fesses, se frotte dessus, se baisse et les embrasse.
Ses caresses et ses baisers apaisent légèrement le petit échauffement que je peux avoir. Quand soudain, il se relève, et je sens aussitôt son sexe se frotter sur mon fessier. Je n’ai même pas vu qu’il a sorti son sexe !
— Tu ne me pénètres pas hein ! — Non, je n’ai pas l’intention de te prendre. Juste caresser ton joli cul avec ma bite. Ça ne te plaît pas ? — Si, ça me plaît. J’aime la sentir se promener dessus. — Je préfère ça !— Tu sais quoi ? J’avais prévu que tu me tailles une pipe, mais je vais changer le programme, je vais me branler sur ton cul et le souiller comme il le mérite. Un cul pareil, ça demande des claques et du sperme ! — Oui, fais-toi plaisir dessus. Souille-le.
Je reste dans la même position, appuyée sur la voiture, cambrée. Je me dandine devant lui pour l’exciter. Je tourne la tête, et le vois debout juste derrière moi, tenant son sexe dans la main, à se masturber frénétiquement.
— Je vais jouir salope. Tu le veux mon sperme sur ton cul à être enculé ? — Oui, vide-toi dessus.— Humm... Je viens ! ! Ahhhh.
Pratiquement aussitôt, je sens son liquide chaud venir frapper mes fesses. D’une quantité plutôt abondante, il ne dit rien, frotte sa verge lentement sur la totalité de mon fessier.
— Merci, c’était très bon et excitant.
Je me redresse, me retourne pour être en face de lui, le pantalon toujours au niveau de mes genoux. Il dépose un baiser sur mes lèvres et me sourit.
— Tu es tout simplement parfaite. — Merci. J’ai bien aimé cet instant. — Moi aussi. Ça va la fessée ? (Avec un sourire)— Oui, ça va. C’est juste un peu chaud. Tu m’as bien corrigé.
Le sperme sèche sur mes fesses.
— Je peux essuyer le résultat de ton plaisir ? — Oui, bien sûr. Attends. Ne bouge pas, j’ai ce qu’il faut dans la voiture.
Il fouille dans la boîte à gants, me tend un paquet de mouchoirs en papier. Je m’essuie et me rhabille. Il en fait de même.
— On peut se revoir quand ? — Je te dirai ça. Ça dépend de mon planning. Pas avant la semaine prochaine de toute façon. — On se tient au courant.
Je m’assois sur le siège passager en laissant la portière ouverte, il est devant moi, debout et nous discutons.
— Bon, je vais te ramener à ta voiture. L’heure tourne. — Tu ne veux pas une petite pipe avant de me ramener à ma voiture ? — Mais tu es incroyable toi ! — Je suis sérieuse. Si tu veux que je te suce, ce sera avec plaisir. — Non, j’aurais bien aimé, mais il va falloir que je rentre chez moi. Ma femme ne va pas tarder à rentrer. C’est mieux que je sois là. — D’accord. Puis moi aussi, il va falloir que je rentre chez moi.
Quand nous arrivons à ma voiture, il m’embrasse rapidement sur la bouche.
— A bientôt ? On se tient au courant ? — Oui, je te dis mes disponibilités. — Tu ne veux toujours pas me donner ton numéro de téléphone ? Je t’enverrai uniquement des SMS. Ne t’inquiète pas, je suis marié moi aussi. — Bon, d’accord, je te le donne. Tu as raison, ce sera plus simple pour nous.
Quand j’arrive chez moi, je suis mélangée par remords et plaisir, mais aussi par une certaine excitation. Je file vite sous la douche, sous laquelle je me donne du plaisir solitaire. La fessée reçue cet après-midi m’a excitée. J’avoue... J’aime recevoir la fessée. Celle d’Alain est dosée exactement comme il le faut, entre douleur et plaisir.
Le soir de cette même journée, j’étais déchaînée et excitée. Mon mari et moi avons fait l’amour comme deux petits coquins. La seule chose que j’appréhendais un peu, est qu’il passe dans sa tête de me fesser. Mais je suis passée à côté.
Le week-end passe, le lundi aussi, et je n’ai pas de nouvelles d’Alain. Je ne peux pas le contacter, n’ayant pas son numéro. Alors j’attends, car j’aimerais le revoir. Cette relation me plaît bien pour le moment.
Mardi après-midi, un SMS d’Alain !
— Bonjour Nathalie. Je dérange ? — Bonjour Alain. Non, tu ne me déranges pas. J’ai travaillé ce matin, je suis seule chez moi. — Tu attendais de mes nouvelles ? — Oui... — Très bien. Bonne réponse.— Si j’avais mal répondu ? — Je suis le seul à en décider, tu n’as pas à me demander. — D’accord. Pardon.
J’aime son ton autoritaire. C’est un homme qui a du charisme. Il est sûr de lui, et sait me diriger. Je me demande jusqu’où cette relation peut aller, mais j’ai envie de découvrir. Je suis curieuse et me surprends à jouer le jeu.
— Tes disponibilités ? — Jeudi après-midi, jusqu’à 17H00— Tu veux venir chez moi ou il te semble trop tôt ? Sinon, nous irons dans notre chemin.
Je réfléchis quelques instants. C’est vrai que dans le chemin, nous pouvons être vus à tout moment. Chez moi, ce n’est pas très possible, mes voisins risquent de s’apercevoir qu’une voiture régulière vient à la maison quand mon mari n’est pas là. Chez lui, pourquoi pas ? C’est lui qui propose.
— Je peux venir chez toi si tu le veux. — Très bien. On sera plus confortable. — Tu me donnes l’adresse ? — Oui. XX rue de XXXXXXX.— A quelle heure veux-tu que j’arrive ?— Vers 14H30 ? — OK.— Le portail sera ouvert. Tu peux entrer directement avec ta voiture. — D’accord.— Tu seras habillée en jupe courte, un haut avec un beau décolleté, des chaussures à talons et sans bas ni collants. Je veux tes jambes nues. — Très bien. Je serai comme tu me le demandes.
Je ne sais pas ce que me réserve Alain. Un mélange de crainte, appréhension et d’envie d’y être.
Nous sommes jeudi. Le GPS me mène juste en face de l’entrée de sa maison. J’entre et me gare devant la porte du garage. Je découvre une petite maison, à étage, avec de jolis volets peints en bordeaux. Le parc à l’air petit, mais très arboré. C’est charmant et bien entretenu.
Alain sort, se dirige vers moi avec le sourire. Nous entrons dans sa maison, me demande de le suivre jusqu’à sa salle à manger. Une salle à manger bien meublée, avec des meubles anciens en bois, d’une propreté irréprochable.
Par politesse, j’attends qu’il me propose de m’asseoir. Mais en s’avançant vers moi, il me met une main aux fesses.
— Ton petit cul est bien plus mis en valeur que la dernière fois.— Merci.— Assis-toi. Que veux-tu boire ? — Ce que tu as.— Du jus d’orange ? — Oui, très bien, merci.
Alain disparaît dans la pièce à côté qui doit être la cuisine. Je profite de son absence pour mieux regarder ce qui m’entoure. Je vois sur son buffet une photo qui doit être sa femme. Alain revient avec une bouteille et un verre de jus d’orange, s’assoit en face de moi.
— Je suis content de toi. Tu es habillée comme je t’ai demandé. Tu pouvais mettre un peu plus découvert, mais ça va. — Si j’avais mis un peu plus décolleté, ça dévoila pratiquement les trois quarts de mes seins.— Et alors ? ! — Ben... Rien.— Cette jupe te va très bien, en plus, elle est assortie à tes chaussures à talons. Félicitations. — Merci.
Alain se lève, fait le tour de la table à manger, se place derrière moi qui suis assise. Il pose une de ses mains sur mes cheveux en les caressant, et l’autre main glisse dans mon décolleté pour caresser mes seins à travers le tissu de mon soutien-gorge. Je me laisse faire, les avant-bras sur la table.
— Alors comme ça, tu es une femme infidèle à son mari ? — De temps à autre, oui. — Tu es une donc une petite salope ! —... — Tu es une petite salope ? ! — Je suis plutôt une coquine, mais aussi une femme infidèle parce qu’elle n’a pas ce qu’elle voudrait à la maison. — C’est-à-dire ? — J’ai un mari coquin avec moi, mais mon fantasme est de vivre des choses sexuelles un peu plus extravagantes. — Quelles sont ces choses que tu aimerais vivre ?
Toujours derrière moi debout, ses deux mains sont maintenant dans mon décolleté à me pétrir les seins au travers le tissu du soutien-gorge. Ses doigts font rouler mes tétons qui se mettent à durcir.
— Mon premier fantasme est de rencontrer un homme qui se satisferait que je lui fasse des fellations régulièrement.— Que des pipes ? — Ça peut évoluer par la suite. — Retire ton chemisier et ton soutien-gorge, que tu aies les seins libres et à ma disposition !
Sans rien dire, je fais ce qu’il me demande. Ma lourde poitrine se retrouve à l’air, et moi toujours assise devant cette table. À pleine main, il malaxe mes seins, pince les tétons. Je me redresse de sur ma chaise, ma poitrine devient de plus en plus sensible.
— J’adore les femmes comme toi aux grosses mamelles. Je peux être ton partenaire et toi ma suceuse régulière. — Je veux bien. — Mais je te veux soumise à moi. — Soumise jusqu’à quel degré ? — C’est à moi d’en décider ! L’évolution sera progressive. Tu acceptes la soumission ?
Il est vrai qu’être soumise à un homme me fait souvent fantasmer. Je le suis à mon mari par moments, mais je ne le suis pas assez à mon goût.
— Oui, d’accord, j’accepte.
Une de ses mains quitte ma poitrine. Je ne me retourne pas, je préfère avoir la surprise de ce qu’il peut me demander ou me faire. Je le sens très sûr de lui, très dirigiste, j’aime cette situation, j’aime qu’on le soit avec moi.
Il pose sa main gauche sur ma joue gauche pour faire tourner ma tête. Je découvre qu’il a sa queue juste à quelques centimètres de mon visage, raide, rasée.
— Lèche juste le gland doucement !
Il tient sa verge dans sa main droite, à la base. Ma langue passe doucement sur la totalité du gland, une fois pointu, une fois large pour lécher comme je fais avec une glace. Au passage, je récolte quelques gouttes de présperme que je m’empresse d’avaler.
— C’est bien, soumise, tu es obéissante, tu ne lèches que mon gland et pas plus. — Je fais ce que tu me demandes.— Je vois ça et il va falloir que ça continue ainsi ! — Je continuerai à être obéissante. — Très bien ! — Tête le gland maintenant !
Mes lèvres l’entourent et glissent par petits mouvements d’allée et venue sur ce gland qui est prêt à exploser. Il retire son sexe d’entre mes lèvres, me demande de me reculer un peu de la table tout en restant assise sur ma chaise. Alain se place devant moi en se posant sur le bord de la lourde table en bois massif.
— Pompe-moi doucement. Ne va pas trop vite, tu vas me faire exploser sinon. Et laisse tes mains sur la table !
J’ouvre la bouche, engloutis son sexe, et le pompe avec des mouvements lents. Quand je remonte, je creuse les joues pour lui donner davantage la sensation de succion.
— On te le dit souvent que tu as une bouche à pipe ?— Oui, ça arrive.— Et tu sais que je vais en profiter de cette bouche à pipe ? — Elle est pour toi et à toi. Elle te sucera autant de fois que tu me le demanderas. — Bonne réponse ! Tu m’excites là ! — Laisse-toi aller dans ma bouche si tu le veux. — C’est moi qui décide ! J’adore voir tes lèvres prendre la forme de ma queue. Tu as des lèvres élastiques quand tu as une queue à sucer ! Elles sont magnifiques ! — Merci. — Maintenant, tu vas me montrer comment tu donnes du plaisir aux mecs entre tes gros seins.
Je me redresse sur ma chaise, m’approche pour être plus confortable, saisis son sexe et le place entre mes seins que je comprime fortement.
— Petite putain ! Tes seins sont tellement gros que ma bite a disparu. Vas-y ! J’adore les branlettes espagnoles, surtout avec cette paire de mamelles que tu as. Les hommes doivent souvent te demander de les branler comme ça non ? — On me le demande souvent oui. — C’est souvent qu’on te demande de branler avec tes gros seins ? — Assez souvent oui. — J’aime savoir que plusieurs cochons se sont vidés dessus.
Mes mains compressent mes seins pour garder cette bite qui ne demande qu’à exploser de plaisir. Les montées et descentes sur sa verge sont rapides.
— Oh ! J’adore ! Il ne te manque plus qu’une bite dans la bouche, ma queue entre tes seins, et j’ai un superbe spectacle. Tu vas me faire jouir ! ! !
J’accélère le rythme de ma poitrine, jusqu’à sentir son liquide chaud se répandre entre mes seins. Je ralentis le mouvement, et, peu à peu, j’immobile mes seins qui emprisonne toujours cette tige.
— Ouf ! J’avais prévu de me vider dans ta bouche, mais ta branlette espagnole était tellement bonne que je n’ai pas pu résister. — C’était un plaisir pour moi aussi.
Il se lève, se place à ma droite.
— Etale mon sperme avec tes mains et lèche-les !
Mes mains étalent sa semence sur mes seins, et, une fois que j’en ai mis partout sur ma poitrine, je lèche la paume de mes mains en le regardant dans les yeux.
— Tu as l’air vraiment salope en faisant ça ! Je suis un fan des gros seins.
Alain part quelques instants, me tend une serviette pour m’essuyer.
— Tu aimes recevoir le sperme sur les seins ? — Oui, j’aime autant sur la poitrine que dans la bouche. — Il t’est arrivé une fois qu’il y a deux mecs qui se masturbent dessus en même temps ? — Non, jamais. — C’est donc une expérience à faire. Tu en serais ouverte ? — Je ne sais pas, pourquoi pas si c’est que pour ça alors. — Je vais y réfléchir.
Je comprends que Alain est un homme qui désire me soumettre à ses désirs et envies, mais je comprends aussi qu’il est autoritaire, cérébral, voyeur, mais peut-être aussi partageur.
C’est peut-être le début d’une belle relation adultère ?
La suite dans le chapitre 2 ?
Nathalie
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