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Alain . . .

Chapitre 4

Je ne voulais pas de pénétration, mais . . .

Erotique
J’ai rencontré Alain depuis environ un mois. Je ne le connais pas très bien, je ne sais pas grand-chose de sa vie, mais ce que je sais, c’est un homme qui m’attire.
Il m’attire parce qu’il a très bien compris la femme que je veux être pour un homme dans le domaine de la sexualité. Tout ce que je cherche depuis longtemps chez un homme, je le trouve peu à peu avec Alain.
Il a compris que je désire, être une femme d’un homme autoritaire, dirigiste, ferme. Une femme à l’écoute de son ‘ amant ‘, qu’il ne me demande pas si oui ou non je le veux bien, mais qu’il m’impose. Trois rencontres avec lui m’ont suffi pour comprendre que j’aime me laisser aller à ses jeux, et que je vais avoir la chance de goûter à d’autres hommes sous son autorité.
Je veux de plus en plus être à son écoute et satisfaire ses envies.
Je suis de repos aujourd’hui, il est prévu que j’aille chez Alain cet après-midi vers 14H00. C’est dingue ! Mais j’ai hâte d’y être !
Je me suis faite toute belle. Bien habillée, sans être très provocante, un joli maquillage, mes cheveux libres qui me tombent sur le haut de mes épaules, la totalité de mon corps a eu le droit à de la crème hydratante qui donne un toucher soyeux, puis, pour terminer, un zeste de parfum que je ne mets que pour les grandes occasions.
Avant de prendre la route, je m’assois à la table de la cuisine pour fumer tranquillement une cigarette. Je sais que je n’ai pas de surprise, Alain m’a bien dit qu’il est seul, et que nous serons que tous les deux dans sa maison.
Me voilà dans ma voiture. Sa maison est à moins d’une demi-heure de route. Au fond de moi, je suis un peu comme une adolescente, je suis heureuse, bien dans mon corps et ma tête. Le pire est que je n’ai même pas de remords envers mon mari, qui est très absent à cause de son travail, mais aussi trop possessif et jaloux.
Je suis arrivée, descends de la voiture et vais vers la porte d’entrée de la maison. Personne à la porte pour me recevoir ! Pourquoi ? Soit Alain n’a pas entendu le bruit de ma vieille voiture, soit il est occupé à faire quelque chose, ou bien il prépare quelque chose pour moi.
Je sonne, la porte s’ouvre quelques secondes après. Non, pas d’inquiétude, Alain n’a pas entendu mon arrivée.
— Bonjour Nathalie. Tu es radieuse aujourd’hui ! — Bonjour Alain. Oui, j’ai décidé de me faire une petite beauté. — Pour moi ? — Oui, pour toi, puis je suis de bonne humeur. Il fait beau, ça me donne le sourire. — Je suis ravi de savoir que je te mets de bonne humeur.
— c’est le cas.
Nous entrons dans la maison, nous nous installons dans la salle à manger comme à chaque fois.
— Bon... C’est la quatrième fois que nous nous voyons. N’est-ce pas ? — Oui, c’est ça. — Si tu veux, nous pouvons parler un peu de ce qui s’est passé les fois précédentes. — Oui, je veux bien que nous prenions un peu de temps pour en discuter. — Si tu es revenue aujourd’hui, c’est que tu ne m’en veux pas trop ? — Tu veux parler de Jean, puis la deuxième fois avec les deux hommes ? — Oui. — Sur le coup, je ne savais pas où me mettre, et j’ai eu un sentiment de trahison de ta part. Puis je me suis sentie très mal du fait que tu ne m’en avais pas parlé avant. Avec Jean, j’ai d’abord été surprise, puis je suis entrée dans le jeu. Mais par contre, la punition avec les deux de la dernière fois, j’ai eu un peu plus de mal à avaler la pilule. Je ne suis pas habituée avec plusieurs hommes. Je n’ai jamais fait. — J’ai été un peu trop loin avec ces deux de la dernière fois ? — J’aurais préféré que tu m’en parles. — Et si je t’en avais parlé, tu aurais accepté ? — Je ne sais pas. Je pense qu’avec Jean, j’aurai accepté, mais pas avec les deux. — Donc, j’ai bien fait de ne pas t’en parler, sinon, tu n’aurais pas vécu cette expérience. Tu n’as pas du tout aimé avec les deux ? — Pour être franche avec toi, pas au début, mais j’ai pris un peu de plaisir ensuite. J’ai surtout bien aimé que tu regardes, et aussi que tu me tiennes.
Je ressens qu’il a envie de me dire quelque chose et qu’il n’ose peut-être pas aborder la chose.
— Nous allons nous dire ce que chacun d’entre nous attend de l’autre. Tu veux ? — Oui. — Alors je te laisse commencer, dis-moi ce que tu attends de moi. — Je vais être franche avec toi. — Oui, il le faut. — Bon, d’accord. Tu as compris que j’aimais bien être dirigée. — Oui, je l’ai compris depuis le début ça. — Donc, ce que j’attends de toi est que tu continues à être dirigiste avec moi, mais aussi ferme. L’idéal de notre relation serait que tu fasses ce que tu veux de moi en matière de sexe. Que tu vives tes envies avec moi, qui serai toujours obéissante. J’accepterai les punitions, les fessées si je le mérite. — Très bien ! Tu es la femme que je recherche. Nous allons bien nous entendre tous les deux. Tu as remarqué que je suis voyeur ? — Oui, je l’ai bien compris, surtout depuis la dernière fois avec les deux. J’ai vu que tu aimes regarder.— C’est exact. Voilà ce que j’attends de toi. Mais c’est aussi tes attentes, donc je ne pense pas que ce soit trop dur pour toi. Je te veux soumise à mes désirs. Quand j’ai quelque chose que j’ai envie de réaliser, je le fais, avec toi, sans te demander l’autorisation. Tu es mon jouet sexuel !— Jusque-là, ça me va. — J’aurais aussi envie de te voir avec d’autres hommes. Que tu les suces devant moi, peut-être plus à l’avenir. Que quand je te présente à un homme, tu sois très obéissante.— Je vais essayer de faire en sorte de satisfaire tes besoins de regarder alors. Je peux te poser une question que je me pose depuis la dernière fois ? — Oui.— Comment fais-tu pour trouver des hommes qui viennent chez toi et qui sont au courant pour toi et moi ? Je veux dire par là, quand j’arrive, ils savent déjà ce qu’ils peuvent me faire. Comment tu leur dis ? — Je les contacte via un site internet de rencontres ? Je dialogue avec eux et je les rencontre d’abord sans toi. Puis, s’ils me plaisent, je leur donne rendez-vous en même temps que toi. — Je m’en doutais un peu que c’était comme ça que tu faisais. — Tu vas venir avec moi dans la chambre, j’ai une surprise pour toi que j’ai reçue hier matin. — Une surprise ? Ne me dis pas que des hommes dans ta chambre attendent ? ! — Non non, pas du tout. Nous sommes que tous les deux. Nous serons souvent que tous les deux... Pour le moment.
Je suis rassurée de savoir qu’il n’y a pas d’hommes dans sa chambre. Je le suis ne sachant pas où est sa chambre. C’est une maison en rez-de-chaussée, la chambre se trouve au bout d’un couloir.
C’est la première fois que j’ai l’honneur d’entrer dans cette pièce, un grand lit, aux contours en bois ancien, deux chevets de la même matière que le cadre du lit, une armoire assortie au reste. Le sol est recouvert d’une épaisse moquette de couleur beige. La pièce est grande pour une chambre, deux fenêtres donnent sur un même mur.
Alain s’approche de moi, me prend par la taille, m’embrasse. Il se colle à moi, me pelote les fesses en leur donnant quelques petites tapettes. Je me laisse faire, je le laisse m’embrasser.
— Je suis ravi de t’avoir rencontré Nathalie. Je sens que nous allons vivre de superbes moments tous les deux. — Je le pense aussi. — Tu me promets d’être salope avec moi et pour moi ? — Oui, je te le promets. — Nous allons nous déshabiller tous les deux, et je te sortirai ta petite surprise quand le moment sera venu.
Alain me lâche la taille, s’éloigne de quelques mètres de moi pour se déshabiller. Je commence à me déshabiller aussi.
— Je te veux complètement nue. Rien sur toi. — D’accord.
Nous nous trouvons tous les deux nus. Son sexe est légèrement tendu sans être en totale érection. Il se rapproche de moi, me reprend par la taille, se colle contre mon corps. Je sens son sexe frotter sur mon ventre.
Ses mains prennent possession de mes seins qu’il caresse avec délicatesse. Je me laisse emporter par une vague de désir. J’aime ses mains sur ma poitrine qui est sensible aux caresses.
Nous nous embrassons. Au fur et à mesure, je dépose dans son cou des baisers d’une grande douceur. Il ne bouge pas, il a l’air d’apprécier mes baisers sur le cou. Je continue à descendre, et, du bout des lèvres, je léchouille ses tétons. J’ai l’impression qu’il apprécie, alors je poursuis en passant sur l’un et l’autre de ses tétons pendant que ma main droite prend doucement sa colonne de chair que je masturbe très lentement, presque comme un ralenti d’images sur une vidéo.
Il est debout, sans bouger. Moi, la femme soumise, sans le faire exprès, je conduis l’opération. J’ai l’impression qu’il souhaite se laisser faire qu’il aime la douceur de ma bouche sur son corps peu poilu, et surtout, que je lui lèche les tétons tout en se faisant masturber très lentement.
Nous n’échangeons pas un mot. Je descends doucement en passant sur son ventre avec ma langue. Je lèche un certain temps son nombril, puis continue à me baisser. Je me mets à genoux, il est toujours en position debout, immobile.
Son sexe toujours dans ma main droite qui le masturbe lentement, je lève vers le plafond cette bite qui est maintenant dure, puis donne de petits coups de langue sur ses testicules.
— Humm. Tu vois ? C’est toi qui mènes la danse. — Oui, je vois ça, ça ne me déplaît pas, je sens que je te donne du plaisir. — Oui, ta douceur. Vas-y, lèche-moi les boules, tu le fais trop bien !
Ma langue passe partout sur ses testicules qu’il s’est rasés. (Bien plus agréable, il faut le dire !). Une fois que ma langue est passée partout sur ses boules, qu’elles soient bien humidifiées, j’ouvre au maximum la bouche et, en aspirant légèrement, je fais disparaître la totalité du contenu à l’intérieur.
J’aime la douce sensation que de sentir ces deux grosses billes rouler sous ma langue. Je suis fière de moi, bien qu’Alain possède de gros testicules, j’arrive à les gober complètement. Tout en jouant avec eux avec ma langue et l’intensité de mes aspirations, je le masturbe aussi lentement que tout à l’heure. J’ai au moins 20 grammes de matière dans ma bouche.
— Hum... Tu es une sacrée bouffeuse de boules toi ! C’est trop bon. Garde cette façon de bouffer les couilles, tu vas en manger d’autres. — Quand tu veux. Tu pourras me regarder lécher les couilles à ceux que tu inviteras. Je le ferai avec plaisir et pour toi. (Avec un sourire coquin)— Oh oui, tu m’excites !
Je reprends ses couilles dans ma bouche, ma main droite le masturbant toujours, et de l’autre main, je lui pince les tétons. Il est aux anges !
Mes lèvres prennent la forme de son gland, j’avale, centimètre par centimètre, cette bite qui ne demande qu’à être sucée. Je le suce ainsi, faisant de longs va-et-vient sur sa colonne, en salivant. Un de mes mains caresse ses bourses en même temps.
— Arrête Nathalie, tu vas me faire venir ! ! Il est trop tôt !
J’arrête, le regarde, lui sourit.
— Tu aimes ma façon de faire ?— Oui, j’adore ! Tu es une tueuse en matière de fellation ! — J’aime le faire., c’est peut-être pour ça.
Pour l’exciter encore plus, comme je sais qu’il est très voyeur, et que je suis en position de force pour l’instant, je joue avec ses sens.
— Tu vois ! C’est presque dommage qu’il n’y ait pas un de tes invités, il aurait eu le droit à une bonne pipe comme je te fais, devant toi. — Arrête de me dire ça, tu vas me faire regretter de ne pas avoir fait venir un mec ! Tu aurais aimé ? — Sur le moment, je n’aurai pas dit non. Tu vois, juste qu’il vienne, que je lui fasse une bonne et longue pipe comme je te fais sous tes yeux, puis qu’il reparte pour que nous nous amusions tous les deux. En plus, tu ne veux pas que je te fasse jouir, alors que lui, je le fais jouir, et tu m’aurais vu prendre son sperme à l’endroit que tu m’aurais imposé. — Tu es vraiment une belle salope. Mais je vais y penser, je te le promets. Installe-toi sur le lit, c’est à moi de m’amuser avec ton corps, et ensuite, je te montre ta surprise.
Je me lève, m’allonge sur le dos. Alain vient sur moi, m’embrasse avec passion.
— Tes lèvres sont aussi bonnes à embrasser que pour sucer ! Je suis sûr qu’on te le dit souvent que tu as une belle bouche. — C’est un de mes premiers atouts ma bouche. Elle plaît et oui, on me le dit assez souvent, sans prétention. — Ce n’est pas être prétentieux que de dire que tu es au courant d’avoir une belle bouche.
Il s’occupe de ma poitrine, avec sa bouche ses mains, ses doigts. Ma poitrine, je sais qu’Alain l’aime beaucoup puisqu’il aime les gros seins. Il me fait écarter les cuisses pour y fourrer sa langue. Il me lèche un bon moment. Il me met en transe ! Je jouis à plusieurs reprises. Je lui demande d’arrêter, j’ai trop joui en si peu de temps. Sa langue et ses doigts en même temps me font jouir à la demande.
Il se redresse, fier de lui.
— Je vais te sucer et te faire jouir à mon tour. Ça va me reposer. — Non, tu ne me suces pas, sinon je sais que je ne vais pas résister longtemps, et ce serait dommage. — laisse-moi faire s’il te plaît. Tu veux jouir dans ma bouche et me regarder avaler ton sperme ? — Non, c’est le moment que je te montre ta surprise.
Il se lève et se dirige vers son armoire. Il l’ouvre, tire un tiroir de l’intérieur de cette armoire, fouille quelques instants et se retourne vers moi.
— Et c’est quoi la surprise pour ma petite Nathalie ?
Je découvre qu’il tient dans ses mains un godemichet d’environ 25 centimètres de long sur un bon 6 centimètres de diamètre, vibrant.
— Ah oui ! Quelle belle surprise en effet. Hum... J’adore les jouets. Tu le savais ? — Non, tu ne me l’as pas dit, mais je me doute bien qu’une fille comme toi aime ce genre de jouet. Tu dois en avoir chez toi. Non ? — Oui, j’en ai quelques-uns.
Alain vient me rejoindre sur le lit. Il passe le nouveau jouet sur mon corps, sur mon visage. Je profite de son passage sur mon visage pour sortir la langue et faire une simulation de titillage de gland.
— Vas-y, prends-le dans ta bouche. Oui, comme ça. Fais comme si c’était une bonne bite d’un de mes invités. Tu es parfaite. Tu es belle quand tu suces.
Il le sort de ma bouche pour le mettre entre mes cuisses. C’est bon de sentir ce gode se promener sur la peau fine de mes entrecuisses.
— Ecarte les jambes, tu vas voir où il va aller ce joli gode.
Je sais où il va aller, je suis toute trempée, et j’avoue qu’à ce moment précis, je ne demande qu’une chose, c’est de sentir en moi ce gros jouet en guise de pénétration.
Il est vrai que pour le moment, Alain et moi avons un pacte ; celui de ne pas me faire pénétrer par lui ou d’autres hommes. Alain est très respectueux à ce niveau-là, et ne tente jamais de me pénétrer.
— Hum... Oui, mets-le ton gode. J’ai envie de le sentir en moi. — Salope ! Tu les écartes les cuisses hein ! — Oui, je les écarte. J’ai trop envie de le sentir au fond de moi ! — Tiens ! Regarde ! Tu le sens là.
En effet, d’un geste sûr et précis, Alain enfonce ce gros gode dans ma chatte. Il l’utilise très bien ! Il sait le faire bouger d’une façon à ce que j’ai presque l’impression que c’est un homme qui est en train de me posséder.
Le gode va et vient dans ma chatte en feu. Ses lèvres embrassent les miennes, mes seins suivent le rythme qu’Alain impose au godemichet. Je suis une nouvelle fois en transe, je jouis, encore et encore.
A ce moment, le pic d’excitation dans lequel je me trouve, je crois que Alain me demanderait n’importe quoi, je le ferai sans aucune hésitation !
— Tu aimes salope hein ? ! — Oh oui ! Oui ! Oui ! Ahhhh ! ! ! Je jouis encore ! — Sale pute, tu aimes te faire défoncer ! — Oui, je suis une pute ! Ta pute ! Tu me bourres bien là ! Insulte-moi ! Vas-y ! Traite-moi ! J’adore être insultée quand je suis aussi excitée que je le suis en ce moment !
Tout en continuant de jouer avec des gestes rapides et précis, Alain est dans le même état que moi, excité au plus haut point !
— Traînée ! Grosse pute ! Tu n’es qu’un garage à bites ! Une videuse de couilles ! — Oui, je suis une pute ! J’aime la bite ! J’aime jouir ! J’ai la chatte en feu ! — Je vais t’en donner de la queue si tu en veux ! — Ouiiiiii ! Ohhhhhh ! Donne-moi de la queue ! Amène des copains, je vais leur faire la fête devant toi ! ! ! — Tu vas vider des mecs devant moi comme une grosse pute ! N’est-ce pas ? ! — Je ferai ce que tu voudras ! ! !
Alain s’active comme un fou avec le godemichet. Je prends beaucoup de plaisir. Ce n’est pas spécialement la grosse taille qui me donne du plaisir, mais sa façon de faire.
Je suis dans un autre monde, au septième ciel, que je ne sais plus ce que je dis. Mes paroles dépassent mes pensées !
— Viens prendre ta chienne Alain ! — Oui, je te prends bien là ! ! — Non ! Viens me prendre avec ta queue ! — Tu veux que je te prenne ? ! — Ouiiiiii, viens me défoncer la chatte. J’ai envie de sentir ta queue maintenant !
Alain est étonné de ma demande, mais il ne se fait pas prier pour retirer le gode qui est au fond de moi, se placer entre mes cuisses, et, en position de missionnaire, positionne sa bite devant mon vagin bien ouvert à présent pour donner un coup et faire entrer, pour la première fois, sa colonne de chaire.
— Hum... C’est chaud ! C’est mouillé ! T’es bonne à baiser ! — Vas-y, défonce ma chatte ! J’aime sentir ta queue ! — Je suis trop excité ! J’ai envie de jouir ! — Non, pas déjà ! — Je ne peux pas faire autrement ! Je ne peux pas me maîtriser là ! — D’accord ! Quand tu sens que tu vas jouir, viens te vider sur mon visage. — Tu m’excites à me dire des choses comme ça ! — Donne-moi une belle éjaculation faciale ! J’ai envie que tu me souilles le visage !
Alain n’en peut plus d’entendre ce que je lui dis. Il me donne plusieurs coups de reins, se retire, me chevauche, se place juste au-dessus de mon visage.
— Tiens ma chienne, prends ça sur ton visage de pute !
Plusieurs giclées de semence s’écrasent sur mon visage. J’en ai partout, sur le front, les joues, les lèvres, même dans mes cheveux !
Je prends son sexe pour le faire glisser sur mon visage. J’étale son sperme comme pour me faire un masque. Alain est affaibli, mais il me regarde jouer avec son sexe sur le visage. Je donne quelques petits coups de langue sur son gland.
— Ouf ! Tu es trop bonne Nathalie ! C’était bon. — Oui, franchement, moi aussi j’ai adoré.— Tu m’as beaucoup excité. Je ne pouvais pas me retenir plus. — Ce n’est pas grave. Je peux emprunter ta salle de bain pour me laver ? — Oui, elle est à droite de la chambre.
Je me lève et vais dans sa salle de bain. En me regardant dans la glace, le visage recouvert de la semence d’Alain, je me dis que je suis vraiment une coquine.
Je le rejoins sur le lit.
— Tu ne regrettes pas de m’avoir demandé de te pénétrer ? — Non, je ne le regrette pas du tout. Puis c’est moi qui te l’ai demandé. — Oui, mais sur le coup, tu as eu peut-être envie et après, tu peux le regretter. Non ? — Non. De toute façon, ça aurait fini comme ça entre nous. Tu ne crois pas ? — Je pense que si. — Je ne vais pas tarder à partir. Tu veux une petite pipe avant que je parte ? — Non, tu m’as vidé.
Quand je suis arrivée chez moi, j’ai eu un peu de regrets comme de fait d’avoir demandé à Alain de me pénétrer. Ceci dit, j’en avais très envie, et aussi le besoin de sentir un sexe d’homme remplacer celui en plastique.
Je compte bien que cette aventure continue et évolue.
Prochain chapitre ?
Nathalie.
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