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Alain . . .

Chapitre 11

Le cinéma . . . Partie 2

Erotique
Un mois environ s’est écoulé depuis que je suis allée avec Alain dans un cinéma X qui se trouve dans la ville de Bordeaux.
Durant ce mois, je n’ai revu Alain que deux fois. Nous sommes en été, plus précisément au mois de juillet, il est parti en vacances dans le sud de la France avec sa femme dans une maison qu’ils ont louée pour une période de trois semaines.
Il doit rentrer de ses vacances dans la première semaine d’août. Chose qui tombe bien, puisque de mon côté, je pars les trois dernières semaines de ce mois. Il est prévu que nous allions au cinéma X dans la première semaine d’août.
Je reçois un SMS d’Alain me disant qu’il est libre le jeudi ou le vendredi de cette première semaine. Je fais le maximum pour me libérer, et le jour possible est le jeudi.
Jeudi arrive, nous nous retrouvons dans un parking sous-terrain dans le centre-ville de périgueux, de façon à ce que je puisse garer ma voiture où elle n’est pas en devanture en ville, on ne sait jamais qui peut voir mon véhicule. Tout est organisé de mon côté, mon mari est parti dans le centre de la France pour son travail, et ne rentrera que le lendemain, dans la journée de vendredi.
Je suis maquillée pour les circonstances, puisque maintenant, je sais comment est l’ambiance de ce cinéma. Un rouge à lèvres de couleur rouge sombre, certifié résistant et de longue durée, du noir autour des yeux. Je suis habillée avec un débardeur blanc à petites bretelles, un soutien-gorge de la même couleur, une minijupe également blanche, jambes nues, et d’un string de la même couleur que le reste.
Alain est garé sur le parking sous-terrain, à l’extérieur. Je gare ma voiture, repère le numéro et l’étage de son emplacement. Je suis au niveau moins trois. Il fait chaud, je décide de prendre l’ascenseur afin de ne pas prendre le risque de transpirer déjà.
Une fois devant l’ascenseur, j’appuie sur le bouton pour le faire venir au niveau où je suis. Deux jeunes hommes arrivent et attendent avec moi. Ils me dévisagent, se sourient entre eux d’un air complice. Je leur souris à mon tour, mais je ne suis pas très rassurée de me savoir dans très peu de temps avec eux, seule, dans cet ascenseur. Il faut dire que la ville de Périgueux est de plus en plus dangereuse pour une femme habillée sexy, voire provocante.
La porte s’ouvre, ils m’invitent à entrer avant eux. Je ne suis pas dupe, je sais très bien que c’est pour mater mes fesses qui sont mises en valeur sous ma minijupe blanche. Une fois à l’intérieur, ils continuent à me dévisager. Ils doivent avoir une vingtaine d’années, peut-être qu’au moins un des deux se masturbera-t-il en pensant à moi ? L’idée me plaît.
La porte s’ouvre, je sors encore une fois devant eux, et cherche la voiture d’Alain que je trouve rapidement. Je monte dans sa voiture lui faire un bisou, il démarre et prenons la route direction Bordeaux. Nous avons environ une heure trente en prenant l’autoroute.
Pendant la route, nous discutons de ses vacances avec sa femme, de ce qu’il a fait, et je sais, par rapport à ses explications, qu’il a passé de merveilleux séjour et bien reposant.
— Tu pars quand toi ? — Je pars lundi prochain. — Vous allez où ?
— Nous partons à port Leucate. Nous allons faire tout le côté espagnol avec le voilier. J’espère que nous aurons du beau temps, parce que je n’aime pas quand il y a trop de vent. — Vous partez que tous les deux ? Toi et ton mari ? — Non, un couple d’amis vient nous rejoindre le lendemain de notre arrivée. Il est prévu que nous larguons les amarres mercredi matin. Le soir, nous mettrons l’ancre dans une petite crique à quatre heures de voile de notre point de départ. — Un couple libertin ? Il te plaît le mec ? — Il est beau gars, mais non, ils ne sont pas libertins je pense, et je ne tenterai rien, déjà par rapport à mon mari, mais aussi parce que nous les connaissons depuis presque quinze ans. Bon, dis-moi, quoi de prévu au cinéma ? — Rien pour le moment, mais comme j’ai compris que tu as aimé la dernière fois, suivant le monde et qui il y a, on va essayer de refaire la même chose. — J’ai bien aimé, mais toi aussi j’espère ? — Ah oui, alors, je te le dis, j’adore te voir faire.
Nous arrivons, garons la voiture, et allons devant la porte du cinéma. Nous restons quelques minutes devant, puis entrons. Je ne sais pas si le caissier nous/me reconnaît, mais moi, je me souviens que c’était lui la dernière fois. Il me regarde à plusieurs reprises, quelques petits sourires. Me reconnaît-il ? Je ne le sais pas.
Nous empruntons le même escalier que le mois dernier. Je suis un peu plus à l’aise du fait que je connaisse les lieux. Dans la salle de projection, toujours cette faible lumière tamisée qui ne laisse qu’apercevoir les silhouettes des personnes présentes. Je remarque au passage qu’il y a un peu plus de monde que la dernière fois, mais la salle reste cependant assez vide.
Nous nous installons à peu près au même endroit qu’il y a un mois, au milieu de la salle. Nous sommes les seuls dans la rangée de fauteuils. Devant nous, à deux rangées, deux personnes assises semblent être des hommes. Derrière nous, il me semble apercevoir peut-être cinq ou six personnes, mais je ne parviens pas à distinguer si ce n’est que des hommes, ou si au moins une femme est présente.
Puisque nous sommes dans un endroit destiné au sexe et à la pornographie, le film sur le grand écran montre une scène d’une femme prise en sandwich par deux hommes, et un troisième en train de se branler en regardant le spectacle offert par ce triolisme.
Je pose la main entre les jambes de mon accompagnateur pour sentir, sous ma main, une bosse qui dévoile une érection sans aucun doute. Je caresse cette bosse.
— Je suis plus à l’aise que l’autre fois. J’ai envie de faire la cochonne. Fais de moi ce que tu veux, fais-moi faire ce que tu veux. Je suis open à toutes tes demandes. — Ah oui ? A toutes mes demandes ? Vraiment ? — Oui, j’en ai envie. — Fais attention à ce que tu dis, je risque de te demander de faire des choses très coquines, voire cochonnes. Tu le sais ça ? — Je m’en doute. Puis j’ai l’impression qu’il n’y a que des personnes de plus de cinquante ans, et tu sais que j’aime les hommes mûrs. Tu te souviens de ce que tu m’as demandé de te dire quand nous sommes revenus du cinéma ? — Dis-moi ce que je t’ai demandé. — Tu m’as demandé de te dire que je voulais de la bite. Alors je te le redis, je veux de la bite. — Tu es une vraie bonne petite chienne toi ! Je vais m’en occuper !
Je regarde autour de moi, je vois un homme, à quelques rangées de nous vers le fond de la salle. Il remarque que je le regarde malgré la pénombre.
— Alain regarde l’homme derrière nous, vers le fond de la salle. Il nous a remarqués. Il me semble qu’il se branle. — Salope ! Tu aimerais que je te dise d’aller le retrouver pour le branler ? — Oui, dis-le-moi et j’y vais. — vas-y ! Et reviens après à ta place. Je te laisse gérer avec lui. — D’accord mon maître adoré. Je ne sais pas encore comment je vais m’y prendre, mais tu vas voir que je vais réussir. — Montre-moi ça !
Malgré la petite crainte de me prendre un râteau, je me lève, longe la rangée de fauteuils pour atteindre l’allée centrale, et arrive à son niveau. Quand je suis assez près de lui, j’ai la confirmation qu’il est en train de se masturber. Quand il comprend que je me dirige vers lui, il met sa veste sur ses genoux et fait mine de regarder le film.
— Bonjour, cela ne vous dérange pas que je m’asseye à côté de vous ? — Heu... Non, pas du tout, au contraire. Vous êtes bien avec la personne qui est un peu plus loin devant ? — Oui, mais il me laisse aller où je veux.
Je m’installe dans le fauteuil, reste quelques minutes sans bouger et fais semblant de regarder le film, mais j’observe surtout mon voisin de droite qui doit bien bander sous sa veste. Il tourne la tête vers moi souvent et rapidement comme pour me demander ce que je compte faire et pourquoi je me suis installée près de lui. Il ne va pas tarder à comprendre, j’attends juste de voir sa main bouger sous sa veste pour se branler.
Sa main droite glisse discrètement sous sa veste, je peux imaginer qu’il commence à se masturber en prenant garde que je ne le remarque pas. J’attends quelques minutes pour m’assurer qu’il se fait du bien, et, quand j’en suis sûre, je me penche vers lui.
— Voulez-vous ma main ? — Heu... Enfin... Je... — Vous avez juste à me dire oui et je remplace votre main. — Heu... Oui.
Il retire sa main et la pose sur sa cuisse, ma main droite passe à son tour sous sa veste, rencontre immédiatement son sexe, que je sers dans ma paume et inflige à son sexe raide des mouvements de bas en haut réguliers.
Il se met de plus en plus à l’aise, enlève la veste qui cache son sexe puisque personne n’est à portée de vue. Je comprends qu’il n’ose pas me regarder, il est figé sur le grand écran à regarder les images en se faisant branler par une inconnue. Je me penche de nouveau vers lui.
— C’est bon de se faire branler pendant que vous regardez un film porno ? — Hum... Oui, et... Si j’ose dire... Quelle main experte ! — Profitez-en alors, et ne vous retenez pas. Faites-vous plaisir.
Ne désirant pas le masturber pendant une demi-heure, j’accélère le rythme, en positionnant ma main un peu plus haut au niveau du gland. Mes mouvements sont plus courts et rapides, juste ce qu’il faut pour taquiner le gland qui ne va pas tarder à exploser.
Comme de fait, trois ou quatre minutes de ce traitement, je reçois une décharge dans la main. Il respire fort. Je ralentis le mouvement, étale sa semence le long de son sexe, puis enfin, retire ma main pour l’essuyer avec un mouchoir en papier que j’ai amené avec moi. Je me relève, lui dis au revoir et retourne m’asseoir près d’Alain.
— Tu es fière de toi petite salope ? — J’avoue que je le suis. — Tu n’as pas mis longtemps à prendre sa queue dans ta main dis donc !— Je pense qu’il a été charmé par ma proposition que je lui ai exposée dans la plus grande simplicité.
J’entends du bruit juste derrière nous. Je tourne la tête, et m’aperçois qu’un homme s’installe à un fauteuil pile-poil derrière. Je lui souris, même si je doute qu’il ait vu mon sourire.
— Tu as vu ? Il s’est mis juste derrière nous. — Oui, à mon avis, il a vu quand tu es allée rejoindre celui du fond et revenir avec moi. Je pense qu’il a compris que tu étais une bonne chienne. — Tu veux que je lui montre que je suis une bonne chienne ? — Non ! Tu restes ici pour le moment !
Puisque je suis obéissante, je fais ce qu’il me demande et ne bouge pas de ma place. Alain pose sa main sur ma cuisse, remonte peu à peu jusqu’à arriver entre mes jambes. Il touche, palpe, effleure ma chatte rasée. Je ferme les yeux et commence à prendre du plaisir au moment où je sens ses doigts s’introduire en moi.
Il me masturbe ainsi quelques minutes. Mon plaisir monte doucement, surtout que je sais que je suis observée par au moins un homme qui se trouve juste derrière nous.
Les jambes écartées, une sur la cuisse d’Alain et l’autre sur l’accoudoir du fauteuil vide, se trouvant à ma gauche, les yeux fermés à goûter les doigts de mon masturbateur, je respire fort, lorsque je sens des mains se promener sur ma poitrine. Je comprends rapidement que ce ne sont pas les mains d’Alain ! Mais celles de celui qui se trouve derrière nous.
J’ouvre les yeux, pose mon regard interrogateur dans celui d’Alain.
— Ne dis rien petite salope, je l’ai invité à venir te peloter les seins. — Mais je ne dis rien, même que j’en suis ravie. — Tu es vraiment une belle salope.
Je lève la tête en direction de celui qui me malaxe les seins. Il me regarde droit dans les yeux, me sourit, je lui rends le sourire comme pour lui dire que mes seins sont à sa disposition. Il s’approche de mon oreille.
— Vous avez des seins magnifiques et très agréables à caresser. — Merci, c’est gentil. Alors, ne vous gênez pas, ils sont à vous.
Alain me branle, l’autre s’excite sur mes seins, je suis aux anges. Je sais que d’autres personnes sont dans la salle, vers le fond, et donc doivent nous observer, peut-être même se faire du bien en nous matant, malgré la pénombre de la salle.
— Nous allons aller dans les toilettes avec ce monsieur, tu vas le faire jouir. — Avec plaisir.
Alain et moi nous nous levons, le monsieur nous suit. Quand nous arrivons dans les toilettes, nous allons au même endroit que la dernière fois, c’est-à-dire dans les w.c. pour personnes handicapées. Alain me demande de rester quelques instants, seule avec cet inconnu. Mon débardeur est descendu au niveau de ma taille, mon soutien-gorge a été retiré dans la salle tout à l’heure, je me retrouve donc les seins à l’air.
Alain part, je me demande pour quelle raison. Le Monsieur, très courtois, reprend sa séance de malaxage de ma poitrine en déposant des petits baisers dans mon cou, puis me tète les tétons. Je pose ma main au niveau de sa bosse, je sens qu’il bande fort, je décide de le débraguetter, sortir sa queue et le masturber.
Peu de temps s’écoule que je revois Alain revenir, mais accompagné de deux hommes qu’il a été chercher dans la salle de projection.
— Ma chérie, tu vas t’asseoir sur les toilettes, et tu vas soulager ces hommes qui sont là que pour ça.
Je dévisage ces trois hommes de plus près. Le premier, qui s’occupe de ma poitrine depuis la salle de projection doit avoir dans les environs de cinquante-cinq ans, de petite taille, dégarni, ventre plat. Le second, un peu plus jeune que le premier, d’environ un mètre soixante-dix, petite barbe. Et le troisième, je lui donne la petite cinquantaine, plus grand que tous les autres
Je m’assois sur la cuvette, le premier se positionne devant moi, et présente sa queue entre mes seins. Je comprends alors qu’il veut que je le masturbe par une branlette espagnole. Ce que je fais avec plaisir, j’aime donner du plaisir de cette façon.
Tout en le branlant entre mes seins, le deuxième se met à ma gauche, présente son sexe devant mon visage. Je tourne ma tête, ouvre la bouche, et me mets à le sucer goulûment. J’aime cette sensation.
Alain est à quelques mètres, il regarde avec un air satisfait.
— Venez vous aussi, elle va s’occuper de vous trois en même temps. (En s’adressant à celui qui se masturbe en silence.)
Il s’approche, se place à ma droite, me présente également son sexe. J’ai la surprise de découvrir un gland énorme, un sexe court et épais. Son gland est tellement gros que j’ai du mal à l’emboucher.
Ma bouche passe d’une queue à l’autre, et le troisième se branle entre mes seins. Le premier à éjaculer est celui qui est sur ma poitrine. Il la souille, étale son sperme partout.
Je suis excitée, je pompe les deux queues qui sont à chaque côté de moi. Pendant que j’en suce une, je masturbe l’autre et ainsi de suite.
A un moment donné, celui que j’ai actuellement en bouche se met à grogner. Je comprends alors qu’il est au bord de la jouissance, Alain aussi.
— vas-y ma chérie, pompe jusqu’à la dernière goutte grosse salope.
Je creuse les joues, fais des va-et-vient sur cette épaisse queue jusqu’à sentir la semence couler dans ma bouche que j’avale consciencieusement. A peine terminé d’avaler que celui de ma droite est sur le point de non-retour. Je tourne la tête, je prends en bouche, le pompe comme une bonne suceuse que je suis, mais cette fois-ci, quand je sens qu’il est sur le point de jouir, je me retire et reçois ma deuxième dose de semence sur mes seins.
Je suis inondée de semences de deux hommes sur la poitrine, Alain, fier de moi, me fait un sourire complice.
Les trois inconnus, après m’avoir remerciée, s’éclipsent aussi discrètement qu’ils sont venus.
Alain ferme la porte à clé derrière eux, me prend par les cheveux sans même me laisser le temps de m’essuyer, me retourne pour prendre appui contre le mur, retrousse ma jupe, me pénètre sauvagement à me faire crier.
— Salope ! Tu aimes dégorger les mecs hein ? ! — Oui, j’aime, surtout devant toi !— Tu la sens ma queue ? — Ouiiiiii, tu me bourres bien là. Je vais jouir comme la bonne salope que je suis si tu continues comme ça !
Ses coups de boutoir dans mon vagin sont forts, violents, il me prend de toute la longueur de son sexe. Ses testicules tapent contre mes fesses. Je suis toute mouillée tellement je suis excitée.
Oui, je suis excitée de faire ce genre de cochonneries dans un cinéma X de Bordeaux grâce à Alain. Je me mords les lèvres pour ne pas crier trop fort. Je suis en train de jouir.
Alain se retire, éjacule sur mon cul. Je sens son liquide chaud venir d’écraser sur mes fesses, le bas de mes reins.
Je m’essuie, me recoiffe sans me remaquiller. Je réajuste mes habits, Alain a déjà rangé son sexe. Nous repartons du cinéma pour rejoindre la voiture.
Nous sommes sur la route du retour.
— Alors maintenant que c’est la deuxième fois que nous allons dans ce cinéma, la troisième fois sera bien plus coquine. Tu veux ? — Tout dépend ce que tu me demandes de faire. — Ça ! C’est moi qui dis ! Mais je vais te préparer une belle surprise que tu vas aimer. — D’accord, je te suis.
La troisième fois est prévue pour après mon retour de vacances.
Le prochain épisode à venir ?
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