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Alain, ancien professeur

Chapitre 6

Avec plusieurs hommes
Le mardi suivant, à l’arrivée de la jeune fille Alain a recouvert le canapé d’une couverture de protection. — Ah ! Je comprends ! s’écrie-t-elle. C’est pour le préserver que tu en as fait descendre Lucas et Enzo jeudi dernier. — Tu as tout saisi. Je ne voulais pas de taches dessus. J’ai eu assez de mal à nettoyer le tapis. Manon éclate de rire. — J’ai vu, des gouttes sont tombées dessus. — Bon, on y va ? Manon répond correctement aux trois questions malgré une difficulté introduite par Alain qui aurait souhaité ne pas encore se soumettre aux caprices de son élève. — J’ai gagné ! A ton tour de m’obéir… Tu as promis, insiste-t-elle devant le peu d’empressement d’Alain. — D’accord, j’ai donné ma parole, je ne me soustrairai pas à la punition… — Qui parle de punition ? — …Mais auparavant, continue-t-il sans tenir compte de l’interruption, prends ton livre et étudions.
L’heure passée, ils se désaltèrent. Manon pose son verre avec détermination et se cale contre le dossier de son siège. — Bon, c’est pas tout, mais tu me dois obéissance. — Parlez mademoiselle, je suis tout ouïe. — Déshabille-moi ! — Te désha… ? — Oui, t’as bien compris. Allez ! Plus vite que ça ! Il s’agenouille devant elle et défait un à un les boutons du chemisier en prenant bien soin de ne pas effleurer la peau. Il sait qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, c’est la première chose qu’il a remarqué à son arrivée. Au lieu d’écarter les pans de tissu sur la poitrine désirée, il s’attaque à la ceinture du jean, descend la fermeture de la braguette et retire le pantalon qu’il jette sur le dossier d’une chaise. — Eh ! Attention avec mes vêtements ! Il glisse les mains sous la soie du chemisier et remonte vers les seins qu’il enveloppe de ses paumes. Manon ferme les yeux sous la douceur de la caresse mais se reprend vite. — Pas question de me peloter ! N’oublie pas que c’est moi qui commande. — Que dois-je faire ? — Enlève mon chemisier… Oui… Pose-le sur le jeans… C’est ça. Maintenant, embrasse mes seins… Non ! Les mains derrière le dos ! Ne les touche que de la bouche ! Elle se penche et présente tour à tour les deux tétons qu’il titille de la langue et des lèvres. Au bout d’une minute elle se redresse. Il la regarde d’un air implorant.
— Ça suffit ! Fini de me déshabiller. Il retire le petit slip. Il a des difficultés à le faire glisser sous les fesses car la jeune fille ne l’aide en rien. Il parvient à ses fins et dépose le petit dessous sur le chemisier. Elle désigne son bas-ventre. — Embrasse-moi là ! Emu, il s’avance sur les genoux entre les cuisses qui s’écartent à son approche. Il tremble de désir et se penchant pour déposer les lèvres sur la toison douce. Manon avance les fesses vers le bord du siège. Alain écarte encore plus les cuisses et explore des doigts à la recherche du petit bouton sensible. — Oui ! Il le happe entre les lèvres et le suce. — Aah !… Oooui ! Manon agrippe les cheveux et l’attire contre elle. Les doigts d’Alain s’introduisent entre les chairs humides et les petites lèvres. — Aaah ! Il lèche les sécrétions qui sourdent s’excitant à leur goût poivré. Il explore de l’index l’orifice du vagin pendant que des dents il agace le clitoris. Le doigt fouille le nid d’amour. Elle n’est pas vierge, constate-t-il soulagé. Cela ôte une partie de ses scrupules, il est si vieux et elle si jeune ! Manon se tord sur son siège. Elle gémit et torture les cheveux de son tourmenteur. Il est fier de son pouvoir, fier de la sentir s’émouvoir. Il n’est plus un retraité qui s’amuse avec une toute jeune fille mais un homme qui fait jouir une femme. Il s’excite de mimer la possession en faisant aller et venir l’index puis deux doigts dans l’orifice qui bâille juste devant son regard. Il sent sa verge grossir, un picotement énervant parcours son bas ventre. A la manipulation vaginale il ajoute une légère caresse sur l’anus. Acceptera-t-elle ? Oui ! Manon gémit de plus belle. Elle avance le ventre à la rencontre d’Alain. Ses fesses tiennent à peine sur le bord du siège. Il s’introduit dans le petit trou agitant les doigts en cadence. Tout à coup, elle raidit, serre les cuisses contre les joues de l’homme. — Aaaah !… Mhhh !… AAAaaahhh ! Elle glisse du siège les entraînant tous deux sur le tapis. Ils restent plusieurs secondes immobiles, elle reprenant son souffle, lui, attentif à déceler les derniers tressaillements de jouissance qui ébranlent la jeune fille. Elle desserre l’étau de ses jambes. Il se relève sur les genoux. Elle est nue écartelée, le sexe rose et luisant d’excitation. Il sourit devant le spectacle. Qu’elle est belle ! Il la quitte pour chercher une serviette humide et un paquet de mouchoir en papier. Elle n’a pas bougé. Sa poitrine se soulève au rythme de sa respiration. Il essuie l’entrejambe. La fraîcheur de la caresse la réveille. Elle lui sourit et tend la main dans laquelle il dépose un mouchoir. Elle s’accroupit. — Viens ! Commande-t-elle. Il s’approche. Elle essuie son menton luisant puis l’embrasse. Alain frémit lorsqu’une langue frétillante écarte ses lèvres, force ses dents à s’entrouvrir et fait le tour de son palais. Il rend le baiser plein de reconnaissance. Sa main englobe un sein, le malaxe doucement et triture le tétin qui raidit sous la caresse. Il tremble de désir quand des doigts curieux explorent sa braguette. — Tu m’as bien fait jouir, je te remercie. A mon tour. Elle le force à s’asseoir et déboutonne la ceinture. Il tente de résister mollement. — J’ai perdu moi. — Je sais, aussi tu dois faire ce que je veux. Et je veux te faire jouir à mon tour. Elle ouvre la braguette fouille dans le slip et extrait la verge. Bien qu’assez grosse elle n’atteint pas la rigidité qu’elle espérait. — Pauvre petite chose qui sait plus bander ! Elle dépose des petits baisers sur le bout. Un frémissement parcourt Alain. Il lui semble que depuis longtemps son sexe n’avait été aussi rigide. C’est l’avis de Manon. — Ah ! T’as l’air d’apprécier mon gros cochon ! Elle enfourne le gland et l’enveloppe de la langue. — Aaah ! — On dirait que tu vas mieux. La jeune fille manipule la tige entre ses doigts. Alain déborde de reconnaissance. Il retrouve enfin une érection digne de ce nom, enfin presque… Malheureusement cela ne dure pas. La hampe fléchit quand Manon appuie dessus. — Non, c’est pas encore ça ! Elle reprend le sexe en bouche. Alain ne peut plus résister. Il veut se dégager. Elle tient bon et reçoit sur la langue sa faible offrande. Elle poursuit sa sucette jusqu’à ne tenir entre ses doigts qu’une limace molle qui se ratatine dans les poils. — Embrasse-moi, commande-t-elle. Sa bouche a un goût bizarre. Son sperme pense-t-il. Ce n’est pas désagréable. — Va dans la salle de bain te rafraîchir, dit-il en s’écartant. — Viens avec moi. Elle ramasse ses vêtements et le précède… Elle ouvre la douche. — Frotte-moi dans le dos. — Mets-toi dans la baignoire alors. — Non, rejoins-moi dans la cabine. Leurs caresses sont presque chastes en comparaison avec la folie de tout à l’heure. Il l’enveloppe d’un drap de bain et l’éponge avec douceur. — Il est temps que tu rentres chez toi… Il l’accompagne sur le pas de la porte. — Oui. Dis, jeudi, tu nous interrogeras sur ce que je viens de réviser ? — Ça te plaît d’être favorisée, n’est-ce pas ? Elle rit et l’embrasse sur la joue avant de dévaler l’escalier. Il est un peu fatigué mais heureux. L’érection de tout à l’heure même fugitive, est un bon présage. Peut-être n’est-il pas tout à fait fini...
Les trois jeunes gens rendent leur copie à Alain. Il corrige en premier celle d’Enzo. Tout juste. Devra-t-il affronter l’imagination érotique de ses élèves ? Non ! Lucas a fait une faute, ouf ! Oh ! Même Manon qui se trompe. A quoi lui sert-il d’être avantagée ? Il annonce le résultat. — Bon. Lucas, tu as bien traité le premier et le troisième exercice mais tu t’es trompé au second. Soit plus vigilant à l’avenir. Manon, je ne suis pas satisfait : tu as encore fait une faute de signe. Un peu d’attention que diable ! Une telle étourderie peut te coûter très cher au bac. Quant à toi Enzo, très bien tu as tout juste. — Je suis le grand vainqueur alors ? — Sans conteste, mais avant de pouvoir en profiter ouvre ton livre…
Enzo repose son verre et regarde ses condisciples. Un sourire gourmand éclaire sa figure quand il contemple Manon. Il va se venger, devine Alain. La jeune fille en est consciente. Elle baisse la tête inquiète du sort qui lui est réservé. — Viens ici, oui toi, lui lance Enzo. Elle s’approche tremblante. Alain s’approche le sourcil froncé. Du plaisir partagé, oui tant qu’ils veulent, mais pas de sadisme. Il ne le tolèrera pas. Il se promet de réfréner les ardeurs du garçon s’il dépasse certaines limites. Celui-ci défait la ceinture de son pantalon et ouvre sa braguette. — Suce-moi ! Elle est soulagée. Ce service à rendre ne lui fait pas peur. Elle s’agenouille aux pieds d’Enzo, dégage le spectre vivant, le décalotte et le porte en bouche. Elle sait y faire, le visage du garçon en est témoin. Il gémit. Elle accompagne la sucette en manchonnant la base de la verge. Enzo ferme les yeux en grognant. Manon accélère la masturbation, elle va réussir mais au dernier moment il la repousse. — Tu croyais t’en tirer comme ça ! N’y compte pas. Allez ! Debout ! Elle obéit à contre cœur. — Déshabille-toi ! Oui, tu te mets à poil ! Toi aussi Lucas par la même occasion ! N’oublie pas que tu as perdu. Il semble réfléchir et prenant une brusque décision, il ôte lui aussi ses vêtements. — Vous voyez, ainsi vous vous sentirez pas en infériorité. Un ange passe. Les trois jeunes gens, nus, n’osent se dévisager. Enzo reprend vite la direction des opérations. — Manon, assieds-toi sur le canapé… Oui… Ecarte les cuisses… Si ! Obéit !… A la bonne heure. Avance les fesses sur le bord du canapé, comme ça, tu es bien. Enzo soutient sa verge de la main et s’avance entre les genoux de la jeune fille. — Tu veux lui faire l’amour ? interroge Alain. — Ça vous gêne ? — Pas du tout, mais tu mets une capote !… C’est un ordre ! exige-t-il devant la répugnance affichée. — Je… J’en ai pas. — Moi si. Alain lui tend un préservatif qu’il avait préparé à tout hasard. — Bon, mais que ce soit Lucas qui me l’enfile. — Aucune objection, sourit Alain. Le dit Lucas tremble un peu en posant la capote. De toucher cette queue lui rappelle les caresses sous la douche la semaine précédente. Manon est rassurée par la tournure des événements : une bonne baise, c’est toujours ça de pris. Elle va se redresser en attendant que son cavalier soit prêt quand elle surprend Alain les yeux vissés sur son sexe exposé. Cela l’amuse. Par provocation elle écarte des doigts les lèvres de sa vulve qui se couvre d’humidité. Il rougit mais supporte le regard ironique qu’elle lui lance. — Oui, reste comme ça, tu me facilites la tâche, approuve Enzo en s’avançant. Il s’amuse à caresser le sexe de son engin gainé de latex. Manon gémit, avance le ventre à la rencontre de son partenaire. Enzo recule, jouant avec les nerfs de la jeune fille. N’y tenant plus elle empoigne la tige vivante et la présente dans l’orifice où elle est attendue et attire le garçon par les fesses. — Aah ! Enzo parachève l’introduction d’un coup de rein. — Han ! Les deux amants s’en donnent à cœur joie, indifférents aux spectateurs. Alain se rapproche de Lucas. Inconsciemment, il pose la paume sur la cuisse nue. — Pardon, je ne l’ai pas fait exprès, s’excuse-t-il en retirant la main. — Ce n’est rien, murmure le jeune homme qui aurait aimé que la caresse se poursuive. — Tu aurais voulu être à la place d’Enzo n’est-ce pas ? Lucas rougit. Oui, il est jaloux de son copain. Depuis toujours il est amoureux de Manon sans avoir le courage de se déclarer. De la voir se pâmer sous les coups de reins d’un autre lui fait mal. — Je suis sûr que la semaine prochaine, tu réussiras tes exercices et prendra ta revanche. Le garçon soupire. Il ne s’agit pas de revanche, simplement de tenir la jeune fille dans ses bras, l’embrasser, l’aimer mieux que cette brute qui la malmène. Malmenée ? Manon n’en donne pas l’impression. Elle a noué les talons sur les fesses de son cavalier et accompagne d’onomatopées incompréhensibles les pénétrations profondes dans son ventre. Les gémissements s’amplifient. — Ils n’ont pas encore fini ? marmonne Lucas qui ne cache plus sa jalousie. — Bientôt, sois tranquille. Pour lui donner raison, Enzo rugit presque dans les ultimes soubresauts de la jouissance et s’effondre sur la jeune fille. Le couple peine à reprendre sa respiration. Manon tente de se dégager. Lucas se précipite et écarte sans ménagement son rival. Elle le remercie d’un sourire. Il en rougit de plaisir. Galant, il lui tend son chemisier. — Hé là ! Hé là ! C’est pas terminé, réagit Enzo. J’ai pas fini moi ! Vous devez rester à poil ! Déçu, Lucas remet le vêtement en place et se rassied. Enzo ôte la capote. Alain se précipite. Il prend le lambeau du bout des doigts et tend aux deux amants des mouchoirs en papier. Quand il revient de la cuisine où il a jeté le latex, Enzo et Manon terminent de s’essuyer. Le garçon s’affale sur un fauteuil et manipule son sexe mou. — Dites tous les deux ! Caressez-moi jusqu’à ce que je bande à nouveau. Lucas hésite. Manon l’entraîne. — Allez viens, ça mord pas ! De nouveau le contact de la peau douce de la verge perturbe le garçon. Il s’en veut de l’émoi ressenti. Emoi accru par la proximité de Manon et des frôlements de leurs doigts. Grâce à leur action conjuguée, Enzo récupère vite. — Bon, à ton tour Lucas ! — Moi ? Que vas-tu faire ? — M’est avis qu’il veut t’enculer, le renseigne Manon que cette éventualité semble réjouir. — Oh ! — Oui, mon gros. — Appuis le torse sur le canapé et mets-toi à genoux, ordonne Enzo. Allez ! En place ! Ne fais pas l’enfant ! Alain donne à la jeune fille un peu de margarine dans une soucoupe. — Badigeonne-lui l’anus pendant que j’habille Enzo. — Habille ? — Oui, je lui mets un préservatif. — Ah ! Elle s’approche de Lucas. Il est à la fois honteux de sa position devant sa dulcinée et heureux que ce soit elle qui prenne soin de lui. Elle tartine abondamment le cul. — Ça suffit, ils vont en mettre plein partout, la calme Alain. Enzo se positionne. Il introduit la queue dans la raie fessière. — Attends, je t’aide, propose Manon. Elle s’agenouille à leur coté et écarte les fesses de Lucas qui gémit d’impatience. — Allez, se méprend-elle. N’aies pas peur. Tu verras tout ira bien. Qu’en sait-elle ? S’étonne Alain à moins que… Le regard que lui lance la jeune fille le renseigne. Oui, elle a expérimenté la sodomie. Enzo s’introduit sans peine dans l’orifice aidé par la margarine, excellent lubrifiant. — Ooh ! Gémit Lucas. — T’as mal ? S’inquiète Manon. — No… Non. Enzo se retire puis s’enfonce. Sa victime halète au rythme des coups de reins. La sueur coule de son front. Il sourit à Manon qui l’éponge. — Tu veux que je te caresse en même temps ? Elle glisse la main sous le ventre et attrape la verge qui se développe. — Hein que ça fait du bien ? Enzo accélère. Il est aux anges. Jamais dans ses rêves les plus fous il n’aurait imaginé la situation d’aujourd’hui. Faire l’amour à Manon et à Lucas. En cet instant il ne saurait dire ce qu’il préfère. Sa performance précédente avec la jeune fille lui permet de faire durer l’étreinte. Il s’enfonce et se retire avec la régularité d’un métronome. Lucas tremble de tous ses membres. Il a de la peine à se maintenir au canapé. Une sensation bizarre l’envahit. La main de Manon est douce à sa verge. Le plaisir monte dans la tige. Jamais il n’a connu pareille émotion. Ce n’est pas comme s’il baisait, c’est… C’est… Il renonce à analyser ses sentiments. La jouissance violente brutale déferle. — AAAaahh ! Son sperme abondant déborde de la paume de Manon et coule sur la couverture qui protège le canapé. Compatissante la jeune fille poursuit sa manipulation pendant qu’Enzo à bout de résistance s’effondre sur le dos de son copain. — Venez dans la salle de bain propose le maître de maison. Enzo le suit un peu hagard tandis que Manon soutien Lucas chancelant. Alain les installe tous trois dans la baignoire et les rince abondamment sans insister sur les caresses. — Je vous laisse vous essuyer. Ne perdez pas de temps, il est l’heure de partir.
En rangeant la salle à manger, Alain repense à Lucas. Il revoit son rictus de plaisir pendant que Manon le masturbait et qu’Enzo l’enculait. Et à lui qu’est-ce que cela lui ferait ? Il ne s’était jamais posé la question. Personne ne lui avait proposé car aucune de ses relations homme n’était bisexuel ou gay. Mais aujourd’hui ou plutôt jeudi prochain, comment réagira-t-il si les trois réussissent leurs exercices et qu’Enzo essaye « d’épingler » son professeur à son tableau de chasse ? — Je serais obligé de le subir, j’ai donné ma parole, se justifie-t-il. Est-ce que cela va lui faire mal ? Il demandera à Manon ou Lucas d’utiliser la margarine. En attendant, il décide de partir en week-end pour une randonnée solitaire.
Le mardi suivant, Manon arrive toute frétillante. — Tu as l’air particulièrement en forme, que se passe-t-il ? — Tu verras. J’ai une surprise pour toi après le cours. — Ne vends pas la peau de l’ours ! N’oublie pas que tu dois répondre juste aux trois exercices. — Pas de problème, j’ai bien révisé ! Quelques minutes plus tard, elle tend triomphalement sa feuille à Alain. — Voilà ! Il la parcourt en grommelant. — Oui… Oui… C’est bien… Oh ! — Qu’est-ce qu’il y a ? demande-t-elle brusquement inquiète. — Tu es incorrigible ! Encore une faute d’étourderie. Regarde là… Oui, là ! Et le signe moins qu’est-il devenu en passant d’une page à l’autre ? — J’ai pas juste alors ? — Ben non. Il faut que tu fasses plus attention. Cela ne pardonne pas au bac ! — Zut ! Moi qui me faisais une joie de ma surprise. — Ce sera pour la prochaine fois, enfin j’espère. Vexée, elle se montre particulièrement attentive au cours de la leçon. A la fin, elle tente de fléchir Alain. — Dis, pour une fois… — Non, pas question ! — S’il te plait… Alain soupire. Il a une furieuse envie de découvrir ce qu’elle a imaginé. Manon sent sa détermination flancher. — Je t’en prie. — Non, les règles sont faites pour être respectées. Allez ! La console-t-il pendant que maussade elle rassemble ses affaires, la prochaine fois sera la bonne. Elle refuse de l’embrasser au moment de franchir la porte. Il se venge en tapant sur les fesses pour la pousser sur le palier…
A suivre…
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