Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 8 J'aime
  • 1 Commentaire

Alain, ancien professeur

Chapitre 9

Avec plusieurs hommes
Alain passe un mauvais week-end. Malgré ses multiples tentatives il n’arrive pas à retrouver seul la raideur qui l’avait réjouie pendant que Enzo l’enculait, ni même celle moins puissante quand Manon le caressait. Il a beau se masturber, enfoncer le doigt dans le cul rien n’y fait. Il essaye avec une bougie. Le frémissement qui le parcourt lui donne espoir, mais cette sensation fugitive disparaît vite et ses manipulations désordonnées ne lui permettent pas de le retrouver. Il faut qu’il se fasse une raison, il a besoin qu’on l’encule pour qu’il bande à nouveau, et encore il n’est pas sûr que cette érection provoquée soit suffisante pour baiser. Il a hâte de le contrôler jeudi prochain. Tant pis pour le résultat des exercices, s’il le faut, il implorera Enzo et demandera à Manon de se prêter à l’expérience. Il est persuadé que la jeune fille ne le décevra pas. En attendant, mardi avec la jeune fille, il contrôlera que les caresses anales font encore de l’effet…
Son élève arrive préoccupée dans l’après-midi. — Qui a-t-il ? Ce sont tes révisions qui te perturbent ? J’espère que mes leçons de math ne t’empêchent pas d’étudier les autres matières. Elles sont aussi importantes pour l’examen. — Non, c’est pas ça. — Alors ? — C’est la dernière fois que tu me donnes des cours. — Non, jeudi prochain. — Je veux dire des cours… Euh… Particuliers. — Sans tes copains ? Eh oui, tu n’auras plus besoin de leçons, après le bac se sont les vacances. — Oh ! Ce n’est pas à ça que je pensais. Ça me fera de la peine de ne plus te voir. — Je te promets de ne plus refuser les invitations de tes parents. Cela m’aurait gêné pendant les révisions, mais après j’accepterai avec plaisir. — Vrai ? — Je t’assure. Bon, pour la dernière nous deux seuls, on fait des exercices ? — Tu n’en as pas préparé ? — Si, mais si tu le désires, on s’en passe. — Ah ! Non ! Pour une fois où je suis pratiquement sûre de réussir ! — Tant mieux, tant mieux. Prends donc ta feuille de papier…
Manon avait raison, elle ne fait aucune faute. Il la félicite et tempère son impatience en promettant une leçon courte. Au bout de trois quarts d’heure, elle a de la peine à se concentrer. Alain prend pitié et abrège la révision. — Nous verrons les derniers points jeudi avec tes copains. Aujourd’hui ça suffit. — On peut passer à la suite ? — Quelle suite ? — Oh ! Mais j’ai gagné, tu as l’air de l’oublier. — Je ne l’oublie pas, je te taquine. Que dois-je faire ? Me déshabiller ?
— Entre autre. Ils ôtent leurs vêtements chacun de leur coté. La jeune fille vient se blottir dans ses bras. — Tu sens bon. Le compliment l’émeut. — Embrasse-moi, quémande-t-elle. Il prend ses lèvres. Tout en fouillant la bouche de la langue, il patouille le corps délicat. De penser que c’est la dernière fois qu’il tient Manon ainsi dans les bras le rend fébrile. Jeudi avec les deux garçons ce ne sera pas pareil. Elle se dégage. — J’ai une surprise pour toi. Elle fouille dans on sac et sort un godemiché emballé dans du papier de soie. — Que vas-tu faire ? — Je vais voir si j’arrive à te faire bander aussi fort que quand Enzo t’encule. Il frémit. Manon a pensé la même chose que lui. — Tu as du beurre ? — Je crois, dans le réfrigérateur. Elle s’éclipse pour revenir en frottant la tige de plastique d’un bout de doigt graisseux. — Je pense que ça suffira. Mets-toi en position. — Tu veux que je me mette à quatre pattes ? — Non, Allongeons-nous tête-bêche comme mardi dernier. Ils s’installent sur le canapé, Alain dessous. Le sexe rose attire ses lèvres. — Ouiii ! Continue de me caresser. Elle manipule la queue d’Alain encore souple. Elle promène le bout du godemiché sur l’anus. — Oui ! Ça a de l’effet ! Satisfaite, elle introduit le bout. Les chairs résistent. Elle pousse. — Je ne te fais pas mal ? — Non, tu peux y aller. — N’oublie pas de me caresser ! Il s’applique à sucer le clitoris pendant que Manon pousse plus fort. Le sphincter se dilate et aspire le godemiché comme une petite bouche. — Aaah ! Alain frémit. Presque la même sensation qu’avec la queue d’Enzo. — Tu bandes ! Oui ! Tu bandes ! Elle pistonne avec l’engin. Alain tremble, il ne peut poursuivre les caresses. — Oui ! Tu as une vraie queue ! Prends-moi ! Elle se couche sur le tapis, cuisses écartées. — Viens ! En l’absence de mouvement, le sexe artificiel n’a plus d’effet. La raideur d’Alain retombe comme un soufflet. — Oh ! Mets-toi à quatre pattes. Elle fait jouer le godemiché. Immédiatement la queue d’Alain réagit mais s’affaisse dès que Manon cesse le mouvement de va et vient. — On n’y arrivera pas ! Je suis désolée. — Contentons-nous de caresses comme mardi dernier, tu veux bien ? — Moi qui me faisais une joie d’être baisée par toi. — Nous trouverons une solution, garde confiance ! Il l’entraîne vers le canapé. C’est lui qui se place au-dessus. Avec les doigts, il écarte les lèvres du sexe rose et assèche de la langue la rosée du plaisir, pendant que Manon suce la verge dilatée mais toujours souple malgré l’introduction d’un index dans le sphincter…
Le jeudi suivant, il prépare une série de questions couvrant tout le programme. Il prévoit que cela les occupera pendant une bonne demi-heure. Ensuite il abordera les derniers points de la révision et ses élèves seront fins prêts pour l’examen. Il les regrettera. Ils lui ont fait découvrir des facettes du plaisir qu’il ne connaissait pas. Il sourit. Ce sont les jeunes qui l’ont initié, le monde à l’envers ! Aura-t-il l’occasion de les revoir. Manon oui, chez ses parents mais les autres ? Peu probable. Il devra se contenter du souvenir de la queue d’Enzo s’enfonçant entre ses fesses… Les trois jeunes gens s’installent autour de la table. Personne ne dit mot. L’ambiance est morose. Alain distribue à chacun une feuille avec les énoncés des exercices qu’il leur propose. Ils ne font aucun commentaire et se plongent dans la résolution des problèmes. Au bout d’une demi-heure, il les arrête et corrige avec eux. Il est fier du résultat car ils ont presque tout fini correctement. — C’est comme si nous avions gagné ? demande Manon. — Oui, on peut dire ça. — Moi je ne pourrai pas rester à la fin du cours, déclare Lucas. J’ai encore des matières à revoir. — Moi aussi, renchérit Enzo. — Vous nous laissez tomber ? Manon est déçue. Elle voulait faire l’amour à Alain et pour cela projetait d’obtenir l’aide d’Enzo pour qu’il encule leur professeur et lui rende sa virilité. — Ils ont raison, déclare celui-ci. Il faut avoir l’esprit libre pour les dernières révisions. La leçon d’aujourd’hui sera courte. Je veux juste qu’on étudie le chapitre des… Une demi-heure après, il leur prodigue les derniers conseils. — Lisez bien vos énoncés. Essayez de voir quelle partie du cours est concernée et souvenez-vous bien des exercices que nous avons faits. Généralement le problème comporte plusieurs questions indépendantes. Si vous coincez sur une n’insistez pas, passez à la suivante. Vous pourrez y revenir par la suite. Je vous souhaite bonne chance. — Dis, Alain, demande Manon, si nous réussissons…— Vous réussirez, c’est sûr. — On pourra venir ici ? — Cela me ferait plaisir mais vous n’êtes pas obligés. — Si, pour te remercier. Vous êtes d’accord les garçons ? Enzo et Lucas se regardent en souriant. Après le bac, ils auront l’esprit dégagé surtout s’ils ont le diplôme. — Pas de problème. — Convenons d’un jour, propose Alain. Ils regardent le calendrier et fixent le rendez-vous au jeudi suivant la proclamation des résultats, quelque en soit l’issue…
Alain n’a pas la patience d’attendre qu’un de ses trois élèves lui téléphone le résultat. Ses pas le conduisent devant le lycée, comme s’il se promenait par hasard, juste à l’heure présumée de l’affichage. Les lycéens bruissent d’énervement malgré leur allure désabusée. Alain aperçoit Enzo et l’interpelle. — Alors confiant ? — Je… Je crois. — As-tu vu Manon et Lucas ? — Non, ils doivent êtres perdus dans la foule… Ah ! Le voilà ! Lucas ! Hèle-t-il. Le jeune homme les rejoints. Manon se pointe. — Ah ! Vous êtes là ? — Oui, nous sommes impatients du verdict. — Toi aussi Alain ? — Oui, je brûle de contrôler l’efficacité de mes leçons. — Pour ça, elles ont été efficaces ! s’exclame Manon. — Oui, renchérit Lucas, Cracra avait fait l’impasse sur la partie de cours concernée par le problème et ne nous avait pas parlé de ces fonctions. — Heureusement que toi, poursuit Manon, t’avais expliqué. Enzo opine du chef. — Oui, nous avons eu de la chance de t’avoir comme prof. Dans la classe nous sommes les seuls à avoir fait la seconde partie du problème. La foule frémit. Les conversations cessent : Une employée agrafe des feuillets dactylographiés. Les élèves s’agglutinent près du tableau d’affichage. Manon se précipite suivie de Lucas. — Tu n’y vas pas ? demande Alain à Enzo. — Oh ! Je saurais par eux le résultat aussi vite que si j’y allais. — On dirait que tu as confiance. — Oui, D’après moi j’ai répondu correctement en math et en physique. Je ne suis pas trop mauvais en langues, il y a que la philo qui me pose problème. Manon revient toute excitée, suivie de Lucas un sourire satisfait aux lèvres. Alain est rassuré. Rien qu’à les voir, on devine qu’ils ont leur diplôme. — Alors ? interroge-t-il pour faire plaisir à la jeune fille qui n’attend que ça. — On l’a ! Et avec mention qui plus est. — Mention ? S’étonne Enzo. Qui ? Tous ? — Oui, toi et moi mention bien, Lucas mention très bien. Quand je pense qu’il nous a fait la vie toute la semaine, celui-là ! Soi-disant qu’il avait tout loupé ! — Je vous félicite, déclare Alain. Allez rejoindre vos camarades, je vous attends jeudi prochain. — On y sera sans faute ! — A quelle heure voulez-vous venir ? Les trois jeunes gens se consultent du regard. — Vers trois heures de l’après-midi ? suggère Manon qui reçoit l’approbation des autres. Elle donne un baiser sur la joue d’Alain avant de se fondre dans la foule avec ses deux camarades. Alain sourit de les voir recevoir d’un air blasé les congratulations de leurs condisciples. Ils méritent la petite fête qu’il projette. Un peu d’alcool est tolérable dans ce contexte. Il décide leur préparer un cocktail, pourquoi pas un punch à base de rhum blanc et de jus de fruits ? Il lui faudra s’approvisionner mercredi…
Fin de la deuxième partie… A suivre troisième partie : RECOMPENCES
Diffuse en direct !
Regarder son live