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Alain, ancien professeur

Chapitre 11

Divers
Plus l’heure du rendez-vous avec Isabelle approche, plus Alain se fait du souci. Il se reproche sa conduite avec ses trois élèves. On les lui a confiées, des parents lui ont fait confiance. D’accord ils sont majeurs, mais depuis si peu de temps ; d’accord ce sont les jeunes qui ont pris l’initiative des jeux érotiques, mais n’était-il pas là pour leur montrer le droit chemin, réfréner leur libido ? Il en a été incapable, se complaisant dans la luxure, l’encourageant même. La réussite au bac n’est pas une excuse valable. Si lui-même à leur âge ans en avait fait autant avec un professeur particulier, ses parents auraient été en droit de porter plainte : la majorité à dix huit ans est un acquis récent. Malgré tout, il ne regrette rien. Quelle joie lorsque sa verge a pu s’enfoncer dans le doux vagin de Manon ! Il est prêt à recevoir n’importe quelle queue dans le cul pour renouveler cet exploit. Ah ! Si Enzo pouvait l’accompagner chez Isabelle, quel bonheur ce serait de pouvoir refaire l’amour avec celle-ci avec la complicité du garçon ! Il pousse un gros soupir, il ne faut pas rêver ! Il se secoue. Il est temps de se préparer ! Il s’habille avec l’entrain d’un condamné.
A l’heure dite, un bouquet de rose à la main, il se présente chez son ancienne maîtresse. Elle l’accueille avec le sourire, enveloppée dans un déshabillé léger qui lui sied à ravir. — Oh ! Les jolies fleurs ! Merci ! Tu sais ce n’était pas la peine. C’est à nous de te faire des cadeaux pour ce que tu as fait à Manon. Il rougit violemment : ce qu’il a fait à Manon ! — Euh… Accepte-les pour me faire plaisir. Isabelle prend le bouquet. — Entre, s’il te plaît. Excuse ma tenue, tu m’as surprise, je prenais un bain de soleil dans le jardin. Serait-elle nue sous le fin tissu ? Il lui semble déceler les frémissements de la poitrine quand elle marche et aucune ombre ne trahit la présence d’un maillot sur les fesses. Alain avale sec. Isabelle a insisté pour le rencontrer avant dimanche. Sa venue ne pouvait la surprendre. A-t-elle fait exprès de le recevoir en déshabillé ? Pourquoi ? — Prends place au salon pendant que je choisis un vase pour tes superbes roses. Il entend l’eau couler dans la cuisine. Par la porte-fenêtre, il a vue sur le jardin. Un drap de bain orne la pelouse de sa tache multicolore. — Voilà ! Alain se retourne. Isabelle dépose sur la table basse un vase en cristal. Elle dispose les fleurs, coupe une tige trop longue, recule pour admirer l’effet. — Elles sont splendides, merci. Maintenant que ni l’un ni l’autre sommes armés, ajoute-t-elle en déposant une paire de ciseau, tu ne crois pas qu’il serait temps que tu me dises bonjour correctement ? — Euh… Alain met plusieurs secondes pour comprendre ce que désire son amie. Ce n’est que lorsqu’elle s’approche de lui qu’il l’enlace. Leurs lèvres se joignent. Il retrouve la saveur des baisers d’antan lorsqu’ils se retrouvaient pour des cinq à sept torrides. Ses mains parcourent le corps de son ex-amante. Il peut contrôler qu’elle est nue sous son peignoir léger. Cela déclenche une érection subite qui le remplit de joie. — La rumeur m’en était parvenue, mais je n’y croyais pas, s’amuse-t-elle en massant de la cuisse le membre qui se développe. Je dois me rendre à l’évidence : il semble que tu aies retrouvé une vigueur qu’il y a peu te fuyais. — Euh… Les apparences sont quelques fois trompeuses. — C’est ce qu’on m’a dit… — Qui t’en a parlé ? — … Et on a ajouté qu’il te fallait des circonstances particulières, poursuit-elle en négligeant l’interruption. — Qui te l’a dit ? Ta fille ? Manon ? De quelle punition l’as-tu menacée ? En dépit des frottements, la verge d’Alain a perdu de sa superbe. — J’ai rien menacé du tout ! C’est elle qui m’en a librement parlé… Tu ne me crois pas ? On va lui demander !
— Tu n’y penses pas ! Isabelle se dégage. Elle ouvre la porte-fenêtre, s’avance sur la terrasse et appelle sa fille cachée à la vue d’Alain — Manon ! — Oui Maman. — Peux-tu venir ici ?… Couvre-toi il vaut mieux… Nous avons l’habitude de nous déshabiller pour prendre des bains de soleil, explique-t-elle à Alain un peu perdu en revenant dans la pièce. Ni l’une ni l’autre n’aimons les traces de bronzage. La jeune fille termine d’enfiler un déshabillé vaporeux en entrant au salon. Sa silhouette se découpe en ombre chinoise dans l’encadrement de la porte-fenêtre. Alain vacille et doit se retenir au dossier du canapé. Il ne peut ignorer qu’elle est nue sous la fragile protection du tissu léger. — Bonjour Alain. — Bon-bonjour. — Tu m’embrasses pas ? — Euh… Excuse-moi. Elle lui tend la joue avant de s’installer sur l’accoudoir d’un fauteuil. — Pourquoi m’avez-vous fait venir ? — Alain imagine que je t’ai extorqué des aveux, argumente sa mère. Dis-lui toi que c’est faux. — Quels aveux ? — La nouvelle de sa… Euh… Résurrection sexuelle. — Ah ! C’est de ça dont vous parlez. Oui, ajoute-t-elle à l’adresse de son professeur, j’ai raconté à Maman ce qu’elle appelle ta résurrection. — Oh ! Il ne sait pas quelle attitude prendre. Doit-il s’étonner ou admettre comme normal que la fille révèle à la mère qu’elle a fait l’amour avec son ex-amant ? — Tu sais, insiste Isabelle, Manon et moi n’avons pas secret l’une pour l’autre. Elles s’assoient sur le canapé, côte à côte. Manon arrange son peignoir. Pour taquiner Alain, elle l’ouvre en grand sur sa poitrine nue avant de le refermer. — Dis Isabelle, tu trouves pas que ce monsieur est indécent ? — Indécent, moi ? S’étonne-t-il. — Oui, il est indécent que tu sois habillé pendant que nous sommes pratiquement nues. — Tu as raison Manon, mais ce sera vite réparé. Il n’a qu’à nous imiter. Allez Alain ! Il hésite. — Regardez-moi ce grand garçon qui a peur devant deux faibles femmes ! Vexé, il se déshabille sous le regard intéressé d’Isabelle et Manon. — Tout ! Insiste la jeune fille quand Alain en slip veut se rasseoir. — Mais… Ce n’est pas juste ! Vous conservez un vêtement. Pourquoi n’en aurais-je pas le droit ? — Il a raison ma fille. — Bon d’accord Maman, je m’incline. Alain soupire soulagé. Ça ne dure pas. Il ouvre de grands yeux quand Manon ôte son peignoir et apparaît dans sa radieuse nudité. Isabelle l’imite avec un sourire. Les deux femmes froncent les sourcils à son égard. Sans un mot il consent à ôter le dernier rempart de sa vertu. — Je crois que nous nous sommes fait des illusions ma chérie, s’amuse Isabelle. — Tu vas voir, je sais comment rétablir la situation. Elle s’agenouille devant Alain et s’amuse avec le sexe mou. A la grande honte d’Alain la hampe réagit et se redresse. — Tu vois, Maman, il devient raisonnable. — A mon tour d’en profiter. Isabelle écarte sa fille. Elle promène les lèvres sur le gland avant de l’enfourner. — Aah ! La jeune femme lèche la tige. Elle la contemple avec envie. Il y a si longtemps qu’elle y a goûté. Le désir de la recevoir devient impérieux. — Viens dans ma chambre ! Elle attire Alain par la queue et s’apprête à sortir. — Maman ! — Quoi ? Tu es jalouse ? — Non, mais je pense que ce ne sera pas suffisant. — T’occupe. — Je t’assure. Regarde ! Il faiblit. En effet la verge plie entre les doigts d’Isabelle. — Comment as-tu fait alors ? — Je croyais que vous n’aviez pas de secrets, ironise-t-il. Cette petite pique le console d’être traité en homme-objet. — Attends une seconde, je reviens. Manon quitte la pièce. Alain veut se dégager, Isabelle le retient. — Non, non, non ! Tu restes là ! Ils patientent une minute. — Qu’est-ce qu’elle fait ?… Ah ! Te voilà ! Qu’as-tu dans la main ? Oh ! Mon godemiché ! — Oui, c’est nécessaire pour obtenir satisfaction avec Alain. — Tu veux lui mettre dans le cul ? — Oui, résultat garanti. Lui, il contemple avec inquiétude l’engin. Il lui paraît plus long et plus gros que lorsque Manon l’avait utilisé. Puis elle semble avoir oublié la margarine. — Tu as mis de la vaseline au moins ? demande Isabelle. — Oui Maman, on ne veut pas sa mort… Penche-toi ! Commande-t-elle à Alain… Mieux que ça ! Ecarte les fesses… Allez ! Sinon je risque de te faire mal. Il tire sur les lobes de son postérieur. Manon cherche l’emplacement de l’anus et l’enduit de vaseline qu’elle prélève sur la tige du godemiché. Elle présente le bout et l’enfonce de quelques centimètres. — Aah ! Isabelle tire sur la verge qui durcit et se redresse. — Oui, c’est vrai ! S’exclame-t-elle. Tu as d’excellentes idées ma chérie ! Continue s’il te plait. Alain s’appuie sur les accoudoirs du fauteuil. Il retrouve les sensations expérimentées un mardi avec la jeune fille. Il avance le ventre à la rencontre du sexe d’Isabelle. Celle-ci s’avance, les fesses au bord du siège et s’empale sur la tige droite. — Aaah ! Manon cesse un instant de manipuler le godemiché. L’état du sexe d’Alain s’en ressent. — Ne t’arrête pas, sinon il flanche ! La jeune fille enfonce la tige plus profond puis la retire pour la renfoncer à nouveau. — Oui ! Il revient, continue comme ça. Alain tremble sur ses jambes. Il ne doit pas s’effondrer. Les bras crispés au fauteuil, il n’ose pas bouger, laissant les deux femmes s’activer, l’une sur sa verge qu’elle masse avec les muscles du vagin, l’autre dans son cul. Peu à peu, il parvient à se contrôler et commence à jouer du bassin. — Ouiii ! A présent c’est lui qui avance et recule dans le vagin et sur la queue artificielle. — Ouiii ! Gémit Isabelle… Ouiii !… Vas-y mon doux cavalier… Ouiii !… Aaah !… Quel plaisir… Aah !… Je jouis… ouiii !… Encore !… Aah !… Je… Je… Jouiiiiis !… Aaahhmmmh ! La jeune femme serre son cavalier contre elle. Manon arrête le va et vient dans le cul d’Alain et s’affale sur le canapé. — Ben y-a pas à dire c’est fatigant votre truc. Isabelle, heureuse parsème de baisers la figure d’Alain. — Je savais bien que tu me reviendrais ! Cela ne t’a pas fait plaisir ? — Oh si ! C’est merveilleux ! Merveilleux, oui mais éreintant ! Il veut se dégager. Manon se précipite. — Hé ! Pas si vite ! Tu es sûr de ne rien oublier ? Et ça ? Elle retire l’engin encore fiché dans son cul. Alain rougit. Il ne s’en était pas rendu compte tant la grosseur dans son intestin semblait normale. Débarrassé, le ventre vide, il roule sur le coté et s’assied sur le tapis au pied du fauteuil, le souffle court, les yeux clos. La jeune fille pose une fesse sur l’accoudoir. — Alors maman ? Qu’est-ce qu’on dit à sa fille chérie qui a permis ces retrouvailles ? — Qu’elle mérite une récompense, n’est-ce pas Alain ? Il ouvre un œil. Isabelle et Manon s’embrassent sur la bouche. — Oh ! — Ça te choque ? Le provoque la jeune femme. Et encore tu n’as rien vu. On lui montre ma chérie ? — Oh oui ! — Viens sur le canapé nous serons plus à l’aise. Elles bousculent Alain au passage. Isabelle allonge sa fille sur les coussins. Elle s’agenouille sur le tapis et la bécote sur la figure, le coin des lèvres. La bouche parcourt le cou, descend sur la poitrine et embrasse les seins. Il ne sait que penser. La mère et la fille ! Il devine qu’elles n’en sont pas à leur coup d’essai. Isabelle agace le nombril de la langue, puis enfouit la figure dans les poils du bas ventre. — Aah ! Manon caresse les cheveux d’Isabelle et maintient sa tête contre elle. — Ouiii ! Après quelques caresses buccales, la jeune femme se redresse et interpelle Alain. — Viens m’aider au lieu de nous regarder avec des yeux de merlan frit ! Il semble ne pas comprendre. — Caresse-lui la poitrine, elle aime ça… Ne me dis pas que cela ne te plait pas ! Insiste-t-elle voyant qu’il ne bouge pas. Tu m’as assez raconté tes fantasmes avec tes élèves ! Manon lui sourit, ses seins l’attirent comme un aimant. Il rejoint le groupe sur les genoux et embrasse un téton tandis qu’il enveloppe l’autre mamelon de sa paume. — Oui, murmure la jeune fille, aimez-moi ! Chacun s’applique à la faire jouir, Isabelle entre les cuisses qu’elle a ramenées sur les épaules et Alain sur la gorge tendre. — Aah ! Tout à coup Manon attire la figure d’Alain pour un baiser profond. Il remplace ses lèvres par les doigts sur les tétons dressés comme des petits sexes. Les caresses de sa mère parviennent à leur but. La jeune fille gémit, se tord sur le canapé. La bouche d’Alain retrouve un sein pendant que des cuisses nerveuses emprisonnent la tête d’Isabelle qui lèche consciencieusement la vulve rose. Manon raidit, s’arque boute, puis retombe sur les coussins avec un soupir d’intense plaisir. — Aaaah ! Isabelle redresse la figure le menton en luisant. Elle attire Alain. — Embrasse-moi ! Il découvre en un savoureux mélange, le goût poivré du sexe de Manon et celui plus sucré de la salive d’Isabelle. Puis la jeune femme s’occupe de sa fille. Avec une lavette prise dans la salle de bain, elle bassine le sexe sensible. — Ça va mieux ma chérie ? — Oui, vous êtes des amours. Elle se redresse sur le canapé et invite : — Asseyez-vous à mes cotés. Isabelle s’empresse et passe un bras câlin sur les épaules nues. Alain l’imite après un instant d’hésitation. Il est perturbé. C’est un inceste auquel il a assisté, pire participé ! — On te choque n’est-ce pas ? Il rougit vexé qu’Isabelle lise si facilement dans son esprit. — Euh… Non, non. — Ne dis pas de bêtise. Tu es choqué, avoue-le. Je le comprends très bien d’ailleurs. Mais rassure-toi, je ne suis pas une pédophile, il n’y a pas longtemps que nous nous donnons du plaisir toute les deux. Cela ne fait pas de nous des lesbiennes, comme tu t’en es rendu compte n’est-ce pas ? — No… Non, doit-il admettre. — Alors, contente-toi de profiter de nos bonnes dispositions et laisse-nous agir à notre guise. — Tu as raison Maman de le remettre en place. Qui est-il pour nous juger ? Ne s’est-il pas jeté sur moi qui viens à peine d’accéder à la majorité. — Qu’as-tu à répliquer ? — Oh rien ! Faites comme bon vous semble, je n’ai pas à m’immiscer entre vous deux. — C’est bien comme ça que je l’entends, n’est-ce pas ma chérie ? — Oui Maman. Pour le provoquer, après un clin d’œil complice, les deux femmes s’embrassent sur la bouche. Alain sourit. C’est vrai que le spectacle est charmant. Il mêle ses doigts à ceux d’Isabelle sur la poitrine de la jeune fille. Celle-ci interrompt le baiser. — Dis Maman ! Tu peux m’aider à ton tour ?… Oui pour Alain, insiste-t-elle devant le regard d’incompréhension. Peux-tu t’occuper de son cul pendant… — Pendant qu’il enfonce sa grosse quéquette dans ta petite chatte ? Pas question ! Ne compte pas sur moi pour aider mon amant à baiser ma fille chérie. — Mais… — Je sais que ce ne serait pas la première fois. Je ne t’empêche pas de recommencer, mais je ne t’aiderai pas. — J’ai essayé seule mais j’ai pas pu ! J’ai besoin d’assistance. — Tu prétends ne pas pouvoir te débrouiller toute seule ? Veux-tu une démonstration ? Alain est un peu perdu. Après la découverte des relations particulières entre mère et fille, voilà que ces deux femelles se disputent ses faveurs. Il en est flatté et attend confiant l’issue de la discussion. Isabelle se lève part à la recherche du godemiché qu’elle exhume de dessous un coussin. Elle l’enduit de vaseline sur toutes ses faces. — Viens ici toi ! lance-t-elle à l’adresse d’Alain. Couche-toi !… Oui sur le tapis. Tant pis pour toi si ce n’est pas confortable. Prenant quand même pitié, elle glisse un coussin sous sa nuque. Elle tourne le dos à sa victime, s’accroupit au-dessus de son ventre et s’amuse avec le sexe. — Hum ! Il ne m’aime pas beaucoup on dirait. Alain a honte de sa verge chancelante. Heureusement les manipulations d’Isabelle on l’effet escompté. — Plie les genoux… Oui… Écarte-les. Manon sourit, elle a une vue plongeante sur l’anus d’Alain. Elle devine ce que sa mère va faire et se morigène de ne pas y avoir pensé toute seule. Isabelle empoigne le sexe artificiel et présente le bout entre les cuisses. Elle l’enfonce un petit peu. — Je te fais mal ? — Non. Elle pousse. La tige disparaît. — Aah ! La jeune femme contrôle l’effet de la pénétration sur la raideur du sexe convoité. Elle donne quelques coups de poignets supplémentaires, puis, sans cesser de remuer le godemiché, elle se place au-dessus de la hampe et descend doucement. — Aah ! Elle se soulève sur les cuisses pour se laisser retomber, les fesses contre le ventre d’Alain. Elle recommence le mouvement, lentement au début puis accélère le rythme. — Tu vois… Aah !… Je n’ai… Aah !… Pas besoin… Aah !… D’ai… Aah !… D’aide… Aah ! Il a pour horizon le postérieur qui monte et baisse tour à tour. Il aimerait pouvoir toucher les seins mais la position d’Isabelle penchée en avant pour manœuvrer le godemiché, ne le permet pas. Il se contente de caresser les lobes fessiers. Il est bien. Le plaisir monte doucement dans la tige. Il est sûr de résister jusqu’à la jouissance de sa cavalière. Manon s’approche fascinée par le spectacle. Elle donne un baiser au passage à Isabelle puis s’agenouille près de la figure d’Alain, se penche et lui offre ses lèvres. Pour la remercier, il patouille sa poitrine d’une main et de l’autre part à la découverte de son sexe. — Aaaahh ! Isabelle se tétanise dans un cri rauque. Elle lâche le godemiché, serre les mains sur la poitrine dans les derniers soubresauts de la jouissance. Epuisée, elle glisse sur le coté libérant la verge encore raide. — Oh ! Il n’a pas joui ! Manon se précipite et enfourne la tige luisante. Faute de sollicitation annale, celle-ci fléchit mais la jeune fille persévère jusqu’à recevoir sur la langue le sperme volé à sa mère. — Aah ! Elle les quitte pour revenir avec une lavette. Elle retire l’engin avec précaution, puis éponge la queue flasque d’Alain et ensuite le sexe d’Isabelle. Celle-ci lui sourit. — Alors ma fille ma démonstration a-t-elle été convaincante ? — Oui Maman, encore que j’ai du intervenir pour qu’il termine. — D’accord, d’accord, mais c’est parce qu’il était fatigué. — Eh ! Dites donc, se plaint-il. Un peu de respect s’il vous plait ! Isabelle hausse les épaules. Elle prend son déshabillé qui traîne sur le dossier d’une chaise et s’en enveloppe. — Mon cher Alain, je me vois dans l’obligation de te demander de partir. Christophe va bientôt rentrer et je dois préparer le repas. N’oublie pas que nous t’attendons après-demain dimanche pour déjeuner. Il se lève précipitamment à la recherche de ses habits. Il ne tient pas à rencontrer le mari… Les deux femmes l’accompagnent à la porte. Isabelle quémande un baiser. — Tu peux revenir quand tu veux. Tu seras toujours le bienvenu, même si ma fille n’est pas là, puisque j’ai fais la preuve qu’on peut se passer d’elle. — Oui, tu peux venir, surtout quand Maman n’est pas là ! Non, pour plus de sûreté j’irai chez toi. Nous y serons plus tranquilles pour expérimenter la nouvelle méthode. Et si nous n’y parvenons pas, on pourra toujours faire appel à Enzo. Pour l’empêcher de se récrier, elle plaque les lèvres sur sa bouche. Il ne fait aucun commentaire, sûr de ne pas avoir le dernier mot avec ces femelles enragées et les quitte, pressé de fuir pour ne pas se trouver nez à nez avec le mari cocu.
A suivre…
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