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Alain, ancien professeur

Chapitre 12

Divers
— Qui est Enzo ? interroge Isabelle en refermant la porte. — Je t’en ai parlé. C’est lui qui prenait avec mon copain Lucas des leçons chez Alain. — Ah oui je me souviens. Il t’a aidé ? — On peut dire ça, sourit Manon. — Il manipulait le godemiché pour permettre à Alain de te baiser ? — On n’avait pas besoin de godemiché. — A-ah ! Un rire muet secoue les épaules d’Isabelle. Pourquoi en effet utiliser une copie de plastique quand on a à sa disposition un original en pleine forme ? Elles rangent le salon remettant le tapis et les coussins en place. — Ton père va arriver, habille-toi. — Pourquoi faire ? En effet pourquoi faire ! Isabelle sourit. Ce ne sera pas la première fois que la fille évolue nue ou le corps à peine voilé devant lui. Une idée lui traverse l’esprit. — Ton père… Elle reste immobile un cousin entre les mains. — Oh ! Maman ! Penserais-tu ce à quoi je pense ? — Ben ! Qui a-t-il de si extraordinaire ? Ne serait-ce pas une bonne solution ? — Tu n’y songes pas ! — Ben si justement. Mais on a le temps d’y réfléchir, jusqu’à dimanche…
Isabelle et Manon terminent la préparation du repas du soir. Elles ont gardé leurs déshabillés qui flottent au gré de leurs mouvements. Elles se sourient et échangent une petite caresse furtive lorsqu’elles se croisent dans la cuisine. Le bruit de la porte qui se referme les précipite dans l’entrée. — Bonsoir mon chéri ! — Bonsoir Papa ! — Bonsoir mes amours ! Ils s’étreignent dans le vestibule. Christophe ôte sa veste et suit les deux femmes au salon où Isabelle a préparé l’apéritif. — Contente de ton après-midi ma chérie ? interroge-t-il. Pas déçue ? — Pas du tout.
— Le résultat a-t-il été conforme à ton attente ? — Tout à fait. Au-delà de mes espérances même ! — Oui, tu aurais du voir comme elle a joui, ajoute Manon. — Tu étais là ? Avec eux ? — Oui, heureusement d’ailleurs car sans moi je doute qu’ils seraient parvenus à leurs fins. — Comment cela ? — Je t’expliquerai, s’empresse d’interrompre Isabelle. — Si je comprends bien, Alain va redevenir un hôte assidu de cette maison. — Cela ne te dérange pas ? — Pas du tout, je t’assure. Pas plus qu’avant. — Il n’y aura pas Marie pour te consoler. — Je saurai m’en passer. N’ai pas de scrupules, amuse-toi. — Tu es un chou ! Isabelle se jette au cou de son époux et l’embrasse. Il profite des facilités offertes par le vêtement de sa femme pour la peloter sous le regard amusé de leur fille. — Donc tout s’est bien passé, reprend-il lorsqu’ils se séparent au bout d’une longue minute. — On peut le dire, sourit Isabelle. — Parle pour toi ! S’insurge Manon. — Qu’est-ce qu’il y a ma toute belle ? Tu n’as pas l’air satisfaite. — Maman n’a pas voulu qu’il me fasse l’amour. — Oh ! Ce n’est pas bien Isabelle ! Pourquoi es-tu si égoïste ? — Elle oublie de dire que nous l’avons caressée à la faire tordre de plaisir sur le canapé. — J’aurais aimé assister, sourit-il. — Ce n’était pas suffisant, rouspète la jeune fille. — Bah ! Tu auras de multiples occasions de te rattraper. — Peut-être, mais aujourd’hui j’ai été brimée ! — Oh ! La pauvre petite fille qui a passé tout un long après-midi sans se faire baiser ! S’amuse Christophe. C’est horrible ! — N’est-ce pas ? Tu ne veux pas me consoler ? Elle se précipite sur les genoux de Christophe et passe le bras autour du cou. Son déshabillé s’est ouvert dévoilant la cuisse. Christophe pose une main câline sur la peau fine. Ses doigts rampent vers l’aine pendant que Manon l’embrasse sur la bouche. — Tu veux bien ? Implore la jeune fille. — T’ai-je, pardon, t’avons-nous jamais abandonnée ? N’étions-nous pas là quand tu avais besoin de nous ? Isabelle sourit. Non, ils ne sont pas dérobés depuis que leur fille, au début de l’année, était venue chercher réconfort dans leur chambre après une expérience malheureuse avec un garçon maladroit.
« - Papa, Maman, vous êtes là ?Ils interrompent brusquement l’étreinte qui les unissait. Nus, ils ramènent les couvertures sous le menton. Manon, en nuisette les regardent sans les voir, les yeux remplis de larmes. — Qu’est-ce qu’il y a, ma fille ? interroge Christophe. — Marco n’a pas été gentil avec moi. — Qui c’est ce Marco ? — C’est un copain, il veut plus de moi qui lui aie pourtant donné… Euh… — Donné quoi, ton pucelage ? T’as couché avec lui ? — Euh… Oui. — Et une fois qu’il a obtenu ce qu’il voulait, il t’a laissé tomber, n’est-ce pas ? — Euh… Oui… Je suis mal… Mal… Malheureuse. — Viens mon petit bébé, propose Isabelle oubliant qu’elle et son mari sont nus, couche-toi entre nous… Fais-lui de la place Christophe. Celui-ci d’abord étonné de la proposition de sa femme, libère en souriant un espace que sa fille s’empresse de combler. Isabelle la serre dans les bras. — Là, là calme-toi. Brusquement elle réalise sa nudité. Elle veut s’écarter mais Manon se pelotonne contre elle. De sentir la chair de sa chair mal protégée par la nuisette vibrer, l’émeut profondément. Sans le vouloir ses mains caressent la jeune fille. Elle rencontre les doigts de son mari sur le sexe de Manon et retire brusquement le bras. — S’il te plait Maman, continue… Je t’en prie. — Fait plaisir à ta fille, chérie. Isabelle, tout en se traitant de débauchée, se laisse fléchir et fouille la vulve de Manon. — Ouiii ! Continue Maman. Pour la remercier elle embrasse sa mère. Tout à coup elle se redresse, quitte sa nuisette et revient entre les bras d’Isabelle. Christophe a les fesses de sa fille devant les yeux. Il les chatouille de sa verge. — Oh oui Papa ! Il enfonce la queue entre les cuisses et sent une main guider le gland vers le vagin. N’hésitant plus il donne un coup de rein et s’enfonce avec délice. — Aaah !… Ouiii !… Mmmh ! grogne Manon. Isabelle triture un tétin qui grossi entre ses doigts et de l’autre main caresse le jeune sexe. De savoir que la queue de son mari pistonne dans l’orifice voisin, déclenche une jouissance insoupçonnée. Un deuxième frisson la secoue lorsqu’elle perçoit le passage du sperme dans la verge… Ils restent quelques minutes immobiles, puis Christophe libère Manon. — Tu vas mieux ma chérie ? — Oui Papa ! — Es-tu consolée ? — Oh oui Papa. — Tant mieux ! Peux-tu nous laisser seuls maintenant ? Manon se lève. — Dis, Papa Maman… Je pourrais revenir si… Euh… Si j’ai des ennuis avec les garçons ? — Nous serons toujours là pour toi ma chérie, répond son père. Elle quitte la pièce, sa nuisette sur le bras. Christophe se retourne vers sa femme : — Ben si on m’avait dit… Isabelle ne fait aucun commentaire. Elle est submergée par le remord. Comment en sont-ils arrivés là ? Un inceste ! Et le pire c’est qu’elle a joui, mais joui… Christophe la sent perturbée. — Tu regrettes d’avoir consoler ta fille ?— No-non… Mais… — Ça ne t’a pas fait plaisir ? — Ou-oui… Mais… — Si elle implore encore notre soutient, tu le lui refuserais ? — No-non… Mais… — Alors où est le mal ?… Où en étions-nous quand cette demoiselle est venue nous interrompre… Ah oui ! On s’embrassait. Il prend Isabelle dans les bras… »
Manon a pris l’habitude de se faire consoler quand elle avait une peine de cœur, Isabelle a apprit à composer avec sa conscience, et au bout de quatre mois, elle et son mari n’avaient plus besoin d’excuse pour, ensemble ou séparément, faire l’amour à leur fille.
- Oui, vous ne m’avez jamais laissé tomber, acquiesce Manon. Il la prend par les épaules et sous les cuisses, et la transporte sur le canapé. Isabelle retire le déshabillé pendant que Christophe déboucle sa ceinture. Le pantalon et le slip sur les chevilles il s’avance entre les cuisses de sa fille pendant que sa femme penche sur la bouche écarlate et caresse les seins qui durcissent. — Aah ! Soupire Manon quand la queue pénètre dans son vagin. — Aah ! répond Christophe en écho. La jeune fille noue ses talons sur les fesses de l’homme. — Aah !… Enfin… Aah !… Une queue… Aah !… A moi… Aah ! — Non pas à toi, à moi s’insurge Isabelle. Je te la prête, c’est tout ! — Oui… Aah !… Maman… Aah !… Je te… Aah !… La… Aah !… Rendrai… AAAaaahhh! Christophe amplifie les pénétrations. Il est fier de faire jouir sa fille, de la transporter au septième ciel. Jouit-elle autant avec Alain ? Non, c’est impossible ! — Mmmhhh ! Vidé, il donne trois coups de rein pour finir et s’effondre. Isabelle le fait rouler sur le coté et libère la jeune fille. Elle l’entraîne dans la salle de bain. — Chérie, lance-t-il. Apporte-moi mon peignoir. Je range ici pendant que tu nettoies Manon. Il attrape au vol le vêtement qu’elle lui lance. — Merci !
A suivre…
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