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Albert

Chapitre 1

Divers
Je m’appelle Albert. J’ai 50ans et cela fait 25 ans que je suis clochard, SDF comme on dit maintenant.J’ai mes habitudes. Je fais la manche dans les beaux quartiers de la ville. Le midi, je vais au restaurant étoilé par le Michelin côté cuisine. Là, le cuisinier a toujours une assiette pour moi. L’après-midi, je vais faire une petite sieste sur un banc du parc et ensuite, je me mets à l’angle de la rue entre un horloger et un marchand d’épicerie fine. Le soir, après être passé à la boulangerie où ils ont toujours des sandwichs périmés à me donner, je vais à mes appartements. Ils sont sur les quais, sous une pile de pont. J’ai tout ce qu’il me faut, un réchaud, duvet, couverture et carton. Je suis à l’abri de la pluie et du vent et je vois les péniches passées. Quand l’envie me prend , je vais voir Simone. Elle habite une pile de pont plus loin et me coûte un litre de mauvais vins.
Je m’appelle Evelyne, j’ai 40 ans et je suis veuve. J’habite un superbe appartement avec terrasse. Mon mari avait plusieurs sociétés dont j’ai hérité. J’ai un cabinet d’affaire qui s’occupe de tout cela. Moi, je passe mon temps en shopping et balade avec des amies. Je n’ai pas d’enfant et je suis une veuve joyeuse. Mon mari n’était qu’un rabat-joie et mon mariage était simplement un mariage d’intérêt pour agrandir l’empire de la famille comme il disait. Je me paye des boys friends mais ils sont trop lisses, trop propre sur eux.

Albert voit la bourgeoise, dans son tailleur fait sur mesure, avec ses escarpins. Il tend la main. Elle le regarde, continue d’avancer et s’arrête, fais demi tour, sors un billet de 10€ et me demande.— Ou couchez vous?— Sur le quai, sous le pont neuf? Pourquoi, vous cherchez où dormir?Elle rougit— Non, non, seulement une curiosité.
Elle part presque en courant.Elle arrive à son immeuble, passe devant la conciergerie et prend l’ascenseur. Là, elle reprend son souffle. Mais qu’est ce qu’il y a pris de poser cette question. Qu’est-ce qu’il va croire?
Il est l’heure de partir, de toute façon, Albert a gagné sa journée. Il passe à la boulangerie et repense à cette bourgeoise. Au moins, c’est une généreuse.
Pendant plus d’une semaine, ils ne se voient pas. Albert a oublié depuis longtemps l’épisode et Evelyne ne fait que d’y rêver. Elle est même allée en pleine journée voir où le SDF dormait.Un soir, elle se décide, met son tailleur, un string et soutien gorge pigeonnant, des chaussures à talon. Arrivée sur le quai, elle hésite. Elle marche doucement, il est au moins 22H. Elle aperçoit une lampe entre deux piliers. Il ne dort pas, un litre de vin dans une bouteille plastique est posé à côté de lui. Il fume un mégot récupéré dans la journée. Elle s’approche, il tourne la tête, la regarde et dit:
— Que faîte vous là? Les bourges ne viennent pas ici. Ce n’est pas un zoo. Je ne suis pas une bête de foire.— Je sais, monsieur, mais....— Mais quoi? Tu viens jouer les bonnes âmes? Va voir ailleurs, moi, les bourges je les déteste, elles et toutes leurs simagrées de charité. Je n’ai pas besoin de leur charité. Regarde comment t’est sapée. On te croirait sortie tout droit d’un roman de Maupassant.
Elle écoute et attend qu’il est fini de parler
— Je venais juste vous voir. J’ai quelque chose de très particulier à vous demander.
Comme il ne disait rien, elle continua— Voilà, je suis veuve et disons que j’ai comme un manque
Il se tourne et écoute attentivement— J’ai bien essayer avec quelques escorts-boys mais cela n’a rien donné et les sextoys c’est froidIl l’arrête— Ah, voilà, tu te dis qu’Albert te coûtera moins cher en sex-toys. Je ne suis pas un sex-toys, salope, sache le.
Le mot salope la fait frémir. Voilà ce qu’elle voulait, quelqu’un qui ne prenne pas de pincette, et Albert, n’était pas du genre à en prendre— Bien sur, je sais que vous n’êtes pas un sex-toys, loin de moi cette idée
Albert se lève et s’approche. Elle sent l’odeur de sueur et de vinasse qu’Albert dégage. Elle sent son entre-cuisse se réchauffer.— Ecoute bien, bourge de mes deux, ce que tu veux, c’est te faire mettre par la grosse bite d’Albert. En fait, tu es comme Simone, une salope, une pétasse, juste mieux habillée c’est tout.
Il lui soulève la jupe, voit le string, émet un sifflement et la pousse dans son antre. Elle se retrouve au milieu des cartons, la tête dans une couverture, le cul en l’air, la jupe retroussée, le string baissé. Albert la prend sans préparation. C’est inutile, elle est trempée. Elle sent la queue s’enfoncer en elle. C’est la plus grosse qu’elle n’est jamais eu. Il suffit de quelque va et vient dans sa chatte pour qu’elle jouisse mais Albert ne s’arrête pas. Ce qu’elle ne sait pas, c’est qu’Albert a vu Simone juste avant et il s’est déjà vidé les couilles. Alors Albert continue à la baiser et pour s’encourager, il donne de grandes claques sur son cul.
— Alors, la bourge, t’en a plein ta chatte. Tu sais que tu as un gros cul de chiennasse.Ses mots et le va et vient d’Albert lui déclencha un deuxième orgasme Albert continue. Elle sent la queue d’Albert grossir.
— Tu vois la bourge, tu ne trouveras pas un meilleur baiseur qu’Albert. Et Albert, il adore les grosses salopes de bourge.Il éclate de rire, lui met deux grandes claques sur son cul et décharge en elle.
Il enlève sa queue, lui prend un bras et la tire sans ménagement.— Allez casses toi, j’ai envie de dormir.
Elle se relève, baisse sa jupe, enlève son string, remet un escarpin qui était tombé et s’en va, tremblante. Une fois chez elle, elle fait couler un bain mais après réflexion elle se couche tel quel avec l’odeur et le sperme qui coule sur ses cuisses. Au réveil, le matin, elle se masturbe en pensant à Albert, au mots qu’il a employés. Elle caresse son clito, ses doigts rentrent dans sa chatte. Elle les enfonce, les remue et jouit. Elle a jouit trois fois en 12H . cela ne lui était jamais arrivée.
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