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Albert

Chapitre 4

Trash
Arrivées au pied de l’immeuble, Évelyne propose à Marie-France de monter, elle accepte.Elles s’installent au salon, prennent un verre de porto. C’est Marie-France qui commence :— Je t’ai vu jouir. Je ne t’avais jamais vu aussi heureuse— Et toi, tu as ameuté tout le quartier. Ceux qui étaient sur le bateau n’en ont pas perdu une miette— Tu crois que cela faisait longtemps qu’ils étaient là— Ils étaient déjà là quand Albert s’occupait de moi et ils filmaient— On va se retrouver sur le net— Possible, ce serait humiliant, non?
Évelyne se dit que si elles sont sur le net, elles pourraient être reconnues et tout le monde saurait qu’elles ne sont que des salopes— Moi, ce qui me dérange, c’est qu’Albert ne veut de nous que si nous savons sucer. Cela fait la troisième fois que je vais le voir, et franchement, je jouis de plus en plus et j’ai du mal à m’en passer.— Je te comprends. Je ne sais pas comment il fait, mais quand j’ai senti sa queue en moi, j’ai tout de suite eu envie de jouir— Il faut qu’on apprenne à sucer. As-tu une idée.— Le net?— Bonne idée.
Elles se retrouvent comme deux adolescentes qui découvrent la sexualité. Elles cherchent sur le net, pouffent à la vue de certaines photos, regardent comment les filles font. Évelyne a un concombre, elles essayent à tour de rôle et abandonnent, pas convaincue du tout.Elles se disent que demain il fera jour et que le plus simple est de dormir. Il fut décidé que Marie-France dorme là. Son mari est en voyage d’affaires ce qui, selon Marie-France, est vrai. — Et pour aller voir les putes, il faut être capable de bander, dit elleÉvelyne éclate de rire.— Allez, on dort. Tu as tout ce qu’il faut dans la chambre d’amis, nuisette, démaquillant, etc....Bonne nuit
Le lendemain, Évelyne se lève, se regarde dans la grande glace. Elle est nue. Elle regarde ses seins, son ventre. Comme toujours, elle trouve ses seins trop gros. Elle regarde son pubis, elle se demande si elle ne devrait pas faire comme Marie-France, être complètement lisse. Elle passe sa main sur ses grandes lèvres, son corps réagit aussitôt. Elle écarte un peu les jambes, passe ses doigts sur les petites lèvres, son pouce sur son clitoris. L’excitation monte. Comme à chaque fois qu’elle va voir Albert, le lendemain, elle a besoin de se remémorer la soirée. La jouissance arrive très vite et la calme un peu. Elle passe une robe de chambre en soie. Elle entend Marie-France prendre sa douche. Elle prépare le petit déjeuner. Marie-France arrive, fais une bise à Évelyne.As-tu bien dormi, Marie-France?— Oui et non. Oui, parce que ton lit est bon, non parce que je n’ai pas arrêté de penser à hier soir
— Es-tu inquiète?— Non, pas du tout. De toute façon, j’irai faire un test dans trois mois. Non, je suis plutôt contente. Tu te rends compte qu’il m’a fait jouir comme jamais. Et puis, maintenant, on est vraiment amie, et on peut absolument tout se dire.— Oui, mais moi, je veux apprendre à sucer, dit Évelyne
Un long silence, elles sont toutes les deux dans leurs réflexions— Et si on demandait à Claire, propose Marie-France— Parce que tu crois qu’elle sait sucer?— Avec le pervers qu’elle a épousé, j’en suis sur. Tu sais, j’ai surpris Claire entrain de sucer son mari dans les toilettes au cours d’une soirée. Elle m’a vue mais à continuer et je l’ai vue avaler. Je pense que c’est elle qui nous faut.— Quelle soirée?— La semaine dernière, elle avait une robe fuseau— Ho, cette soirée-là. Elle ne portait pas de soutien-gorge et pas de culotte, peut-être un string. Elle faisait salope tout en étant BCBG— On lui demandera quand on la verra— On l’appelle et on lui dit de venir déjeuner avec nous.
Nous nous préparons. Marie-France passe chez elle se changer. Évelyne se prépare pour le déjeuner, elle décide de ne rien mettre comme dessous et de porter une robe assez transparente. elle voudrait savoir ce que ses amies en pense.
Marie-France arrive la première. Elle a mis un pantalon très moulant, le genre de pantalon qui oblige à ne rien mettre dessous et un top qui dévoile sa poitrine. Claire arrive juste après. Elle est habillée très classique. Quand elle voit ses deux amies , elle les regarde étonnée.— Mais qu’est-ce qui vous arrive? On croirait que vous allez recevoir vos amants.— Rien, je voulais juste savoir ce que vous pensiez de ma robe, dit Évelyne, maintenant je le sais— Moi, une envie. Envie d’attirer le regard des mâles, répond Marie-France— Passons à table. C’est à la bonne franquette dit la maitresse de maison
Les amies s’installent, discutent La conversation dévie doucement sur des sujets plus chaud et à un moment Marie-France dit:— Au fait, Claire, tu sais que je t’ai vue avec ton mari dans les toilettes. Je l’ai dit à Évelyne, et on …..Claire coupe la parole à Marie-France, ce qui n’est pas dans ses habitudes— Es-tu n’es pas choquée, Évelyne?— Non, pas du tout. Je crois que si nous sommes amies, c’est que nous avons plein de point commun, et un de celui qui est le plus important à mes yeux, c’est que nous sommes trois salopes qui adorons le cul.. Est-ce que je me trompe?
Claire regarde ses deux amies, soupire et dit:— Moi, ce que j’aime c’est faire l’amour dans des endroits insolites ou le risque d’être surprise n’est pas négligeable. Ce que ne sait pas Marie-France, c’est qu’après qu’elle m’est surprise entrain de sucer mon mari il m’a baisée et j’ai joui comme une folle. C’était bon d’avoir été surprise , et en plus, par une amie. Merci Marie-France de m’avoir permis de jouir aussi bien.— De rien, répond Marie-France, mais, on voulait te demander quelque chose.— C’est suite à hier, reprend Évelyne, nous avons été voir Albert, le SDF. La bourge qu’il baise et encule, c’est moi. Marie-France s’en doutait, et toi aussi je suppose. Ce qu’à dit Albert hier après midi a émoustillé Marie-France, c’est pour cela que nous avons été le voir toutes les deux. — Et, vous voulez que je vienne avec vous, dit Claire— Si tu veux, mais ce n’est pas cela qu’on veut te demander , répond Marie-France, on veut que tu nous apprennes à sucer.— A sucer? Vous ne savez pas?— Albert dit que non et il ne veut plus nous voir tant qu’on ne saura pas sucer— A votre age, se moque Claire, bon as tu une banane
Évelyne se lève et ramène une banane. Alors, Claire leur montre comment on suce, comment on passe la langue, l’aspiration. Elle prend complètement la banane dans sa bouche et la ressort.— Ce n’est pas difficile, il suffit de passer la glotte. Je me suis entrainée très tôt, vous savez, j’étais encore en internat chez les sœurs, c’est une grande qui m’a expliqué. Bien, à vous, maintenant
Évelyne retourne chercher deux autres bananes. Elle en épluche une et donne l’autre à Marie-France. Elles commencent, Claire prodigue ses conseils. Les bananes ont quelques traces de dents, Claire leur explique comment faire, bien fermer les lèvres et les mettre en cul-de-poule. Quand elles essayent d’enfourner la banane, elles ont des haut-le-cœur, Claire leur dit d’insister et qu’à force elles s’habitueront. Elles passent l’après-midi à s’exercer. A la fin de l’après-midi, elles ont mal aux mâchoires.— Çà suffit pour aujourd’hui, dit Marie-France, demain, rendez-vous chez moi
Le lendemain, Évelyne arrive chez Marie-France, elle a vêtu une robe très chic, des petites bottines à talon. Marie-France est en tailleur et la reçoit avec un grand sourire, Claire arrive juste après avec un shorti et un top. Elle explique avec un sourire malicieux que son mari l’attend ce soir pour une balade en forêt et qu’elle n’aura pas le temps d’aller se changer. Elle déjeune tout en discutant de tout et rien. Pour les desserts, ce sera des fruits, dit Marie-France en amenant la corbeille de fruits. Dedans, il n’y a que des bananes. Elles prennent les bananes et commencent leurs entrainements sous l’œil avisé de Claire. En fin d’après-midi, Claire dit: «et bien voilà, je pense que vous êtes prêtes, pas de trace de dent, la banane s’enfonce bien dans vos bouches, même s’il en manque un peu. Demain, on va pouvoir passer sur le boulevard».

Albert est de mauvaise humeur. Pourtant, il fait beau, les repas sont toujours bons mais il est de mauvaise humeur. Qu’est-ce-qu’il lui a pris de dire aux bourges de ne plus revenir? Il y a encore un mois, il n’avait que Simone a baisé, Simone avec son sourire édenté et voilà qu’une bourge vient le voir pour se faire baiser. Une autrefois, elle vient avec une copine. Elles ont de superbe cul et adorent se faire baiser et lui comme un con, il les vire parce qu’elles ne savent pas sucer. Cela fait plusieurs jours qu’il ne les a pas vues passer. Albert fait à peine la manche, il jette un œil sur les passants et aperçoit les trois bourges. Elles sont superbement habillées, très chic toutes les trois. Albert se demande s’il peut se faire la troisième. Il est sur qu’elles l’ont vu, elles ont ralenti
Elles passent près du banc d’Albert. Albert les siffle et leurs dit:— Et dire que vous ne savez même pas sucer à votre âge, si c’est pas malheureux. Pour se faire baiser, ça pas de souci, vous présentez vos culs sans problème, mais pour sucer, vous sortez les dents, sales putes, c’est bien des bourges, il faut toujours être à leurs services
Évelyne s’approche d’Albert, et lui dit assez bas pour ne pas être entendu— On viendra ce soir vous faire une démonstration, j’espère que cela vous conviendra.
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