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Alex découvre son côté bi

Chapitre 2

Gay
Ce récit est rigoureusement authentique. Je l’ai écrit le soir même des faits relatés, histoire de n’omettre aucun détail.
Le couple est-il parti ? Je les cherche dans le dédale des salles et cabines de l’Erotic City. Je finis par le trouver, enfermé dans une alcôve du labyrinthe. Enfermé, mais pas inatteignable, car la salle qu’ils ont choisie intentionnellement est munie de trous dans les parois ! Un homme à la barbe blanche est déjà posté sur un des côtés pour glisser son bras et caresser la miss. Je vais sur un autre point cardinal pour glisser mon bras dans l’orifice et caresser la jambe de la dame. Le mari l’enlace et retrousse sa jupe noire, nous laissant ainsi caresser ses fesses. Changeant de trou dans mon mur, j’atteins le haut de son corps et caresse ainsi un sein bien ferme avec un petit téton tout pointu qui dépasse de son chemisier blanc ouvert. Instant fugace de plaisir, mais somme toute un peu frustrant de ne pas pouvoir faire plus. Je repars alors en exploration, ne trouvant que des hommes qui se promènent aussi.
Je m’arrête finalement à une salle de cinéma qui diffuse un porno gay où il y a deux banquettes l’une à côté de l’autre, séparées par un grand muret. Sur chacune des banquettes, il y a un homme qui regarde le film, le pantalon ouvert en se masturbant.
Dois-je tenter ma chance ? L’invitation est assez claire, je pense. L’un d’eux a une casquette, une doudoune bleue et des lunettes. Il doit avoir quarante ou cinquante ans, je pense. Je me lance et je m’assieds sur la même banquette à cinquante centimètres de lui, comme si j’étais intéressé par le film. Je sors alors ma queue en fixant l’écran et je commence à me branler. Au bout de quatre ou cinq minutes, je jette un regard de son côté, il regarde aussi vers moi et j’approche ma main de sa cuisse ... Il fait un oui de la tête, je pose ma main sur sa bite. Je me surprends moi-même de mon inhibition ! En fait avec les hommes, ça semble naturel d’être direct.
Nouveau partenaire, nouveau membre : cette bite est assez courte avec une hampe large et raide et un gros gland, on dirait un petit champignon. Par réciprocité, il pose sa main sur la mienne et me masturbe aussi, il écarte mon pull et mon pantalon pour caresser aussi mon corps, ce qui est très agréable, pinçant également mes tétons. Je dois dire que je suis assez agréablement surpris de la douceur des contacts : pas de gestes violents ou agressifs, plutôt très doux et sensuels.
Je me lance alors de nouveau : je me redresse et je me penche vers lui, glissant son pénis dans ma bouche. Il ronronne de plaisir. J’aime bien la consistance de son sexe, bien raide, qui glisse le long de mes joues, sur ma langue et que je gobe presque entièrement. Je salive énormément, laissant des filets de bave sur son sexe quand je retire ma bouche. Je m’applique à monter et descendre ma bouche sur sa queue, serrant ou desserrant les lèvres. Je lèche aussi son gland et en particulier son frein à l’en faire frissonner, bref, je fais tout ce que j’aime qu’on me fasse.
Quand je me redresse, il n’hésite pas à me rendre la pareille et à me sucer. Il est assez doué et s’applique sur ma bite qui raidit au point que je lui demande d’arrêter un peu. Il me propose d’aller dans une cabine, mais je tente de lui faire comprendre que je préfère qu’on reste à se branler et à se sucer (comment on dit ça en allemand bordel !)
Je reprends la fellation dont je découvre que j’apprécie vraiment ça ! Je quitte alors le canapé pour me mettre à genoux entre ses cuisses écartées pour le sucer plus facilement. Il pose délicatement ses deux mains sur ma tête pour me guider, c’est un vrai gentleman. Notre manège en terrain ouvert a attiré l’attention des autres clients : un homme chauve avec une petite barbe courte vêtu d’un polo rouge, blanc et bleu et le retour de mon premier partenaire à la chemise bleue. Ma position est excitante dans le milieu gay, à genoux, les hanches relevées, je les laisse contempler facilement mes fesses. Bientôt alors que je suce en rythme l’homme à la casquette, je sens les caresses sur mes fesses, des doigts qui passent sur mon anus et une main passant sous mon ventre qui me masturbe. Je suis en train de me faire les trois mecs en même temps là ! Pour une première fois, c’est Versailles, me dis-je dans ma tête.
Pour l’égo de réaliser qu’on est attirant pour ces mecs, c’est aussi très flatteur pour moi.
Je sais cependant qu’il faut garder le contrôle et que je ne dois pas les laisser m’enculer si jamais ils tentent le coup ! Je sens soudain un goût douçâtre en suçant mon gars, peut-être un peu de sperme, pourtant il ne me semble pas qu’il ait joui, il n’a pas de spasmes et reste toujours aussi raide. Au moment où l’un de mes partenaires essaie d’introduire deux doigts dans mon petit trou, je sens que ça risque de déraper et je me redresse pour me remettre sur le canapé. L’homme à la casquette vient alors me sucer, glissant sa bouche en serrant ses lèvres tout le long de ma queue, puis il est remplacé par l’homme au polo tricolore qui tente sa chance et manque de me faire gicler et, au final, c’est le mec à la chemise bleue qui s’empare de ma bite gonflée et qui me branle jusqu’à me faire jouir.
Après avoir remercié tout le monde et m’être essuyé, je quitte mes partenaires et sors du sex-shop, j’y suis resté 1h30. Je suis sur un nuage, n’arrivant pas à réaliser ce qui vient d’arriver. J’ai sucé deux bites et je me suis fait sucer par trois mecs ! C’est encore mieux que ce que j’avais imaginé. En plus, j’apprécie les contacts simples avec les mecs : pas de chichis, on est là pour le sexe, mais cependant il y a un grand respect et une grande douceur ! J’ai envie d’y retourner au plus vite.
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